Description
Les capteurs acoustiques Permalog+ sont utilisés par les réseaux de distribution d'eau potable pour pré-localiser les fuites. De petite taille, ils sont autonomes pour 5 ans et garantis pour 3 ans. Grâce à la radio bidirectionnelle, tous les paramètres d'enregistrement et de transmission des données sont modifiables.
Caractéristiques générales
Caractéristique | Valeur |
---|---|
Autonomie de la batterie | 3 à 5 ans |
Diamètre | 50 mm |
Distance d'installation recommandée sur conduite en PVC | jusqu'à 160 m |
Distance d'installation recommandée sur conduite métallique | jusqu'à 400 m |
Distance d'installation recommandée sur conduite PEHD | jusqu'à 60 m. |
Garantie | 3 ans |
Hauteur avec antenne | 195 mm |
Hauteur sans antenne | 110 mm |
Longueur de l'élingue en acier inoxydable | 1,5 m |
Longueur du câble d'antenne à fixation magnétique | 2 m |
Matériau du capteur vibrant | acier inoxydable |
Niveau de protection | IP 68 |
Poids | 600 g |
Puissance d'émission | 10 mW |
Puissance de l'aimant | 35 Kg |
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Le 29/12/2023
Comment les caractéristiques d'un réseau de distribution d'eau potable déterminent-elles les technologies à utiliser pour détecter les fuites?
Réponse :
La détection des fuites dans un réseau de distribution d'eau potable est un processus complexe qui dépend de plusieurs caractéristiques du réseau. Ces caractéristiques influencent le choix des technologies de détection de fuites, car elles déterminent la méthode la plus efficace et la plus précise pour localiser les fuites. Voici les principaux facteurs à prendre en compte :
1. **Type de matériaux des conduites** : Les conduites peuvent être en métal, en plastique, ou en fibre-ciment. Les conduites métalliques permettent l'utilisation de technologies électromagnétiques, comme les détecteurs acoustiques magnétiques, qui peuvent capter les vibrations causées par les fuites. En revanche, pour les conduites en plastique ou en fibre-ciment, qui ne conduisent pas l'électricité, il faut utiliser des méthodes acoustiques ou des traceurs de gaz, comme le VARIOTEC 460 Tracergas, qui peuvent détecter les fuites indépendamment de la conductivité des conduites.
2. **Diamètre et pression des conduites** : Les réseaux de grande dimension avec des conduites de grand diamètre et sous haute pression peuvent nécessiter des corrélations hydrophoniques, comme avec le système AQUASCAN TM2, qui est efficace sur de longues distances et pour les conduites de grand diamètre. Les réseaux de plus petite taille pourront utiliser des technologies telles que des microphones de sol et des capteurs acoustiques, comme avec le SeCorr C 200 ou l'AQUAPHON A 150, qui sont bien adaptés pour localiser des fuites sur des distances plus courtes.
3. **Complexité du réseau** : Les réseaux complexes avec de nombreux embranchements et connexions peuvent bénéficier de systèmes de corrélation multi-points, tels que le MULTISCAN, qui permettent d'analyser simultanément plusieurs segments de conduite pour isoler la zone de fuite.
4. **Environnement et conditions d’accès** : Les conditions d’accès aux conduites, comme la présence de bâtiments, de routes ou de zones densément peuplées, peuvent influencer la décision de choisir des technologies sans tranchée. Des appareils comme l'Endoscope Rotatif-Tubicam® Mini Rotative peuvent être utilisés pour des inspections visuelles dans des environnements difficiles d’accès.
5. **Niveau de bruit ambiant** : Dans les zones où le bruit de fond est élevé, des détecteurs de fuites sensibles et filtrant le bruit ambiant, comme le HL 7000, sont nécessaires pour différencier les bruits de fuites des autres bruits environnants.
6. **Longueur et agencement des conduites** : La longueur des conduites et leur disposition influencent le choix de la méthode de détection. Pour les longues conduites droites, les méthodes de corrélation ou les loggers de bruit comme le SePem 100 / 150 sont adaptés. Pour les réseaux plus sinueux ou avec de nombreux coudes, des méthodes d'écoute ponctuelle ou de visualisation par caméra peuvent être plus efficaces.
7. **Budget et ressources disponibles** : Les ressources financières et humaines disponibles pour opérer et maintenir le système de détection de fuites sont également déterminantes. Certains systèmes, comme le Permalog+, offrent une détection passive et à distance, ce qui peut réduire les coûts opérationnels.
