Produit
BactoSense Multi
Cytomètre en flux automatique pour la surveillance microbiologique de l‘eau
Description
BactoSense Multi est l'outil indispensable pour assurer la surveillance microbiologique de votre eau. Ce cytomètre en flux automatique et intuitif compte précisément les bactéries présentent dans votre échantillon. Il peut être utilisé directement sur site et donne une image microbiologique précise de l'ensemble de votre processus. Cette solution développée par bNovate Techologies vous permet d'optimiser votre processus tout en assurant la qualité de l'eau tout au long de votre ligne de production.
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Le 15/01/2024
Quelles sont les dernières évolutions dans la surveillance microbiologique ?
Réponse :
La surveillance microbiologique a connu plusieurs évolutions importantes ces dernières années, avec le développement de technologies et de méthodes visant à accroître la rapidité, la précision, la facilité d'utilisation et l'automatisation. Voici quelques-unes des dernières avancées dans ce domaine :
1. **Cytométrie en flux automatisée** : Des systèmes comme le BactoSense et le BactoSense Multi utilisent la cytométrie en flux pour identifier et quantifier les bactéries dans les échantillons d'eau. Cette technologie offre un décompte rapide et précis des bactéries, souvent en quelques minutes seulement, par opposition aux méthodes traditionnelles qui peuvent prendre plusieurs jours.
2. **Tests sur site et automatisés** : Des solutions comme le système ALERT de Fluidion ou le TECTA-B16 offrent des capacités d'analyse microbiologique automatisée directement sur le site d'échantillonnage, permettant une détection précoce des contaminants microbiens et une réponse rapide aux événements de contamination.
3. **Techniques moléculaires** : L'utilisation de techniques telles que la PCR en temps réel (qPCR) et la séquençage de nouvelle génération (NGS) permet une détection et une caractérisation rapides et précises des pathogènes microbiens à partir d'échantillons environnementaux.
4. **Tests chromogéniques et fluorogéniques** : Les réactifs chromogéniques et fluorogéniques sont utilisés dans des tests tels que Pseudalert pour la détection rapide de Pseudomonas aeruginosa et Colilert-18 pour E. coli et coliformes, qui changent de couleur ou fluorescent sous l'action de bactéries spécifiques, ce qui permet une lecture plus rapide et plus facile des résultats.
5. **Utilisation de l'ATP-métrie** : Les analyseurs comme la série EZ7300 mesurent les quantités d'ATP (adénosine triphosphate) pour évaluer rapidement la charge microbiologique totale dans les échantillons d'eau, donnant une image instantanée de la qualité microbiologique.
6. **Systèmes de détection électrochimiques** : Ces systèmes, qui détectent les changements dans les propriétés électrochimiques des échantillons dus à l'activité microbienne, sont en cours de développement pour offrir une surveillance en temps réel et sans marqueurs des contaminants microbiens.
7. **Intelligence artificielle et analyse de données** : L'intégration de l'intelligence artificielle (IA) dans les systèmes de surveillance microbiologique permet d'améliorer les prédictions et la détection des tendances, ainsi que d'optimiser les actions de maintenance prédictive des équipements.
8. **Technologies portables et connectées** : L'essor des dispositifs portables et connectés permet une collecte et une analyse des données en continu, avec transmission sans fil vers une plateforme centrale ou cloud pour une surveillance à distance et en temps réel.
9. **Échantillonneurs automatiques** : Des équipements comme ALERT LAB de Fluidion peuvent collecter et analyser automatiquement des échantillons, et transmettre les données à distance, améliorant ainsi la fréquence et la fiabilité des mesures.
Chacune de ces technologies représente une avancée significative dans la surveillance microbiologique, offrant des avantages en termes de sensibilité, de spécificité, de rapidité et de commodité par rapport aux méthodes traditionnelles basées sur la culture. Ces évolutions contribuent à une meilleure gestion des risques microbiologiques dans divers contextes, tels que l'approvisionnement en eau potable, le contrôle des eaux usées, la sécurité alimentaire et l'hygiène hospitalière.
1. **Cytométrie en flux automatisée** : Des systèmes comme le BactoSense et le BactoSense Multi utilisent la cytométrie en flux pour identifier et quantifier les bactéries dans les échantillons d'eau. Cette technologie offre un décompte rapide et précis des bactéries, souvent en quelques minutes seulement, par opposition aux méthodes traditionnelles qui peuvent prendre plusieurs jours.
