BIO-UV Gamme IBP+
Réacteur UV certifié ACS Industrie Alimentaire
LA GAMME IBP + (CERTIFIÉES ACS INDUSTRIE ALIMENTAIRE)
Traitement des eaux industrielles
Les appareils de purification d’eau BIO-UV Group sont adaptés au traitement des eaux de process industriel. Ils fournissent aux exploitants la possibilité de sécuriser leur production et garantir une qualité d’eau satisfaisante.
Les principales applications des appareils de purification d’eau BIO-UV sont les suivantes :
- Désinfection d’eau de process industriel
- Désinfection des eaux de lavage et de rinçage
- Protection en aval de systèmes de traitement membranaires (osmose inverse, ultrafiltration...)
- Maintien en qualité d’eau stockée : eau brute, eau traitée, eau ultra-pure
- Déchloration : réduction du taux de chlore libre
- Déchloramination : réduction du taux de chlore combiné
Prévention de la légionnelle
Les légionnelles sont présentes partout dans l’environnement. Elles affectent notamment les tours aéro-réfrigérantes et les circuits d’eau chaude sanitaires, y trouvant des conditions favorables à leur développement. La production d’aérosols contaminés par les légionnelles est un facteur de risque lié à la santé publique.
BIO-UV Group a développé un concept de traitement préventif contre les légionnelles, qui vise à dresser une véritable barrière bactériologique chaque fois qu’un facteur de risque est identifié :
- Traitement par UV des eaux d’apport
- Traitement par UV des eaux en circulation
- Traitement UV couplé avec un traitement préventif des biofilms
Désinfection domestique
- Les réacteurs BIO-UV Group de la gamme IBP HO + permettent :
- La désinfection d’eau brute provenant de ressources locales (puits, forages, captages...)
- La sécurisation d’eau de réseau, après déchloration sur charbon actif notamment
- La sécurisation des eaux de pluies recyclées pour un usage sanitaire uniquement
Les réacteurs BIO-UV Group garantissent le respect des limites de la qualité bactériologique de l’eau (suivant le décret du 25/12/2003) et sont conformes à la Directive du Ministère de la Santé relative au traitement par UV. Une filtration préalable peut être nécessaire.
Avantages
- Excellentes performances en désinfection par une optimisation poussée des émissions UV et du flux hydraulique
- Réacteurs compacts facilitant l’installation
- Utilisation de lampes mono-culot, système d’étanchéité breveté et conception verticale facilitant la maintenance
- Capteur et moniteur UV, en option, proposant une alarme par diodes et contacts secs pour report d’information
- Personnalisation du raccordement possible : brides DN, clamp, SMS
- Combinaison en oxydation avancée avec des catalyseurs
- Durée de vie des lampes optimisée : 13 000 heures selon nombre d’allumages
Le fonctionnement du réacteur est contrôlé en continu :
- Le ballast électronique assure un bon fonctionnement des lampes et alarmes associées
- Un capteur UV sélectif contrôle la fin de vie des lampes
- Contrôle d’encrassement des gaines quartz
- Contrôle de la qualité de l’eau et alarmes associées
- L’information donnée par le capteur peut être enregistrée pour assurer la traçabilité du fonctionnement du réacteur.
Bénéfices
- Traitement simple à mettre en œuvre, qui ne modifie pas les caractéristiques physico-chimiques de l’eau : pas de modification du goût, de l’odeur...
- Pas de création de sous-produits de désinfection néfastes pour la santé humaine
- Pas de risque de sous-dosage ou surdosage
- Pas de contraintes de suivi et de manutention de produits chimiques
- Combinaison possible avec d’autres procédés de traitement (filtration, adoucissement...)
- Traitement d’Oxydation Avancée avec présence de catalyseurs
- Efficacité contre la légionnelle prouvée par des Laboratoires indépendants et agréés
- Efficacité pour le traitement préventif des tours et réseaux ECS (Eau Chaude Sanitaire) par une utilisation ciblée et stratégique des UV en fonction de chaque installation
- Garantie d’une désinfection en continu en association possible avec d’autres systèmes de traitement de l’eau (antitartre, anticorrosion...)
- Traitement simple et économique.
Caractéristique | Valeur |
---|---|
Conformité | WRAS, ACS |
Débit max | 8,5 m³/h |
Pression | PN 10 bars |
Puissance de la lampe UV | 120 W |
Quels sont les enjeux environnementaux et réglementaires liés au rejet des eaux usées par les entreprises de nettoyage?
1. **Protection des écosystèmes aquatiques** : Les eaux usées peuvent contenir des produits chimiques, des détergents, des solvants, des matières organiques et des éléments pathogènes qui, si rejetés sans traitement adéquat, peuvent nuire à la faune et à la flore aquatiques. La biodiversité des milieux naturels peut ainsi être gravement affectée par la pollution de l'eau.
2. **Préservation des ressources en eau** : Il est essentiel de traiter les eaux usées avant leur rejet dans l'environnement pour prévenir la contamination des nappes phréatiques et des sources d'eau potable. Cela implique un nettoyage efficace des eaux pour éliminer les contaminants et un suivi strict des volumes consommés et rejetés.
3. **Respect des normes de qualité d'eau** : Les rejets d'eaux usées sont réglementés par des normes locales, nationales et internationales. Les entreprises doivent donc s'assurer que leurs effluents respectent les seuils de concentration de contaminants autorisés. Des mesures telles que la réduction de la demande chimique en oxygène (DCO), de la demande biologique en oxygène (DBO), et des solides en suspension doivent être prises.
4. **Gestion des impacts environnementaux** : Les entreprises de nettoyage doivent mettre en œuvre un système de management environnemental (SME) pour réduire leur impact sur l'environnement. Cela peut impliquer des audits environnementaux, des évaluations d'impact, et l'adoption de pratiques de production plus propres et durables.
Pour répondre à ces enjeux, les entreprises peuvent recourir à des technologies et produits innovants tels que :
- **PortaMBR** : Il s'agit d'une solution de sanitaires autonomes avec recyclage de l'eau intégré, utilisant une technologie de membrane avancée pour traiter et recycler les eaux usées. Cela permet de réduire considérablement la quantité d'eau rejetée et d'améliorer sa qualité, dépassant les exigences réglementaires.
- **Pompe doseuse hydro-motrice D9WL2** : Utilisée pour injecter des produits chimiques dans le flux d'eau de façon proportionnelle, cette technologie permet de contrôler précisément le dosage des traitements nécessaires pour respecter les normes de qualité des eaux usées avant leur rejet.
- **Système d’aération immergés LIXOR®** : Ces systèmes améliorent l'efficacité de l'oxygénation dans les bassins de traitement des eaux usées, favorisant ainsi la dégradation biologique des contaminants organiques et réduisant la DBO et les MES.
- **Réacteur UV BIO-UV Gamme IAM et IBP+** : La désinfection par UV est une méthode sans produit chimique qui neutralise les pathogènes dans les eaux usées. La gamme IAM est adaptée au traitement des eaux industrielles tandis que la gamme IBP+ est certifiée pour l'industrie alimentaire et répond aux normes de contact avec l'eau potable.
- **Scienco® InTank® FITT** : Il s'agit d'un système de traitement des eaux de ballast pour les navires, qui permet de traiter l'eau en utilisant un processus chimique en volume, sans nécessiter de filtration, adapté aux petits navires et respectant les réglementations internationales.
- **Filtres autonettoyants métalliques SAF et plastiques TAF** : Ces filtres garantissent que les particules solides sont efficacement retirées des eaux usées avant leur rejet, contribuant ainsi à la protection des milieux aquatiques.
- **Pompes Multicellulaires Verticales et à impulseur** : Ces dispositifs sont utilisés pour le transfert d'eau, la surpression ou la circulation au sein des systèmes de traitement des eaux, assurant un contrôle précis des processus de nettoyage et de traitement.
