Description
Cairnet® est une station de surveillance de l’air en temps réel, autonome et pouvant être mise en réseau. Elle peut contenir jusqu’à six microcapteurs Cairsens® dans un boîtier étanche et alimenté par énergie solaire. Elle propose une communication cellulaire.
Grâce à son collecteur intégré permettant une prise d’échantillon dynamique, les mesures sont précises et fiables. Les composés électroniques sont scellés & protégés de l’humidité et de la corrosion issue de l’air ambiant.
La station est compacte, facilement installable et autonome grâce à sa batterie et ses panneaux solaires. Elle vous permet de surveiller efficacement poussières et gaz et vous donne une vue d’ensemble de l’impact environnemental de vos opérations.
Celle-ci offre une flexibilité inégalée dans la fourniture de mesures précises et dynamiques de qualité de l’air pour une large gamme d’applications et d’industries. La gestion des données est centralisée et sécurisée dans le cloud via l’application Caircloud®.
Questions récurrentes sur le Cairnet
Ou trouver des renseignements (fiables) et une carte pour mesurer l'impact du coronavirus sur la pollution atmosphérique ?
Voici quelques sources et outils potentiels :
1. **Agences Gouvernementales et Organismes de Surveillance de la Qualité de l'Air**:
- **Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (ADEME)** en France.
- **Environmental Protection Agency (EPA)** aux États-Unis.
- **European Environment Agency (EEA)** en Europe.
Ces agences recueillent et analysent les données atmosphériques à partir de stations de mesure au sol et de satellites. Elles peuvent fournir des cartes et des rapports sur les changements de niveaux de polluants comme le NO2, les particules fines (PM2.5 et PM10), et d'autres indicateurs.
2. **Services de Satellite**:
- Le **service Copernicus Atmosphere Monitoring Service (CAMS)** fournit des informations sur la qualité de l'air en Europe et dans le monde, y compris l'impact des mesures de confinement liées au coronavirus sur la pollution atmosphérique.
- **NASA's Earth Observatory** offre des images satellites et des analyses de l'impact des réductions d'activités humaines sur la pollution de l'air.
3. **Recherches Universitaires et Publications Scientifiques**:
- Recherchez des articles publiés dans des revues scientifiques réputées ou des études universitaires qui ont évalué les effets de la pandémie sur la pollution atmosphérique.
4. **Instruments de mesure et logiciels**:
- Des instruments tels que les **analyseurs de gaz** (par exemple, le **MIR 9000e de ENVEA** pour mesurer les gaz de combustion) et les **stations de surveillance de la qualité de l'air** (comme l'**ECOMSMART** ou la **station Cairnet**) peuvent être utilisés pour collecter des données précises sur les polluants atmosphériques.
- Des **logiciels de modélisation de la dispersion atmosphérique** (comme le **Logiciel XR d'ENVEA**) peuvent aider à analyser et à visualiser les données collectées et à comprendre l'impact des changements d'activité humaine sur la pollution de l'air.
Il est important de comparer les données actuelles avec celles des années précédentes pour évaluer l'impact réel du confinement dû au coronavirus sur la pollution atmosphérique. Les changements dans les émissions de polluants peuvent être influencés par de nombreux facteurs, y compris les conditions météorologiques, les politiques environnementales, et les changements dans les comportements humains.
Quelles sont les sanctions prévues pour l'infraction "Pollution d'origine accidentelle"?
En général, les sanctions peuvent inclure :
1. **Amendes administratives ou pénales :** Ces amendes sont souvent imposées pour compenser les dommages causés à l'environnement et peuvent être calculées en fonction de la durée et de l'étendue de la pollution, ainsi que de la capacité de l'entreprise à payer.
2. **Réparation des dommages :** L'entité responsable de la pollution peut être tenue de restaurer l'environnement à son état d'origine ou de financer des projets de réhabilitation.
3. **Sanctions pénales :** Si la négligence ou des violations de la réglementation sont avérées, des peines de prison peuvent être infligées aux responsables de l'entreprise.
4. **Suspension ou révocation de permis :** Les autorités peuvent suspendre ou révoquer les permis d'exploitation de l'entreprise responsable si elle est jugée incapable de respecter les normes environnementales.
