BactoSense
Cytomètre en flux automatique pour la surveillance microbiologique de l‘eau
- identification de la stabilité des étapes de potabilisation
- analyse de la qualité microbiologique de l'eau en sortie
- surveillance de la charge bactériologique dessources
- identification de l'efficacité des filtres
- identification de l'efficacité de la désinfection avec chlore
- identification de l'efficacité de désinfection ozone
- surveillance de l'état microbiologique des réservoirs
- alerte avancée de valeurs hautes en microbiologie
UNE EAU SAINE.
À TOUT MOMENT.
EN TOUT LIEU.
Spécificités
- Cytomètre en flux automatique, conçu spécifiquement pour des applications industrielles
- Identification de plus que 99% des germes
- Résultat de mesure disponible en 20 minutes
- Résultats plus rapides, réalistes et moins chères que par les mesures de laboratoire HPC
- Réglage flexible des seuils et alarmes
- Utilisation et maintenance conviviales
- Maniement des produits chimiques et déchets sécurisé par l'emploi de cartouches
- Pas de manipulation de produits chimiques ni de préparation d'échantillons
- Appareil compact peu encombrant
- Liaison simple aux systèmes d'exploitation par de nombreux interfaces
Caractéristique | Valeur |
---|---|
Poids (kg) | 14.5kg |
Température fonctionnement (°C) | 5°C à 30°C |
Type de protection | IP65 |
Quelles sont les dernières évolutions dans la surveillance microbiologique ?
1. **Cytométrie en flux automatisée** : Des systèmes comme le BactoSense et le BactoSense Multi utilisent la cytométrie en flux pour identifier et quantifier les bactéries dans les échantillons d'eau. Cette technologie offre un décompte rapide et précis des bactéries, souvent en quelques minutes seulement, par opposition aux méthodes traditionnelles qui peuvent prendre plusieurs jours.
2. **Tests sur site et automatisés** : Des solutions comme le système ALERT de Fluidion ou le TECTA-B16 offrent des capacités d'analyse microbiologique automatisée directement sur le site d'échantillonnage, permettant une détection précoce des contaminants microbiens et une réponse rapide aux événements de contamination.
3. **Techniques moléculaires** : L'utilisation de techniques telles que la PCR en temps réel (qPCR) et la séquençage de nouvelle génération (NGS) permet une détection et une caractérisation rapides et précises des pathogènes microbiens à partir d'échantillons environnementaux.
4. **Tests chromogéniques et fluorogéniques** : Les réactifs chromogéniques et fluorogéniques sont utilisés dans des tests tels que Pseudalert pour la détection rapide de Pseudomonas aeruginosa et Colilert-18 pour E. coli et coliformes, qui changent de couleur ou fluorescent sous l'action de bactéries spécifiques, ce qui permet une lecture plus rapide et plus facile des résultats.
5. **Utilisation de l'ATP-métrie** : Les analyseurs comme la série EZ7300 mesurent les quantités d'ATP (adénosine triphosphate) pour évaluer rapidement la charge microbiologique totale dans les échantillons d'eau, donnant une image instantanée de la qualité microbiologique.
6. **Systèmes de détection électrochimiques** : Ces systèmes, qui détectent les changements dans les propriétés électrochimiques des échantillons dus à l'activité microbienne, sont en cours de développement pour offrir une surveillance en temps réel et sans marqueurs des contaminants microbiens.
7. **Intelligence artificielle et analyse de données** : L'intégration de l'intelligence artificielle (IA) dans les systèmes de surveillance microbiologique permet d'améliorer les prédictions et la détection des tendances, ainsi que d'optimiser les actions de maintenance prédictive des équipements.
8. **Technologies portables et connectées** : L'essor des dispositifs portables et connectés permet une collecte et une analyse des données en continu, avec transmission sans fil vers une plateforme centrale ou cloud pour une surveillance à distance et en temps réel.
9. **Échantillonneurs automatiques** : Des équipements comme ALERT LAB de Fluidion peuvent collecter et analyser automatiquement des échantillons, et transmettre les données à distance, améliorant ainsi la fréquence et la fiabilité des mesures.
Chacune de ces technologies représente une avancée significative dans la surveillance microbiologique, offrant des avantages en termes de sensibilité, de spécificité, de rapidité et de commodité par rapport aux méthodes traditionnelles basées sur la culture. Ces évolutions contribuent à une meilleure gestion des risques microbiologiques dans divers contextes, tels que l'approvisionnement en eau potable, le contrôle des eaux usées, la sécurité alimentaire et l'hygiène hospitalière.