En somme, les entreprises de nettoyage doivent naviguer dans un cadre réglementaire complexe et des enjeux environnementaux significatifs qui exigent une attention particulière à la gestion des eaux usées. L'adoption de technologies de traitement et de recyclage avancées, ainsi que des pratiques de gestion responsable, sont essentielles pour minimiser l'impact environnemental et atteindre la conformité réglementaire.
Quels sont les critères à regarder pour savoir si les stations de lavages (véhicules, matériel de maintenance...) sont conformes à la réglementation ?
1. **Traitement des eaux usées** : Les eaux de lavage contenant des savons, des huiles, des graisses et d'autres contaminants doivent être traitées avant d'être rejetées dans l'environnement ou réutilisées. Des systèmes comme le "LIXOR® Systèmes d’aération immergés" peuvent être utilisés pour l'aération et le mélange dans les bassins de traitement, améliorant la dégradation des matières organiques.
2. **Qualité de l'eau traitée** : L'eau traitée doit respecter certaines normes de qualité avant d'être rejetée. Les paramètres tels que la demande biochimique en oxygène (DBO), la demande chimique en oxygène (DCO), les matières en suspension, les hydrocarbures et les métaux lourds doivent être contrôlés. Des produits comme la "BIO-UV Gamme IBP+" ou la "BIO-UV Gamme IAM" offrent des solutions de désinfection UV pour garantir la qualité bactériologique de l'eau.
3. **Gestion des boues** : Les boues générées par le traitement des eaux de lavage doivent être traitées et éliminées conformément aux réglementations. Des systèmes de séparation solide-liquide et de déshydratation des boues peuvent être nécessaires.
4. **Stockage et manipulation des produits chimiques** : Les produits chimiques utilisés dans le processus de lavage et de traitement de l'eau doivent être stockés et manipulés de manière sécurisée pour prévenir la contamination et les risques pour la santé.
5. **Gestion des déchets** : Les déchets solides et liquides doivent être collectés et éliminés conformément aux réglementations locales. Cela inclut les huiles, les graisses et les autres déchets dangereux.
6. **Prévention de la pollution** : Les mesures de prévention de la pollution, telles que les dispositifs de séparation huile-eau et les systèmes de récupération de l'eau, doivent être en place pour minimiser l'impact sur l'environnement. Des produits comme les "Pompe doseuse hydro-motrice D9WL2" peuvent être utilisés pour doser avec précision les traitements nécessaires sans gaspillage.
7. **Systèmes de filtration** : Des systèmes de filtration, comme les "Filtres autonettoyants métalliques SAF" ou les "Filtres plastique autonettoyant TAF", peuvent être nécessaires pour éliminer les particules fines et autres contaminants.
8. **Respect des limites de rejet** : Les stations de lavage doivent respecter les limites de rejet spécifiées par la législation locale en matière de qualité de l'eau.
9. **Documentation et suivi** : La documentation détaillée des opérations de traitement, des contrôles qualité et des mesures correctives est essentielle. Un système de suivi et de rapport doit être en place pour assurer la conformité continue.
10. **Certifications et autorisations** : Les installations doivent avoir les autorisations nécessaires pour fonctionner, et les équipements utilisés doivent être certifiés conformément aux normes en vigueur (par exemple, CE, ACS, NSF).
Il est crucial de consulter les autorités locales de régulation de l'eau et de l'environnement pour obtenir des informations spécifiques sur les normes et réglementations applicables à une station de lavage donnée. Des audits réguliers et des évaluations environnementales peuvent également être requis pour maintenir la conformité.
Quelle est la qualité d'eau nécessaire pour faire le lavage à chaud des plastique PET?
1. Température de l'eau : Le processus de lavage à chaud pour le PET se fait typiquement à des températures élevées, généralement entre 65°C et 85°C. Cela aide à éliminer les contaminants et les adhésifs plus efficacement.
2. Pureté chimique : L'eau doit être faible en ions dissous, en particulier en ions calcium et magnésium qui peuvent précipiter et former du tartre à des températures élevées, ce qui pourrait endommager l'équipement et réduire l'efficacité du nettoyage.
3. Absence de chlore et de chlore résiduel : Le chlore peut réagir avec le PET et affecter ses propriétés physiques et chimiques. Une eau déchlorée est donc préférable pour éviter la dégradation du plastique.
4. pH : Un pH neutre est généralement souhaitable, bien que certaines étapes du processus de lavage puissent nécessiter des ajustements de pH pour améliorer l'élimination des contaminants.
5. Turbidité et particules en suspension : Une faible turbidité est essentielle pour éviter l'encrassement des plastiques pendant le processus de lavage. L'eau doit être filtrée pour éliminer les particules en suspension.
6. Matières organiques et bactériologiques : L'eau doit être faible en matières organiques pour éviter la contamination biologique et les problèmes de biodégradation.
7. Teneur en huiles et graisses : La présence d'huiles et de graisses doit être minimale pour empêcher le transfert de ces contaminants sur les flocons de PET.
Pour atteindre ces caractéristiques de qualité d'eau, divers traitements et équipements peuvent être nécessaires :
- Systèmes de filtration : Des filtres tels que les filtres autonettoyants métalliques (par exemple, la gamme SAF d’Amiad) ou les filtres plastiques autonettoyants (par exemple, la gamme TAF d’Amiad) peuvent être utilisés pour éliminer les particules en suspension et réduire la turbidité.
- Adoucisseurs d'eau ou systèmes de déminéralisation : Pour réduire la dureté de l'eau et les ions dissous, des technologies telles que l'adoucissement par échange d'ions ou l'osmose inverse peuvent être nécessaires.
- Systèmes de désinfection UV : Pour contrôler la contamination bactériologique sans l'utilisation de produits chimiques, des réacteurs UV comme la gamme BIO-UV (par exemple, gamme IBP+ certifiée ACS Industrie Alimentaire) peuvent être utilisés.
- Équipements de chauffage de l'eau : Des échangeurs de chaleur ou des systèmes de chauffage direct doivent être conçus pour maintenir l'eau à la température requise tout en minimisant l'entartrage et la corrosion.
- Dosage de produits chimiques : Des pompes doseuses (par exemple, les pompes électromagnétiques de la série EJ-R ou les pompes doseuses proportionnelles hydro-motrices comme la pompe D9WL2 de Dosatron) peuvent être utilisées pour l'ajout précis de produits chimiques nécessaires au processus de lavage.
En résumé, l'eau utilisée pour le lavage à chaud des plastiques PET doit être propre, filtrée, déminéralisée, déchlorée, à la bonne température et avec un pH contrôlé pour garantir l'efficacité du nettoyage et la qualité du produit recyclé. L'utilisation d'équipements et de systèmes de traitement de l'eau appropriés est essentielle pour répondre à ces exigences.
Certifications |
---|
ACS Industrie Alimentaire |
Norme CE |
WRAS |
Önorm |
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Poser une questionQuels sont les enjeux environnementaux et réglementaires liés au rejet des eaux usées par les entreprises de nettoyage?
1. **Protection des écosystèmes aquatiques** : Les eaux usées peuvent contenir des produits chimiques, des détergents, des solvants, des matières organiques et des éléments pathogènes qui, si rejetés sans traitement adéquat, peuvent nuire à la faune et à la flore aquatiques. La biodiversité des milieux naturels peut ainsi être gravement affectée par la pollution de l'eau.
2. **Préservation des ressources en eau** : Il est essentiel de traiter les eaux usées avant leur rejet dans l'environnement pour prévenir la contamination des nappes phréatiques et des sources d'eau potable. Cela implique un nettoyage efficace des eaux pour éliminer les contaminants et un suivi strict des volumes consommés et rejetés.
3. **Respect des normes de qualité d'eau** : Les rejets d'eaux usées sont réglementés par des normes locales, nationales et internationales. Les entreprises doivent donc s'assurer que leurs effluents respectent les seuils de concentration de contaminants autorisés. Des mesures telles que la réduction de la demande chimique en oxygène (DCO), de la demande biologique en oxygène (DBO), et des solides en suspension doivent être prises.
