Description
La solution multiparamétrique autonome et connectée LabFLO pour l’analyse de la qualité de l’eau est idéale dans les applications suivantes :
- Mesure du taux de chlore en sortie de réservoir,
- Mesure et diagnostic du taux de chlore sur bras mort,
- Diagnostic eau potable,
- Toute autre application en fonction des paramètres choisis.
Avantages :
- Autonomie jusqu’à 5 ans via piles internes (alimentation externe possible)
- Ecosystème Winfluid NG
- Transmission des données par réseau 4G / 3G / GPRS
Paramètres :
- Chlore libre
- Chlore combiné
- Turbidité
- Conductivité
- pH/Redox
- Nitrites
Caractéristiques générales
Caractéristique | Valeur |
---|---|
Alimentation externe | 9-28 VDC |
Alimentation interne | 2 packs de 7,2V @13Ah, consommation extra faible (40µA en veille) |
Applications | mesure de la qualité de l'eau, mesure du chlore, diagnostic de l'eau potable |
Autonomie | jusqu'à 5 ans |
Dimensions des capteurs | 30*110 mm |
Dimensions LabFLO | 510*330 mm |
Garantie | 24 mois |
Indice de protection | IP67 |
Intervalle d'enregistrement | de 1 s à 24 h |
Mémoire | 128 Mbytes, jusqu'à 2 000 000 de points de données |
Nombre de capteurs connectables | jusqu'à 4 |
Poids LabFLO | 4 kg |
Pression max | jusqu'à 6 bar |
Résolution capteur de chlore libre/ combiné | 0,01 ppm |
Résolution capteur de conductivité | 1 µS |
Résolution capteur de nitrites | 0,001 ppm |
Résolution capteur de pH | 0,01 pH |
Résolution capteur de turbidité | 0,01 NTU |
Tension de fonctionnement | 12-24 VDC |
Transmission de données | 4G/3G/2G |
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Le 12/01/2024
Qu'est-ce qui freine la mise en place des PGSSE?
Réponse :
Les Plans de Gestion de la Sécurité Sanitaire des Eaux (PGSSE) sont des approches préventives visant à assurer la qualité de l'eau potable du captage à la distribution au consommateur. Ils sont recommandés par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et sont de plus en plus intégrés dans les réglementations nationales pour la gestion de l'eau potable. Cependant, la mise en place des PGSSE peut être freinée par plusieurs facteurs:
1. Manque de ressources financières : La mise en œuvre d'un PGSSE nécessite des investissements initiaux pour l'évaluation des risques, l'amélioration des infrastructures, la formation du personnel et le suivi régulier. Les petites communautés ou les pays en développement peuvent manquer de fonds nécessaires.
2. Résistance au changement : Le passage d'une approche réactive à une approche proactive nécessite un changement de culture organisationnelle. Les opérateurs et les décideurs peuvent être réticents à adopter de nouvelles méthodes et à investir du temps et des ressources dans la planification et la prévention.
3. Manque de connaissances et de compétences : La mise en place d'un PGSSE exige une compréhension approfondie des risques liés à la qualité de l'eau et des processus de traitement. Il peut y avoir un manque de personnel qualifié et formé pour développer et gérer ces plans efficacement.
4. Complexité et taille des réseaux de distribution : Les systèmes d'eau potable peuvent être complexes et étendus, avec de nombreux points de vulnérabilité. Analyser et gérer ces systèmes pour garantir la sécurité de l'eau peut être un processus complexe et intimidant.
5. Surveillance et contrôle continus : Les PGSSE nécessitent une surveillance et un contrôle constants pour être efficaces. Cela implique la mise en place de systèmes de surveillance en temps réel, qui peuvent être coûteux et techniquement exigeants.
6. Réglementation et législation : La législation nationale peut ne pas exiger ou soutenir pleinement la mise en œuvre des PGSSE, ce qui peut limiter la priorité accordée à leur adoption.
7. Collaboration intersectorielle : Les PGSSE requièrent une collaboration entre divers acteurs (administrations de l'eau, santé publique, environnement, etc.), ce qui peut être difficile à coordonner.
Pour surmonter certains de ces obstacles, les technologies et produits tels que les stations de potabilisation compactes, par exemple PUR-UF pour l'ultrafiltration, peuvent être intégrés pour améliorer la qualité de l'eau et faciliter la surveillance. Des outils de surveillance en ligne tels que LabFLO pour la qualité de l'eau potable permettent une surveillance constante et peuvent aider à la gestion proactive des risques. De plus, les formations et les logiciels de gestion, comme ceux intégrés dans des systèmes d'analyseurs automatisés comme SmartChem® 210, peuvent simplifier la mise en place et le suivi des PGSSE.