Quelles sont les méthodes rapides pour détecter des micro-organismes dans les aliments?
1. **Cytométrie en flux** : Cette technique permet de compter et d'analyser les cellules microbiennes en suspens dans un liquide. Les appareils tels que le BactoSense utilisent la cytométrie en flux pour fournir des résultats rapides sur la présence et la concentration de bactéries dans les échantillons d'eau, ce qui peut être adapté pour certains types d'aliments liquides ou semi-liquides.
2. **PCR en temps réel (qPCR)** : La PCR quantitatif en temps réel est une méthode moléculaire très sensible qui amplifie l'ADN des micro-organismes cibles pour une détection rapide et spécifique. Cette technique est particulièrement utile pour identifier des pathogènes spécifiques tels qu'E. coli ou Salmonella dans les aliments.
3. **Tests immunologiques** : Les tests basés sur des anticorps, tels que les ELISA (enzyme-linked immunosorbent assay), permettent de détecter rapidement la présence de micro-organismes ou de leurs toxines dans les aliments grâce à une réaction antigène-anticorps.
4. **Biosenseurs** : Les biosenseurs sont des dispositifs analytiques qui combinent un composant biologique avec un détecteur physico-chimique. Ils peuvent fournir une détection rapide et sur place de micro-organismes dans les aliments en mesurant la production de métabolites ou en utilisant des sondes moléculaires spécifiques.
5. **Méthodes de culture rapide** : Des kits de culture rapide tels que Compact Dry fournissent un milieu de culture déshydraté prêt à l'emploi pour la croissance de colonies bactériennes spécifiques. Ces tests sont simplifiés pour une utilisation facile et des résultats rapides par rapport aux méthodes de culture traditionnelles.
6. **Technologies de bioluminescence** : La détection de l'ATP (adénosine triphosphate), une molécule présente dans toutes les cellules vivantes, par la bioluminescence est une méthode rapide pour évaluer la contamination microbienne. Des appareils portables permettent de mesurer les niveaux d'ATP dans les aliments et de donner une estimation de la charge microbienne.
7. **Chromogénie et fluorogénie** : Certaines méthodes de test utilisent des substrats chromogéniques ou fluorogéniques qui produisent une couleur ou une fluorescence en présence d'enzymes spécifiques produites par les micro-organismes. Par exemple, le test Colilert-18 détecte les coliformes et E. coli en utilisant un substrat qui change de couleur lorsqu'il est hydrolysé par les bactéries.
8. **Système automatisé de détection microbiologique** : Le TECTA-B16 est un exemple de système automatisé qui peut fournir des résultats de qualité laboratoire sur site en un temps record. Ce type de système est conçu pour la surveillance en continu et la détection rapide de micro-organismes pathogènes dans l'eau, pouvant être adapté pour les liquides alimentaires.
Chacune de ces méthodes a ses propres avantages et limites, et le choix de la méthode dépendra de la nature de l'échantillon alimentaire, des types de micro-organismes ciblés, de la précision requise et des ressources disponibles. En outre, l'adéquation des méthodes d'essai avec les réglementations en vigueur et les standards de l'industrie alimentaire doit également être prise en compte.
Nous allons accueillir un groupe de jeunes en juillet et aimerions utiliser de l'eau de source pour boire, il faudrait donc l'analyser pour être sure qu'elle soit potable, que devons nous faire et à quelles conditions ?
1. Prélèvement d'échantillons :
- Réalisez des prélèvements d'eau représentatifs de la source en suivant des méthodes normalisées pour éviter toute contamination lors du prélèvement.
- Utilisez des bouteilles de prélèvement stériles et respectez les conditions de conservation et de transport des échantillons, souvent au frais et à l'abri de la lumière.
2. Analyses microbiologiques :
- Faites analyser l'eau pour les indicateurs de contamination fécale tels que les coliformes totaux, Escherichia coli (E. coli) et les entérocoques.
- Utilisez des kits d'analyse rapides comme le BactoSense, un cytomètre en flux automatique qui peut détecter plus de 99% des germes en environ 20 minutes, ou des tests de toxicité comme le PROTOXKIT F.
3. Analyses physico-chimiques :
- Mesurez les paramètres tels que le pH, la conductivité, la turbidité, la dureté, les nitrates, les nitrites, et les métaux lourds.
