Produit
APDA-372
Granulomètre optique - Mesure de poussières (concentration, taille et masse) en air ambiant
Description
Le Système de surveillance continue de la qualité de l'air ambiant APDA-372 permet la mesure continue et simultanée des valeurs PM 1, PM2,5, PM4, PM10, TSP (MPtot) et de la concentration en nombre de particules.
L’APDA-372 utilise la technique reconnue de mesure par diffusion de lumière optique. Il est équipé d'une source lumineuse à LED haute stabilité et longue durée de vie.
L’APDA-372 a reçu une certification suivant les normes suivantes : PM1, PM2,5 suivant l’EN 14907 et PM10 suivant l'EN 12341. L’APDA-372 est également certifié par le TUV et certifié QAL1, et est homologué par le LCSQA pour la mesure réglementaire.
Caractéristiques :
- Plage de mesure (granulométrie) : 180 nm – 18 µm.
- Plage de mesure (nombre) : 1 – 20 000 particules/cm3.
- Plage de mesure (masse) : <0 – 1 500 μg/m3.
- Résolution temporelle réglable : 1 seconde à 24 heures.
- Canaux granulométriques : 64
Caractéristiques générales
Caractéristique | Valeur |
---|---|
Hauteur | 3.81 cm |
Largeur | 6.35 cm |
Longueur | 11.43 cm |
Portée maximale | 91.44 m |
Précision | ± 1.6 mm |
Température de fonctionnement | -10°C à +50°C |
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Il y a 2 semaines
Je recherche les concentrations théoriques en poussière en fonction des différents types d'environnements. Y-a-t-il des données disponibles en gr/m3 ? Si oui, ou ?
Réponse :
Pour déterminer les concentrations théoriques en poussières dans différents environnements, il est crucial de se référer à des dispositifs de mesure validés et à des normes reconnues. Les appareils comme le PCME QAL 360 et le PCME STACK 181 offrent des mesures précises des concentrations de particules dans des environnements industriels avec des plages allant jusqu'à 300 mg/m³. Pour l'air ambiant, l'APDA-372 et le KUNAK AIR Pro peuvent mesurer des particules telles que PM10, PM2.5 et PM1, fournissant une indication des concentrations en temps réel. Les normes telles que la NF EN 481 ou l'ISO 7708:1995 définissent les fractions de taille pour l'échantillonnage des particules et sont essentielles pour des mesures précises et conformes. Pour des données exactes en g/m³, il est recommandé de consulter les rapports de surveillance environnementale disponibles auprès des agences de protection de l'environnement ou des études sectorielles publiées. De plus, les produits comme AirSafe PM permettent une surveillance continue, aidant à suivre les limites d'exposition définies par la réglementation du travail.
Nouvelle réponse
- Il y a 2 semaines
Comment calculer la lumière réfléchie de la poussière dans l'air ?
Réponse :
Pour calculer la lumière réfléchie par la poussière dans l'air, on utilise la méthode de diffusion de la lumière, en particulier la diffusion Mie, qui est applicable pour des particules de taille comparable à la longueur d'onde de la lumière. Cette méthode nécessite de connaître la taille et la concentration des particules.
Un instrument tel que le PCME DM 170, utilisant la technologie Light Scatter, ou l'APDA-372, qui emploie la diffusion de lumière optique, peut être utilisé pour mesurer la concentration en particules en fonction de la lumière réfléchie. Ces dispositifs émettent une lumière laser ou LED vers les particules en suspension. La lumière est alors diffusée dans différentes directions, et un capteur mesure l'intensité de la lumière réfléchie.
Les données recueillies sont ensuite analysées pour déterminer la concentration et la taille des particules, informations essentielles pour le calcul précis de la lumière réfléchie. Ces mesures peuvent être utilisées pour estimer l'impact sur la visibilité et pour évaluer la conformité avec les réglementations environnementales.
Un instrument tel que le PCME DM 170, utilisant la technologie Light Scatter, ou l'APDA-372, qui emploie la diffusion de lumière optique, peut être utilisé pour mesurer la concentration en particules en fonction de la lumière réfléchie. Ces dispositifs émettent une lumière laser ou LED vers les particules en suspension. La lumière est alors diffusée dans différentes directions, et un capteur mesure l'intensité de la lumière réfléchie.
Les données recueillies sont ensuite analysées pour déterminer la concentration et la taille des particules, informations essentielles pour le calcul précis de la lumière réfléchie. Ces mesures peuvent être utilisées pour estimer l'impact sur la visibilité et pour évaluer la conformité avec les réglementations environnementales.
Nouvelle réponse
- Le 29/02/2024
Quels sont les meilleurs moyens de mesurer le taux d'empoussiérage dans des locaux d'archives avant et après des travaux de rénovation?
Réponse :
Pour mesurer le taux d'empoussiérage dans des locaux d'archives avant et après des travaux de rénovation, il est crucial d'utiliser des instruments de mesure de la qualité de l'air intérieur capables de détecter et de quantifier les particules fines en suspension qui peuvent affecter la conservation des documents d'archives. Voici une approche technique pour effectuer cette mesure :
1. **Choix de l'instrumentation** :
- **Granulomètres optiques** : Des appareils tels que l'**APDA-372** qui permettent de mesurer en continu la concentration, la taille et la masse des particules en suspension dans l'air. Ces appareils utilisent la technique de diffusion de la lumière pour détecter les particules de différentes tailles, telles que PM1, PM2.5, et PM10.
- **Capteurs de poussière électrodynamiques** : Des solutions comme l'**AirSafe PM** ou l'**AirSafe 2** peuvent surveiller les concentrations de poussière dans l'air ambiant avec une sensibilité élevée et déclencher des alarmes si des seuils prédéfinis sont dépassés.
