L'APDA-371 mesure et enregistre automatiquement les niveaux de concentration de particules aéroportées (en milligrammes ou en microgrammes par mètre cube) en utilisant le principe de l'atténuation du rayonnement bêta.
Chaque heure, une source C14 de faible radioactivité (<60µCi) émet un flux constant d'électrons de haute énergie (connu sous le nom de rayons bêta) à travers une bande filtrante propre. Ces rayons bêta sont détectés et comptés par un détecteur à scintillation sensible afin de déterminer une lecture du zéro.
L’analyseur effectue automatiquement, en permanence, la validation des données selon les critères fixés et sélectionnés par l’utilisateur (ex : dépassement de seuil, écart à partir d’une moyenne glissante, identifications des codes alarmes pour : coupure de courant, pannes de débit, pannes matérielles, erreurs de bande, erreurs de la buse, vérification des erreurs de calibration échelle, erreurs de la source Beta et plus encore).
Le modèle HORIBA APDA-371 est conforme à la norme Européenne et reconnu comme méthode automatique équivalente pour la surveillance en continu des PM10 et PM2,5 par l’U.S. E.P.A. En outre, l'APDA-371 est le premier instrument au monde ayant obtenu l’équivalence US EPA FEM (Federal Equivalent Methode) pour la surveillance continue des PM2,5 lorsqu'il est configuré avec les paramètres et accessoires spécifiés (FEM).
Caractéristiques :
- Gammes de mesure : 0-0,1 / 0,2 / 0, 25 / 0,5 / 1 / 2 / 5 / 10 mg/m3
- Cycle : 1 heure
- Limite de détection : 5 μg/m3 sur 1 heure | 1 μg/m3 sur 24 heures
- Résolution : ±1 μg/m3
- Répétabilité : ± 8% (cycle 1 heure) | ± 2% (cycle 24 heures)
- Source Béta : C14, 60 μCi
- Filtres : fibre de verre
Quelle est la méthode de calcul du taux de poussière dans les émissions atmosphériques?
1. **Méthodes manuelles (gravimétriques) :**
- Les méthodes gravimétriques consistent à prélever un échantillon de gaz sur une période donnée à travers un filtre qui capture les particules, puis à peser ce filtre avant et après l'échantillonnage pour déterminer la masse de poussière capturée.
- Le taux de poussière est ensuite calculé en divisant la masse des particules capturées par le volume d'air (ou de gaz) qui a traversé le filtre, généralement exprimé en milligrammes par mètre cube (mg/m³).
2. **Méthodes en continu :**
- Les technologies de mesure en continu fournissent une surveillance et une analyse en temps réel des concentrations de poussières dans les émissions. Parmi les techniques utilisées, on trouve :
- **Scattering Light (diffusion de lumière)** : Des instruments comme le PCME DM 170 utilisent la diffusion de la lumière pour mesurer la concentration en poussière. La lumière est émise vers le flux de particules et la quantité de lumière diffusée est mesurée. La concentration de poussières est proportionnelle à l'intensité de la lumière diffusée.
- **Absorption de lumière (Photométrie) :** La mesure de l'atténuation d'un faisceau lumineux traversant l'émission permet d'estimer la concentration en particules. Cette méthode est souvent utilisée pour les émissions faibles à moyennes en poussières.
- **Mesure de l'opacité :** L'opacimètre mesure l'opacité des émissions, qui est liée à la concentration de particules. Cependant, cette méthode est moins précise pour de faibles concentrations.
- **Mesure par atténuation bêta :** L'APDA-371, par exemple, utilise l'atténuation des rayons bêta à travers un filtre sur lequel les particules sont collectées pour déterminer la concentration en masse des particules.
- **Mesure par ultrasons :** Certains capteurs, comme le SlideControl 2.0, peuvent utiliser des ondes ultrasonores pour mesurer le flux de matières en aéroglissière, ce qui peut être indirectement lié à la concentration de poussière.
3. **Calibration et assurance qualité :**
- Les instruments de mesure en continu doivent être étalonnés régulièrement avec des aérosols de référence ou des méthodes de mesure standard pour assurer la précision des mesures.