4. **Gestion des impacts environnementaux** : Les entreprises de nettoyage doivent mettre en œuvre un système de management environnemental (SME) pour réduire leur impact sur l'environnement. Cela peut impliquer des audits environnementaux, des évaluations d'impact, et l'adoption de pratiques de production plus propres et durables.
Pour répondre à ces enjeux, les entreprises peuvent recourir à des technologies et produits innovants tels que :
- **PortaMBR** : Il s'agit d'une solution de sanitaires autonomes avec recyclage de l'eau intégré, utilisant une technologie de membrane avancée pour traiter et recycler les eaux usées. Cela permet de réduire considérablement la quantité d'eau rejetée et d'améliorer sa qualité, dépassant les exigences réglementaires.
- **Pompe doseuse hydro-motrice D9WL2** : Utilisée pour injecter des produits chimiques dans le flux d'eau de façon proportionnelle, cette technologie permet de contrôler précisément le dosage des traitements nécessaires pour respecter les normes de qualité des eaux usées avant leur rejet.
- **Système d’aération immergés LIXOR®** : Ces systèmes améliorent l'efficacité de l'oxygénation dans les bassins de traitement des eaux usées, favorisant ainsi la dégradation biologique des contaminants organiques et réduisant la DBO et les MES.
- **Réacteur UV BIO-UV Gamme IAM et IBP+** : La désinfection par UV est une méthode sans produit chimique qui neutralise les pathogènes dans les eaux usées. La gamme IAM est adaptée au traitement des eaux industrielles tandis que la gamme IBP+ est certifiée pour l'industrie alimentaire et répond aux normes de contact avec l'eau potable.
- **Scienco® InTank® FITT** : Il s'agit d'un système de traitement des eaux de ballast pour les navires, qui permet de traiter l'eau en utilisant un processus chimique en volume, sans nécessiter de filtration, adapté aux petits navires et respectant les réglementations internationales.
- **Filtres autonettoyants métalliques SAF et plastiques TAF** : Ces filtres garantissent que les particules solides sont efficacement retirées des eaux usées avant leur rejet, contribuant ainsi à la protection des milieux aquatiques.
- **Pompes Multicellulaires Verticales et à impulseur** : Ces dispositifs sont utilisés pour le transfert d'eau, la surpression ou la circulation au sein des systèmes de traitement des eaux, assurant un contrôle précis des processus de nettoyage et de traitement.
En somme, les entreprises de nettoyage doivent naviguer dans un cadre réglementaire complexe et des enjeux environnementaux significatifs qui exigent une attention particulière à la gestion des eaux usées. L'adoption de technologies de traitement et de recyclage avancées, ainsi que des pratiques de gestion responsable, sont essentielles pour minimiser l'impact environnemental et atteindre la conformité réglementaire.
Quels sont les critères à regarder pour savoir si les stations de lavages (véhicules, matériel de maintenance...) sont conformes à la réglementation ?
1. **Traitement des eaux usées** : Les eaux de lavage contenant des savons, des huiles, des graisses et d'autres contaminants doivent être traitées avant d'être rejetées dans l'environnement ou réutilisées. Des systèmes comme le "LIXOR® Systèmes d’aération immergés" peuvent être utilisés pour l'aération et le mélange dans les bassins de traitement, améliorant la dégradation des matières organiques.
2. **Qualité de l'eau traitée** : L'eau traitée doit respecter certaines normes de qualité avant d'être rejetée. Les paramètres tels que la demande biochimique en oxygène (DBO), la demande chimique en oxygène (DCO), les matières en suspension, les hydrocarbures et les métaux lourds doivent être contrôlés. Des produits comme la "BIO-UV Gamme IBP+" ou la "BIO-UV Gamme IAM" offrent des solutions de désinfection UV pour garantir la qualité bactériologique de l'eau.
3. **Gestion des boues** : Les boues générées par le traitement des eaux de lavage doivent être traitées et éliminées conformément aux réglementations. Des systèmes de séparation solide-liquide et de déshydratation des boues peuvent être nécessaires.
4. **Stockage et manipulation des produits chimiques** : Les produits chimiques utilisés dans le processus de lavage et de traitement de l'eau doivent être stockés et manipulés de manière sécurisée pour prévenir la contamination et les risques pour la santé.
5. **Gestion des déchets** : Les déchets solides et liquides doivent être collectés et éliminés conformément aux réglementations locales. Cela inclut les huiles, les graisses et les autres déchets dangereux.
6. **Prévention de la pollution** : Les mesures de prévention de la pollution, telles que les dispositifs de séparation huile-eau et les systèmes de récupération de l'eau, doivent être en place pour minimiser l'impact sur l'environnement. Des produits comme les "Pompe doseuse hydro-motrice D9WL2" peuvent être utilisés pour doser avec précision les traitements nécessaires sans gaspillage.
7. **Systèmes de filtration** : Des systèmes de filtration, comme les "Filtres autonettoyants métalliques SAF" ou les "Filtres plastique autonettoyant TAF", peuvent être nécessaires pour éliminer les particules fines et autres contaminants.
8. **Respect des limites de rejet** : Les stations de lavage doivent respecter les limites de rejet spécifiées par la législation locale en matière de qualité de l'eau.
9. **Documentation et suivi** : La documentation détaillée des opérations de traitement, des contrôles qualité et des mesures correctives est essentielle. Un système de suivi et de rapport doit être en place pour assurer la conformité continue.
10. **Certifications et autorisations** : Les installations doivent avoir les autorisations nécessaires pour fonctionner, et les équipements utilisés doivent être certifiés conformément aux normes en vigueur (par exemple, CE, ACS, NSF).
Il est crucial de consulter les autorités locales de régulation de l'eau et de l'environnement pour obtenir des informations spécifiques sur les normes et réglementations applicables à une station de lavage donnée. Des audits réguliers et des évaluations environnementales peuvent également être requis pour maintenir la conformité.
Quelle est la qualité d'eau nécessaire pour faire le lavage à chaud des plastique PET?
1. Température de l'eau : Le processus de lavage à chaud pour le PET se fait typiquement à des températures élevées, généralement entre 65°C et 85°C. Cela aide à éliminer les contaminants et les adhésifs plus efficacement.
2. Pureté chimique : L'eau doit être faible en ions dissous, en particulier en ions calcium et magnésium qui peuvent précipiter et former du tartre à des températures élevées, ce qui pourrait endommager l'équipement et réduire l'efficacité du nettoyage.
3. Absence de chlore et de chlore résiduel : Le chlore peut réagir avec le PET et affecter ses propriétés physiques et chimiques. Une eau déchlorée est donc préférable pour éviter la dégradation du plastique.
4. pH : Un pH neutre est généralement souhaitable, bien que certaines étapes du processus de lavage puissent nécessiter des ajustements de pH pour améliorer l'élimination des contaminants.
5. Turbidité et particules en suspension : Une faible turbidité est essentielle pour éviter l'encrassement des plastiques pendant le processus de lavage. L'eau doit être filtrée pour éliminer les particules en suspension.
6. Matières organiques et bactériologiques : L'eau doit être faible en matières organiques pour éviter la contamination biologique et les problèmes de biodégradation.
7. Teneur en huiles et graisses : La présence d'huiles et de graisses doit être minimale pour empêcher le transfert de ces contaminants sur les flocons de PET.
Pour atteindre ces caractéristiques de qualité d'eau, divers traitements et équipements peuvent être nécessaires :
- Systèmes de filtration : Des filtres tels que les filtres autonettoyants métalliques (par exemple, la gamme SAF d’Amiad) ou les filtres plastiques autonettoyants (par exemple, la gamme TAF d’Amiad) peuvent être utilisés pour éliminer les particules en suspension et réduire la turbidité.
- Adoucisseurs d'eau ou systèmes de déminéralisation : Pour réduire la dureté de l'eau et les ions dissous, des technologies telles que l'adoucissement par échange d'ions ou l'osmose inverse peuvent être nécessaires.