- **Préleveurs séquentiels** : Pour des mesures ponctuelles et détaillées, des appareils comme le **MET ONE E-SEQ-FRM** permettent de collecter des échantillons de particules sur des filtres qui peuvent ensuite être analysés en laboratoire pour une caractérisation précise.
2. **Calibration et étalonnage** :
- Avant de commencer les mesures, il est essentiel de s'assurer que l'instrumentation est correctement calibrée et étalonnée selon les standards en vigueur, afin de garantir la validité des résultats.
3. **Planification de la mesure** :
- **Avant les travaux** : Effectuer des mesures de base pour établir un niveau de référence de la qualité de l'air et le taux d'empoussiérage initial dans différents endroits des locaux.
- **Pendant les travaux** : Mettre en place un suivi continu pour évaluer l'impact des travaux sur la qualité de l'air et prendre des mesures correctives si nécessaire.
- **Après les travaux** : Réaliser à nouveau des mesures pour évaluer l'efficacité des actions de nettoyage et de rénovation en termes de réduction du taux d'empoussiérage.
4. **Analyse des données** :
- Les données recueillies doivent être analysées en tenant compte des limites réglementaires ou des normes de qualité d'air intérieur spécifiques aux locaux d'archives.
- Des logiciels fournis avec les instruments de mesure peuvent aider à l'analyse et à la visualisation des données, et à l'identification de tendances ou de pics de pollution.
5. **Rapport et documentation** :
- Rédiger un rapport détaillé comprenant les données brutes et les analyses pour documenter les niveaux d'empoussiérage avant et après les travaux.
- Utiliser ces informations pour valider les méthodes de nettoyage et de rénovation, et pour mettre en place des pratiques de maintenance préventive si nécessaire.
**Produits potentiels** :
- **APDA-372** pour une analyse granulométrique continue.
- **AirSafe PM** ou **AirSafe 2** pour une surveillance in situ en temps réel.
- **MET ONE E-SEQ-FRM** pour des prélèvements séquentiels et une analyse post-mesure.
Il est recommandé de consulter des spécialistes en mesure de la qualité de l'air pour choisir l'appareillage le plus adapté aux besoins spécifiques des locaux d'archives et pour garantir une interprétation correcte des résultats obtenus.
1. **Choix de l'instrumentation** :
- **Granulomètres optiques** : Des appareils tels que l'**APDA-372** qui permettent de mesurer en continu la concentration, la taille et la masse des particules en suspension dans l'air. Ces appareils utilisent la technique de diffusion de la lumière pour détecter les particules de différentes tailles, telles que PM1, PM2.5, et PM10.
- **Capteurs de poussière électrodynamiques** : Des solutions comme l'**AirSafe PM** ou l'**AirSafe 2** peuvent surveiller les concentrations de poussière dans l'air ambiant avec une sensibilité élevée et déclencher des alarmes si des seuils prédéfinis sont dépassés.
- **Préleveurs séquentiels** : Pour des mesures ponctuelles et détaillées, des appareils comme le **MET ONE E-SEQ-FRM** permettent de collecter des échantillons de particules sur des filtres qui peuvent ensuite être analysés en laboratoire pour une caractérisation précise.
2. **Calibration et étalonnage** :
- Avant de commencer les mesures, il est essentiel de s'assurer que l'instrumentation est correctement calibrée et étalonnée selon les standards en vigueur, afin de garantir la validité des résultats.
3. **Planification de la mesure** :
- **Avant les travaux** : Effectuer des mesures de base pour établir un niveau de référence de la qualité de l'air et le taux d'empoussiérage initial dans différents endroits des locaux.
- **Pendant les travaux** : Mettre en place un suivi continu pour évaluer l'impact des travaux sur la qualité de l'air et prendre des mesures correctives si nécessaire.
- **Après les travaux** : Réaliser à nouveau des mesures pour évaluer l'efficacité des actions de nettoyage et de rénovation en termes de réduction du taux d'empoussiérage.
4. **Analyse des données** :
- Les données recueillies doivent être analysées en tenant compte des limites réglementaires ou des normes de qualité d'air intérieur spécifiques aux locaux d'archives.
- Des logiciels fournis avec les instruments de mesure peuvent aider à l'analyse et à la visualisation des données, et à l'identification de tendances ou de pics de pollution.
5. **Rapport et documentation** :
- Rédiger un rapport détaillé comprenant les données brutes et les analyses pour documenter les niveaux d'empoussiérage avant et après les travaux.
- Utiliser ces informations pour valider les méthodes de nettoyage et de rénovation, et pour mettre en place des pratiques de maintenance préventive si nécessaire.
**Produits potentiels** :
- **APDA-372** pour une analyse granulométrique continue.
- **AirSafe PM** ou **AirSafe 2** pour une surveillance in situ en temps réel.
- **MET ONE E-SEQ-FRM** pour des prélèvements séquentiels et une analyse post-mesure.
Il est recommandé de consulter des spécialistes en mesure de la qualité de l'air pour choisir l'appareillage le plus adapté aux besoins spécifiques des locaux d'archives et pour garantir une interprétation correcte des résultats obtenus.
Marque
Fabriqué par :
HORIBA FRANCE SAS
Vendu par :
Certifications
Certifications |
---|
Certification TUV |
Homologation LCSQA |
NF EN 12341 (PM10) |
NF EN 14907 (PM1, PM2,5) |
QAL1 |
Partager
Posez une question sur le produit
Poser une question
Questions (8)
Nouvelle réponse
- Il y a 2 semaines
Je recherche les concentrations théoriques en poussière en fonction des différents types d'environnements. Y-a-t-il des données disponibles en gr/m3 ? Si oui, ou ?