- Des instruments comme le Moniteur AMI Turbitrace pour la turbidité ou le Liquiline System CA80HA pour la dureté de l'eau peuvent être utilisés.
4. Analyses des substances organiques et inorganiques :
- Évaluez la présence de substances organiques grâce à l'analyse du Carbone Organique Total (COT) avec un instrument tel que l'analyseur acquray.
- Analysez la présence de pesticides, de solvants ou de composés organiques volatils (COV) si nécessaire.
5. Contrôle des désinfectants :
- Si l'eau est traitée, vérifiez le niveau de désinfectants comme le chlore libre et total avec un analyseur tel que le Moniteur AMI Codes II CC.
6. Interprétation des résultats :
- Comparez les résultats des analyses avec les normes de qualité de l'eau potable établies par les autorités sanitaires locales ou internationales, telles que l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
7. Actions correctives :
- Si l'eau n'est pas conforme aux normes, prenez les mesures correctives nécessaires, qui peuvent inclure un traitement de l'eau par filtration, désinfection UV (avec des systèmes comme la gamme BIO-UV DW), ou l'ajout de produits chimiques de traitement de l'eau.
8. Suivi régulier :
- Une fois l'eau jugée potable, mettez en place un plan de suivi régulier pour s'assurer que la qualité de l'eau de source reste constante et sûre à la consommation.
Il est crucial de confier ces analyses à un laboratoire certifié ou à des professionnels qualifiés pour garantir la fiabilité des résultats. Assurez-vous également de respecter toutes les réglementations locales concernant l'utilisation de l'eau de source pour la consommation humaine.
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1. **Cytométrie en flux automatisée** : Des systèmes comme le BactoSense et le BactoSense Multi utilisent la cytométrie en flux pour identifier et quantifier les bactéries dans les échantillons d'eau. Cette technologie offre un décompte rapide et précis des bactéries, souvent en quelques minutes seulement, par opposition aux méthodes traditionnelles qui peuvent prendre plusieurs jours.
2. **Tests sur site et automatisés** : Des solutions comme le système ALERT de Fluidion ou le TECTA-B16 offrent des capacités d'analyse microbiologique automatisée directement sur le site d'échantillonnage, permettant une détection précoce des contaminants microbiens et une réponse rapide aux événements de contamination.
3. **Techniques moléculaires** : L'utilisation de techniques telles que la PCR en temps réel (qPCR) et la séquençage de nouvelle génération (NGS) permet une détection et une caractérisation rapides et précises des pathogènes microbiens à partir d'échantillons environnementaux.
4. **Tests chromogéniques et fluorogéniques** : Les réactifs chromogéniques et fluorogéniques sont utilisés dans des tests tels que Pseudalert pour la détection rapide de Pseudomonas aeruginosa et Colilert-18 pour E. coli et coliformes, qui changent de couleur ou fluorescent sous l'action de bactéries spécifiques, ce qui permet une lecture plus rapide et plus facile des résultats.
5. **Utilisation de l'ATP-métrie** : Les analyseurs comme la série EZ7300 mesurent les quantités d'ATP (adénosine triphosphate) pour évaluer rapidement la charge microbiologique totale dans les échantillons d'eau, donnant une image instantanée de la qualité microbiologique.
6. **Systèmes de détection électrochimiques** : Ces systèmes, qui détectent les changements dans les propriétés électrochimiques des échantillons dus à l'activité microbienne, sont en cours de développement pour offrir une surveillance en temps réel et sans marqueurs des contaminants microbiens.
7. **Intelligence artificielle et analyse de données** : L'intégration de l'intelligence artificielle (IA) dans les systèmes de surveillance microbiologique permet d'améliorer les prédictions et la détection des tendances, ainsi que d'optimiser les actions de maintenance prédictive des équipements.
8. **Technologies portables et connectées** : L'essor des dispositifs portables et connectés permet une collecte et une analyse des données en continu, avec transmission sans fil vers une plateforme centrale ou cloud pour une surveillance à distance et en temps réel.
9. **Échantillonneurs automatiques** : Des équipements comme ALERT LAB de Fluidion peuvent collecter et analyser automatiquement des échantillons, et transmettre les données à distance, améliorant ainsi la fréquence et la fiabilité des mesures.
