Description
PS312W est une table de tri hybride avec séparateur d’air qui peut être utilisée pour traiter de manière rentable de nombreux matériaux, y compris les déchets C&D, matières organiques, plastiques… Elle peut accueillir 3 postes de travail.
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Le 05/07/2024
Comment procéder au recyclage d'une pièce composée d'ABS/PS surmoulée avec du TPE ?
Réponse :
Le recyclage d'une pièce composée d'ABS/PS (acrylonitrile butadiène styrène / polystyrène) surmoulée avec du TPE (élastomère thermoplastique) est un processus complexe qui nécessite plusieurs étapes pour séparer et traiter les différents matériaux. Voici une approche technique et précise pour ce type de recyclage:
### 1. Préparation et Tri
- **Collecte et Préparation:** La première étape consiste à collecter les pièces à recycler et à les préparer en éliminant les contaminants externes (par exemple, étiquettes, adhésifs).
- **Tri Initial:** Utiliser une table de tri comme la *Table de tri MK - PS312M* ou *MK - PS312W* qui sont équipées de séparateurs d’air pour éliminer les gros contaminants et trier les pièces par taille et poids.
### 2. Pré-broyage
- **Broyage Préliminaire:** Utiliser un broyeur, par exemple le *1K65* ou le *2R75*, pour réduire la taille des pièces en fragments plus petits. Le choix du broyeur dépend de la taille et de la dureté des matériaux.
- *1K65* est adapté pour le traitement de plastiques généraux, y compris les tuyaux et profilés, et peut gérer les pièces surmoulées.
- *2R75* est un broyeur à deux arbres hydraulique capable de traiter diverses matières plastiques, y compris les plastiques surmoulés.
### 3. Séparation des Matériaux
- **Séparation Densimétrique:** Après broyage, les fragments peuvent être séparés en fonction de leur densité à l'aide d'un séparateur vibrant à sec tel que ceux de la *Série ROBI*. Ces séparateurs sont capables de séparer des matériaux de poids spécifique différent, ce qui est idéal pour séparer l'ABS/PS du TPE.
- Les séparateurs de la *Série ROBI* sont conçus pour un fonctionnement continu et offrent une vaste gamme de réglages pour adapter la séparation aux matériaux spécifiques.
### 4. Raffinage et Purification
- **Raffinage Supplémentaire:** Pour obtenir une pureté élevée des matériaux séparés, utiliser un raffineur de la *Série TURBO*. Ces machines permettent une réduction dimensionnelle progressive et un raffinage sans l'aide d'éléments de broyage d'usure.
- Les raffineurs *TURBO* utilisent des tourbillons, des variations de pression et des vibrations liquides pour séparer les fines particules des matériaux broyés, ce qui est crucial pour les plastiques mélangés et surmoulés.
### 5. Recyclage et Réutilisation
- **Recyclage des Matériaux Séparés:** Les matériaux séparés peuvent ensuite être fondus et regranulés pour être réutilisés dans la fabrication de nouvelles pièces en plastique. L'ABS/PS et le TPE peuvent chacun être réintroduits dans des chaînes de production adaptées à leurs propriétés respectives.
### Résumé des Équipements Utilisés
- **Table de tri MK - PS312M/PS312W:** Pour le tri initial des matériaux.
- **Broyeur 1K65 ou 2R75:** Pour le pré-broyage des pièces en fragments.
- **Séparateur vibrant Série ROBI:** Pour la séparation densimétrique des matériaux.
- **Raffineur Série TURBO:** Pour le raffinage et la purification des matériaux séparés.
En suivant ces étapes et en utilisant les équipements appropriés, il est possible de recycler efficacement des pièces composées d'ABS/PS surmoulées avec du TPE, en séparant et en traitant chaque matériau de manière optimale pour leur réutilisation.
### 1. Préparation et Tri
- **Collecte et Préparation:** La première étape consiste à collecter les pièces à recycler et à les préparer en éliminant les contaminants externes (par exemple, étiquettes, adhésifs).
- **Tri Initial:** Utiliser une table de tri comme la *Table de tri MK - PS312M* ou *MK - PS312W* qui sont équipées de séparateurs d’air pour éliminer les gros contaminants et trier les pièces par taille et poids.
### 2. Pré-broyage
- **Broyage Préliminaire:** Utiliser un broyeur, par exemple le *1K65* ou le *2R75*, pour réduire la taille des pièces en fragments plus petits. Le choix du broyeur dépend de la taille et de la dureté des matériaux.
- *1K65* est adapté pour le traitement de plastiques généraux, y compris les tuyaux et profilés, et peut gérer les pièces surmoulées.