Réponse :
Pour déterminer les concentrations théoriques en poussières dans différents environnements, il est crucial de se référer à des dispositifs de mesure validés et à des normes reconnues. Les appareils comme le PCME QAL 360 et le PCME STACK 181 offrent des mesures précises des concentrations de particules dans des environnements industriels avec des plages allant jusqu'à 300 mg/m³. Pour l'air ambiant, l'APDA-372 et le KUNAK AIR Pro peuvent mesurer des particules telles que PM10, PM2.5 et PM1, fournissant une indication des concentrations en temps réel. Les normes telles que la NF EN 481 ou l'ISO 7708:1995 définissent les fractions de taille pour l'échantillonnage des particules et sont essentielles pour des mesures précises et conformes. Pour des données exactes en g/m³, il est recommandé de consulter les rapports de surveillance environnementale disponibles auprès des agences de protection de l'environnement ou des études sectorielles publiées. De plus, les produits comme AirSafe PM permettent une surveillance continue, aidant à suivre les limites d'exposition définies par la réglementation du travail.
Nouvelle réponse
- Il y a 2 semaines
Comment calculer la lumière réfléchie de la poussière dans l'air ?
Réponse :
Pour calculer la lumière réfléchie par la poussière dans l'air, on utilise la méthode de diffusion de la lumière, en particulier la diffusion Mie, qui est applicable pour des particules de taille comparable à la longueur d'onde de la lumière. Cette méthode nécessite de connaître la taille et la concentration des particules.
Un instrument tel que le PCME DM 170, utilisant la technologie Light Scatter, ou l'APDA-372, qui emploie la diffusion de lumière optique, peut être utilisé pour mesurer la concentration en particules en fonction de la lumière réfléchie. Ces dispositifs émettent une lumière laser ou LED vers les particules en suspension. La lumière est alors diffusée dans différentes directions, et un capteur mesure l'intensité de la lumière réfléchie.
Les données recueillies sont ensuite analysées pour déterminer la concentration et la taille des particules, informations essentielles pour le calcul précis de la lumière réfléchie. Ces mesures peuvent être utilisées pour estimer l'impact sur la visibilité et pour évaluer la conformité avec les réglementations environnementales.
Un instrument tel que le PCME DM 170, utilisant la technologie Light Scatter, ou l'APDA-372, qui emploie la diffusion de lumière optique, peut être utilisé pour mesurer la concentration en particules en fonction de la lumière réfléchie. Ces dispositifs émettent une lumière laser ou LED vers les particules en suspension. La lumière est alors diffusée dans différentes directions, et un capteur mesure l'intensité de la lumière réfléchie.
Les données recueillies sont ensuite analysées pour déterminer la concentration et la taille des particules, informations essentielles pour le calcul précis de la lumière réfléchie. Ces mesures peuvent être utilisées pour estimer l'impact sur la visibilité et pour évaluer la conformité avec les réglementations environnementales.
Nouvelle réponse
- Le 29/02/2024
Quels sont les meilleurs moyens de mesurer le taux d'empoussiérage dans des locaux d'archives avant et après des travaux de rénovation?
Réponse :
Pour mesurer le taux d'empoussiérage dans des locaux d'archives avant et après des travaux de rénovation, il est crucial d'utiliser des instruments de mesure de la qualité de l'air intérieur capables de détecter et de quantifier les particules fines en suspension qui peuvent affecter la conservation des documents d'archives. Voici une approche technique pour effectuer cette mesure :
1. **Choix de l'instrumentation** :
- **Granulomètres optiques** : Des appareils tels que l'**APDA-372** qui permettent de mesurer en continu la concentration, la taille et la masse des particules en suspension dans l'air. Ces appareils utilisent la technique de diffusion de la lumière pour détecter les particules de différentes tailles, telles que PM1, PM2.5, et PM10.
- **Capteurs de poussière électrodynamiques** : Des solutions comme l'**AirSafe PM** ou l'**AirSafe 2** peuvent surveiller les concentrations de poussière dans l'air ambiant avec une sensibilité élevée et déclencher des alarmes si des seuils prédéfinis sont dépassés.
- **Préleveurs séquentiels** : Pour des mesures ponctuelles et détaillées, des appareils comme le **MET ONE E-SEQ-FRM** permettent de collecter des échantillons de particules sur des filtres qui peuvent ensuite être analysés en laboratoire pour une caractérisation précise.
2. **Calibration et étalonnage** :
- Avant de commencer les mesures, il est essentiel de s'assurer que l'instrumentation est correctement calibrée et étalonnée selon les standards en vigueur, afin de garantir la validité des résultats.
3. **Planification de la mesure** :
- **Avant les travaux** : Effectuer des mesures de base pour établir un niveau de référence de la qualité de l'air et le taux d'empoussiérage initial dans différents endroits des locaux.
- **Pendant les travaux** : Mettre en place un suivi continu pour évaluer l'impact des travaux sur la qualité de l'air et prendre des mesures correctives si nécessaire.
- **Après les travaux** : Réaliser à nouveau des mesures pour évaluer l'efficacité des actions de nettoyage et de rénovation en termes de réduction du taux d'empoussiérage.
4. **Analyse des données** :
- Les données recueillies doivent être analysées en tenant compte des limites réglementaires ou des normes de qualité d'air intérieur spécifiques aux locaux d'archives.
- Des logiciels fournis avec les instruments de mesure peuvent aider à l'analyse et à la visualisation des données, et à l'identification de tendances ou de pics de pollution.
5. **Rapport et documentation** :
- Rédiger un rapport détaillé comprenant les données brutes et les analyses pour documenter les niveaux d'empoussiérage avant et après les travaux.
- Utiliser ces informations pour valider les méthodes de nettoyage et de rénovation, et pour mettre en place des pratiques de maintenance préventive si nécessaire.
**Produits potentiels** :
- **APDA-372** pour une analyse granulométrique continue.
- **AirSafe PM** ou **AirSafe 2** pour une surveillance in situ en temps réel.
- **MET ONE E-SEQ-FRM** pour des prélèvements séquentiels et une analyse post-mesure.