- Systèmes de désinfection UV : Pour contrôler la contamination bactériologique sans l'utilisation de produits chimiques, des réacteurs UV comme la gamme BIO-UV (par exemple, gamme IBP+ certifiée ACS Industrie Alimentaire) peuvent être utilisés.
- Équipements de chauffage de l'eau : Des échangeurs de chaleur ou des systèmes de chauffage direct doivent être conçus pour maintenir l'eau à la température requise tout en minimisant l'entartrage et la corrosion.
- Dosage de produits chimiques : Des pompes doseuses (par exemple, les pompes électromagnétiques de la série EJ-R ou les pompes doseuses proportionnelles hydro-motrices comme la pompe D9WL2 de Dosatron) peuvent être utilisées pour l'ajout précis de produits chimiques nécessaires au processus de lavage.
En résumé, l'eau utilisée pour le lavage à chaud des plastiques PET doit être propre, filtrée, déminéralisée, déchlorée, à la bonne température et avec un pH contrôlé pour garantir l'efficacité du nettoyage et la qualité du produit recyclé. L'utilisation d'équipements et de systèmes de traitement de l'eau appropriés est essentielle pour répondre à ces exigences.
Avez-vous un schéma du processus de traitement des eaux en surface?
Le traitement des eaux de surface implique généralement plusieurs étapes clés, que voici:
1. Prélèvement et acheminement de l'eau: L'eau de surface est prélevée dans les lacs, rivières ou réservoirs et acheminée vers la station de traitement via des canaux ou des conduites.
2. Prétraitement:
- Dégrillage: Retrait des débris et des gros solides (feuilles, branches, etc.) au moyen de grilles ou tamis.
- Désablage/Déshuilage: Élimination du sable, gravier et huiles, souvent par décantation dans des bassins de sédimentation.
3. Coagulation et Floculation:
- Coagulation: Ajout de coagulants (comme le sulfate d'aluminium ou le chlorure ferrique) pour neutraliser les charges électriques des particules fines et favoriser leur agglomération.
- Floculation: Mélange lent de l'eau pour permettre la formation de flocs (agrégats de particules) à partir des particules coagulées.
4. Décantation: Les flocs plus lourds sédimentent par gravité dans un décanteur, séparant ainsi la phase solide de la phase liquide.
5. Filtration: L'eau claire issue de la décantation passe à travers des filtres (sable, charbon actif, membranes filtrantes) pour retirer les particules en suspension restantes.
6. Désinfection: Destruction des pathogènes (bactéries, virus, protozoaires) par ajout de désinfectants (chlore, ozone, ultraviolets).
7. Traitement complémentaire (si nécessaire):
- Élimination des nutriments: Réduction des composés azotés et phosphorés par des procédés biologiques ou chimiques.
- Contrôle des algues: Utilisation de barrières physiques ou de produits chimiques pour prévenir la prolifération d'algues dans les réservoirs d'eau.
8. Stockage et distribution: L'eau traitée est stockée dans des réservoirs avant d'être distribuée au réseau d'eau potable.
Concernant les produits liés à ces étapes, voici quelques exemples qui pourraient être utilisés dans ce processus :
- Pour la désinfection, le réacteur UV de la "BIO-UV Gamme IBP+" ou de la "BIO-UV Gamme DW" pourrait être utilisé pour neutraliser les organismes pathogènes sans produits chimiques.
- Pour l'aération et le mélange, le système "LIXOR® : Systèmes d’aération immergés" pourrait être utilisé pour augmenter les niveaux d'oxygène dissous et favoriser la dégradation biologique des matières organiques.
- Pour l'élimination des algues, le système "LENT'OUT" pourrait être utilisé pour retirer les lentilles d'eau qui se forment à la surface de l'eau.
Notez que le schéma exact et les technologies utilisées peuvent varier en fonction de la qualité de l'eau de source, des réglementations locales, et des objectifs de traitement spécifiques de l'installation.
A qui dénoncer une entreprise de nettoyage qui ne traite pas les eaux usées et nettoie les véhicules à même le sol dans un local non prévu à cet effet et en extérieur ?
1. **Agences de protection de l'environnement :** Ces agences sont responsables de la régulation et du contrôle des activités pouvant affecter l'environnement. Par exemple, en France, il s'agirait de la Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL). Aux États-Unis, cela pourrait être l'Environmental Protection Agency (EPA).
2. **Autorités locales ou municipales :** Les mairies ou les conseils locaux ont souvent des services dédiés à la protection de l'environnement et peuvent traiter les plaintes concernant les activités de nettoyage non conformes.
3. **Services de l'eau et des eaux usées :** Les autorités ou les entreprises chargées de gérer les eaux usées dans une région peuvent être préoccupées par les pratiques illégales de gestion des eaux usées.
4. **Inspecteurs de santé publique :** Si les eaux usées ou les produits chimiques utilisés pour le nettoyage constituent une menace pour la santé publique, les services de santé locaux ou régionaux peuvent être impliqués.
5. **Organismes de certification :** Si l'entreprise prétend être certifiée ou conforme à certaines normes environnementales, l'organisme de certification concerné peut être intéressé par les infractions.
En ce qui concerne les produits qui pourraient aider à traiter et gérer correctement les eaux de lavage de véhicules, il existe diverses solutions sur le marché :
- **Systèmes de traitement des eaux usées :** Des produits tels que les réacteurs UV (par exemple, la Gamme IBP+ de BIO-UV pour la désinfection des eaux industrielles) peuvent être utilisés pour traiter les eaux de lavage avant leur rejet ou leur réutilisation.
- **Systèmes de récupération des eaux :** Des dispositifs comme les filtres autonettoyants (par exemple, la gamme SAF d'Amiad) peuvent être employés pour filtrer les eaux usées des particules et impuretés.
- **Pompes doseuses :** Pour ajouter des agents de traitement dans l'eau de lavage, des pompes doseuses hydro-motrices (comme la Pompe doseuse hydro-motrice D9WL2 de Dosatron) peuvent être utilisées pour doser précisément les produits de traitement.
- **Systèmes d’aération :** Pour le traitement biologique des eaux usées, des systèmes d'aération immergés comme le LIXOR® peuvent être pertinents.
Avant de signaler une infraction, il est important de s'assurer que l'entreprise enfreint effectivement les réglementations locales. Il peut être utile de recueillir des preuves, telles que des photos ou des enregistrements vidéo, et de documenter les faits avant de contacter les autorités compétentes.
Quel est l'emplacement optimal pour une station de traitement : proche du captage ou proche du réservoir ?
**Proche du captage :**
Avantages :
- Moins de risque de contamination de l'eau traitée, car il y a moins de distance à parcourir avant de rejoindre le réservoir.
- Possibilité de réagir rapidement aux changements de qualité de l'eau brute.
- Réduction des coûts de pompage si l'eau traitée est gravitairement conduite vers le réservoir ou les zones de consommation.
- Permet de minimiser le temps de séjour de l'eau dans le réseau, ce qui peut être bénéfique pour maintenir la qualité de l'eau.
Inconvénients :
- La station de traitement peut être située dans une zone difficile d'accès, ce qui peut compliquer la construction et la maintenance.
- Nécessité de pomper l'eau traitée vers le réservoir, ce qui peut augmenter les coûts énergétiques si la station est située en basse altitude ou loin du réservoir.
**Proche du réservoir :**
Avantages :
- Facilite le contrôle et la maintenance de la station de traitement grâce à une meilleure accessibilité.
- Réduit les coûts de pompage si l'eau brute peut être acheminée par gravité depuis la source jusqu'à la station de traitement.
- Intégration plus facile de la station de traitement dans le réseau de distribution existant, avec moins de modifications de l'infrastructure.
Inconvénients :
- Risque plus élevé de contamination dans le réseau de distribution si l'eau traitée doit parcourir une longue distance pour atteindre le réservoir.
- Dépendance à l'égard de la qualité de l'eau brute qui peut varier sur la distance entre le captage et la station de traitement.