5. **Mesures correctives :** L'entreprise peut être obligée d'adopter des mesures pour améliorer ses pratiques et prévenir de futures pollutions.
6. **Responsabilité civile :** L'entreprise peut être tenue de compenser les personnes affectées par la pollution pour les dommages subis.
Pour prévenir de telles sanctions et minimiser l'impact environnemental de telles situations, les entreprises peuvent s'équiper de technologies et de systèmes de surveillance et d'intervention d'urgence. Par exemple :
- **Barrage flottant antipollution (BARC3055R)** : Utilisé pour confiner et contrôler la propagation de la pollution dans les plans d'eau.
- **Sondes et capteurs de surveillance (AirSafe PM, VOC72e, Sonde HAP)** : Des dispositifs de surveillance continue qui mesurent les concentrations de polluants tels que les particules, les composés organiques volatils (COV) et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) dans l'air ou dans l'eau.
- **Stations de surveillance en temps réel (Cairnet)** : Stations autonomes qui mesurent les niveaux de gaz et de particules dans l'air, permettant une réponse rapide en cas de pollution accidentelle.
- **Logiciels de traitement des données (Logiciel XR)** : Permettent une gestion des données environnementales et une alerte rapide en cas de dépassement des seuils de pollution.
- **Analyseurs de gaz (CO12e, AC32e, AF22e, AS32M)** : Fournissent une mesure précise de divers gaz polluants, ce qui peut être crucial pour identifier la source et l'ampleur de la pollution.
Il est important de noter que les sanctions et les mesures réglementaires varient considérablement d'un pays à l'autre, et il est essentiel de consulter la législation locale et les réglementations internationales applicables pour une compréhension précise des conséquences juridiques d'une pollution accidentelle.
A proximité d'un hôpital, il arrive qu'une odeur de fumée désagréable (type air chlorée) soit ressentie durant quelques minutes. Comment savoir si cela est dangereux ? Est-ce possible de connaitre l'origine de ces odeurs?
L'outil approprié pour de telles analyses est un chromatographe en phase gazeuse, tel que le TRS MEDOR, qui est spécifiquement conçu pour l'analyse des composés soufrés, des mercaptans et d'autres odeurs indésirables. Ces appareils peuvent mesurer des concentrations de composés à des niveaux de ppb (parties par milliard) ou de ppm (parties par million), fournissant une indication précise de la présence de substances potentiellement nocives.
En outre, des analyseurs en temps réel comme le Cairnet peuvent être utilisés pour surveiller la qualité de l'air et détecter une large gamme de polluants gazeux. Ces stations de surveillance sont autonomes, alimentées par énergie solaire, et peuvent être connectées à un réseau pour une communication cellulaire, permettant ainsi une surveillance continue et en temps réel de l'air ambiant.
Pour identifier l'origine des odeurs, il est possible de cartographier les sources de pollution en utilisant des modèles de dispersion atmosphérique qui prennent en compte les données météorologiques, la topographie et les caractéristiques des sources d'émission potentielles. Des outils logiciels de modélisation atmosphérique, combinés avec les données recueillies par des équipements de mesure, peuvent aider à tracer l'origine des émissions.
Il est également important de considérer que les hôpitaux utilisent souvent des produits chimiques pour la stérilisation et la désinfection, qui peuvent libérer des composés chlorés dans l'air. Par exemple, l'utilisation de l'eau de Javel (hypochlorite de sodium) ou d'autres désinfectants contenant du chlore peut générer des odeurs chlorées. Il pourrait également s'agir d'émissions provenant de l'incinérateur de déchets hospitaliers, auquel cas un analyseur d'émissions tel que le SM-5 pourrait être utilisé pour surveiller les émissions de mercure et d'autres polluants.
Si l'odeur est sporadique et ne dure que quelques minutes, il pourrait s'agir d'une libération ponctuelle de substances, ce qui nécessiterait une enquête plus approfondie pour identifier les processus spécifiques à l'hôpital qui pourraient être à l'origine de ces émissions.