2. **Tests sur site et automatisés** : Des solutions comme le système ALERT de Fluidion ou le TECTA-B16 offrent des capacités d'analyse microbiologique automatisée directement sur le site d'échantillonnage, permettant une détection précoce des contaminants microbiens et une réponse rapide aux événements de contamination.
3. **Techniques moléculaires** : L'utilisation de techniques telles que la PCR en temps réel (qPCR) et la séquençage de nouvelle génération (NGS) permet une détection et une caractérisation rapides et précises des pathogènes microbiens à partir d'échantillons environnementaux.
4. **Tests chromogéniques et fluorogéniques** : Les réactifs chromogéniques et fluorogéniques sont utilisés dans des tests tels que Pseudalert pour la détection rapide de Pseudomonas aeruginosa et Colilert-18 pour E. coli et coliformes, qui changent de couleur ou fluorescent sous l'action de bactéries spécifiques, ce qui permet une lecture plus rapide et plus facile des résultats.
5. **Utilisation de l'ATP-métrie** : Les analyseurs comme la série EZ7300 mesurent les quantités d'ATP (adénosine triphosphate) pour évaluer rapidement la charge microbiologique totale dans les échantillons d'eau, donnant une image instantanée de la qualité microbiologique.
6. **Systèmes de détection électrochimiques** : Ces systèmes, qui détectent les changements dans les propriétés électrochimiques des échantillons dus à l'activité microbienne, sont en cours de développement pour offrir une surveillance en temps réel et sans marqueurs des contaminants microbiens.
7. **Intelligence artificielle et analyse de données** : L'intégration de l'intelligence artificielle (IA) dans les systèmes de surveillance microbiologique permet d'améliorer les prédictions et la détection des tendances, ainsi que d'optimiser les actions de maintenance prédictive des équipements.
8. **Technologies portables et connectées** : L'essor des dispositifs portables et connectés permet une collecte et une analyse des données en continu, avec transmission sans fil vers une plateforme centrale ou cloud pour une surveillance à distance et en temps réel.
9. **Échantillonneurs automatiques** : Des équipements comme ALERT LAB de Fluidion peuvent collecter et analyser automatiquement des échantillons, et transmettre les données à distance, améliorant ainsi la fréquence et la fiabilité des mesures.
Chacune de ces technologies représente une avancée significative dans la surveillance microbiologique, offrant des avantages en termes de sensibilité, de spécificité, de rapidité et de commodité par rapport aux méthodes traditionnelles basées sur la culture. Ces évolutions contribuent à une meilleure gestion des risques microbiologiques dans divers contextes, tels que l'approvisionnement en eau potable, le contrôle des eaux usées, la sécurité alimentaire et l'hygiène hospitalière.
Nouvelle réponse
- Le 22/12/2023
Quels types de populations microbiennes sont présents dans les sols ?
Réponse :
Les sols représentent un habitat complexe et diversifié pour les micro-organismes, qui jouent un rôle crucial dans les processus écologiques tels que la décomposition de la matière organique, la transformation des nutriments, la promotion de la croissance des plantes et la régulation des gaz à effet de serre. Les populations microbiennes présentes dans les sols comprennent :
1. Bactéries : Les bactéries sont les plus abondantes et diversifiées dans les sols. Elles incluent des groupes fonctionnels variés tels que les fixateurs d'azote (ex. Rhizobium, Azotobacter), les décomposeurs de matière organique (ex. Bacillus, Pseudomonas), les transformateurs de soufre (ex. Desulfovibrio) et les producteurs de méthane (méthanogènes comme Methanobacterium).
2. Champignons : Les champignons du sol incluent des mycorhizes qui forment des associations symbiotiques avec les racines des plantes, des saprophytes décomposant la matière organique morte, et des pathogènes végétaux. Les genres courants sont Aspergillus, Penicillium, Fusarium et les champignons mycorhiziens arbusculaires (Glomus).
3. Protozoaires : Ces eucaryotes unicellulaires se nourrissent de matière organique, de bactéries et de petits champignons. Ils jouent un rôle dans le contrôle de la population bactérienne et la mobilité des nutriments dans le sol.