La décision doit tenir compte de l'analyse de cycle de vie de l'installation, incluant les coûts de construction, d'exploitation, de maintenance, ainsi que des aspects de qualité de l'eau et de sécurité sanitaire.
Produits associés :
1. **Systèmes de filtration et de désinfection** : Des systèmes comme la **BIO-UV Gamme IBP+** ou la **BIO-UV Gamme DW** sont des solutions de traitement par UV qui pourraient être installés à proximité du captage pour assurer la désinfection de l'eau dès sa source.
2. **Aération et mélange** : Des systèmes comme le **LIXOR®** ou le **BSK** sont utiles pour l'aération et le mélange dans les bassins de traitement et pourraient être situés soit près du captage pour traiter l'eau avant son transport, soit près du réservoir pour assurer un traitement de finition avant la distribution.
3. **Capteurs et sondes** : Des capteurs comme le **NicaVis 705 IQ** peuvent être utilisés pour surveiller la qualité de l'eau en temps réel, permettant ainsi de décider de l'emplacement le plus stratégique pour la station de traitement selon les paramètres mesurés.
En conclusion, l'emplacement optimal de la station de traitement doit être déterminé au cas par cas après une évaluation détaillée des conditions locales, des besoins en traitement et des considérations économiques et opérationnelles.
Pour créer une activité de lavage de voiture à domicile, je compte utiliser un tapis de récupération des eaux. Est-ce que cela correspond aux normes environnementales à suivre? Y-en-a-t-il d'autres?
En plus de la récupération des eaux, il est nécessaire de suivre d'autres normes et réglementations environnementales, qui peuvent varier en fonction de la localité et de la législation en vigueur. Voici quelques éléments à considérer :
1. Traitement des eaux récupérées : Après la récupération des eaux, il est essentiel de les traiter pour éliminer les contaminants. Des systèmes de filtration ou de traitement des eaux, comme ceux proposés par BIO-UV (Gamme IBP+ ou IAM) ou Dosatron (Pompe doseuse hydro-motrice D9WL2), peuvent être utilisés pour désinfecter et purifier les eaux avant leur rejet ou leur réutilisation.
2. Produits de lavage écologiques : Utiliser des produits de lavage biodégradables et non toxiques pour l'environnement réduit l'impact écologique de l'activité. Les produits doivent être conformes aux normes environnementales en vigueur.
3. Gestion des déchets : Il est important de disposer correctement des déchets solides récupérés lors du lavage, tels que les boues et les résidus.
4. Autorisations et permis : Avant de commencer votre activité, vérifiez auprès des autorités locales si des permis spécifiques sont nécessaires pour le lavage de voiture à domicile, notamment en ce qui concerne la gestion de l'eau.
5. Sensibilisation et formation : Assurez-vous que vous et votre personnel êtes formés aux pratiques de lavage éco-responsables et à la bonne utilisation des équipements de récupération et de traitement des eaux.
En résumé, l'utilisation d'un tapis de récupération des eaux est nécessaire, mais elle doit être complétée par des mesures de traitement et de gestion des eaux conformes aux normes environnementales. Des équipements spécialisés et une gestion rigoureuse des processus sont essentiels pour minimiser l'impact environnemental de l'activité de lavage de voiture à domicile.
Dans le cadre d'une unité de conditionnement de fruits et légumes frais ou l'eau n'entre pas dans le process, doit-on installer tout de même une station de traitement des eaux de lavage? (sachant que nous avons ~100L/jours)
1. Réglementations environnementales : Selon la législation locale ou nationale, il peut y avoir des exigences spécifiques concernant le rejet des eaux usées, même en faible quantité. Les eaux de lavage peuvent contenir des contaminants organiques, des résidus de pesticides ou d'autres substances qui pourraient nécessiter un traitement avant rejet dans le réseau d'assainissement ou dans l'environnement.
2. Pratiques de durabilité : Même si ce n'est pas une obligation légale, le traitement des eaux de lavage peut s'inscrire dans une démarche de responsabilité environnementale de l'entreprise, en réduisant l'impact de ses opérations sur les ressources en eau.
3. Préparation à l'évolution des besoins : Si l'entreprise envisage une expansion future ou une modification des processus qui pourrait impliquer une utilisation accrue de l'eau, il pourrait être judicieux d'installer une station de traitement dès le départ pour anticiper ces changements.
4. Réutilisation de l'eau : Le traitement des eaux de lavage peut permettre leur réutilisation dans d'autres processus au sein de l'unité, comme le nettoyage des sols ou l'irrigation, offrant ainsi une économie sur la consommation d'eau et une réduction des coûts d'exploitation.
Concernant les produits qui pourraient être adaptés pour une petite unité de traitement des eaux de lavage, on peut envisager :
- Filtres autonettoyants : Des filtres comme le SAF d'Amiad permettent de traiter de faibles volumes d'eau avec une maintenance réduite. Ces systèmes peuvent retenir les particules solides et certains types de contaminants sans interruption du flux d'eau.
- Systèmes de désinfection UV : Pour éliminer les bactéries et autres microorganismes, une petite installation de désinfection par UV, comme la gamme BIO-UV IBP+, pourrait être efficace sans l'utilisation de produits chimiques.
- Micro-stations d'épuration : Des systèmes compacts de traitement biologique, tels que les systèmes d’aération immergés LIXOR®, peuvent être adaptés pour traiter biologiquement les eaux de lavage avant rejet.
- Pompes doseuses : Si un traitement chimique est nécessaire, une pompe doseuse hydro-motrice comme la Pompe Dosatron peut être utilisée pour injecter précisément des produits de neutralisation ou des désinfectants.
Il est recommandé de consulter un expert en traitement des eaux pour une analyse détaillée de la qualité de l'eau de lavage et pour déterminer les solutions les plus appropriées en fonction des besoins spécifiques de l'unité de conditionnement.
J'ai des sols en dalles vynil amiantes. Puis-je mettre des eaux usées de lavage qui en sont issues, dans le réseau d'assainissement? Sinon, que dois-je faire?
Voici les étapes à suivre pour gérer correctement ces eaux usées :
1. **Identification et évaluation des risques :** Avant toute chose, il est essentiel de déterminer la présence et la concentration de fibres d'amiante dans les eaux usées. Cela peut nécessiter l'analyse des eaux par un laboratoire spécialisé.
2. **Prétraitement :** Si la présence d'amiante est confirmée, vous devrez mettre en place un système de prétraitement pour séparer les fibres d'amiante de l'eau. Cela peut inclure des méthodes de filtration, de sédimentation ou d'autres technologies de séparation.
3. **Traitement spécifique :** Les eaux usées contenant de l'amiante doivent être traitées par des méthodes adaptées à l'élimination ou à l'immobilisation des fibres d'amiante. Par exemple, l'utilisation de filtres à cartouche spécifiques ou de systèmes à membrane peut être nécessaire pour capturer les particules fines d'amiante.
4. **Conformité réglementaire :** Assurez-vous de respecter toutes les réglementations locales et nationales concernant le traitement et le rejet des eaux usées amiantées. Cela peut inclure des autorisations spéciales pour le traitement et l'élimination.
5. **Gestion des boues et des déchets :** Les résidus solides, y compris les boues de filtration qui contiennent de l'amiante, doivent être manipulés comme des déchets dangereux et éliminés conformément aux réglementations en vigueur pour les déchets contenant de l'amiante.
6. **Documentation et traçabilité :** Documentez toutes les procédures et traitements appliqués aux eaux usées, ainsi que la gestion des résidus et déchets. La traçabilité est essentielle pour prouver la conformité aux réglementations.
En ce qui concerne les produits ou systèmes pouvant être utilisés pour le traitement des eaux usées contenant de l'amiante, on pourrait envisager :
- **Filtres spéciaux :** Comme mentionné précédemment, des filtres à cartouches ou à membranes spécifiques peuvent être nécessaires. Des produits comme la gamme de réacteurs UV certifiée ACS Industrie Alimentaire de BIO-UV (Gamme IBP+) pourraient être adaptés si un traitement désinfectant est nécessaire après la séparation des fibres d'amiante.