En résumé, pour savoir si l'odeur de fumée est dangereuse et en identifier l'origine, il est recommandé d'utiliser des équipements de mesure de l'air tels que des chromatographes en phase gazeuse et des analyseurs de gaz en temps réel, et de compléter ces mesures par une modélisation de la dispersion des polluants dans l'air. Il est également essentiel de collaborer avec l'hôpital et les autorités locales pour enquêter sur les pratiques de gestion des déchets et les procédures de stérilisation qui pourraient être impliquées.
Actualités autour du Cairnet
La station, située aux États-Unis, traite les eaux usées de l’une des plus grandes villes du monde, ainsi que celles de 128 communes avoisinantes. En pratique, les eaux usées des foyers et des entreprises de la zone d’opération de 1420 km², en plus des eaux pluviales de certaines communes, sont traitées sur 7 sites. La solution Cairnet® a été déployée à grande échelle en novembre 2019 ; au total, 14 mini-stations ont été installées pour la surveillance en continu de la qualité de l’air et notamment du H2S/CH4S. L’objectif étant de fournir des enregistrements fiables pour répondre à de potentielles plaintes relatives aux odeurs de la part de résidents et d’entreprises opérant à proximité.
Les activités liées au BTP (matériels, engins motorisés, produits chimiques, etc.) sont sources de pollution. Parmi elles, les particules fines (PM10, PM2.5), les NOx et autres composés volatiles (COV) sont particulièrement nocifs pour le personnel et les riverains avec des répercussions aussi bien sur l’environnement que sur la santé. Contrôler la qualité de l’air permet d’anticiper rapidement des situations à risque et d’intervenir afin de prendre des mesures appropriées. Voici la solution
Installation chez un fabricant de poudre de PVC de deux systèmes AIRSAFE pour surveiller la concentration de poussière de PVC dans les zones d’emballage et alerte précoce en cas de concentrations de poussières excessives.
Vos installations industrielles et équipements peuvent être à l’origine d’émissions fugitives, ce qui entraîne une pollution de l’environnement et des pertes financières pour votre entreprise. Nous proposons une large gamme d’analyseurs de gaz et de particules pour surveiller 24h/24 votre installation et identifier avec précision les sources de fuites. Des émanations d’odeurs peuvent également être liées à vos opérations : les identifier immédiatement permet d’agir rapidement pour les réduire, pour le confort et la santé de tous, employés et résidents. Cette approche proactive fournit des éléments tangibles pour réduire les plaintes, ce qui permet également de réaliser des économies importantes sur les coûts d’exploitation. La mesure est la clé de l’amélioration. DÉTECTION DES FUITES DE PARTICULES Pour la surveillance du taux de particules de l’air ambiant des silos, des lignes de transport et des espaces adjacents, les responsables de l’usine recherchent un moyen sûr et sans entret
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Ou trouver des renseignements (fiables) et une carte pour mesurer l'impact du coronavirus sur la pollution atmosphérique ?
Voici quelques sources et outils potentiels :
1. **Agences Gouvernementales et Organismes de Surveillance de la Qualité de l'Air**:
- **Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (ADEME)** en France.
- **Environmental Protection Agency (EPA)** aux États-Unis.
- **European Environment Agency (EEA)** en Europe.
Ces agences recueillent et analysent les données atmosphériques à partir de stations de mesure au sol et de satellites. Elles peuvent fournir des cartes et des rapports sur les changements de niveaux de polluants comme le NO2, les particules fines (PM2.5 et PM10), et d'autres indicateurs.
2. **Services de Satellite**:
- Le **service Copernicus Atmosphere Monitoring Service (CAMS)** fournit des informations sur la qualité de l'air en Europe et dans le monde, y compris l'impact des mesures de confinement liées au coronavirus sur la pollution atmosphérique.
- **NASA's Earth Observatory** offre des images satellites et des analyses de l'impact des réductions d'activités humaines sur la pollution de l'air.
3. **Recherches Universitaires et Publications Scientifiques**:
- Recherchez des articles publiés dans des revues scientifiques réputées ou des études universitaires qui ont évalué les effets de la pandémie sur la pollution atmosphérique.
4. **Instruments de mesure et logiciels**:
- Des instruments tels que les **analyseurs de gaz** (par exemple, le **MIR 9000e de ENVEA** pour mesurer les gaz de combustion) et les **stations de surveillance de la qualité de l'air** (comme l'**ECOMSMART** ou la **station Cairnet**) peuvent être utilisés pour collecter des données précises sur les polluants atmosphériques.