Chacune de ces technologies représente une avancée significative dans la surveillance microbiologique, offrant des avantages en termes de sensibilité, de spécificité, de rapidité et de commodité par rapport aux méthodes traditionnelles basées sur la culture. Ces évolutions contribuent à une meilleure gestion des risques microbiologiques dans divers contextes, tels que l'approvisionnement en eau potable, le contrôle des eaux usées, la sécurité alimentaire et l'hygiène hospitalière.
Quelles sont les méthodes rapides pour détecter des micro-organismes dans les aliments?
1. **Cytométrie en flux** : Cette technique permet de compter et d'analyser les cellules microbiennes en suspens dans un liquide. Les appareils tels que le BactoSense utilisent la cytométrie en flux pour fournir des résultats rapides sur la présence et la concentration de bactéries dans les échantillons d'eau, ce qui peut être adapté pour certains types d'aliments liquides ou semi-liquides.
2. **PCR en temps réel (qPCR)** : La PCR quantitatif en temps réel est une méthode moléculaire très sensible qui amplifie l'ADN des micro-organismes cibles pour une détection rapide et spécifique. Cette technique est particulièrement utile pour identifier des pathogènes spécifiques tels qu'E. coli ou Salmonella dans les aliments.
3. **Tests immunologiques** : Les tests basés sur des anticorps, tels que les ELISA (enzyme-linked immunosorbent assay), permettent de détecter rapidement la présence de micro-organismes ou de leurs toxines dans les aliments grâce à une réaction antigène-anticorps.
4. **Biosenseurs** : Les biosenseurs sont des dispositifs analytiques qui combinent un composant biologique avec un détecteur physico-chimique. Ils peuvent fournir une détection rapide et sur place de micro-organismes dans les aliments en mesurant la production de métabolites ou en utilisant des sondes moléculaires spécifiques.
5. **Méthodes de culture rapide** : Des kits de culture rapide tels que Compact Dry fournissent un milieu de culture déshydraté prêt à l'emploi pour la croissance de colonies bactériennes spécifiques. Ces tests sont simplifiés pour une utilisation facile et des résultats rapides par rapport aux méthodes de culture traditionnelles.
6. **Technologies de bioluminescence** : La détection de l'ATP (adénosine triphosphate), une molécule présente dans toutes les cellules vivantes, par la bioluminescence est une méthode rapide pour évaluer la contamination microbienne. Des appareils portables permettent de mesurer les niveaux d'ATP dans les aliments et de donner une estimation de la charge microbienne.
7. **Chromogénie et fluorogénie** : Certaines méthodes de test utilisent des substrats chromogéniques ou fluorogéniques qui produisent une couleur ou une fluorescence en présence d'enzymes spécifiques produites par les micro-organismes. Par exemple, le test Colilert-18 détecte les coliformes et E. coli en utilisant un substrat qui change de couleur lorsqu'il est hydrolysé par les bactéries.
8. **Système automatisé de détection microbiologique** : Le TECTA-B16 est un exemple de système automatisé qui peut fournir des résultats de qualité laboratoire sur site en un temps record. Ce type de système est conçu pour la surveillance en continu et la détection rapide de micro-organismes pathogènes dans l'eau, pouvant être adapté pour les liquides alimentaires.
Chacune de ces méthodes a ses propres avantages et limites, et le choix de la méthode dépendra de la nature de l'échantillon alimentaire, des types de micro-organismes ciblés, de la précision requise et des ressources disponibles. En outre, l'adéquation des méthodes d'essai avec les réglementations en vigueur et les standards de l'industrie alimentaire doit également être prise en compte.
Nous allons accueillir un groupe de jeunes en juillet et aimerions utiliser de l'eau de source pour boire, il faudrait donc l'analyser pour être sure qu'elle soit potable, que devons nous faire et à quelles conditions ?
1. Prélèvement d'échantillons :
- Réalisez des prélèvements d'eau représentatifs de la source en suivant des méthodes normalisées pour éviter toute contamination lors du prélèvement.
- Utilisez des bouteilles de prélèvement stériles et respectez les conditions de conservation et de transport des échantillons, souvent au frais et à l'abri de la lumière.
2. Analyses microbiologiques :
- Faites analyser l'eau pour les indicateurs de contamination fécale tels que les coliformes totaux, Escherichia coli (E. coli) et les entérocoques.
- Utilisez des kits d'analyse rapides comme le BactoSense, un cytomètre en flux automatique qui peut détecter plus de 99% des germes en environ 20 minutes, ou des tests de toxicité comme le PROTOXKIT F.