En résumé, la sélection des technologies de détection de fuites doit tenir compte de la nature du réseau de distribution, des contraintes opérationnelles et environnementales, ainsi que des ressources disponibles. L'efficacité de la détection des fuites dépend largement de l'adéquation entre ces technologies et les caractéristiques spécifiques du réseau.
1. **Type de matériaux des conduites** : Les conduites peuvent être en métal, en plastique, ou en fibre-ciment. Les conduites métalliques permettent l'utilisation de technologies électromagnétiques, comme les détecteurs acoustiques magnétiques, qui peuvent capter les vibrations causées par les fuites. En revanche, pour les conduites en plastique ou en fibre-ciment, qui ne conduisent pas l'électricité, il faut utiliser des méthodes acoustiques ou des traceurs de gaz, comme le VARIOTEC 460 Tracergas, qui peuvent détecter les fuites indépendamment de la conductivité des conduites.
2. **Diamètre et pression des conduites** : Les réseaux de grande dimension avec des conduites de grand diamètre et sous haute pression peuvent nécessiter des corrélations hydrophoniques, comme avec le système AQUASCAN TM2, qui est efficace sur de longues distances et pour les conduites de grand diamètre. Les réseaux de plus petite taille pourront utiliser des technologies telles que des microphones de sol et des capteurs acoustiques, comme avec le SeCorr C 200 ou l'AQUAPHON A 150, qui sont bien adaptés pour localiser des fuites sur des distances plus courtes.
3. **Complexité du réseau** : Les réseaux complexes avec de nombreux embranchements et connexions peuvent bénéficier de systèmes de corrélation multi-points, tels que le MULTISCAN, qui permettent d'analyser simultanément plusieurs segments de conduite pour isoler la zone de fuite.
4. **Environnement et conditions d’accès** : Les conditions d’accès aux conduites, comme la présence de bâtiments, de routes ou de zones densément peuplées, peuvent influencer la décision de choisir des technologies sans tranchée. Des appareils comme l'Endoscope Rotatif-Tubicam® Mini Rotative peuvent être utilisés pour des inspections visuelles dans des environnements difficiles d’accès.
5. **Niveau de bruit ambiant** : Dans les zones où le bruit de fond est élevé, des détecteurs de fuites sensibles et filtrant le bruit ambiant, comme le HL 7000, sont nécessaires pour différencier les bruits de fuites des autres bruits environnants.
6. **Longueur et agencement des conduites** : La longueur des conduites et leur disposition influencent le choix de la méthode de détection. Pour les longues conduites droites, les méthodes de corrélation ou les loggers de bruit comme le SePem 100 / 150 sont adaptés. Pour les réseaux plus sinueux ou avec de nombreux coudes, des méthodes d'écoute ponctuelle ou de visualisation par caméra peuvent être plus efficaces.
7. **Budget et ressources disponibles** : Les ressources financières et humaines disponibles pour opérer et maintenir le système de détection de fuites sont également déterminantes. Certains systèmes, comme le Permalog+, offrent une détection passive et à distance, ce qui peut réduire les coûts opérationnels.
En résumé, la sélection des technologies de détection de fuites doit tenir compte de la nature du réseau de distribution, des contraintes opérationnelles et environnementales, ainsi que des ressources disponibles. L'efficacité de la détection des fuites dépend largement de l'adéquation entre ces technologies et les caractéristiques spécifiques du réseau.
Nouvelle réponse
- Le 30/11/2023
Quels sont les différents constituants d'un réseau d'eau potable ?
Réponse :
Un réseau d'eau potable est un système complexe qui assure la production, le traitement, le stockage et la distribution de l'eau destinée à la consommation humaine. Voici les différents constituants d'un réseau d'eau potable :
1. Source d'eau brute : La première étape d'un réseau d'eau potable consiste à prélever l'eau à partir de sources naturelles telles que les lacs, les rivières, les nappes souterraines ou les réservoirs.
2. Station de pompage : L'eau brute est ensuite acheminée vers la station de traitement grâce à des pompes. Les stations de pompage HOBO® MX2001 par exemple, sont des enregistreurs de données qui surveillent la pression et le niveau d'eau, ce qui est essentiel pour contrôler le pompage.