- Des **logiciels de modélisation de la dispersion atmosphérique** (comme le **Logiciel XR d'ENVEA**) peuvent aider à analyser et à visualiser les données collectées et à comprendre l'impact des changements d'activité humaine sur la pollution de l'air.
Il est important de comparer les données actuelles avec celles des années précédentes pour évaluer l'impact réel du confinement dû au coronavirus sur la pollution atmosphérique. Les changements dans les émissions de polluants peuvent être influencés par de nombreux facteurs, y compris les conditions météorologiques, les politiques environnementales, et les changements dans les comportements humains.
Quelles sont les sanctions prévues pour l'infraction "Pollution d'origine accidentelle"?
En général, les sanctions peuvent inclure :
1. **Amendes administratives ou pénales :** Ces amendes sont souvent imposées pour compenser les dommages causés à l'environnement et peuvent être calculées en fonction de la durée et de l'étendue de la pollution, ainsi que de la capacité de l'entreprise à payer.
2. **Réparation des dommages :** L'entité responsable de la pollution peut être tenue de restaurer l'environnement à son état d'origine ou de financer des projets de réhabilitation.
3. **Sanctions pénales :** Si la négligence ou des violations de la réglementation sont avérées, des peines de prison peuvent être infligées aux responsables de l'entreprise.
4. **Suspension ou révocation de permis :** Les autorités peuvent suspendre ou révoquer les permis d'exploitation de l'entreprise responsable si elle est jugée incapable de respecter les normes environnementales.
5. **Mesures correctives :** L'entreprise peut être obligée d'adopter des mesures pour améliorer ses pratiques et prévenir de futures pollutions.
6. **Responsabilité civile :** L'entreprise peut être tenue de compenser les personnes affectées par la pollution pour les dommages subis.
Pour prévenir de telles sanctions et minimiser l'impact environnemental de telles situations, les entreprises peuvent s'équiper de technologies et de systèmes de surveillance et d'intervention d'urgence. Par exemple :
- **Barrage flottant antipollution (BARC3055R)** : Utilisé pour confiner et contrôler la propagation de la pollution dans les plans d'eau.
- **Sondes et capteurs de surveillance (AirSafe PM, VOC72e, Sonde HAP)** : Des dispositifs de surveillance continue qui mesurent les concentrations de polluants tels que les particules, les composés organiques volatils (COV) et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) dans l'air ou dans l'eau.
- **Stations de surveillance en temps réel (Cairnet)** : Stations autonomes qui mesurent les niveaux de gaz et de particules dans l'air, permettant une réponse rapide en cas de pollution accidentelle.
- **Logiciels de traitement des données (Logiciel XR)** : Permettent une gestion des données environnementales et une alerte rapide en cas de dépassement des seuils de pollution.
- **Analyseurs de gaz (CO12e, AC32e, AF22e, AS32M)** : Fournissent une mesure précise de divers gaz polluants, ce qui peut être crucial pour identifier la source et l'ampleur de la pollution.
Il est important de noter que les sanctions et les mesures réglementaires varient considérablement d'un pays à l'autre, et il est essentiel de consulter la législation locale et les réglementations internationales applicables pour une compréhension précise des conséquences juridiques d'une pollution accidentelle.
A proximité d'un hôpital, il arrive qu'une odeur de fumée désagréable (type air chlorée) soit ressentie durant quelques minutes. Comment savoir si cela est dangereux ? Est-ce possible de connaitre l'origine de ces odeurs?
L'outil approprié pour de telles analyses est un chromatographe en phase gazeuse, tel que le TRS MEDOR, qui est spécifiquement conçu pour l'analyse des composés soufrés, des mercaptans et d'autres odeurs indésirables. Ces appareils peuvent mesurer des concentrations de composés à des niveaux de ppb (parties par milliard) ou de ppm (parties par million), fournissant une indication précise de la présence de substances potentiellement nocives.