- Des systèmes tels que le PCME QAL 360 sont certifiés QAL1, indiquant qu'ils répondent aux critères de qualité les plus stricts pour la mesure des émissions de poussières.
4. **Normes et réglementations :**
- Les méthodes de calcul doivent être conformes aux normes en vigueur, telles que la norme EN 15267 pour l'Europe ou les méthodes de l'Environmental Protection Agency (EPA) pour les États-Unis.
- Des instruments comme le MET ONE E-SEQ-FRM sont conçus pour répondre aux critères des méthodes de référence désignées par les agences environnementales.
En résumé, pour calculer le taux de poussière dans les émissions atmosphériques, une combinaison de méthodes gravimétriques pour les mesures de référence et de technologies de surveillance en continu est souvent utilisée pour une évaluation précise et conforme aux normes réglementaires. Les données collectées par ces instruments sont essentielles pour assurer le respect des limites d'émissions, pour la protection de l'environnement et de la santé publique.
Existe-t-il des organismes qui missionnent des personnes pour mesurer la qualité de l'air dans des bureaux d'entreprise?
Ces organismes ont pour mission de mesurer la qualité de l'air en analysant divers paramètres tels que la concentration de composés organiques volatils (COV), la présence de formaldéhyde, les niveaux de dioxyde de carbone (CO2), les particules fines (PM2.5 et PM10), ainsi que d'autres polluants susceptibles d'affecter la santé des occupants. Les mesures peuvent aussi inclure des paramètres comme l'humidité, la température et la présence de moisissures.
Pour réaliser ces mesures, les professionnels utilisent une gamme d'instruments spécialisés. Voici quelques exemples de produits et de technologies qui pourraient être utilisés dans le cadre de ces mesures :
1. Airsafe PM : Il s'agit d'un capteur de surveillance continue de l'exposition aux poussières dans l'air ambiant intérieur. Cet instrument pourrait être utilisé pour surveiller les concentrations de poussières dans les zones de travail d'un bureau afin de prévenir toute exposition dangereuse des employés.
2. APDA-371 : Ce dispositif mesure les particules en suspension dans l'air ambiant en utilisant l'atténuation du rayonnement bêta. Il pourrait être utilisé pour analyser les niveaux de particules fines, ce qui est important pour évaluer la qualité de l'air dans un espace de bureau.
3. Dust Detective : En tant que station portable, ce dispositif peut être utilisé pour des évaluations ponctuelles de la qualité de l'air en termes de particules de poussière et peut être particulièrement utile pour les audits de qualité de l'air intérieur.
4. Guardian 2 : Cette station de surveillance environnementale mesure le bruit, la poussière et les vibrations, et peut être utilisée pour surveiller la qualité de l'air dans un environnement de bureau, surtout si des travaux de construction à proximité sont susceptibles d'affecter la qualité de l'air intérieur.
Pour garantir l'objectivité et l'exactitude des résultats, ces mesures sont généralement réalisées par des techniciens certifiés ou des ingénieurs environnementaux formés à l'utilisation de ces instruments et à l'interprétation des données collectées. Les données recueillies permettent alors d'établir si l'air intérieur respecte les normes et recommandations en vigueur, et si des actions correctives (telles que l'amélioration du système de ventilation, le remplacement de filtres, ou la réduction des sources de pollution) sont nécessaires pour assurer la santé et le bien-être des occupants.
D'où peuvent venir les résidus ultra fins de couleur gris clair qui se déposent sur le parquet quotidiennement ?
1. Pollution extérieure : Si les fenêtres sont souvent ouvertes ou s'il y a des infiltrations d'air, les particules fines provenant de la pollution extérieure, comme les émissions de véhicules, les activités industrielles ou la combustion de biomasse peuvent pénétrer à l'intérieur et se déposer sur les sols.
2. Activités domestiques : Les activités quotidiennes telles que la cuisine, le nettoyage, l'utilisation de produits aérosols, la combustion de bougies ou le tabagisme peuvent générer des particules fines qui retombent sur les surfaces.
3. Appareils de chauffage : Les systèmes de chauffage, en particulier ceux qui brûlent du combustible (gaz, bois, charbon), peuvent libérer des particules de suie et de cendres qui sont ensuite distribuées dans l'air intérieur.