3. Station de traitement : Une fois l'eau arrivée à la station de traitement, elle subit plusieurs processus de purification pour éliminer les contaminants et la rendre potable. Ces processus incluent la coagulation, la floculation, la décantation, la filtration et la désinfection.
4. Réseaux de distribution : Après traitement, l'eau est stockée dans des réservoirs de distribution, puis acheminée via un réseau de canalisations en PVC, en fonte ductile ou en acier jusqu'aux utilisateurs finaux. Des produits comme le système en PVC annelé SANECOR® sont utilisés pour la construction de ces canalisations.
5. Réservoirs de stockage : Des réservoirs ou des châteaux d'eau sont utilisés pour stocker l'eau traitée et maintenir une pression adéquate dans le réseau de distribution. Ils permettent également de répondre à la demande en eau lors des pics de consommation.
6. Accessoires de réseau : Le réseau comprend également des vannes pour réguler le flux d'eau (comme la Vanne Hydrodynamique Autonome F-Reg), des poteaux d'incendie, des compteurs d'eau pour mesurer la consommation (par exemple, la station de mesure myliaQ), et des dispositifs de contrôle tels que les capteurs acoustiques Permalog+ pour la détection des fuites.
7. Branchements domiciliaires : Ce sont les conduites qui relient le réseau de distribution principal à la propriété de chaque utilisateur. Ils incluent généralement un compteur d'eau pour enregistrer la consommation.
8. Dispositifs de protection : Pour maintenir la qualité de l'eau et éviter la contamination, des systèmes de protection tels que des clapets anti-retour sont installés.
9. Système de surveillance et de gestion : Les réseaux d'eau potable modernes sont souvent équipés de systèmes de télésurveillance et de gestion de données, tels que seQoya pour l'approvisionnement en eau potable, qui permettent de surveiller et d'analyser le fonctionnement du réseau en temps réel.
En résumé, un réseau d'eau potable est constitué d'une source d'eau brute, de stations de pompage, de stations de traitement, d'un réseau de distribution avec des réservoirs de stockage et des accessoires de réseau, de branchements domiciliaires, de dispositifs de protection et de systèmes de surveillance et de gestion. Chaque élément joue un rôle crucial pour garantir que l'eau fournie aux consommateurs soit sûre, propre et disponible à la demande.
1. Source d'eau brute : La première étape d'un réseau d'eau potable consiste à prélever l'eau à partir de sources naturelles telles que les lacs, les rivières, les nappes souterraines ou les réservoirs.
2. Station de pompage : L'eau brute est ensuite acheminée vers la station de traitement grâce à des pompes. Les stations de pompage HOBO® MX2001 par exemple, sont des enregistreurs de données qui surveillent la pression et le niveau d'eau, ce qui est essentiel pour contrôler le pompage.
3. Station de traitement : Une fois l'eau arrivée à la station de traitement, elle subit plusieurs processus de purification pour éliminer les contaminants et la rendre potable. Ces processus incluent la coagulation, la floculation, la décantation, la filtration et la désinfection.
4. Réseaux de distribution : Après traitement, l'eau est stockée dans des réservoirs de distribution, puis acheminée via un réseau de canalisations en PVC, en fonte ductile ou en acier jusqu'aux utilisateurs finaux. Des produits comme le système en PVC annelé SANECOR® sont utilisés pour la construction de ces canalisations.
5. Réservoirs de stockage : Des réservoirs ou des châteaux d'eau sont utilisés pour stocker l'eau traitée et maintenir une pression adéquate dans le réseau de distribution. Ils permettent également de répondre à la demande en eau lors des pics de consommation.
6. Accessoires de réseau : Le réseau comprend également des vannes pour réguler le flux d'eau (comme la Vanne Hydrodynamique Autonome F-Reg), des poteaux d'incendie, des compteurs d'eau pour mesurer la consommation (par exemple, la station de mesure myliaQ), et des dispositifs de contrôle tels que les capteurs acoustiques Permalog+ pour la détection des fuites.
7. Branchements domiciliaires : Ce sont les conduites qui relient le réseau de distribution principal à la propriété de chaque utilisateur. Ils incluent généralement un compteur d'eau pour enregistrer la consommation.
8. Dispositifs de protection : Pour maintenir la qualité de l'eau et éviter la contamination, des systèmes de protection tels que des clapets anti-retour sont installés.