Enfin, l'obtention de certifications telles que l'ACS (Attestation de Conformité Sanitaire) pour des produits et systèmes spécifiques peut contribuer à garantir que les équipements et procédés répondent aux exigences sanitaires pour la distribution d'eau potable.
1. Manque de ressources financières : La mise en œuvre d'un PGSSE nécessite des investissements initiaux pour l'évaluation des risques, l'amélioration des infrastructures, la formation du personnel et le suivi régulier. Les petites communautés ou les pays en développement peuvent manquer de fonds nécessaires.
2. Résistance au changement : Le passage d'une approche réactive à une approche proactive nécessite un changement de culture organisationnelle. Les opérateurs et les décideurs peuvent être réticents à adopter de nouvelles méthodes et à investir du temps et des ressources dans la planification et la prévention.
3. Manque de connaissances et de compétences : La mise en place d'un PGSSE exige une compréhension approfondie des risques liés à la qualité de l'eau et des processus de traitement. Il peut y avoir un manque de personnel qualifié et formé pour développer et gérer ces plans efficacement.
4. Complexité et taille des réseaux de distribution : Les systèmes d'eau potable peuvent être complexes et étendus, avec de nombreux points de vulnérabilité. Analyser et gérer ces systèmes pour garantir la sécurité de l'eau peut être un processus complexe et intimidant.
5. Surveillance et contrôle continus : Les PGSSE nécessitent une surveillance et un contrôle constants pour être efficaces. Cela implique la mise en place de systèmes de surveillance en temps réel, qui peuvent être coûteux et techniquement exigeants.
6. Réglementation et législation : La législation nationale peut ne pas exiger ou soutenir pleinement la mise en œuvre des PGSSE, ce qui peut limiter la priorité accordée à leur adoption.
7. Collaboration intersectorielle : Les PGSSE requièrent une collaboration entre divers acteurs (administrations de l'eau, santé publique, environnement, etc.), ce qui peut être difficile à coordonner.
Pour surmonter certains de ces obstacles, les technologies et produits tels que les stations de potabilisation compactes, par exemple PUR-UF pour l'ultrafiltration, peuvent être intégrés pour améliorer la qualité de l'eau et faciliter la surveillance. Des outils de surveillance en ligne tels que LabFLO pour la qualité de l'eau potable permettent une surveillance constante et peuvent aider à la gestion proactive des risques. De plus, les formations et les logiciels de gestion, comme ceux intégrés dans des systèmes d'analyseurs automatisés comme SmartChem® 210, peuvent simplifier la mise en place et le suivi des PGSSE.
Enfin, l'obtention de certifications telles que l'ACS (Attestation de Conformité Sanitaire) pour des produits et systèmes spécifiques peut contribuer à garantir que les équipements et procédés répondent aux exigences sanitaires pour la distribution d'eau potable.
Posez une question sur le produit
Poser une question
Questions (1)
Nouvelle réponse
- Le 12/01/2024
Qu'est-ce qui freine la mise en place des PGSSE?
Réponse :
Les Plans de Gestion de la Sécurité Sanitaire des Eaux (PGSSE) sont des approches préventives visant à assurer la qualité de l'eau potable du captage à la distribution au consommateur. Ils sont recommandés par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et sont de plus en plus intégrés dans les réglementations nationales pour la gestion de l'eau potable. Cependant, la mise en place des PGSSE peut être freinée par plusieurs facteurs:
1. Manque de ressources financières : La mise en œuvre d'un PGSSE nécessite des investissements initiaux pour l'évaluation des risques, l'amélioration des infrastructures, la formation du personnel et le suivi régulier. Les petites communautés ou les pays en développement peuvent manquer de fonds nécessaires.
2. Résistance au changement : Le passage d'une approche réactive à une approche proactive nécessite un changement de culture organisationnelle. Les opérateurs et les décideurs peuvent être réticents à adopter de nouvelles méthodes et à investir du temps et des ressources dans la planification et la prévention.
3. Manque de connaissances et de compétences : La mise en place d'un PGSSE exige une compréhension approfondie des risques liés à la qualité de l'eau et des processus de traitement. Il peut y avoir un manque de personnel qualifié et formé pour développer et gérer ces plans efficacement.
