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MPS PRÉLEVEUR DE NANOPARTICULES
Laboratoires de veille sur la qualité de l'air , Préleveur échantillon
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Nouvelle réponse
- Le 22/11/2024
à répondu :
Nous proposons des solutions pour la mesure d'une vaste gamme de polluants atmosphériques.
Voici un détail exhaustif des différents paramètres mesurés par les appareils que nous fournissons.
- Particules fines de différentes tailles : des nanoparticules (<0,1µm) aux particules totales en suspension (TSP)
- Carbone : carbone total, carbone suie (carbone noir), carbone brun
- Composés gazeux : xydes d’azote (NO, NO2), oxydes de carbone (CO, CO2), composés organiques volatils (COV), méthane (CH4), ozone (O3), dioxyde de soufre (SO2), sulfure d’hydrogène (H2S), formaldéhyde (HCHO), chlore (Cl2), chlorure d’hydrogène (HCl).
- Les agents pathogènes : bioaérosols, virus
- Polluants Organiques Persistants (POP) dont les dioxines et les furanes
Les composés atmosphériques les plus souvent mesurés sont les polluants réglementés : SO2, NO2, O3, PM2.5, PM10, CO. Directive 2008/50/CE
F.A.Q
Nouvelle réponse
- Le 21/11/2024
Quels instruments recommandez-vous pour mesurer les nanoparticules et quelles sont leurs spécificités techniques ?
à répondu :
Pour la mesure des nanoparticules, nous recommandons deux instruments principaux : le Mini Particle Sampler (MPS) et le Partector 2, chacun ayant des spécificités techniques distinctes qui répondent à des besoins différents en matière de caractérisation des nanoparticules.
1. Le Mini Particle Sampler (MPS) : Cet échantillonneur est particulièrement adapté pour la collecte qualitative des nanoparticules. Il utilise une grille MET (Microscope Électronique à Transmission) comme filtre pour recueillir les particules. Ce dispositif permet l'échantillonnage avec une grande efficacité sans nécessiter de grandes quantités de particules. L'objectif principal du MPS est de fournir suffisamment de particules pour une analyse qualitative approfondie, par exemple, leur morphologie ou leur composition chimique, sans viser la quantification de la concentration en particules. Le MPS est donc idéal dans des contextes où la caractérisation précise et détaillée des nanoparticules est cruciale. Pour plus de détails techniques et les spécificités du produit, vous pouvez consulter sa fiche sur notre site : [Mini Particle Sampler - fiche produit](https://ecomesure.com/fr/instruments-scientifiques/preleveur-de-nanoparticules-mps).
2. Le Partector 2 : Ce détecteur se distingue par sa capacité à fournir des mesures quantitatives très complètes des nanoparticules. Il mesure :
- La surface totale des nanoparticules par unité de volume d'air, ce qui est crucial pour évaluer l'exposition potentielle des surfaces pulmonaires dans les études de toxicologie par exemple.
- La concentration en nombre de particules, afin de déterminer la densité de particules dans un environnement donné.
- Le diamètre moyen des particules, fournissant ainsi une indication sur la distribution de taille des particules.
Ces caractéristiques en font un outil particulièrement utile pour des études quantitatives sur la distribution et la concentration des nanoparticules dans différents environnements, aussi bien industriels qu'urbains. Pour de plus amples informations techniques et spécificités du Partector 2, nous vous invitons à consulter la fiche produit sur notre site : [Partector 2 - fiche produit](https://ecomesure.com/fr/instruments-scientifiques/detecteur-de-nanoparticules-partector-2).
En résumé, le choix entre le MPS et le Partector 2 dépendra de la nature de vos besoins spécifiques : pour une caractérisation qualitative fine des nanoparticules, le MPS est recommandé, tandis que pour une mesure quantitative et une évaluation de l'exposition aux nanoparticules, le Partector 2 sera plus approprié.
1. Le Mini Particle Sampler (MPS) : Cet échantillonneur est particulièrement adapté pour la collecte qualitative des nanoparticules. Il utilise une grille MET (Microscope Électronique à Transmission) comme filtre pour recueillir les particules. Ce dispositif permet l'échantillonnage avec une grande efficacité sans nécessiter de grandes quantités de particules. L'objectif principal du MPS est de fournir suffisamment de particules pour une analyse qualitative approfondie, par exemple, leur morphologie ou leur composition chimique, sans viser la quantification de la concentration en particules. Le MPS est donc idéal dans des contextes où la caractérisation précise et détaillée des nanoparticules est cruciale. Pour plus de détails techniques et les spécificités du produit, vous pouvez consulter sa fiche sur notre site : [Mini Particle Sampler - fiche produit](https://ecomesure.com/fr/instruments-scientifiques/preleveur-de-nanoparticules-mps).
2. Le Partector 2 : Ce détecteur se distingue par sa capacité à fournir des mesures quantitatives très complètes des nanoparticules. Il mesure :
- La surface totale des nanoparticules par unité de volume d'air, ce qui est crucial pour évaluer l'exposition potentielle des surfaces pulmonaires dans les études de toxicologie par exemple.
- La concentration en nombre de particules, afin de déterminer la densité de particules dans un environnement donné.