Il est recommandé de consulter des spécialistes en mesure de la qualité de l'air pour choisir l'appareillage le plus adapté aux besoins spécifiques des locaux d'archives et pour garantir une interprétation correcte des résultats obtenus.
1. **Choix de l'instrumentation** :
- **Granulomètres optiques** : Des appareils tels que l'**APDA-372** qui permettent de mesurer en continu la concentration, la taille et la masse des particules en suspension dans l'air. Ces appareils utilisent la technique de diffusion de la lumière pour détecter les particules de différentes tailles, telles que PM1, PM2.5, et PM10.
- **Capteurs de poussière électrodynamiques** : Des solutions comme l'**AirSafe PM** ou l'**AirSafe 2** peuvent surveiller les concentrations de poussière dans l'air ambiant avec une sensibilité élevée et déclencher des alarmes si des seuils prédéfinis sont dépassés.
- **Préleveurs séquentiels** : Pour des mesures ponctuelles et détaillées, des appareils comme le **MET ONE E-SEQ-FRM** permettent de collecter des échantillons de particules sur des filtres qui peuvent ensuite être analysés en laboratoire pour une caractérisation précise.
2. **Calibration et étalonnage** :
- Avant de commencer les mesures, il est essentiel de s'assurer que l'instrumentation est correctement calibrée et étalonnée selon les standards en vigueur, afin de garantir la validité des résultats.
3. **Planification de la mesure** :
- **Avant les travaux** : Effectuer des mesures de base pour établir un niveau de référence de la qualité de l'air et le taux d'empoussiérage initial dans différents endroits des locaux.
- **Pendant les travaux** : Mettre en place un suivi continu pour évaluer l'impact des travaux sur la qualité de l'air et prendre des mesures correctives si nécessaire.
- **Après les travaux** : Réaliser à nouveau des mesures pour évaluer l'efficacité des actions de nettoyage et de rénovation en termes de réduction du taux d'empoussiérage.
4. **Analyse des données** :
- Les données recueillies doivent être analysées en tenant compte des limites réglementaires ou des normes de qualité d'air intérieur spécifiques aux locaux d'archives.
- Des logiciels fournis avec les instruments de mesure peuvent aider à l'analyse et à la visualisation des données, et à l'identification de tendances ou de pics de pollution.
5. **Rapport et documentation** :
- Rédiger un rapport détaillé comprenant les données brutes et les analyses pour documenter les niveaux d'empoussiérage avant et après les travaux.
- Utiliser ces informations pour valider les méthodes de nettoyage et de rénovation, et pour mettre en place des pratiques de maintenance préventive si nécessaire.
**Produits potentiels** :
- **APDA-372** pour une analyse granulométrique continue.
- **AirSafe PM** ou **AirSafe 2** pour une surveillance in situ en temps réel.
- **MET ONE E-SEQ-FRM** pour des prélèvements séquentiels et une analyse post-mesure.
Il est recommandé de consulter des spécialistes en mesure de la qualité de l'air pour choisir l'appareillage le plus adapté aux besoins spécifiques des locaux d'archives et pour garantir une interprétation correcte des résultats obtenus.
Nouvelle réponse
- Le 26/01/2024
Peut-on faire une analyse PM10 et PM2,5 en un seul prélèvement?
Réponse :
Oui, il est possible de réaliser une analyse de particules PM10 et PM2,5 en un seul prélèvement à l'aide de dispositifs de mesure spécifiques conçus pour classifier et collecter des particules de différentes tailles. Ces dispositifs utilisent généralement l’impaction ou la filtration pour séparer les particules selon leur diamètre aérodynamique.
Un exemple de produit qui pourrait être utilisé pour de telles mesures est l’impacteur séquentiel ou l’échantillonneur de poussières séquentiel, comme le MET ONE E-SEQ-FRM mentionné précédemment. Cet appareil est capable d'échantillonner sélectivement des particules PM10 et PM2,5 grâce à l'utilisation de pré-séparateurs ou de têtes d'impaction spécifiques qui capturent les particules plus grandes (PM10) et permettent aux particules plus fines (PM2,5) de passer à travers pour être collectées sur un filtre séparé.
Un autre appareil potentiellement utilisable pour une telle mesure est le granulomètre optique APDA-372, qui permet la mesure continue et simultanée des valeurs PM1, PM2,5, PM10 et TSP (total suspended particles) dans l'air ambiant. Ce type d'appareil utilise la diffusion de la lumière pour estimer la concentration et la distribution granulométrique des particules en suspension dans l'air.
Des analyseurs de poussières en temps réel, comme le Kunak AIR Pro ou l'Aeroqual AQS 1, sont également capables de mesurer les concentrations de PM10 et PM2,5 en temps réel sans nécessiter un prélèvement physique pour l'analyse ultérieure en laboratoire. Ces appareils utilisent des techniques optiques ou d'autres méthodes de détection pour estimer la concentration des particules dans l'air.
Pour les mesures réglementaires et de conformité, il est important de s'assurer que les équipements utilisés sont certifiés et répondent aux normes de mesure appropriées, telles que celles établies par l'Agence de Protection de l'Environnement des États-Unis (EPA) ou les normes européennes équivalentes.
Un exemple de produit qui pourrait être utilisé pour de telles mesures est l’impacteur séquentiel ou l’échantillonneur de poussières séquentiel, comme le MET ONE E-SEQ-FRM mentionné précédemment. Cet appareil est capable d'échantillonner sélectivement des particules PM10 et PM2,5 grâce à l'utilisation de pré-séparateurs ou de têtes d'impaction spécifiques qui capturent les particules plus grandes (PM10) et permettent aux particules plus fines (PM2,5) de passer à travers pour être collectées sur un filtre séparé.
Un autre appareil potentiellement utilisable pour une telle mesure est le granulomètre optique APDA-372, qui permet la mesure continue et simultanée des valeurs PM1, PM2,5, PM10 et TSP (total suspended particles) dans l'air ambiant. Ce type d'appareil utilise la diffusion de la lumière pour estimer la concentration et la distribution granulométrique des particules en suspension dans l'air.