4. Poussière domestique : La poussière domestique est un mélange complexe de particules comprenant des fibres textiles, des cellules de peau humaine et animale, des acariens et leurs déjections, des cheveux, des particules de sol, et des résidus de matériaux de construction.
5. Matériaux de construction et d'ameublement : Les matériaux de construction et les meubles peuvent se dégrader avec le temps, libérant des particules fines de peinture, de vernis, de plastique ou de bois.
6. Système de ventilation : Un système HVAC (chauffage, ventilation et climatisation) encrassé ou mal entretenu peut redistribuer les particules accumulées dans les conduits d'air à travers les pièces de la maison.
Pour déterminer avec précision la source des particules ultra fines, une analyse de la qualité de l'air intérieur peut être réalisée à l'aide d'équipements spécialisés. Par exemple, l'utilisation d'un analyseur de particules tel que l'Aeroqual AQS 1 ou l'APDA-371 pourrait permettre d'identifier et de mesurer les concentrations de particules fines dans l'air intérieur. Le Dust Detective ou l'AEROCET 531S pourraient également être utilisés pour surveiller les niveaux de poussière en suspension. Si la source est suspectée d'être externe, l'installation de filtres à air ou la mise en place de purificateurs d'air pourrait contribuer à réduire la quantité de particules fines qui entrent dans l'espace intérieur.
Il est important de noter que pour minimiser l'exposition aux particules fines et améliorer la qualité de l'air intérieur, des mesures préventives telles que l'amélioration de la ventilation, le maintien de la propreté des systèmes de chauffage et de ventilation, et la réduction des activités productrices de poussière peuvent être bénéfiques.
Certifications |
---|
Certification TUV |
EQPM-0308-170 (PM2,5) |
EQPM-0798-122 (PM10) |
Posez une question sur le produit
Poser une questionQuelle est la méthode de calcul du taux de poussière dans les émissions atmosphériques?
1. **Méthodes manuelles (gravimétriques) :**
- Les méthodes gravimétriques consistent à prélever un échantillon de gaz sur une période donnée à travers un filtre qui capture les particules, puis à peser ce filtre avant et après l'échantillonnage pour déterminer la masse de poussière capturée.
- Le taux de poussière est ensuite calculé en divisant la masse des particules capturées par le volume d'air (ou de gaz) qui a traversé le filtre, généralement exprimé en milligrammes par mètre cube (mg/m³).
2. **Méthodes en continu :**
- Les technologies de mesure en continu fournissent une surveillance et une analyse en temps réel des concentrations de poussières dans les émissions. Parmi les techniques utilisées, on trouve :
- **Scattering Light (diffusion de lumière)** : Des instruments comme le PCME DM 170 utilisent la diffusion de la lumière pour mesurer la concentration en poussière. La lumière est émise vers le flux de particules et la quantité de lumière diffusée est mesurée. La concentration de poussières est proportionnelle à l'intensité de la lumière diffusée.
- **Absorption de lumière (Photométrie) :** La mesure de l'atténuation d'un faisceau lumineux traversant l'émission permet d'estimer la concentration en particules. Cette méthode est souvent utilisée pour les émissions faibles à moyennes en poussières.
- **Mesure de l'opacité :** L'opacimètre mesure l'opacité des émissions, qui est liée à la concentration de particules. Cependant, cette méthode est moins précise pour de faibles concentrations.
- **Mesure par atténuation bêta :** L'APDA-371, par exemple, utilise l'atténuation des rayons bêta à travers un filtre sur lequel les particules sont collectées pour déterminer la concentration en masse des particules.
- **Mesure par ultrasons :** Certains capteurs, comme le SlideControl 2.0, peuvent utiliser des ondes ultrasonores pour mesurer le flux de matières en aéroglissière, ce qui peut être indirectement lié à la concentration de poussière.
3. **Calibration et assurance qualité :**
- Les instruments de mesure en continu doivent être étalonnés régulièrement avec des aérosols de référence ou des méthodes de mesure standard pour assurer la précision des mesures.
- Des systèmes tels que le PCME QAL 360 sont certifiés QAL1, indiquant qu'ils répondent aux critères de qualité les plus stricts pour la mesure des émissions de poussières.