- **Unités de recyclage des eaux de lavage :** Des systèmes tels que l'unité de recyclage des eaux de lavage de véhicules pourraient être personnalisés pour traiter les eaux usées amiantées, à condition qu'ils soient équipés de filtres appropriés pour retenir les fibres d'amiante.
Il est crucial de consulter des spécialistes en traitement des eaux et des déchets dangereux pour obtenir des conseils et des solutions adaptés à votre situation spécifique, notamment pour garantir la sécurité et la conformité réglementaire.
Comment doit-on gérer les eaux d'une station de lavage couverte? Notre client souhaiterai pouvoir rejeter les eaux de lavage dans le réseau EP. Est-ce possible? Si oui, quels types d'appareils faut-il installer ?
Pour pouvoir rejeter les eaux de lavage dans le réseau EP, il est nécessaire de traiter ces eaux afin de réduire la charge polluante à des niveaux acceptables définis par la législation locale. Voici les étapes et les types d'équipements généralement requis pour le traitement des eaux de lavage d'une station couverte :
1. Séparation des hydrocarbures : Il convient d'installer un séparateur d'hydrocarbures pour éliminer les huiles et les graisses de l'eau de lavage. Des produits comme le séparateur d'hydrocarbures coalescents peuvent être utilisés. Ils fonctionnent en séparant les huiles et les graisses de l'eau par gravité et coalescence, permettant ainsi un rejet plus propre.
2. Traitement des solides : Un système de filtration ou de décantation doit être mis en place pour retirer les particules solides suspendues. Les systèmes de filtration peuvent inclure des filtres à sable ou à cartouche.
3. Traitement physico-chimique : Un traitement supplémentaire peut être nécessaire pour éliminer les détergents et autres contaminants chimiques. Cela peut être réalisé à travers des processus tels que la floculation, la coagulation et l'adsorption sur charbon actif.
4. Traitement biologique : Dans certains cas, surtout si les eaux contiennent une charge organique élevée, un traitement biologique peut être requis. Des systèmes comme le BioRobic® ou le HighStrengthFAST® peuvent être adaptés pour réduire la demande biologique en oxygène (DBO) et la demande chimique en oxygène (DCO) des eaux usées.
5. Désinfection : Avant le rejet, il peut être nécessaire de désinfecter l'eau pour éliminer les pathogènes. Les systèmes de désinfection par UV, comme la gamme BIO-UV IBP+, sont une option pour ce traitement final.
6. Système de gestion et de contrôle : Un système de gestion et de contrôle doit être installé pour surveiller la qualité de l'eau traitée et s'assurer qu'elle respecte les normes de rejet avant de la diriger vers le réseau EP.
En résumé, il est possible de rejeter les eaux de lavage dans le réseau EP si elles sont correctement traitées. Le choix de l'équipement dépendra de la qualité initiale de l'eau de lavage, des exigences réglementaires locales et de la capacité de traitement requise. Il est fortement recommandé de consulter un spécialiste du traitement des eaux et de se conformer aux réglementations locales pour la conception et l'installation du système de traitement.
Quels sont les traitements nécessaires pour les eaux de lavage de fruits (abricots et figues)?
1. Prétraitement:
- Filtration initiale pour éliminer les particules solides (feuilles, terre, insectes, etc.). Des filtres autonettoyants tels que la gamme SAF d’Amiad ou le filtre plastique autonettoyant TAF d’Amiad conviendraient pour cette étape.
2. Désinfection:
- Traitement UV pour éliminer les micro-organismes sans ajout de produits chimiques. La gamme BIO-UV IBP+ ou la gamme IAM pourrait être adaptée à ce besoin, car elles sont conçues pour la désinfection des eaux de process industriel, y compris les eaux de lavage alimentaires.
- Ozone ou chlore pour une désinfection chimique, tout en contrôlant les dosages pour éviter les résidus nocifs sur les fruits. La pompe doseuse hydro-motrice D9WL2 de Dosatron pourrait servir à doser précisément les agents désinfectants.
3. Neutralisation:
- Si des désinfectants chimiques sont utilisés, il faudra neutraliser les résidus avant le rejet des eaux. L'utilisation d'un traitement UV comme ceux de la gamme BIO-UV pourrait également aider à décomposer les chloramines résiduelles.
4. Ajustement du pH:
- Correction du pH de l'eau pour le ramener à une valeur neutre, généralement autour de 7. Cela peut être réalisé en dosant des solutions tampons ou des acides/bases à l'aide de pompes doseuses telles que la pompe à impulseur Acostar.
5. Traitement final:
- Filtration fine pour éliminer tout résidu chimique ou particulaire restant. Des filtres à cartouche ou des systèmes à sable peuvent être utilisés à cette étape.
6. Contrôle et monitoring:
- Utilisation de capteurs et de systèmes de contrôle pour surveiller en continu la qualité de l'eau, y compris la turbidité, le pH, le potentiel redox (ORP) et le niveau de désinfection. Des enregistreurs de données et des systèmes de contrôle automatisés peuvent être intégrés pour assurer le suivi et la conformité aux normes de qualité.
7. Gestion des boues et des déchets:
- Les résidus collectés lors de la filtration et de la désinfection doivent être traités et éliminés correctement. Des systèmes tels que le LIXOR® (systèmes d’aération immergés) pourraient être utilisés pour traiter les boues dans une étape de traitement secondaire.
Il est essentiel de choisir des équipements et des traitements qui sont certifiés pour une utilisation dans l'industrie alimentaire et qui respectent les normes de qualité de l'eau potable. Les réglementations locales et les standards internationaux tels que le HACCP (Hazard Analysis Critical Control Points) doivent être pris en compte lors de la conception du système de traitement des eaux de lavage des fruits.
Quelles sont les solutions possibles pour évacuer les eaux de lavage vers les réseaux d'assainissement selon les normes à respecter ?
Voici plusieurs solutions techniques qui peuvent répondre à ces exigences :
1. Prétraitement des eaux de lavage :
- Installation de séparateurs d'hydrocarbures pour retirer huiles et graisses.
- Utilisation de dégrilleurs, comme le MyTEE® de BioMicrobics, pour éliminer les solides en suspension et prévenir les obstructions dans le système d'assainissement.
2. Traitement biologique :
- Mise en place de bioréacteurs à membrane, tels que le système BioBarrier® HSMBR® de BioMicrobics, qui peuvent traiter efficacement les eaux usées à forte charge en éliminant les contaminants organiques et inorganiques, et permettent la réutilisation de l'eau traitée.
3. Traitement physico-chimique :
- Utilisation de floculants et de coagulants pour agglomérer les particules fines facilitant leur séparation de l'eau.
- Installation de filtres à sable ou à disques pour la filtration fine, comme ceux proposés par Amiad avec les gammes TAF et SAF.
4. Désinfection :
- Emploi de systèmes de désinfection UV, à l'instar de la gamme BIO-UV IBP+ qui est certifiée ACS Industrie Alimentaire, pour éliminer les micro-organismes pathogènes.
5. Réutilisation de l'eau traitée :
- Mise en place de systèmes de récupération d'eau, comme le BioBarrier® MBR, pour réutiliser l'eau dans des procédés ne nécessitant pas d'eau potable, réduisant ainsi le volume total d'eau à évacuer.
6. Dosage de produits chimiques :
- Utilisation de pompes doseuses, comme la pompe doseuse hydro-motrice D9WL3000 de Dosatron, pour ajuster le pH ou ajouter des désinfectants avant le rejet.
Il est à noter que chaque installation nécessite une évaluation spécifique pour déterminer la solution la plus adaptée en fonction des volumes d'eau de lavage, de la composition des eaux usées, des normes de rejet en vigueur et des possibilités de traitement sur site. En outre, l'intégration de dispositifs de mesure et de contrôle, comme des capteurs et des systèmes de gestion automatisés, permet de surveiller la qualité de l'eau et d'assurer la conformité avec les normes d'assainissement.