9. Système de surveillance et de gestion : Les réseaux d'eau potable modernes sont souvent équipés de systèmes de télésurveillance et de gestion de données, tels que seQoya pour l'approvisionnement en eau potable, qui permettent de surveiller et d'analyser le fonctionnement du réseau en temps réel.
En résumé, un réseau d'eau potable est constitué d'une source d'eau brute, de stations de pompage, de stations de traitement, d'un réseau de distribution avec des réservoirs de stockage et des accessoires de réseau, de branchements domiciliaires, de dispositifs de protection et de systèmes de surveillance et de gestion. Chaque élément joue un rôle crucial pour garantir que l'eau fournie aux consommateurs soit sûre, propre et disponible à la demande.
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- Le 29/12/2023
Comment les caractéristiques d'un réseau de distribution d'eau potable déterminent-elles les technologies à utiliser pour détecter les fuites?
Réponse :
La détection des fuites dans un réseau de distribution d'eau potable est un processus complexe qui dépend de plusieurs caractéristiques du réseau. Ces caractéristiques influencent le choix des technologies de détection de fuites, car elles déterminent la méthode la plus efficace et la plus précise pour localiser les fuites. Voici les principaux facteurs à prendre en compte :
1. **Type de matériaux des conduites** : Les conduites peuvent être en métal, en plastique, ou en fibre-ciment. Les conduites métalliques permettent l'utilisation de technologies électromagnétiques, comme les détecteurs acoustiques magnétiques, qui peuvent capter les vibrations causées par les fuites. En revanche, pour les conduites en plastique ou en fibre-ciment, qui ne conduisent pas l'électricité, il faut utiliser des méthodes acoustiques ou des traceurs de gaz, comme le VARIOTEC 460 Tracergas, qui peuvent détecter les fuites indépendamment de la conductivité des conduites.
2. **Diamètre et pression des conduites** : Les réseaux de grande dimension avec des conduites de grand diamètre et sous haute pression peuvent nécessiter des corrélations hydrophoniques, comme avec le système AQUASCAN TM2, qui est efficace sur de longues distances et pour les conduites de grand diamètre. Les réseaux de plus petite taille pourront utiliser des technologies telles que des microphones de sol et des capteurs acoustiques, comme avec le SeCorr C 200 ou l'AQUAPHON A 150, qui sont bien adaptés pour localiser des fuites sur des distances plus courtes.
3. **Complexité du réseau** : Les réseaux complexes avec de nombreux embranchements et connexions peuvent bénéficier de systèmes de corrélation multi-points, tels que le MULTISCAN, qui permettent d'analyser simultanément plusieurs segments de conduite pour isoler la zone de fuite.
4. **Environnement et conditions d’accès** : Les conditions d’accès aux conduites, comme la présence de bâtiments, de routes ou de zones densément peuplées, peuvent influencer la décision de choisir des technologies sans tranchée. Des appareils comme l'Endoscope Rotatif-Tubicam® Mini Rotative peuvent être utilisés pour des inspections visuelles dans des environnements difficiles d’accès.
5. **Niveau de bruit ambiant** : Dans les zones où le bruit de fond est élevé, des détecteurs de fuites sensibles et filtrant le bruit ambiant, comme le HL 7000, sont nécessaires pour différencier les bruits de fuites des autres bruits environnants.
6. **Longueur et agencement des conduites** : La longueur des conduites et leur disposition influencent le choix de la méthode de détection. Pour les longues conduites droites, les méthodes de corrélation ou les loggers de bruit comme le SePem 100 / 150 sont adaptés. Pour les réseaux plus sinueux ou avec de nombreux coudes, des méthodes d'écoute ponctuelle ou de visualisation par caméra peuvent être plus efficaces.
7. **Budget et ressources disponibles** : Les ressources financières et humaines disponibles pour opérer et maintenir le système de détection de fuites sont également déterminantes. Certains systèmes, comme le Permalog+, offrent une détection passive et à distance, ce qui peut réduire les coûts opérationnels.
En résumé, la sélection des technologies de détection de fuites doit tenir compte de la nature du réseau de distribution, des contraintes opérationnelles et environnementales, ainsi que des ressources disponibles. L'efficacité de la détection des fuites dépend largement de l'adéquation entre ces technologies et les caractéristiques spécifiques du réseau.