4. Archaea : Bien que moins étudiés que les bactéries, les archées sont présentes dans les sols, surtout dans les environnements extrêmes comme les sols très acides ou chauds. Les archées méthanogènes sont importantes dans les sols anoxiques, où elles produisent du méthane.
5. Virus : Les virus du sol infectent les autres micro-organismes du sol, principalement les bactéries (bactériophages), mais également les champignons (mycovirus). Ils peuvent influencer la structure et la fonction des communautés microbiennes.
6. Nématodes : Ces vers microscopiques se nourrissent de plantes, de champignons, de bactéries et d'autres nématodes. Ils jouent un rôle dans la régulation des populations microbiennes et la distribution des nutriments.
7. Actinomycètes : Ces bactéries filamenteuses sont connues pour leur capacité à décomposer des composés organiques complexes, y compris la cellulose et la lignine. Le genre Streptomyces est bien connu pour sa production d'antibiotiques.
Pour étudier et surveiller les populations microbiennes dans les sols, divers tests microbiologiques et méthodes d'analyse peuvent être utilisés. Par exemple, les kits de test de phytotoxicité comme PHYTOTOXKIT LIQUID SAMPLES permettent de détecter la toxicité des sols, ce qui peut refléter des changements dans la composition microbienne. Les tests microbiens tels que Compact Dry fournissent une méthode facile pour quantifier les bactéries spécifiques dans les échantillons de sol. Des méthodes plus avancées, telles que la cytométrie en flux automatisée (comme celle proposée par BactoSense Multi), permettent de compter précisément les bactéries présentes dans les échantillons de sol, fournissant ainsi une image détaillée de la diversité microbienne. Enfin, des analyses moléculaires basées sur l'ADN, comme la PCR quantitative (qPCR) et le séquençage de nouvelle génération, sont également utilisées pour caractériser la diversité et la structure des communautés microbiennes dans les sols.
1. Bactéries : Les bactéries sont les plus abondantes et diversifiées dans les sols. Elles incluent des groupes fonctionnels variés tels que les fixateurs d'azote (ex. Rhizobium, Azotobacter), les décomposeurs de matière organique (ex. Bacillus, Pseudomonas), les transformateurs de soufre (ex. Desulfovibrio) et les producteurs de méthane (méthanogènes comme Methanobacterium).
2. Champignons : Les champignons du sol incluent des mycorhizes qui forment des associations symbiotiques avec les racines des plantes, des saprophytes décomposant la matière organique morte, et des pathogènes végétaux. Les genres courants sont Aspergillus, Penicillium, Fusarium et les champignons mycorhiziens arbusculaires (Glomus).
3. Protozoaires : Ces eucaryotes unicellulaires se nourrissent de matière organique, de bactéries et de petits champignons. Ils jouent un rôle dans le contrôle de la population bactérienne et la mobilité des nutriments dans le sol.
4. Archaea : Bien que moins étudiés que les bactéries, les archées sont présentes dans les sols, surtout dans les environnements extrêmes comme les sols très acides ou chauds. Les archées méthanogènes sont importantes dans les sols anoxiques, où elles produisent du méthane.
5. Virus : Les virus du sol infectent les autres micro-organismes du sol, principalement les bactéries (bactériophages), mais également les champignons (mycovirus). Ils peuvent influencer la structure et la fonction des communautés microbiennes.
6. Nématodes : Ces vers microscopiques se nourrissent de plantes, de champignons, de bactéries et d'autres nématodes. Ils jouent un rôle dans la régulation des populations microbiennes et la distribution des nutriments.
7. Actinomycètes : Ces bactéries filamenteuses sont connues pour leur capacité à décomposer des composés organiques complexes, y compris la cellulose et la lignine. Le genre Streptomyces est bien connu pour sa production d'antibiotiques.
Pour étudier et surveiller les populations microbiennes dans les sols, divers tests microbiologiques et méthodes d'analyse peuvent être utilisés. Par exemple, les kits de test de phytotoxicité comme PHYTOTOXKIT LIQUID SAMPLES permettent de détecter la toxicité des sols, ce qui peut refléter des changements dans la composition microbienne. Les tests microbiens tels que Compact Dry fournissent une méthode facile pour quantifier les bactéries spécifiques dans les échantillons de sol. Des méthodes plus avancées, telles que la cytométrie en flux automatisée (comme celle proposée par BactoSense Multi), permettent de compter précisément les bactéries présentes dans les échantillons de sol, fournissant ainsi une image détaillée de la diversité microbienne. Enfin, des analyses moléculaires basées sur l'ADN, comme la PCR quantitative (qPCR) et le séquençage de nouvelle génération, sont également utilisées pour caractériser la diversité et la structure des communautés microbiennes dans les sols.