Quelles sont les normes environnementales à respecter pour l'installation d'une station de lavage pour vélos ? Je suis loueur de vélos et souhaite mettre à disposition du public une station de lavage vélo.
1. **Gestion des eaux usées** : Toute station de lavage doit être équipée d'un système de traitement des eaux usées pour éviter la pollution des eaux de surface et souterraines. Les normes applicables peuvent inclure la réglementation locale ou nationale sur la qualité des rejets d'eaux usées. Il faut s'assurer que les eaux usées sont collectées et traitées conformément aux normes avant d'être rejetées dans le système d'égouts ou dans l'environnement.
2. **Utilisation de produits biodégradables** : L'utilisation de détergents ou de produits de nettoyage doit respecter les réglementations sur les produits chimiques. Il est recommandé d'utiliser des produits biodégradables et écologiques pour minimiser l'impact environnemental.
3. **Économie d'eau** : Les dispositifs permettant de réduire la consommation d'eau, comme les systèmes de recyclage de l'eau ou les buses à haute efficacité, sont encouragés afin de respecter les principes de développement durable.
4. **Gestion des déchets** : Il est nécessaire de mettre en place un système de gestion des déchets solides et liquides générés par la station de lavage.
5. **Certifications environnementales** : Le respect de normes et de certifications telles que ISO 14001 (système de management environnemental) peut être un atout pour la station de lavage.
6. **Bruit et nuisances** : Il faut également prendre en compte les normes relatives à la pollution sonore, surtout si la station est située à proximité de zones résidentielles ou de repos.
En ce qui concerne les produits spécifiques, voici quelques exemples qui pourraient être utiles pour une station de lavage vélo respectueuse de l'environnement :
- **Systèmes de traitement et de réutilisation des eaux usées** comme le BioBarrier® MBR, qui traite les eaux usées et les rend réutilisables pour l'irrigation ou d'autres applications non potables.
- **Pompes doseuses hydro-motrices** comme celles de la gamme Dosatron, qui permettent de doser précisément les produits de nettoyage tout en économisant de l'eau.
- **Dégrilleurs** comme le MyTEE® pour filtrer les solides et protéger les systèmes d'épuration des eaux usées.
- **Systèmes de réacteurs UV** comme ceux de la gamme BIO-UV, qui désinfectent l'eau sans l'utilisation de produits chimiques nocifs.
Il est essentiel de se référer aux réglementations locales, car les normes peuvent varier considérablement d'un pays ou d'une région à l'autre. Il est également recommandé de consulter les autorités environnementales locales pour obtenir des directives spécifiques sur les exigences réglementaires pour l'installation d'une station de lavage pour vélos.
Quels paramètres prendre en compte pour choisir un système hors sol pour traitement des eaux de lavage de conteneurs réfrigérés ?
1. Nature des contaminants : Identifier la composition chimique et biologique des eaux de lavage (huiles, graisses, détergents, organismes pathogènes, etc.) pour choisir un système adapté aux types de contaminants à éliminer.
2. Débit de traitement : Évaluer le volume d'eau à traiter provenant du lavage des conteneurs réfrigérés et choisir un système capable de gérer le débit nécessaire tout en respectant les normes de rejet.
3. Concentration des polluants : Mesurer la concentration des polluants dans les eaux de lavage pour déterminer le niveau de traitement requis et la capacité de traitement du système.
4. Réglementation environnementale : Connaître les normes locales et fédérales en matière de rejet d'eaux usées pour s'assurer que le système choisi permet de respecter ces normes.
5. Espace disponible : Considérer l'espace alloué pour l'installation du système hors sol et s'assurer qu'il s'intègre dans les contraintes spatiales du site.
6. Coûts d'exploitation et de maintenance : Évaluer les coûts d'exploitation associés à l'utilisation et à la maintenance du système, y compris la consommation d'énergie, le remplacement des consommables, et les éventuelles interventions techniques.
7. Facilité d'installation et d'utilisation : Préférer un système facile à installer et à utiliser, avec une interface utilisateur intuitive et des procédures de maintenance simples.
8. Durabilité et fiabilité : Choisir un système robuste et fiable, capable de résister à l'environnement et aux conditions d'utilisation spécifiques du site.
9. Options de traitement avancé : Envisager des technologies de traitement avancées telles que l'oxydation avancée, la filtration membranaire, ou la désinfection par UV si nécessaire pour répondre à des exigences de rejet spécifiques.
En ce qui concerne les produits, des systèmes tels que le BioBarrier® MBR de BioMicrobics pourraient être appropriés, car ils offrent un traitement biologique avancé en plus de la filtration membranaire pour une eau de haute qualité. Les réacteurs UV de la gamme BIO-UV, comme le BIO-UV Gamme IBP+, pourraient être utilisés pour la désinfection sans produits chimiques. Pour les contaminants spécifiques comme les huiles et les graisses, des dispositifs de séparation comme le MyTEE® ou des filtres autonettoyants tels que ceux de la gamme SAF d'Amiad pourraient être envisagés.
Il est recommandé de consulter des experts en traitement des eaux et de réaliser des analyses détaillées avant de faire un choix final afin d'assurer que le système sélectionné répond à tous les critères nécessaires pour le traitement efficace des eaux de lavage des conteneurs réfrigérés.
Quelles sont les étapes effectuées par l'ONEE pour traiter l'eau de surface ?
1. Prélèvement et acheminement : L'eau est prélevée dans des rivières, des lacs ou des réservoirs, puis acheminée vers une station de traitement.
2. Prétraitement : Il s'agit de retirer les débris et les gros solides à travers des procédés comme le dégrillage, le tamisage ou la pré-décantation.
3. Coagulation-floculation : Des coagulants (souvent des sels d'aluminium ou de fer) sont ajoutés à l'eau pour agglomérer les particules en suspension et former des flocs plus gros.
4. Décantation : L'eau est ensuite dirigée vers de grands bassins où les flocs se déposent par gravité, formant des boues au fond des décanteurs.
5. Filtration : L'eau débarrassée des flocs passe à travers des filtres constitués de couches de sable, de gravier ou de charbon actif qui retiennent les particules restantes.
6. Désinfection : Pour éliminer les microorganismes pathogènes, l'eau est désinfectée, souvent par chloration, ozonation ou par traitement UV. Par exemple, la Gamme IBP+ de BIO-UV ou les réacteurs UV de la Gamme DW certifiés ACS UV pourraient être utilisés pour cette étape.
7. Stabilisation : L'eau traitée est ajustée en termes de pH, dureté et d'autres facteurs pour prévenir la corrosion dans les canalisations et assurer la stabilité de l'eau distribuée.
8. Stockage et distribution : L'eau est stockée dans des réservoirs avant d'être distribuée au réseau de distribution.
9. Surveillance et contrôle : Des analyses régulières sont réalisées pour s'assurer que l'eau répond aux normes de qualité fixées par les autorités de santé.
Dans certaines situations, des étapes supplémentaires comme l'adsorption sur charbon actif, l'échange ionique ou l'osmose inverse (par exemple, les systèmes d'Adoucisseurs et osmose inverse pour eau déminéralisée) peuvent être nécessaires pour retirer des contaminants spécifiques. De plus, des aérateurs tels que LIXOR® ou d'autres systèmes d’aération immergés peuvent être utilisés pour oxygéner l'eau et favoriser les processus biologiques.
Il est important de noter que le processus précis peut varier en fonction de la qualité de l'eau de source et des standards de qualité de l'eau potable à atteindre. L'ONEE est susceptible d'adapter les étapes de traitement en conséquence pour répondre à ces exigences.
L'eau issue d'un traitement des eaux industrielles par un drain filtrant est-elle considérée comme "eaux traitées"?
Un drain filtrant est un système de filtration qui permet de séparer les solides et autres contaminants de l'eau. Ce système peut comprendre diverses étapes de traitement, telles que la décantation, la filtration sur sable ou sur membrane, l'adsorption par charbon actif, l'échange d'ions ou tout autre processus de purification nécessaire pour obtenir une eau de qualité acceptable.