4. Complexité et taille des réseaux de distribution : Les systèmes d'eau potable peuvent être complexes et étendus, avec de nombreux points de vulnérabilité. Analyser et gérer ces systèmes pour garantir la sécurité de l'eau peut être un processus complexe et intimidant.
5. Surveillance et contrôle continus : Les PGSSE nécessitent une surveillance et un contrôle constants pour être efficaces. Cela implique la mise en place de systèmes de surveillance en temps réel, qui peuvent être coûteux et techniquement exigeants.
6. Réglementation et législation : La législation nationale peut ne pas exiger ou soutenir pleinement la mise en œuvre des PGSSE, ce qui peut limiter la priorité accordée à leur adoption.
7. Collaboration intersectorielle : Les PGSSE requièrent une collaboration entre divers acteurs (administrations de l'eau, santé publique, environnement, etc.), ce qui peut être difficile à coordonner.
Pour surmonter certains de ces obstacles, les technologies et produits tels que les stations de potabilisation compactes, par exemple PUR-UF pour l'ultrafiltration, peuvent être intégrés pour améliorer la qualité de l'eau et faciliter la surveillance. Des outils de surveillance en ligne tels que LabFLO pour la qualité de l'eau potable permettent une surveillance constante et peuvent aider à la gestion proactive des risques. De plus, les formations et les logiciels de gestion, comme ceux intégrés dans des systèmes d'analyseurs automatisés comme SmartChem® 210, peuvent simplifier la mise en place et le suivi des PGSSE.
Enfin, l'obtention de certifications telles que l'ACS (Attestation de Conformité Sanitaire) pour des produits et systèmes spécifiques peut contribuer à garantir que les équipements et procédés répondent aux exigences sanitaires pour la distribution d'eau potable.
1. Manque de ressources financières : La mise en œuvre d'un PGSSE nécessite des investissements initiaux pour l'évaluation des risques, l'amélioration des infrastructures, la formation du personnel et le suivi régulier. Les petites communautés ou les pays en développement peuvent manquer de fonds nécessaires.
2. Résistance au changement : Le passage d'une approche réactive à une approche proactive nécessite un changement de culture organisationnelle. Les opérateurs et les décideurs peuvent être réticents à adopter de nouvelles méthodes et à investir du temps et des ressources dans la planification et la prévention.
3. Manque de connaissances et de compétences : La mise en place d'un PGSSE exige une compréhension approfondie des risques liés à la qualité de l'eau et des processus de traitement. Il peut y avoir un manque de personnel qualifié et formé pour développer et gérer ces plans efficacement.
4. Complexité et taille des réseaux de distribution : Les systèmes d'eau potable peuvent être complexes et étendus, avec de nombreux points de vulnérabilité. Analyser et gérer ces systèmes pour garantir la sécurité de l'eau peut être un processus complexe et intimidant.
5. Surveillance et contrôle continus : Les PGSSE nécessitent une surveillance et un contrôle constants pour être efficaces. Cela implique la mise en place de systèmes de surveillance en temps réel, qui peuvent être coûteux et techniquement exigeants.
6. Réglementation et législation : La législation nationale peut ne pas exiger ou soutenir pleinement la mise en œuvre des PGSSE, ce qui peut limiter la priorité accordée à leur adoption.
7. Collaboration intersectorielle : Les PGSSE requièrent une collaboration entre divers acteurs (administrations de l'eau, santé publique, environnement, etc.), ce qui peut être difficile à coordonner.
Pour surmonter certains de ces obstacles, les technologies et produits tels que les stations de potabilisation compactes, par exemple PUR-UF pour l'ultrafiltration, peuvent être intégrés pour améliorer la qualité de l'eau et faciliter la surveillance. Des outils de surveillance en ligne tels que LabFLO pour la qualité de l'eau potable permettent une surveillance constante et peuvent aider à la gestion proactive des risques. De plus, les formations et les logiciels de gestion, comme ceux intégrés dans des systèmes d'analyseurs automatisés comme SmartChem® 210, peuvent simplifier la mise en place et le suivi des PGSSE.
Enfin, l'obtention de certifications telles que l'ACS (Attestation de Conformité Sanitaire) pour des produits et systèmes spécifiques peut contribuer à garantir que les équipements et procédés répondent aux exigences sanitaires pour la distribution d'eau potable.
Pas encore de tutoriel sur ce produit
Autres produits de HYDREKA®
Retrouvez d'autres produits de HYDREKA®