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- Le 15/01/2024
Quelles sont les dernières évolutions dans la surveillance microbiologique ?
Réponse :
La surveillance microbiologique a connu plusieurs évolutions importantes ces dernières années, avec le développement de technologies et de méthodes visant à accroître la rapidité, la précision, la facilité d'utilisation et l'automatisation. Voici quelques-unes des dernières avancées dans ce domaine :
1. **Cytométrie en flux automatisée** : Des systèmes comme le BactoSense et le BactoSense Multi utilisent la cytométrie en flux pour identifier et quantifier les bactéries dans les échantillons d'eau. Cette technologie offre un décompte rapide et précis des bactéries, souvent en quelques minutes seulement, par opposition aux méthodes traditionnelles qui peuvent prendre plusieurs jours.
2. **Tests sur site et automatisés** : Des solutions comme le système ALERT de Fluidion ou le TECTA-B16 offrent des capacités d'analyse microbiologique automatisée directement sur le site d'échantillonnage, permettant une détection précoce des contaminants microbiens et une réponse rapide aux événements de contamination.
3. **Techniques moléculaires** : L'utilisation de techniques telles que la PCR en temps réel (qPCR) et la séquençage de nouvelle génération (NGS) permet une détection et une caractérisation rapides et précises des pathogènes microbiens à partir d'échantillons environnementaux.
4. **Tests chromogéniques et fluorogéniques** : Les réactifs chromogéniques et fluorogéniques sont utilisés dans des tests tels que Pseudalert pour la détection rapide de Pseudomonas aeruginosa et Colilert-18 pour E. coli et coliformes, qui changent de couleur ou fluorescent sous l'action de bactéries spécifiques, ce qui permet une lecture plus rapide et plus facile des résultats.
5. **Utilisation de l'ATP-métrie** : Les analyseurs comme la série EZ7300 mesurent les quantités d'ATP (adénosine triphosphate) pour évaluer rapidement la charge microbiologique totale dans les échantillons d'eau, donnant une image instantanée de la qualité microbiologique.
6. **Systèmes de détection électrochimiques** : Ces systèmes, qui détectent les changements dans les propriétés électrochimiques des échantillons dus à l'activité microbienne, sont en cours de développement pour offrir une surveillance en temps réel et sans marqueurs des contaminants microbiens.
7. **Intelligence artificielle et analyse de données** : L'intégration de l'intelligence artificielle (IA) dans les systèmes de surveillance microbiologique permet d'améliorer les prédictions et la détection des tendances, ainsi que d'optimiser les actions de maintenance prédictive des équipements.
8. **Technologies portables et connectées** : L'essor des dispositifs portables et connectés permet une collecte et une analyse des données en continu, avec transmission sans fil vers une plateforme centrale ou cloud pour une surveillance à distance et en temps réel.
9. **Échantillonneurs automatiques** : Des équipements comme ALERT LAB de Fluidion peuvent collecter et analyser automatiquement des échantillons, et transmettre les données à distance, améliorant ainsi la fréquence et la fiabilité des mesures.
Chacune de ces technologies représente une avancée significative dans la surveillance microbiologique, offrant des avantages en termes de sensibilité, de spécificité, de rapidité et de commodité par rapport aux méthodes traditionnelles basées sur la culture. Ces évolutions contribuent à une meilleure gestion des risques microbiologiques dans divers contextes, tels que l'approvisionnement en eau potable, le contrôle des eaux usées, la sécurité alimentaire et l'hygiène hospitalière.
1. **Cytométrie en flux automatisée** : Des systèmes comme le BactoSense et le BactoSense Multi utilisent la cytométrie en flux pour identifier et quantifier les bactéries dans les échantillons d'eau. Cette technologie offre un décompte rapide et précis des bactéries, souvent en quelques minutes seulement, par opposition aux méthodes traditionnelles qui peuvent prendre plusieurs jours.
2. **Tests sur site et automatisés** : Des solutions comme le système ALERT de Fluidion ou le TECTA-B16 offrent des capacités d'analyse microbiologique automatisée directement sur le site d'échantillonnage, permettant une détection précoce des contaminants microbiens et une réponse rapide aux événements de contamination.