4. **Normes et réglementations :**
- Les méthodes de calcul doivent être conformes aux normes en vigueur, telles que la norme EN 15267 pour l'Europe ou les méthodes de l'Environmental Protection Agency (EPA) pour les États-Unis.
- Des instruments comme le MET ONE E-SEQ-FRM sont conçus pour répondre aux critères des méthodes de référence désignées par les agences environnementales.
En résumé, pour calculer le taux de poussière dans les émissions atmosphériques, une combinaison de méthodes gravimétriques pour les mesures de référence et de technologies de surveillance en continu est souvent utilisée pour une évaluation précise et conforme aux normes réglementaires. Les données collectées par ces instruments sont essentielles pour assurer le respect des limites d'émissions, pour la protection de l'environnement et de la santé publique.
Existe-t-il des organismes qui missionnent des personnes pour mesurer la qualité de l'air dans des bureaux d'entreprise?
Ces organismes ont pour mission de mesurer la qualité de l'air en analysant divers paramètres tels que la concentration de composés organiques volatils (COV), la présence de formaldéhyde, les niveaux de dioxyde de carbone (CO2), les particules fines (PM2.5 et PM10), ainsi que d'autres polluants susceptibles d'affecter la santé des occupants. Les mesures peuvent aussi inclure des paramètres comme l'humidité, la température et la présence de moisissures.
Pour réaliser ces mesures, les professionnels utilisent une gamme d'instruments spécialisés. Voici quelques exemples de produits et de technologies qui pourraient être utilisés dans le cadre de ces mesures :
1. Airsafe PM : Il s'agit d'un capteur de surveillance continue de l'exposition aux poussières dans l'air ambiant intérieur. Cet instrument pourrait être utilisé pour surveiller les concentrations de poussières dans les zones de travail d'un bureau afin de prévenir toute exposition dangereuse des employés.
2. APDA-371 : Ce dispositif mesure les particules en suspension dans l'air ambiant en utilisant l'atténuation du rayonnement bêta. Il pourrait être utilisé pour analyser les niveaux de particules fines, ce qui est important pour évaluer la qualité de l'air dans un espace de bureau.
3. Dust Detective : En tant que station portable, ce dispositif peut être utilisé pour des évaluations ponctuelles de la qualité de l'air en termes de particules de poussière et peut être particulièrement utile pour les audits de qualité de l'air intérieur.
4. Guardian 2 : Cette station de surveillance environnementale mesure le bruit, la poussière et les vibrations, et peut être utilisée pour surveiller la qualité de l'air dans un environnement de bureau, surtout si des travaux de construction à proximité sont susceptibles d'affecter la qualité de l'air intérieur.
Pour garantir l'objectivité et l'exactitude des résultats, ces mesures sont généralement réalisées par des techniciens certifiés ou des ingénieurs environnementaux formés à l'utilisation de ces instruments et à l'interprétation des données collectées. Les données recueillies permettent alors d'établir si l'air intérieur respecte les normes et recommandations en vigueur, et si des actions correctives (telles que l'amélioration du système de ventilation, le remplacement de filtres, ou la réduction des sources de pollution) sont nécessaires pour assurer la santé et le bien-être des occupants.
D'où peuvent venir les résidus ultra fins de couleur gris clair qui se déposent sur le parquet quotidiennement ?
1. Pollution extérieure : Si les fenêtres sont souvent ouvertes ou s'il y a des infiltrations d'air, les particules fines provenant de la pollution extérieure, comme les émissions de véhicules, les activités industrielles ou la combustion de biomasse peuvent pénétrer à l'intérieur et se déposer sur les sols.
2. Activités domestiques : Les activités quotidiennes telles que la cuisine, le nettoyage, l'utilisation de produits aérosols, la combustion de bougies ou le tabagisme peuvent générer des particules fines qui retombent sur les surfaces.
3. Appareils de chauffage : Les systèmes de chauffage, en particulier ceux qui brûlent du combustible (gaz, bois, charbon), peuvent libérer des particules de suie et de cendres qui sont ensuite distribuées dans l'air intérieur.