1. **Type de matériaux des conduites** : Les conduites peuvent être en métal, en plastique, ou en fibre-ciment. Les conduites métalliques permettent l'utilisation de technologies électromagnétiques, comme les détecteurs acoustiques magnétiques, qui peuvent capter les vibrations causées par les fuites. En revanche, pour les conduites en plastique ou en fibre-ciment, qui ne conduisent pas l'électricité, il faut utiliser des méthodes acoustiques ou des traceurs de gaz, comme le VARIOTEC 460 Tracergas, qui peuvent détecter les fuites indépendamment de la conductivité des conduites.
2. **Diamètre et pression des conduites** : Les réseaux de grande dimension avec des conduites de grand diamètre et sous haute pression peuvent nécessiter des corrélations hydrophoniques, comme avec le système AQUASCAN TM2, qui est efficace sur de longues distances et pour les conduites de grand diamètre. Les réseaux de plus petite taille pourront utiliser des technologies telles que des microphones de sol et des capteurs acoustiques, comme avec le SeCorr C 200 ou l'AQUAPHON A 150, qui sont bien adaptés pour localiser des fuites sur des distances plus courtes.
3. **Complexité du réseau** : Les réseaux complexes avec de nombreux embranchements et connexions peuvent bénéficier de systèmes de corrélation multi-points, tels que le MULTISCAN, qui permettent d'analyser simultanément plusieurs segments de conduite pour isoler la zone de fuite.
4. **Environnement et conditions d’accès** : Les conditions d’accès aux conduites, comme la présence de bâtiments, de routes ou de zones densément peuplées, peuvent influencer la décision de choisir des technologies sans tranchée. Des appareils comme l'Endoscope Rotatif-Tubicam® Mini Rotative peuvent être utilisés pour des inspections visuelles dans des environnements difficiles d’accès.
5. **Niveau de bruit ambiant** : Dans les zones où le bruit de fond est élevé, des détecteurs de fuites sensibles et filtrant le bruit ambiant, comme le HL 7000, sont nécessaires pour différencier les bruits de fuites des autres bruits environnants.
6. **Longueur et agencement des conduites** : La longueur des conduites et leur disposition influencent le choix de la méthode de détection. Pour les longues conduites droites, les méthodes de corrélation ou les loggers de bruit comme le SePem 100 / 150 sont adaptés. Pour les réseaux plus sinueux ou avec de nombreux coudes, des méthodes d'écoute ponctuelle ou de visualisation par caméra peuvent être plus efficaces.
7. **Budget et ressources disponibles** : Les ressources financières et humaines disponibles pour opérer et maintenir le système de détection de fuites sont également déterminantes. Certains systèmes, comme le Permalog+, offrent une détection passive et à distance, ce qui peut réduire les coûts opérationnels.
En résumé, la sélection des technologies de détection de fuites doit tenir compte de la nature du réseau de distribution, des contraintes opérationnelles et environnementales, ainsi que des ressources disponibles. L'efficacité de la détection des fuites dépend largement de l'adéquation entre ces technologies et les caractéristiques spécifiques du réseau.
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Quels sont les différents constituants d'un réseau d'eau potable ?
Réponse :
Un réseau d'eau potable est un système complexe qui assure la production, le traitement, le stockage et la distribution de l'eau destinée à la consommation humaine. Voici les différents constituants d'un réseau d'eau potable :
1. Source d'eau brute : La première étape d'un réseau d'eau potable consiste à prélever l'eau à partir de sources naturelles telles que les lacs, les rivières, les nappes souterraines ou les réservoirs.
2. Station de pompage : L'eau brute est ensuite acheminée vers la station de traitement grâce à des pompes. Les stations de pompage HOBO® MX2001 par exemple, sont des enregistreurs de données qui surveillent la pression et le niveau d'eau, ce qui est essentiel pour contrôler le pompage.
3. Station de traitement : Une fois l'eau arrivée à la station de traitement, elle subit plusieurs processus de purification pour éliminer les contaminants et la rendre potable. Ces processus incluent la coagulation, la floculation, la décantation, la filtration et la désinfection.
4. Réseaux de distribution : Après traitement, l'eau est stockée dans des réservoirs de distribution, puis acheminée via un réseau de canalisations en PVC, en fonte ductile ou en acier jusqu'aux utilisateurs finaux. Des produits comme le système en PVC annelé SANECOR® sont utilisés pour la construction de ces canalisations.