- Le diamètre moyen des particules, fournissant ainsi une indication sur la distribution de taille des particules.
Ces caractéristiques en font un outil particulièrement utile pour des études quantitatives sur la distribution et la concentration des nanoparticules dans différents environnements, aussi bien industriels qu'urbains. Pour de plus amples informations techniques et spécificités du Partector 2, nous vous invitons à consulter la fiche produit sur notre site : [Partector 2 - fiche produit](https://ecomesure.com/fr/instruments-scientifiques/detecteur-de-nanoparticules-partector-2).
En résumé, le choix entre le MPS et le Partector 2 dépendra de la nature de vos besoins spécifiques : pour une caractérisation qualitative fine des nanoparticules, le MPS est recommandé, tandis que pour une mesure quantitative et une évaluation de l'exposition aux nanoparticules, le Partector 2 sera plus approprié.
F.A.Q
Nouvelle réponse
- Le 14/11/2024
Quelles sont les principales méthodes pour mesurer la concentration des particules fines dans l'air et comment se comparent-elles en termes de précision et de technologie utilisée ?
à répondu :
Les méthodes pour mesurer les particules fines dans l'air varient principalement en fonction de la taille des particules à mesurer, la précision de mesure requise, et la technologie employée. Voici un aperçu des principales approches :
1. Le préleveur de poussière Partisol 2025i : Ce dispositif utilise un mécanisme de filtration pour collecter les particules sur un filtre, permettant une analyse gravimétrique ultérieure. Il est largement reconnu pour sa précision dans la mesure des PM10, PM2.5 et PM1. Cependant, comme il nécessite une analyse en laboratoire, il n'offre pas de mesures en temps réel.
2. L'analyseur de poussières TEOM 1405 (microbalance) : Cet instrument utilise la technologie de microbalance à oscillation pour peser directement les particules collectées. Il offre des mesures quasi-continues et une haute précision pour des particules aussi petites que PM2.5. Sa robustesse et son aptitude à fournir des données en temps réel en font une option populaire pour des mesures environnementales et industrielles.
3. Les analyseurs basés sur la néphélométrie, tels que ADR-1500 et PDR 1500 : Ces dispositifs mesurent la lumière diffusée par les particules en suspension pour déterminer leur concentration. Bien que moins précis que les méthodes gravimétriques ou à microbalance, ils sont adaptés pour une surveillance en temps réel et la portabilité les rend utiles pour des évaluations rapides, notamment pour la surveillance de l'exposition des travailleurs.
4. Les micro-capteurs (capteur laser/optique), comme l'EcomSmart** : Ces capteurs utilisent des faisceaux laser pour détecter et compter les particules par dispersion de la lumière. Ils permettent une surveillance continue et en temps réel avec une installation facile. Leur précision peut être inférieure à celle des autres méthodes, mais leur faible coût et leur taille compacte en font une solution de choix pour des applications à large échelle et des dispositifs connectés en réseau.
Chaque méthode a ses avantages et ses inconvénients, et le choix dépendra de la précision nécessaire, des conditions de mesure et des ressources disponibles.
1. Le préleveur de poussière Partisol 2025i : Ce dispositif utilise un mécanisme de filtration pour collecter les particules sur un filtre, permettant une analyse gravimétrique ultérieure. Il est largement reconnu pour sa précision dans la mesure des PM10, PM2.5 et PM1. Cependant, comme il nécessite une analyse en laboratoire, il n'offre pas de mesures en temps réel.
2. L'analyseur de poussières TEOM 1405 (microbalance) : Cet instrument utilise la technologie de microbalance à oscillation pour peser directement les particules collectées. Il offre des mesures quasi-continues et une haute précision pour des particules aussi petites que PM2.5. Sa robustesse et son aptitude à fournir des données en temps réel en font une option populaire pour des mesures environnementales et industrielles.
3. Les analyseurs basés sur la néphélométrie, tels que ADR-1500 et PDR 1500 : Ces dispositifs mesurent la lumière diffusée par les particules en suspension pour déterminer leur concentration. Bien que moins précis que les méthodes gravimétriques ou à microbalance, ils sont adaptés pour une surveillance en temps réel et la portabilité les rend utiles pour des évaluations rapides, notamment pour la surveillance de l'exposition des travailleurs.
4. Les micro-capteurs (capteur laser/optique), comme l'EcomSmart** : Ces capteurs utilisent des faisceaux laser pour détecter et compter les particules par dispersion de la lumière. Ils permettent une surveillance continue et en temps réel avec une installation facile. Leur précision peut être inférieure à celle des autres méthodes, mais leur faible coût et leur taille compacte en font une solution de choix pour des applications à large échelle et des dispositifs connectés en réseau.
Chaque méthode a ses avantages et ses inconvénients, et le choix dépendra de la précision nécessaire, des conditions de mesure et des ressources disponibles.
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Informations juridiques
| SIREN / SIRET | 392 782 728 |
| Chiffre d'affaires | - 1 ME |
| Effectif | 11 à 50 |
| APE / NAF | 2651B |
| Capital | - 50 KE |
| N° TVA | FR53 392 782 728 |
Adresse
4 rue René Razel Immeuble Hermes Domaine technologique de Saclay
Saclay
91400
France
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