4. Poussière domestique : La poussière domestique est un mélange complexe de particules comprenant des fibres textiles, des cellules de peau humaine et animale, des acariens et leurs déjections, des cheveux, des particules de sol, et des résidus de matériaux de construction.
5. Matériaux de construction et d'ameublement : Les matériaux de construction et les meubles peuvent se dégrader avec le temps, libérant des particules fines de peinture, de vernis, de plastique ou de bois.
6. Système de ventilation : Un système HVAC (chauffage, ventilation et climatisation) encrassé ou mal entretenu peut redistribuer les particules accumulées dans les conduits d'air à travers les pièces de la maison.
Pour déterminer avec précision la source des particules ultra fines, une analyse de la qualité de l'air intérieur peut être réalisée à l'aide d'équipements spécialisés. Par exemple, l'utilisation d'un analyseur de particules tel que l'Aeroqual AQS 1 ou l'APDA-371 pourrait permettre d'identifier et de mesurer les concentrations de particules fines dans l'air intérieur. Le Dust Detective ou l'AEROCET 531S pourraient également être utilisés pour surveiller les niveaux de poussière en suspension. Si la source est suspectée d'être externe, l'installation de filtres à air ou la mise en place de purificateurs d'air pourrait contribuer à réduire la quantité de particules fines qui entrent dans l'espace intérieur.
Il est important de noter que pour minimiser l'exposition aux particules fines et améliorer la qualité de l'air intérieur, des mesures préventives telles que l'amélioration de la ventilation, le maintien de la propreté des systèmes de chauffage et de ventilation, et la réduction des activités productrices de poussière peuvent être bénéfiques.
Quel instrument utiliser pour déterminer la quantité des poussières dans l'air ambiant?
1. **Granulomètre optique - APDA-372** : Cet instrument utilise la technique de mesure par diffusion de lumière optique pour déterminer la concentration en masse et la répartition granulométrique des particules en suspension dans l'air ambiant. Il est capable de mesurer des valeurs PM1, PM2.5, PM4, PM10, et TSP (Total Suspended Particles). Certifié selon les normes EN 14907 et EN 12341, l'APDA-372 est également certifié par le TÜV et homologué par le LCSQA pour la mesure réglementaire.
2. **Préleveur de poussières séquentiel - MET ONE E-SEQ-FRM** : Ce préleveur automatique est spécifiquement conçu pour l'échantillonnage des PM2.5, PM10, et PM10-2,5. Il est considéré comme un prélèvement de référence et est désigné par l'US-EPA pour ces méthodes d'échantillonnage. Il permet de recueillir des échantillons sur des filtres qui sont ensuite analysés en laboratoire pour déterminer la concentration massique des particules.
3. **Analyseur de particules aéroportées - APDA-371** : Utilisant le principe de l'atténuation du rayonnement bêta, cet appareil mesure et enregistre automatiquement les niveaux de concentration de particules. Il est particulièrement adapté pour des mesures continues et peut fournir des données en temps réel sur la concentration de particules en suspension dans l'air.
4. **Capteur de surveillance de l’exposition à la poussière - Airsafe PM** : Ce capteur permet une surveillance continue et précise de l’exposition aux poussières dans l'air ambiant intérieur. Il est conçu pour mesurer des particules inhalables, thoraciques, et alvéolaires conformément aux normes comme NF EN 481 et est idéal pour la surveillance de la qualité de l'air sur le lieu de travail.
5. **Station portable de surveillance des particules de poussière - Dust Detective** : Il s'agit d'une station portable qui peut être utilisée pour surveiller et enregistrer les niveaux de particules dans différents environnements. C'est une solution idéale pour des mesures sur le terrain ou dans différents lieux d'une installation.
L'instrument à choisir dépendra de plusieurs facteurs, notamment la plage de concentration des particules à mesurer, les types de particules à surveiller (PM1, PM2.5, PM10, etc.), la nécessité ou non d'une mesure en temps réel, les exigences réglementaires, et les conditions spécifiques du site de mesure. Il est important de consulter les spécifications techniques de chaque instrument et, si nécessaire, de demander conseil auprès d'experts ou de fournisseurs spécialisés pour s'assurer que l'instrument sélectionné répond à tous les besoins de mesure spécifiques.
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