En outre, des analyseurs en temps réel comme le Cairnet peuvent être utilisés pour surveiller la qualité de l'air et détecter une large gamme de polluants gazeux. Ces stations de surveillance sont autonomes, alimentées par énergie solaire, et peuvent être connectées à un réseau pour une communication cellulaire, permettant ainsi une surveillance continue et en temps réel de l'air ambiant.
Pour identifier l'origine des odeurs, il est possible de cartographier les sources de pollution en utilisant des modèles de dispersion atmosphérique qui prennent en compte les données météorologiques, la topographie et les caractéristiques des sources d'émission potentielles. Des outils logiciels de modélisation atmosphérique, combinés avec les données recueillies par des équipements de mesure, peuvent aider à tracer l'origine des émissions.
Il est également important de considérer que les hôpitaux utilisent souvent des produits chimiques pour la stérilisation et la désinfection, qui peuvent libérer des composés chlorés dans l'air. Par exemple, l'utilisation de l'eau de Javel (hypochlorite de sodium) ou d'autres désinfectants contenant du chlore peut générer des odeurs chlorées. Il pourrait également s'agir d'émissions provenant de l'incinérateur de déchets hospitaliers, auquel cas un analyseur d'émissions tel que le SM-5 pourrait être utilisé pour surveiller les émissions de mercure et d'autres polluants.
Si l'odeur est sporadique et ne dure que quelques minutes, il pourrait s'agir d'une libération ponctuelle de substances, ce qui nécessiterait une enquête plus approfondie pour identifier les processus spécifiques à l'hôpital qui pourraient être à l'origine de ces émissions.
En résumé, pour savoir si l'odeur de fumée est dangereuse et en identifier l'origine, il est recommandé d'utiliser des équipements de mesure de l'air tels que des chromatographes en phase gazeuse et des analyseurs de gaz en temps réel, et de compléter ces mesures par une modélisation de la dispersion des polluants dans l'air. Il est également essentiel de collaborer avec l'hôpital et les autorités locales pour enquêter sur les pratiques de gestion des déchets et les procédures de stérilisation qui pourraient être impliquées.
Vivant proche d'une industrie de traitement de terres et sédiments potentiellement pollués je voudrais faire prélever et analyser les poussières qui en sont issues pour connaître leur réelle nocivité. Comment faire ?
1. **Identification des paramètres de mesure** :
- **Composants à mesurer** : Identifier les substances spécifiques à mesurer (métaux lourds, composés organiques volatils (COV), particules fines PM10, PM2.5, etc.).
- **Normes et réglementations** : Se référer aux normes locales et internationales pour déterminer les seuils de concentration admissibles.
2. **Choix de l’équipement de prélèvement** :
- **Impacteur 4 étages** : Utiliser un impacteur tel que le PM-10/PM-2.5/PM-1 de Dekati pour classer les particules par taille et les collecter sur des filtres pour une analyse ultérieure.
- **Station de surveillance** : Déployer une station portable comme le Dust Detective pour une surveillance en temps réel et la collecte d’échantillons de poussières.
3. **Prélèvement des échantillons** :
- **Prélèvement isocinétique** : S’assurer que le prélèvement des poussières est isocinétique, c'est-à-dire que la vitesse d'aspiration de l'échantillon correspond à la vitesse des émissions dans le conduit de sortie.
- **Points de prélèvement** : Choisir des points de prélèvement représentatifs pour obtenir des échantillons pertinents.
4. **Analyse des échantillons** :
- **Laboratoire agréé** : Envoyer les échantillons prélevés à un laboratoire accrédité pour une analyse complète.
- **Spectrophotomètre** : Utiliser un appareil comme l'Uviline 9600 pour analyser la présence de métaux lourds et d'autres substances dans les échantillons de poussières.
5. **Interprétation des résultats** :
- **Comparaison aux normes** : Comparer les concentrations mesurées avec les normes réglementaires pour évaluer la nocivité.
- **Rapport d’analyse** : Rédiger un rapport d’analyse détaillé indiquant les concentrations de chaque polluant détecté.
6. **Actions correctives** :
- Si les résultats montrent des concentrations au-dessus des seuils admissibles, il sera nécessaire de prendre des mesures pour réduire les émissions.
7. **Surveillance continue** :
- **Capteurs en continu** : Installer des capteurs comme l'Airsafe PM pour un suivi en temps réel de la qualité de l'air.