Des analyseurs de poussières en temps réel, comme le Kunak AIR Pro ou l'Aeroqual AQS 1, sont également capables de mesurer les concentrations de PM10 et PM2,5 en temps réel sans nécessiter un prélèvement physique pour l'analyse ultérieure en laboratoire. Ces appareils utilisent des techniques optiques ou d'autres méthodes de détection pour estimer la concentration des particules dans l'air.
Pour les mesures réglementaires et de conformité, il est important de s'assurer que les équipements utilisés sont certifiés et répondent aux normes de mesure appropriées, telles que celles établies par l'Agence de Protection de l'Environnement des États-Unis (EPA) ou les normes européennes équivalentes.
Nouvelle réponse
- Le 22/01/2024
Quel instrument utiliser pour déterminer la quantité des poussières dans l'air ambiant?
Réponse :
Pour déterminer la quantité de poussières dans l'air ambiant, il est nécessaire d'utiliser un appareil capable de mesurer les concentrations en particules suspendues dans l'air. Plusieurs instruments sont disponibles sur le marché, chacun avec ses propres caractéristiques et spécifications. Voici quelques exemples d'instruments adaptés à cette tâche :
1. **Granulomètre optique - APDA-372** : Cet instrument utilise la technique de mesure par diffusion de lumière optique pour déterminer la concentration en masse et la répartition granulométrique des particules en suspension dans l'air ambiant. Il est capable de mesurer des valeurs PM1, PM2.5, PM4, PM10, et TSP (Total Suspended Particles). Certifié selon les normes EN 14907 et EN 12341, l'APDA-372 est également certifié par le TÜV et homologué par le LCSQA pour la mesure réglementaire.
2. **Préleveur de poussières séquentiel - MET ONE E-SEQ-FRM** : Ce préleveur automatique est spécifiquement conçu pour l'échantillonnage des PM2.5, PM10, et PM10-2,5. Il est considéré comme un prélèvement de référence et est désigné par l'US-EPA pour ces méthodes d'échantillonnage. Il permet de recueillir des échantillons sur des filtres qui sont ensuite analysés en laboratoire pour déterminer la concentration massique des particules.
3. **Analyseur de particules aéroportées - APDA-371** : Utilisant le principe de l'atténuation du rayonnement bêta, cet appareil mesure et enregistre automatiquement les niveaux de concentration de particules. Il est particulièrement adapté pour des mesures continues et peut fournir des données en temps réel sur la concentration de particules en suspension dans l'air.
4. **Capteur de surveillance de l’exposition à la poussière - Airsafe PM** : Ce capteur permet une surveillance continue et précise de l’exposition aux poussières dans l'air ambiant intérieur. Il est conçu pour mesurer des particules inhalables, thoraciques, et alvéolaires conformément aux normes comme NF EN 481 et est idéal pour la surveillance de la qualité de l'air sur le lieu de travail.
5. **Station portable de surveillance des particules de poussière - Dust Detective** : Il s'agit d'une station portable qui peut être utilisée pour surveiller et enregistrer les niveaux de particules dans différents environnements. C'est une solution idéale pour des mesures sur le terrain ou dans différents lieux d'une installation.
L'instrument à choisir dépendra de plusieurs facteurs, notamment la plage de concentration des particules à mesurer, les types de particules à surveiller (PM1, PM2.5, PM10, etc.), la nécessité ou non d'une mesure en temps réel, les exigences réglementaires, et les conditions spécifiques du site de mesure. Il est important de consulter les spécifications techniques de chaque instrument et, si nécessaire, de demander conseil auprès d'experts ou de fournisseurs spécialisés pour s'assurer que l'instrument sélectionné répond à tous les besoins de mesure spécifiques.
1. **Granulomètre optique - APDA-372** : Cet instrument utilise la technique de mesure par diffusion de lumière optique pour déterminer la concentration en masse et la répartition granulométrique des particules en suspension dans l'air ambiant. Il est capable de mesurer des valeurs PM1, PM2.5, PM4, PM10, et TSP (Total Suspended Particles). Certifié selon les normes EN 14907 et EN 12341, l'APDA-372 est également certifié par le TÜV et homologué par le LCSQA pour la mesure réglementaire.
2. **Préleveur de poussières séquentiel - MET ONE E-SEQ-FRM** : Ce préleveur automatique est spécifiquement conçu pour l'échantillonnage des PM2.5, PM10, et PM10-2,5. Il est considéré comme un prélèvement de référence et est désigné par l'US-EPA pour ces méthodes d'échantillonnage. Il permet de recueillir des échantillons sur des filtres qui sont ensuite analysés en laboratoire pour déterminer la concentration massique des particules.
3. **Analyseur de particules aéroportées - APDA-371** : Utilisant le principe de l'atténuation du rayonnement bêta, cet appareil mesure et enregistre automatiquement les niveaux de concentration de particules. Il est particulièrement adapté pour des mesures continues et peut fournir des données en temps réel sur la concentration de particules en suspension dans l'air.
4. **Capteur de surveillance de l’exposition à la poussière - Airsafe PM** : Ce capteur permet une surveillance continue et précise de l’exposition aux poussières dans l'air ambiant intérieur. Il est conçu pour mesurer des particules inhalables, thoraciques, et alvéolaires conformément aux normes comme NF EN 481 et est idéal pour la surveillance de la qualité de l'air sur le lieu de travail.
5. **Station portable de surveillance des particules de poussière - Dust Detective** : Il s'agit d'une station portable qui peut être utilisée pour surveiller et enregistrer les niveaux de particules dans différents environnements. C'est une solution idéale pour des mesures sur le terrain ou dans différents lieux d'une installation.