3. Analyses physico-chimiques :
- Mesurez les paramètres tels que le pH, la conductivité, la turbidité, la dureté, les nitrates, les nitrites, et les métaux lourds.
- Des instruments comme le Moniteur AMI Turbitrace pour la turbidité ou le Liquiline System CA80HA pour la dureté de l'eau peuvent être utilisés.
4. Analyses des substances organiques et inorganiques :
- Évaluez la présence de substances organiques grâce à l'analyse du Carbone Organique Total (COT) avec un instrument tel que l'analyseur acquray.
- Analysez la présence de pesticides, de solvants ou de composés organiques volatils (COV) si nécessaire.
5. Contrôle des désinfectants :
- Si l'eau est traitée, vérifiez le niveau de désinfectants comme le chlore libre et total avec un analyseur tel que le Moniteur AMI Codes II CC.
6. Interprétation des résultats :
- Comparez les résultats des analyses avec les normes de qualité de l'eau potable établies par les autorités sanitaires locales ou internationales, telles que l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
7. Actions correctives :
- Si l'eau n'est pas conforme aux normes, prenez les mesures correctives nécessaires, qui peuvent inclure un traitement de l'eau par filtration, désinfection UV (avec des systèmes comme la gamme BIO-UV DW), ou l'ajout de produits chimiques de traitement de l'eau.
8. Suivi régulier :
- Une fois l'eau jugée potable, mettez en place un plan de suivi régulier pour s'assurer que la qualité de l'eau de source reste constante et sûre à la consommation.
Il est crucial de confier ces analyses à un laboratoire certifié ou à des professionnels qualifiés pour garantir la fiabilité des résultats. Assurez-vous également de respecter toutes les réglementations locales concernant l'utilisation de l'eau de source pour la consommation humaine.
Quels sont les différents types de tests microbiologiques pour détecter les micro-organismes dans les aliments?
1. **Méthodes de culture** : Ces méthodes traditionnelles impliquent l'ensemencement d'échantillons alimentaires sur des milieux de culture sélectifs ou non sélectifs et l'incubation pour permettre la croissance des micro-organismes. Après l'incubation, les colonies sont comptées et peuvent être soumises à des tests d'identification supplémentaires. Des produits comme Compact Dry simplifient ces méthodes en fournissant des plaques prêtes à l'emploi qui contiennent des milieux de culture déshydratés.
2. **Tests d'indicateurs biologiques** : Des tests comme Colilert-18 détectent la présence de coliformes totaux et d'E. coli, qui sont des indicateurs courants de contamination fécale et de qualité hygiénique des aliments.
3. **Méthodes immunologiques** : Ces tests utilisent des anticorps pour détecter des antigènes spécifiques présents chez certains micro-organismes. Les tests ELISA (enzyme-linked immunosorbent assay) et les tests de type immunochromatographique (bandelettes rapides) sont des exemples de méthodes immunologiques.
4. **Méthodes moléculaires** : Techniques comme la PCR (Polymerase Chain Reaction) permettent de détecter et d'amplifier des séquences d'ADN spécifiques de micro-organismes. La PCR en temps réel (qPCR) fournit une quantification en plus de la détection.
5. **Cytométrie en flux** : Cette technique permet de compter et de caractériser les cellules microbiennes dans un échantillon en les faisant passer dans un faisceau laser. Le BactoSense est un exemple de cytomètre en flux automatique adapté à la surveillance microbiologique de l'eau qui pourrait être utilisé dans le contexte des aliments liquides ou pour surveiller la qualité de l'eau utilisée dans le processus de production alimentaire.
6. **Détecteurs de bioluminescence** : Ces tests mesurent la lumière produite par des réactions enzymatiques impliquant l'ATP (adénosine triphosphate) présent dans toutes les cellules vivantes, y compris les micro-organismes, pour évaluer rapidement la contamination microbienne.
7. **Tests de phytotoxicité** : Bien que moins courants pour les aliments, les tests de phytotoxicité, comme le PHYTOTOXKIT LIQUID SAMPLES, peuvent être utilisés pour évaluer la présence de substances toxiques qui auraient des effets néfastes sur les organismes vivants, y compris les micro-organismes.
8. **Méthodes de détection automatisée** : Des appareils comme le TECTA-B16 permettent l'automatisation des tests de détection microbiologique, offrant des résultats rapides et fiables, et sont particulièrement utiles pour les applications sur site.