- *2R75* est un broyeur à deux arbres hydraulique capable de traiter diverses matières plastiques, y compris les plastiques surmoulés.
### 3. Séparation des Matériaux
- **Séparation Densimétrique:** Après broyage, les fragments peuvent être séparés en fonction de leur densité à l'aide d'un séparateur vibrant à sec tel que ceux de la *Série ROBI*. Ces séparateurs sont capables de séparer des matériaux de poids spécifique différent, ce qui est idéal pour séparer l'ABS/PS du TPE.
- Les séparateurs de la *Série ROBI* sont conçus pour un fonctionnement continu et offrent une vaste gamme de réglages pour adapter la séparation aux matériaux spécifiques.
### 4. Raffinage et Purification
- **Raffinage Supplémentaire:** Pour obtenir une pureté élevée des matériaux séparés, utiliser un raffineur de la *Série TURBO*. Ces machines permettent une réduction dimensionnelle progressive et un raffinage sans l'aide d'éléments de broyage d'usure.
- Les raffineurs *TURBO* utilisent des tourbillons, des variations de pression et des vibrations liquides pour séparer les fines particules des matériaux broyés, ce qui est crucial pour les plastiques mélangés et surmoulés.
### 5. Recyclage et Réutilisation
- **Recyclage des Matériaux Séparés:** Les matériaux séparés peuvent ensuite être fondus et regranulés pour être réutilisés dans la fabrication de nouvelles pièces en plastique. L'ABS/PS et le TPE peuvent chacun être réintroduits dans des chaînes de production adaptées à leurs propriétés respectives.
### Résumé des Équipements Utilisés
- **Table de tri MK - PS312M/PS312W:** Pour le tri initial des matériaux.
- **Broyeur 1K65 ou 2R75:** Pour le pré-broyage des pièces en fragments.
- **Séparateur vibrant Série ROBI:** Pour la séparation densimétrique des matériaux.
- **Raffineur Série TURBO:** Pour le raffinage et la purification des matériaux séparés.
En suivant ces étapes et en utilisant les équipements appropriés, il est possible de recycler efficacement des pièces composées d'ABS/PS surmoulées avec du TPE, en séparant et en traitant chaque matériau de manière optimale pour leur réutilisation.
Nouvelle réponse
- Le 01/02/2024
Quelles sont les immobilisations nécessaires pour une entreprise de recyclage?
Réponse :
Pour une entreprise de recyclage, les immobilisations sont les ressources à long terme nécessaires pour mener à bien ses opérations. Ces actifs sont généralement classés en immobilisations corporelles, incorporelles et financières. Voici un aperçu des différentes immobilisations nécessaires pour une entreprise de recyclage :
1. Immobilisations corporelles :
a. Terrains et bâtiments : Un site de recyclage nécessitera un espace suffisant pour le traitement des déchets, le stockage, les bureaux administratifs et les infrastructures de soutien.
b. Matériel de traitement et de séparation : Il s'agit d'équipements spécialisés pour trier, nettoyer et préparer les matériaux recyclables pour la revente ou la réutilisation.
- Exemples : Trommels (comme le Trommel MK - TS620T), tables de tri (comme les Tables de tri MK - PS312M, PS312W, PS120T), séparateurs à courants de Foucault (comme le Séparateur à courants de Foucault MK - EC150T), broyeurs (tels que le Duratech 3010 F, le S3/3, les broyeurs 2 arbres 2R150 et 2R220-300, le pré-broyeur VB 750).
c. Véhicules et matériel de transport : Camions, pelles, chargeurs, et autres véhicules lourds pour le transport et la manutention des matériaux.
d. Matériel informatique et logiciels : Ordinateurs, systèmes de gestion de flotte, logiciels de gestion des déchets et de recyclage pour suivre le flux de matériaux et optimiser les opérations.
2. Immobilisations incorporelles :
a. Logiciels spécialisés : Solutions informatiques pour la gestion des opérations, la comptabilité et la traçabilité des matériaux.
b. Brevets et licences : Droits d'utilisation de technologies spécifiques ou de procédés brevetés dans le cadre du processus de recyclage.
c. Marques et goodwill : La valeur associée à la réputation et à la marque de l'entreprise sur le marché.
3. Immobilisations financières :
a. Participations et investissements : Investissements dans des sociétés affiliées ou des joint-ventures spécialisées dans des segments spécifiques du recyclage.
b. Cautionnements et dépôts : Garanties financières requises pour les contrats publics ou pour respecter les réglementations environnementales.