3. **Techniques moléculaires** : L'utilisation de techniques telles que la PCR en temps réel (qPCR) et la séquençage de nouvelle génération (NGS) permet une détection et une caractérisation rapides et précises des pathogènes microbiens à partir d'échantillons environnementaux.
4. **Tests chromogéniques et fluorogéniques** : Les réactifs chromogéniques et fluorogéniques sont utilisés dans des tests tels que Pseudalert pour la détection rapide de Pseudomonas aeruginosa et Colilert-18 pour E. coli et coliformes, qui changent de couleur ou fluorescent sous l'action de bactéries spécifiques, ce qui permet une lecture plus rapide et plus facile des résultats.
5. **Utilisation de l'ATP-métrie** : Les analyseurs comme la série EZ7300 mesurent les quantités d'ATP (adénosine triphosphate) pour évaluer rapidement la charge microbiologique totale dans les échantillons d'eau, donnant une image instantanée de la qualité microbiologique.
6. **Systèmes de détection électrochimiques** : Ces systèmes, qui détectent les changements dans les propriétés électrochimiques des échantillons dus à l'activité microbienne, sont en cours de développement pour offrir une surveillance en temps réel et sans marqueurs des contaminants microbiens.
7. **Intelligence artificielle et analyse de données** : L'intégration de l'intelligence artificielle (IA) dans les systèmes de surveillance microbiologique permet d'améliorer les prédictions et la détection des tendances, ainsi que d'optimiser les actions de maintenance prédictive des équipements.
8. **Technologies portables et connectées** : L'essor des dispositifs portables et connectés permet une collecte et une analyse des données en continu, avec transmission sans fil vers une plateforme centrale ou cloud pour une surveillance à distance et en temps réel.
9. **Échantillonneurs automatiques** : Des équipements comme ALERT LAB de Fluidion peuvent collecter et analyser automatiquement des échantillons, et transmettre les données à distance, améliorant ainsi la fréquence et la fiabilité des mesures.
Chacune de ces technologies représente une avancée significative dans la surveillance microbiologique, offrant des avantages en termes de sensibilité, de spécificité, de rapidité et de commodité par rapport aux méthodes traditionnelles basées sur la culture. Ces évolutions contribuent à une meilleure gestion des risques microbiologiques dans divers contextes, tels que l'approvisionnement en eau potable, le contrôle des eaux usées, la sécurité alimentaire et l'hygiène hospitalière.
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- Le 22/12/2023
Quels types de populations microbiennes sont présents dans les sols ?
Réponse :
Les sols représentent un habitat complexe et diversifié pour les micro-organismes, qui jouent un rôle crucial dans les processus écologiques tels que la décomposition de la matière organique, la transformation des nutriments, la promotion de la croissance des plantes et la régulation des gaz à effet de serre. Les populations microbiennes présentes dans les sols comprennent :
1. Bactéries : Les bactéries sont les plus abondantes et diversifiées dans les sols. Elles incluent des groupes fonctionnels variés tels que les fixateurs d'azote (ex. Rhizobium, Azotobacter), les décomposeurs de matière organique (ex. Bacillus, Pseudomonas), les transformateurs de soufre (ex. Desulfovibrio) et les producteurs de méthane (méthanogènes comme Methanobacterium).
2. Champignons : Les champignons du sol incluent des mycorhizes qui forment des associations symbiotiques avec les racines des plantes, des saprophytes décomposant la matière organique morte, et des pathogènes végétaux. Les genres courants sont Aspergillus, Penicillium, Fusarium et les champignons mycorhiziens arbusculaires (Glomus).
3. Protozoaires : Ces eucaryotes unicellulaires se nourrissent de matière organique, de bactéries et de petits champignons. Ils jouent un rôle dans le contrôle de la population bactérienne et la mobilité des nutriments dans le sol.
4. Archaea : Bien que moins étudiés que les bactéries, les archées sont présentes dans les sols, surtout dans les environnements extrêmes comme les sols très acides ou chauds. Les archées méthanogènes sont importantes dans les sols anoxiques, où elles produisent du méthane.
5. Virus : Les virus du sol infectent les autres micro-organismes du sol, principalement les bactéries (bactériophages), mais également les champignons (mycovirus). Ils peuvent influencer la structure et la fonction des communautés microbiennes.