- **Réseau de surveillance** : Utiliser des capteurs connectés à une plateforme de monitoring telle que celle offerte par les produits Cairnet ou ECOMSMART pour un suivi en continu et en temps réel.
Pour mettre en œuvre ces étapes, il est recommandé de consulter ou de collaborer avec des experts en qualité de l'air et des consultants environnementaux. Ils pourront fournir des conseils sur la stratégie de prélèvement, le choix des instruments, ainsi que sur l'interprétation des résultats d'analyse en fonction de la réglementation locale et des normes internationales.
Comment réaliser des prises de mesures olfactives pour évaluer les odeurs?
1. Échantillonnage :
- Utilisation de sacs d'échantillonnage spéciaux (par exemple Tedlar ou Nalophan) pour capturer les échantillons d'air au niveau de la source ou dans l'environnement.
- Les échantillons doivent être prélevés de manière à ce qu'ils soient représentatifs de la source d'odeur et qu'ils ne subissent pas de contamination ou d'altération.
2. Transport et conservation :
- Les échantillons doivent être transportés dans des conditions préservant leur intégrité, souvent à température contrôlée.
- L'analyse doit être réalisée dans les plus brefs délais après l'échantillonnage pour éviter toute dégradation des composés odorants.
3. Analyse sensorielle :
- Olfactométrie dynamique : Utilisation d'une olfactomètre (par exemple l'olfactomètre OlfactoLab de Chromatotec), qui dilue l'échantillon avec de l'air filtré et sans odeur pour le présenter à des panélistes entraînés qui évaluent l'intensité de l'odeur.
- Mesure de seuil olfactif : Détermination de la concentration à laquelle l'odeur devient perceptible par 50% des panélistes (Unité de Seuil Olfactif - USO).
4. Analyse instrumentale :
- Chromatographie en phase gazeuse : Appareils comme le TRS MEDOR ou le MEDOR Exd ATEX peuvent être utilisés pour analyser les composés spécifiques responsables des odeurs (H2S, mercaptans, etc.).
- Spectrométrie de masse : Couplage de la chromatographie en phase gazeuse avec un spectromètre de masse pour une identification plus précise des composés.
- Analyseur multigaz : Instruments comme le MIR 9000 ou le MIR FT peuvent mesurer simultanément plusieurs gaz responsables des odeurs.
5. Mesures en continu :
- Stations fixes ou mobiles équipées de capteurs électroniques (par exemple le système Cairnet) qui fournissent un suivi en temps réel des concentrations de composés odorants dans l'air ambiant.
6. Corrélation avec les données météorologiques :
- Utilisation d'outils de modélisation de la dispersion atmosphérique pour prédire la propagation des odeurs en fonction des conditions météo.
7. Interprétation et reporting :
- Analyse des données recueillies pour évaluer le niveau de nuisance olfactive, en utilisant des logiciels spécialisés qui peuvent intégrer des données sensorielles et instrumentales (par exemple le logiciel VISTACHROM de Chromatotec).
- Rédaction de rapports destinés aux autorités réglementaires ou à des fins de gestion de la qualité de l'air.
En fonction de l'objectif de la mesure et des ressources disponibles, on peut choisir une approche plus subjective impliquant des panélistes humains ou une approche plus objective et quantitative utilisant des instruments de mesure. Pour des résultats plus précis et reproductibles, les mesures olfactives sont souvent combinées avec des analyses instrumentales qui fournissent une caractérisation chimique des odeurs.
Quelle est la durée recommandée pour une mesure de poussières à l'air ambiant sur un chantier de construction ?
La présence de poussières fines de construction sur les chantiers peut rapidement devenir dangereuse pour la santé et constituer un problème de sécurité au travail et des plaintes de voisinage. Il est également crucial d'effectuer une surveillance continue de la poussière sur les chantiers, car de nombreuses autorités locales et nationales ont mis en place des directives sur la qualité de l'air qui doivent être respectées, sous peine de pénalités financières.
Aujourd'hui il existent des solutions de mesure très abordables et très faciles à mettre en oeuvre, comme les mini-stations Cairnet d'ENVEA.
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