L'instrument à choisir dépendra de plusieurs facteurs, notamment la plage de concentration des particules à mesurer, les types de particules à surveiller (PM1, PM2.5, PM10, etc.), la nécessité ou non d'une mesure en temps réel, les exigences réglementaires, et les conditions spécifiques du site de mesure. Il est important de consulter les spécifications techniques de chaque instrument et, si nécessaire, de demander conseil auprès d'experts ou de fournisseurs spécialisés pour s'assurer que l'instrument sélectionné répond à tous les besoins de mesure spécifiques.
Nouvelle réponse
- Le 27/12/2023
Combien mesure une poussière blanche ?
Réponse :
La question "Combien mesure une poussière blanche ?" est en réalité mal formulée si l'on cherche une réponse précise et technique, car la mesure d'une poussière ne se réfère pas à une quantité mais plutôt à la taille ou à la concentration des particules qui la composent. Pour y répondre techniquement, il est nécessaire de clarifier ce que l'on souhaite mesurer à propos de la poussière blanche : sa taille de particule, sa concentration en particules dans l'air, ou une autre caractéristique ?
Si l'on s'intéresse à la taille des particules de poussière, les poussières peuvent varier considérablement en taille, allant de quelques nanomètres (nm) à plusieurs micromètres (µm). Par exemple, la poussière domestique peut inclure des particules dont la taille varie de moins de 1 µm à plus de 100 µm, tandis que les poussières industrielles peuvent avoir des distributions de taille spécifiques selon le procédé.
Pour la concentration de poussières dans l'air, celle-ci est généralement mesurée en microgrammes par mètre cube (µg/m³) ou en milligrammes par mètre cube (mg/m³), selon la densité des particules en suspension.
Concernant les produits qui pourraient être utilisés pour mesurer les caractéristiques d'une poussière blanche, voici quelques exemples pertinents :
- **Granulomètre optique - APDA-372** : Ce dispositif peut mesurer la concentration, la taille et la masse des particules de poussière en air ambiant. Il est basé sur la diffusion de la lumière et est capable de fournir des mesures pour différentes tailles de particules, comme PM1, PM2.5, PM10, etc.
- **ProSens** : Il s'agit d'un instrument conçu pour mesurer la concentration de poussières en continu, spécialement après les filtres pour surveiller leur performance.
- **PCME DM 170** : Cet analyseur de poussières utilise la technologie Light Scatter pour mesurer les concentrations de particules dans diverses applications industrielles.
- **AirSafe 2** et **Airsafe PM** : Ces capteurs de poussières électrodynamiques sont conçus pour surveiller les concentrations de poussières dans l'air ambiant, comme dans les zones de travail ou à proximité des installations de production.
- **MET ONE E-SEQ-FRM** : Il s'agit d'un préleveur de poussières séquentiel qui permet de collecter des échantillons de particules sur des filtres pour une analyse ultérieure de leur taille et de leur composition.
Pour mener une mesure précise, il est important de choisir l'équipement adapté à la nature de la poussière et à l'objectif de la mesure (taille des particules, concentration, etc.). En outre, il est essentiel de suivre les protocoles standardisés et d'utiliser des instruments étalonnés et certifiés pour obtenir des résultats fiables.
Si l'on s'intéresse à la taille des particules de poussière, les poussières peuvent varier considérablement en taille, allant de quelques nanomètres (nm) à plusieurs micromètres (µm). Par exemple, la poussière domestique peut inclure des particules dont la taille varie de moins de 1 µm à plus de 100 µm, tandis que les poussières industrielles peuvent avoir des distributions de taille spécifiques selon le procédé.
Pour la concentration de poussières dans l'air, celle-ci est généralement mesurée en microgrammes par mètre cube (µg/m³) ou en milligrammes par mètre cube (mg/m³), selon la densité des particules en suspension.
Concernant les produits qui pourraient être utilisés pour mesurer les caractéristiques d'une poussière blanche, voici quelques exemples pertinents :
- **Granulomètre optique - APDA-372** : Ce dispositif peut mesurer la concentration, la taille et la masse des particules de poussière en air ambiant. Il est basé sur la diffusion de la lumière et est capable de fournir des mesures pour différentes tailles de particules, comme PM1, PM2.5, PM10, etc.
- **ProSens** : Il s'agit d'un instrument conçu pour mesurer la concentration de poussières en continu, spécialement après les filtres pour surveiller leur performance.
- **PCME DM 170** : Cet analyseur de poussières utilise la technologie Light Scatter pour mesurer les concentrations de particules dans diverses applications industrielles.
- **AirSafe 2** et **Airsafe PM** : Ces capteurs de poussières électrodynamiques sont conçus pour surveiller les concentrations de poussières dans l'air ambiant, comme dans les zones de travail ou à proximité des installations de production.
- **MET ONE E-SEQ-FRM** : Il s'agit d'un préleveur de poussières séquentiel qui permet de collecter des échantillons de particules sur des filtres pour une analyse ultérieure de leur taille et de leur composition.
Pour mener une mesure précise, il est important de choisir l'équipement adapté à la nature de la poussière et à l'objectif de la mesure (taille des particules, concentration, etc.). En outre, il est essentiel de suivre les protocoles standardisés et d'utiliser des instruments étalonnés et certifiés pour obtenir des résultats fiables.
Nouvelle réponse
- Le 23/12/2023
Dans quel cadre est-il obligatoire d'obtenir un rapport risques cires avec des prélèvement atmosphériques ?
Réponse :
En France, l'obtention d'un rapport sur les risques chimiques, incluant des prélèvements atmosphériques, est obligatoire dans le cadre de la réglementation relative à la santé et la sécurité au travail, en particulier pour l'évaluation des risques professionnels. Ce besoin est stipulé par le Code du travail qui impose à l'employeur d'assurer la sécurité et de protéger la santé de ses salariés en prenant toutes les mesures nécessaires.