Pour qu'une eau soit qualifiée de "traitée", elle doit répondre à des critères précis de qualité, qui sont souvent déterminés par des paramètres tels que la concentration de matières en suspension, la turbidité, la présence de contaminants chimiques ou biologiques, le pH, la conductivité électrique, et bien d'autres. Ces critères sont généralement établis par des organismes de réglementation tels que l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA) aux États-Unis, ou l'équivalent local dans d'autres pays.
Pour parler de produits, voici quelques exemples de systèmes de traitement qui peuvent être utilisés dans le cadre d'un processus de traitement des eaux industrielles et qui pourraient correspondre à la notion de "drain filtrant" :
- Le système SAF d'Amiad est un filtre autonettoyant métallique qui peut éliminer les solides en suspension, en assurant un nettoyage automatique et continu du tamis sans interruption du débit.
- La gamme de réacteurs UV comme la BIO-UV Gamme IBP+ peut être utilisée pour la désinfection des eaux industrielles en éliminant les pathogènes sans ajout de produits chimiques.
- Les membranes céramiques plates comme le CFM BRM de KWI sont utilisées dans les bioréacteurs à membranes (BRM) pour filtrer de manière efficace les eaux usées industrielles.
- Le système de flottation à air dissous comme le MEGACELL H de KWI peut séparer les matières en suspension et les huiles des eaux industrielles par le principe de flottation.
Il est important de noter que le terme "eaux traitées" n'indique pas que l'eau est nécessairement potable ou peut être rejetée sans autre traitement. Cela signifie simplement que l'eau a subi un traitement pour améliorer sa qualité par rapport à son état initial. La qualité de l'eau traitée doit être vérifiée par des analyses régulières pour s'assurer qu'elle répond aux normes requises pour son utilisation ou son rejet dans l'environnement.
Doit-on installer une station de traitement des eaux de lavage pour une unité de conditionnement de fruits et légumes frais qui n'utilise pas d'eau dans son process, avec une consommation d'environ 100L/jour?
Cependant, il est important de considérer les aspects réglementaires et environnementaux associés à la gestion des eaux usées dans l'industrie agroalimentaire. Les eaux de lavage peuvent contenir des contaminants organiques, des résidus de produits de nettoyage, des micro-organismes et d'autres substances qui, si elles ne sont pas traitées correctement, peuvent avoir un impact négatif sur l'environnement lorsqu'elles sont rejetées dans le système d'assainissement ou dans un milieu naturel.
Voici quelques considérations à prendre en compte pour déterminer la nécessité d'installer une station de traitement des eaux de lavage:
1. Réglementations locales: Vérifiez les exigences réglementaires locales concernant le traitement et le rejet des eaux usées générées par les activités de conditionnement de fruits et légumes. Les normes peuvent varier selon la juridiction et peuvent imposer des limites sur les concentrations de certains contaminants dans les eaux usées rejetées.
2. Impact environnemental: Évaluez l'impact potentiel des eaux de lavage sur l'environnement local. Si les eaux usées sont susceptibles de contenir des substances nocives, un traitement préalable peut être nécessaire pour éviter la contamination des sols, des eaux souterraines ou des cours d'eau.
3. Solutions de traitement alternatives: Pour de petits volumes comme 100L/jour, des solutions de traitement des eaux de lavage in-situ ou des systèmes compacts pourraient être envisagés, tels que les systèmes de filtration, les dispositifs de désinfection UV, ou les petits systèmes de traitement biologique.
4. Pratiques de gestion de l'eau: Il peut être possible de réduire les besoins en traitement en adoptant des pratiques de gestion de l'eau qui minimisent la contamination des eaux de lavage, par exemple, l'utilisation de produits de nettoyage biodégradables et non toxiques.
5. Coût-bénéfice: Analysez le coût de l'installation et de la maintenance d'une station de traitement par rapport aux avantages de conformité réglementaire, de protection de l'environnement et d'éventuelles économies d'eau par le recyclage.
Si une station de traitement est jugée nécessaire, des produits comme le "BioBarrier® MBR" pourraient être adaptés pour le traitement et la réutilisation des effluents à petite échelle. Pour la désinfection simple, un système comme le stérilisateur UV "BIO-UV IBP+" pourrait être suffisant pour traiter les eaux de lavage avant leur rejet.
En conclusion, bien qu'une station de traitement à part entière ne soit pas forcément requise pour une si petite quantité d'eau, il est essentiel d'effectuer une évaluation détaillée en prenant en compte les réglementations, l'impact environnemental et les solutions alternatives de traitement de l'eau. Une décision éclairée dépendra de ces facteurs et des objectifs spécifiques de l'entreprise en matière de durabilité et de conformité environnementale.
Quelle est la méthode pour déterminer la provenance des eaux de lavage ?
1. **Caractérisation des eaux** : Analyser les caractéristiques physico-chimiques des eaux de lavage (pH, conductivité, turbidité, concentration en matières en suspension, en composés organiques, en nutriments, en métaux lourds, etc.). Ces paramètres peuvent donner des indices sur la source des eaux de lavage (par exemple, industrie alimentaire, mécanique, chimique).
2. **Traçage des flux d'eau** : Utiliser des colorants ou des traceurs isotopiques pour suivre le chemin de l'eau depuis son point d'utilisation jusqu'au système de collecte. Cela permet d'identifier les points de génération des eaux de lavage.
3. **Analyse des processus industriels** : Comprendre les différents processus au sein de l'installation qui génèrent des eaux de lavage. Par exemple, les eaux de rinçage dans le secteur alimentaire ou les eaux de refroidissement dans l'industrie métallurgique.
4. **Inspection des infrastructures** : Examiner les systèmes de plomberie, les tuyauteries et les équipements de lavage pour identifier les connexions et les éventuelles sources de contamination croisée.
5. **Modélisation hydraulique** : Utiliser des logiciels de modélisation pour simuler les réseaux de distribution d'eau et la dynamique des flux, ce qui peut aider à mieux comprendre la provenance des eaux de lavage.
6. **Documentation et traçabilité** : Consulter les registres d'exploitation et de maintenance, ainsi que les journaux de production qui peuvent contenir des informations sur l'utilisation de l'eau dans les différentes étapes de production.
7. **Entretiens avec le personnel** : Discuter avec les opérateurs et le personnel de maintenance pour obtenir des informations sur les pratiques de gestion de l'eau et d'identification des sources potentielles de eaux de lavage.
Produits et technologies pouvant aider :
- **Réacteurs UV** (comme la BIO-UV Gamme IAM ou IBP+), qui peuvent être utilisés pour désinfecter les eaux de lavage une fois leur provenance déterminée, en fonction des spécificités de chaque source.
- **Filtres autonettoyants** (tels que la gamme SAF ou TAF d'Amiad), qui sont utiles pour filtrer les particules en suspension issues de différentes sources d'eaux de lavage.
- **Systèmes d'aération immergés** (comme le LIXOR®), qui peuvent être utilisés pour traiter biologiquement les eaux de lavage provenant de sources organiques.
- **Stérilisateurs UV sans filtration** (tels que la Gamme DFI), pour la désinfection des eaux de lavage sans nécessiter une étape de filtration préalable.
- **Pompes doseuses hydro-motrices** (comme la Pompe doseuse hydro-motrice D9WL2 de Dosatron), qui peuvent être utilisées pour injecter des traçants dans le flux d'eau.
En résumé, la détermination de la provenance des eaux de lavage combine des analyses techniques, des inspections et des discussions avec le personnel, et peut être assistée par l'utilisation de technologies spécifiques adaptées aux caractéristiques des eaux à traiter.
Peut-on appliquer ce procédé UV pour traitement d'un débit de 60m3/h ?
Bonjour,
Oui notre gamme IBP+ peut effectivement traiter un débit de 60m3/h.
N'hésitez pas à nous contacter pour plus de précision :)
arol@bio-uv.com
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