5. Réservoirs de stockage : Des réservoirs ou des châteaux d'eau sont utilisés pour stocker l'eau traitée et maintenir une pression adéquate dans le réseau de distribution. Ils permettent également de répondre à la demande en eau lors des pics de consommation.
6. Accessoires de réseau : Le réseau comprend également des vannes pour réguler le flux d'eau (comme la Vanne Hydrodynamique Autonome F-Reg), des poteaux d'incendie, des compteurs d'eau pour mesurer la consommation (par exemple, la station de mesure myliaQ), et des dispositifs de contrôle tels que les capteurs acoustiques Permalog+ pour la détection des fuites.
7. Branchements domiciliaires : Ce sont les conduites qui relient le réseau de distribution principal à la propriété de chaque utilisateur. Ils incluent généralement un compteur d'eau pour enregistrer la consommation.
8. Dispositifs de protection : Pour maintenir la qualité de l'eau et éviter la contamination, des systèmes de protection tels que des clapets anti-retour sont installés.
9. Système de surveillance et de gestion : Les réseaux d'eau potable modernes sont souvent équipés de systèmes de télésurveillance et de gestion de données, tels que seQoya pour l'approvisionnement en eau potable, qui permettent de surveiller et d'analyser le fonctionnement du réseau en temps réel.
En résumé, un réseau d'eau potable est constitué d'une source d'eau brute, de stations de pompage, de stations de traitement, d'un réseau de distribution avec des réservoirs de stockage et des accessoires de réseau, de branchements domiciliaires, de dispositifs de protection et de systèmes de surveillance et de gestion. Chaque élément joue un rôle crucial pour garantir que l'eau fournie aux consommateurs soit sûre, propre et disponible à la demande.
1. Source d'eau brute : La première étape d'un réseau d'eau potable consiste à prélever l'eau à partir de sources naturelles telles que les lacs, les rivières, les nappes souterraines ou les réservoirs.
2. Station de pompage : L'eau brute est ensuite acheminée vers la station de traitement grâce à des pompes. Les stations de pompage HOBO® MX2001 par exemple, sont des enregistreurs de données qui surveillent la pression et le niveau d'eau, ce qui est essentiel pour contrôler le pompage.
3. Station de traitement : Une fois l'eau arrivée à la station de traitement, elle subit plusieurs processus de purification pour éliminer les contaminants et la rendre potable. Ces processus incluent la coagulation, la floculation, la décantation, la filtration et la désinfection.
4. Réseaux de distribution : Après traitement, l'eau est stockée dans des réservoirs de distribution, puis acheminée via un réseau de canalisations en PVC, en fonte ductile ou en acier jusqu'aux utilisateurs finaux. Des produits comme le système en PVC annelé SANECOR® sont utilisés pour la construction de ces canalisations.
5. Réservoirs de stockage : Des réservoirs ou des châteaux d'eau sont utilisés pour stocker l'eau traitée et maintenir une pression adéquate dans le réseau de distribution. Ils permettent également de répondre à la demande en eau lors des pics de consommation.
6. Accessoires de réseau : Le réseau comprend également des vannes pour réguler le flux d'eau (comme la Vanne Hydrodynamique Autonome F-Reg), des poteaux d'incendie, des compteurs d'eau pour mesurer la consommation (par exemple, la station de mesure myliaQ), et des dispositifs de contrôle tels que les capteurs acoustiques Permalog+ pour la détection des fuites.
7. Branchements domiciliaires : Ce sont les conduites qui relient le réseau de distribution principal à la propriété de chaque utilisateur. Ils incluent généralement un compteur d'eau pour enregistrer la consommation.
8. Dispositifs de protection : Pour maintenir la qualité de l'eau et éviter la contamination, des systèmes de protection tels que des clapets anti-retour sont installés.
9. Système de surveillance et de gestion : Les réseaux d'eau potable modernes sont souvent équipés de systèmes de télésurveillance et de gestion de données, tels que seQoya pour l'approvisionnement en eau potable, qui permettent de surveiller et d'analyser le fonctionnement du réseau en temps réel.
En résumé, un réseau d'eau potable est constitué d'une source d'eau brute, de stations de pompage, de stations de traitement, d'un réseau de distribution avec des réservoirs de stockage et des accessoires de réseau, de branchements domiciliaires, de dispositifs de protection et de systèmes de surveillance et de gestion. Chaque élément joue un rôle crucial pour garantir que l'eau fournie aux consommateurs soit sûre, propre et disponible à la demande.
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