L'obligation d'évaluer les risques chimiques et d'effectuer des mesures d'exposition est renforcée par l'application de la directive européenne 98/24/CE, concernant la protection de la santé et de la sécurité des travailleurs contre les risques liés aux agents chimiques au travail. Cette directive est transposée en droit français.
Les prélèvements atmosphériques et le rapport de risques chimiques sont particulièrement requis dans les situations suivantes :
1. **Évaluation des Risques Professionnels (EvRP)** : L'employeur doit réaliser une évaluation des risques pour la santé et la sécurité des travailleurs, y compris les risques liés à l'exposition à des agents chimiques dangereux. Si des substances chimiques sont utilisées ou produites sur le lieu de travail, des mesures de l'atmosphère de travail peuvent être nécessaires pour évaluer l'exposition des travailleurs.
2. **Mise en Conformité avec les Valeurs Limites d'Exposition Professionnelle (VLEP)** : Des prélèvements atmosphériques sont nécessaires pour vérifier que les concentrations des substances chimiques sur le lieu de travail ne dépassent pas les VLEP définies par la réglementation.
3. **Plan de Prévention des Risques Chimiques (PPRC)** : Pour les entreprises ayant des activités impliquant des risques chimiques, la mise en place d'un PPRC est obligatoire. Ce plan comprend des mesures de prévention, de protection et de surveillance de l'exposition des travailleurs aux produits chimiques, incluant des prélèvements atmosphériques réguliers.
4. **Autorisation des Installations Classées pour la Protection de l'Environnement (ICPE)** : Pour certaines installations classées, des mesures de surveillance de la qualité de l'air peuvent être exigées par les autorités pour le suivi des rejets atmosphériques et l'évaluation de leur impact sur l'environnement et la santé.
5. **Enquête suite à un Accident du Travail ou une Maladie Professionnelle** : Après un accident du travail ou la déclaration d'une maladie professionnelle liée à une exposition chimique, des prélèvements atmosphériques peuvent être demandés pour évaluer les conditions d'exposition.
Pour réaliser ces prélèvements, des produits tels que l'APDA-372 (Granulomètre optique pour la mesure de poussières), l'APNA-370 (Mesure en continu du NO, NO2 et NOx), l'APSA-370 (Mesure en continu du SO2) ou des échantillonneurs d'air tels que le MICRO PNS peuvent être utilisés. Ces équipements permettent de collecter et d'analyser les substances présentes dans l'air et de fournir les données nécessaires à la rédaction d'un rapport de risques chimiques conforme aux exigences réglementaires.
L'obligation d'évaluer les risques chimiques et d'effectuer des mesures d'exposition est renforcée par l'application de la directive européenne 98/24/CE, concernant la protection de la santé et de la sécurité des travailleurs contre les risques liés aux agents chimiques au travail. Cette directive est transposée en droit français.
Les prélèvements atmosphériques et le rapport de risques chimiques sont particulièrement requis dans les situations suivantes :
1. **Évaluation des Risques Professionnels (EvRP)** : L'employeur doit réaliser une évaluation des risques pour la santé et la sécurité des travailleurs, y compris les risques liés à l'exposition à des agents chimiques dangereux. Si des substances chimiques sont utilisées ou produites sur le lieu de travail, des mesures de l'atmosphère de travail peuvent être nécessaires pour évaluer l'exposition des travailleurs.
2. **Mise en Conformité avec les Valeurs Limites d'Exposition Professionnelle (VLEP)** : Des prélèvements atmosphériques sont nécessaires pour vérifier que les concentrations des substances chimiques sur le lieu de travail ne dépassent pas les VLEP définies par la réglementation.
3. **Plan de Prévention des Risques Chimiques (PPRC)** : Pour les entreprises ayant des activités impliquant des risques chimiques, la mise en place d'un PPRC est obligatoire. Ce plan comprend des mesures de prévention, de protection et de surveillance de l'exposition des travailleurs aux produits chimiques, incluant des prélèvements atmosphériques réguliers.
4. **Autorisation des Installations Classées pour la Protection de l'Environnement (ICPE)** : Pour certaines installations classées, des mesures de surveillance de la qualité de l'air peuvent être exigées par les autorités pour le suivi des rejets atmosphériques et l'évaluation de leur impact sur l'environnement et la santé.
5. **Enquête suite à un Accident du Travail ou une Maladie Professionnelle** : Après un accident du travail ou la déclaration d'une maladie professionnelle liée à une exposition chimique, des prélèvements atmosphériques peuvent être demandés pour évaluer les conditions d'exposition.
Pour réaliser ces prélèvements, des produits tels que l'APDA-372 (Granulomètre optique pour la mesure de poussières), l'APNA-370 (Mesure en continu du NO, NO2 et NOx), l'APSA-370 (Mesure en continu du SO2) ou des échantillonneurs d'air tels que le MICRO PNS peuvent être utilisés. Ces équipements permettent de collecter et d'analyser les substances présentes dans l'air et de fournir les données nécessaires à la rédaction d'un rapport de risques chimiques conforme aux exigences réglementaires.
Nouvelle réponse
- Le 16/12/2023
Comment mesurer des particules métalliques de 10 microns avec précision?
Réponse :
La mesure de particules métalliques de 10 microns avec précision peut être réalisée en utilisant une combinaison de techniques de détection de particules et d'instruments spécialisés qui peuvent différencier les particules en fonction de leur taille et de leur nature. Voici un aperçu des méthodes et des appareils potentiels qui pourraient être utilisés pour cette tâche :
1. Microscopie Électronique à Balayage (MEB) :
La microscopie électronique à balayage est une technique qui permet d'obtenir des images à haute résolution de la surface des particules. En utilisant un faisceau d'électrons, le MEB peut non seulement visualiser des particules de 10 microns, mais aussi déterminer leur composition élémentaire grâce à la spectroscopie dispersive en énergie (EDS).