Chaque méthode a ses propres avantages et limites en termes de sensibilité, de spécificité, de temps de détection et de coût. Le choix de la méthode dépend de l'objectif du test, du type d'aliment, des micro-organismes ciblés et des ressources disponibles. Dans l'industrie alimentaire, il est fréquent d'utiliser une combinaison de méthodes pour assurer une évaluation complète de la sécurité microbiologique des aliments.
Quelles sont les limitations potentielles du système Bactosense ?
1. Spécificité des organismes détectables : Le BactoSense est configuré pour identifier et compter les bactéries présentes dans l'eau. Il peut ne pas être capable de distinguer certaines espèces bactériennes spécifiques ou de détecter d'autres types de micro-organismes tels que les virus, les protozoaires ou les champignons, sauf si le système est spécifiquement calibré pour ces cibles.
2. Sensibilité et plage de détection : La sensibilité du BactoSense dépend de la concentration minimale de bactéries qu'il peut détecter. Si la concentration bactérienne dans l'échantillon est inférieure à ce seuil, le système peut ne pas détecter la présence de micro-organismes. De plus, il peut y avoir une limite supérieure de concentration au-delà de laquelle l'appareil ne peut pas fonctionner correctement sans dilution de l'échantillon.
3. Interférences dues aux substances dans l'échantillon : La présence de particules, de substances colorées ou de turbidité élevée dans les échantillons d'eau peut interférer avec la précision des mesures en masquant les signaux émis par les bactéries ou en causant des fausses positives.
4. Besoin de cartouches spécifiques : Le BactoSense utilise des cartouches contenant tous les réactifs nécessaires pour le comptage des bactéries. L'approvisionnement continu en cartouches est essentiel pour maintenir l'opérationnalité du système, ce qui peut représenter une contrainte logistique et un coût supplémentaire.
5. Coût d'investissement initial et de fonctionnement : Le coût d'acquisition du BactoSense ainsi que les coûts opérationnels pour le maintien de l'appareil en bon état de fonctionnement peuvent être des considérations importantes, en particulier pour les petites installations ou celles avec des ressources limitées.
6. Formation et maintenance : Bien que le BactoSense soit conçu pour être convivial, une formation appropriée est nécessaire pour garantir que les opérateurs peuvent utiliser l'équipement efficacement. De plus, une maintenance régulière est requise pour assurer la précision et la fiabilité à long terme du système.
7. Limitations liées à l'automatisation : Bien que l'automatisation offre de nombreux avantages, y compris la réduction du temps et des erreurs humaines, elle peut également limiter la flexibilité de l'analyse si des protocoles ou des ajustements spécifiques sont nécessaires pour des échantillons atypiques.
8. Contraintes environnementales : L'équipement peut avoir des exigences spécifiques concernant l'environnement dans lequel il est utilisé, telles que la température, l'humidité ou la stabilité de la source d'alimentation.
Il est toujours recommandé d'évaluer les besoins spécifiques de surveillance microbiologique et de comparer les capacités et limitations du BactoSense avec d'autres systèmes disponibles sur le marché, tels que les analyseurs microbiologiques en ligne de la série EZ7300, les systèmes de détection microbiologique comme TECTA-B16 ou ALERT LAB, ou des tests rapides comme COLIKAT RAPID® pour une évaluation complète avant de prendre une décision d'achat.
Quelles sont les applications et références en France pour le BactoSense TCC ?
Bonjour,
Le BactoSense mesurant avec une cartouche TCC (Total Cell Count) est utilisé pour avoir une vue d'ensemble de l'environnement microbiologique. Il permet d'alerter l'utilisateur d'un changement dans son eau (potentielle contamination). Celui-ci peut alors agir en consequence pour maîtriser la situation et garantir une eau saine. Ses applications sont multiples (liste non-exhaustive):
- Surveillance de la qualité de l'eau potable
- Mesure d'eaux brutes, d'eaux de surface
- Surveillance du réseau de distribution d'eau, de réservoirs
- Evaluation de l'efficacité de différentes étapes de filtrations
- Controle et optimisation des procédés
- Production d'eau en bouteilles
- etc...
Si vous souhaitez discuter de votre application et de la façon dont le BactoSense peut s'intégrer dans votre solution, ainsi que des références pour la France nous restons à votre disposition. info@bnovate.com
L'équipe bNovate
(www.bnovate.com)