6. Nématodes : Ces vers microscopiques se nourrissent de plantes, de champignons, de bactéries et d'autres nématodes. Ils jouent un rôle dans la régulation des populations microbiennes et la distribution des nutriments.
7. Actinomycètes : Ces bactéries filamenteuses sont connues pour leur capacité à décomposer des composés organiques complexes, y compris la cellulose et la lignine. Le genre Streptomyces est bien connu pour sa production d'antibiotiques.
Pour étudier et surveiller les populations microbiennes dans les sols, divers tests microbiologiques et méthodes d'analyse peuvent être utilisés. Par exemple, les kits de test de phytotoxicité comme PHYTOTOXKIT LIQUID SAMPLES permettent de détecter la toxicité des sols, ce qui peut refléter des changements dans la composition microbienne. Les tests microbiens tels que Compact Dry fournissent une méthode facile pour quantifier les bactéries spécifiques dans les échantillons de sol. Des méthodes plus avancées, telles que la cytométrie en flux automatisée (comme celle proposée par BactoSense Multi), permettent de compter précisément les bactéries présentes dans les échantillons de sol, fournissant ainsi une image détaillée de la diversité microbienne. Enfin, des analyses moléculaires basées sur l'ADN, comme la PCR quantitative (qPCR) et le séquençage de nouvelle génération, sont également utilisées pour caractériser la diversité et la structure des communautés microbiennes dans les sols.
1. Bactéries : Les bactéries sont les plus abondantes et diversifiées dans les sols. Elles incluent des groupes fonctionnels variés tels que les fixateurs d'azote (ex. Rhizobium, Azotobacter), les décomposeurs de matière organique (ex. Bacillus, Pseudomonas), les transformateurs de soufre (ex. Desulfovibrio) et les producteurs de méthane (méthanogènes comme Methanobacterium).
2. Champignons : Les champignons du sol incluent des mycorhizes qui forment des associations symbiotiques avec les racines des plantes, des saprophytes décomposant la matière organique morte, et des pathogènes végétaux. Les genres courants sont Aspergillus, Penicillium, Fusarium et les champignons mycorhiziens arbusculaires (Glomus).
3. Protozoaires : Ces eucaryotes unicellulaires se nourrissent de matière organique, de bactéries et de petits champignons. Ils jouent un rôle dans le contrôle de la population bactérienne et la mobilité des nutriments dans le sol.
4. Archaea : Bien que moins étudiés que les bactéries, les archées sont présentes dans les sols, surtout dans les environnements extrêmes comme les sols très acides ou chauds. Les archées méthanogènes sont importantes dans les sols anoxiques, où elles produisent du méthane.
5. Virus : Les virus du sol infectent les autres micro-organismes du sol, principalement les bactéries (bactériophages), mais également les champignons (mycovirus). Ils peuvent influencer la structure et la fonction des communautés microbiennes.
6. Nématodes : Ces vers microscopiques se nourrissent de plantes, de champignons, de bactéries et d'autres nématodes. Ils jouent un rôle dans la régulation des populations microbiennes et la distribution des nutriments.
7. Actinomycètes : Ces bactéries filamenteuses sont connues pour leur capacité à décomposer des composés organiques complexes, y compris la cellulose et la lignine. Le genre Streptomyces est bien connu pour sa production d'antibiotiques.
Pour étudier et surveiller les populations microbiennes dans les sols, divers tests microbiologiques et méthodes d'analyse peuvent être utilisés. Par exemple, les kits de test de phytotoxicité comme PHYTOTOXKIT LIQUID SAMPLES permettent de détecter la toxicité des sols, ce qui peut refléter des changements dans la composition microbienne. Les tests microbiens tels que Compact Dry fournissent une méthode facile pour quantifier les bactéries spécifiques dans les échantillons de sol. Des méthodes plus avancées, telles que la cytométrie en flux automatisée (comme celle proposée par BactoSense Multi), permettent de compter précisément les bactéries présentes dans les échantillons de sol, fournissant ainsi une image détaillée de la diversité microbienne. Enfin, des analyses moléculaires basées sur l'ADN, comme la PCR quantitative (qPCR) et le séquençage de nouvelle génération, sont également utilisées pour caractériser la diversité et la structure des communautés microbiennes dans les sols.
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