2. Spectrométrie de Masse avec Source d'Ionisation par Désorption Laser Assistée par Matrice (MALDI-TOF) :
Cette technique est utilisée pour l'analyse des particules en mesurant leur masse à charge ratio. Elle est particulièrement utile pour l'analyse de particules métalliques et peut fournir une identification précise des ions métalliques présents dans un échantillon.
3. Diffraction Laser (LD) :
La diffraction laser est une technique couramment utilisée pour mesurer la taille des particules dans un échantillon en suspension ou en aérosol. Les instruments comme le Granulomètre optique (par exemple, l'APDA-372) utilisent la lumière diffusée par les particules lorsque celles-ci sont exposées à un faisceau laser pour déterminer leur taille.
4. Analyse par Diffusion de Lumière Dynamique (DLS) :
Cette technique est utilisée pour mesurer de petites particules dans des solutions en surveillant les fluctuations de l'intensité de la lumière diffusée causées par le mouvement brownien des particules. Elle est plus adaptée pour des particules inférieures à 1 micron, mais peut être utile en complément d'autres techniques.
5. Compteurs de Particules :
Les compteurs de particules optiques ou laser, comme le Dust Detective, peuvent être utilisés pour mesurer la concentration et la distribution en taille des particules en suspension dans l'air. Ces instruments aspirent un volume d'air et utilisent la lumière diffusée ou absorbée par les particules pour les compter et les classer par taille.
6. Filtration Suivie d'Analyse Gravimétrique :
Les particules peuvent être capturées sur un filtre de taille appropriée, comme un filtre à pores de 10 microns. Après collecte, le filtre est pesé avec précision pour déterminer la masse des particules métalliques collectées. Cette méthode est simple et directe, mais ne fournit pas d'informations sur la composition des particules.
7. Techniques de Séparation Basées sur la Mobilité des Particules :
Des instruments comme les spectromètres de masse à mobilité ionique ou les analyseurs de taille de particules par mobilité électrique peuvent classer les particules en fonction de leur vitesse de déplacement dans un champ électrique, ce qui est lié à leur taille et à leur forme.
Pour la mesure spécifique de particules métalliques de 10 microns, un instrument comme le Granulomètre optique APDA-372 pourrait être particulièrement utile car il permet non seulement de mesurer la concentration totale de particules, mais aussi de fournir une distribution granulométrique qui inclurait des particules de 10 microns. En fonction de l'application spécifique et de la nécessité d'identifier la composition des particules, d'autres techniques comme la MEB avec EDS pourraient être employées pour compléter la mesure de taille. Il est également important de noter que la préparation de l'échantillon et la manipulation doivent être effectuées avec soin pour éviter toute contamination ou altération de la taille des particules.
1. Microscopie Électronique à Balayage (MEB) :
La microscopie électronique à balayage est une technique qui permet d'obtenir des images à haute résolution de la surface des particules. En utilisant un faisceau d'électrons, le MEB peut non seulement visualiser des particules de 10 microns, mais aussi déterminer leur composition élémentaire grâce à la spectroscopie dispersive en énergie (EDS).
2. Spectrométrie de Masse avec Source d'Ionisation par Désorption Laser Assistée par Matrice (MALDI-TOF) :
Cette technique est utilisée pour l'analyse des particules en mesurant leur masse à charge ratio. Elle est particulièrement utile pour l'analyse de particules métalliques et peut fournir une identification précise des ions métalliques présents dans un échantillon.
3. Diffraction Laser (LD) :
La diffraction laser est une technique couramment utilisée pour mesurer la taille des particules dans un échantillon en suspension ou en aérosol. Les instruments comme le Granulomètre optique (par exemple, l'APDA-372) utilisent la lumière diffusée par les particules lorsque celles-ci sont exposées à un faisceau laser pour déterminer leur taille.
4. Analyse par Diffusion de Lumière Dynamique (DLS) :
Cette technique est utilisée pour mesurer de petites particules dans des solutions en surveillant les fluctuations de l'intensité de la lumière diffusée causées par le mouvement brownien des particules. Elle est plus adaptée pour des particules inférieures à 1 micron, mais peut être utile en complément d'autres techniques.
5. Compteurs de Particules :
Les compteurs de particules optiques ou laser, comme le Dust Detective, peuvent être utilisés pour mesurer la concentration et la distribution en taille des particules en suspension dans l'air. Ces instruments aspirent un volume d'air et utilisent la lumière diffusée ou absorbée par les particules pour les compter et les classer par taille.
6. Filtration Suivie d'Analyse Gravimétrique :
Les particules peuvent être capturées sur un filtre de taille appropriée, comme un filtre à pores de 10 microns. Après collecte, le filtre est pesé avec précision pour déterminer la masse des particules métalliques collectées. Cette méthode est simple et directe, mais ne fournit pas d'informations sur la composition des particules.
7. Techniques de Séparation Basées sur la Mobilité des Particules :
Des instruments comme les spectromètres de masse à mobilité ionique ou les analyseurs de taille de particules par mobilité électrique peuvent classer les particules en fonction de leur vitesse de déplacement dans un champ électrique, ce qui est lié à leur taille et à leur forme.
Pour la mesure spécifique de particules métalliques de 10 microns, un instrument comme le Granulomètre optique APDA-372 pourrait être particulièrement utile car il permet non seulement de mesurer la concentration totale de particules, mais aussi de fournir une distribution granulométrique qui inclurait des particules de 10 microns. En fonction de l'application spécifique et de la nécessité d'identifier la composition des particules, d'autres techniques comme la MEB avec EDS pourraient être employées pour compléter la mesure de taille. Il est également important de noter que la préparation de l'échantillon et la manipulation doivent être effectuées avec soin pour éviter toute contamination ou altération de la taille des particules.
Pas encore de tutoriel sur ce produit
Autres produits de HORIBA®
Retrouvez d'autres produits de HORIBA®