En plus de ces immobilisations, une entreprise de recyclage devra également envisager des coûts initiaux et continus pour la maintenance et le remplacement de l'équipement, la formation du personnel, les certifications environnementales et de sécurité, ainsi que les coûts d'assurance liés à l'exploitation d'une telle entreprise.
Il est à noter que l'investissement dans des équipements de pointe peut significativement augmenter l'efficacité des opérations de recyclage et réduire les coûts à long terme, en dépit d'un investissement initial plus élevé. Par exemple, l'utilisation de séparateurs aérauliques comme le Séparateur aéraulique Zig-Zag (ZZS) ou le Séparateur aéraulique de parties Lourdes (QSS) peut améliorer la pureté des fractions de matériaux et ainsi augmenter leur valeur sur le marché des matières premières secondaires.
1. Immobilisations corporelles :
a. Terrains et bâtiments : Un site de recyclage nécessitera un espace suffisant pour le traitement des déchets, le stockage, les bureaux administratifs et les infrastructures de soutien.
b. Matériel de traitement et de séparation : Il s'agit d'équipements spécialisés pour trier, nettoyer et préparer les matériaux recyclables pour la revente ou la réutilisation.
- Exemples : Trommels (comme le Trommel MK - TS620T), tables de tri (comme les Tables de tri MK - PS312M, PS312W, PS120T), séparateurs à courants de Foucault (comme le Séparateur à courants de Foucault MK - EC150T), broyeurs (tels que le Duratech 3010 F, le S3/3, les broyeurs 2 arbres 2R150 et 2R220-300, le pré-broyeur VB 750).
c. Véhicules et matériel de transport : Camions, pelles, chargeurs, et autres véhicules lourds pour le transport et la manutention des matériaux.
d. Matériel informatique et logiciels : Ordinateurs, systèmes de gestion de flotte, logiciels de gestion des déchets et de recyclage pour suivre le flux de matériaux et optimiser les opérations.
2. Immobilisations incorporelles :
a. Logiciels spécialisés : Solutions informatiques pour la gestion des opérations, la comptabilité et la traçabilité des matériaux.
b. Brevets et licences : Droits d'utilisation de technologies spécifiques ou de procédés brevetés dans le cadre du processus de recyclage.
c. Marques et goodwill : La valeur associée à la réputation et à la marque de l'entreprise sur le marché.
3. Immobilisations financières :
a. Participations et investissements : Investissements dans des sociétés affiliées ou des joint-ventures spécialisées dans des segments spécifiques du recyclage.
b. Cautionnements et dépôts : Garanties financières requises pour les contrats publics ou pour respecter les réglementations environnementales.
En plus de ces immobilisations, une entreprise de recyclage devra également envisager des coûts initiaux et continus pour la maintenance et le remplacement de l'équipement, la formation du personnel, les certifications environnementales et de sécurité, ainsi que les coûts d'assurance liés à l'exploitation d'une telle entreprise.
Il est à noter que l'investissement dans des équipements de pointe peut significativement augmenter l'efficacité des opérations de recyclage et réduire les coûts à long terme, en dépit d'un investissement initial plus élevé. Par exemple, l'utilisation de séparateurs aérauliques comme le Séparateur aéraulique Zig-Zag (ZZS) ou le Séparateur aéraulique de parties Lourdes (QSS) peut améliorer la pureté des fractions de matériaux et ainsi augmenter leur valeur sur le marché des matières premières secondaires.
Nouvelle réponse
- Le 13/01/2024
Quels sont les couts énergétiques respectifs du recyclage du verre, de la production de verre, du recyclage du plastique et de la production de plastique ?
Réponse :
L'évaluation des coûts énergétiques du recyclage du verre et du plastique par rapport à leur production respective est complexe et dépend de nombreux facteurs, notamment les technologies utilisées, l'efficacité des processus, la localisation géographique et les sources d'énergie utilisées. Cependant, il est généralement reconnu que le recyclage nécessite moins d'énergie que la production de nouveaux matériaux à partir de ressources vierges.
Pour le verre:
- Le recyclage du verre est énergétiquement avantageux car il permet de réduire la consommation d'énergie nécessaire à la fusion du sable, du carbonate de sodium et du calcaire pour produire du verre neuf. Le recyclage d'une tonne de verre permet d’économiser environ 1,2 tonnes de matières premières et réduit la consommation d'énergie d'environ 2 à 3 %. Cela s'explique par le fait que le verre fondu nécessite une température moins élevée pour être transformé que les matières premières vierges.
Pour le plastique:
- Le recyclage du plastique économise de l'énergie par rapport à la production de plastique neuf, principalement parce que la fabrication de plastiques à partir de pétrole brut ou de gaz naturel est un processus énergivore. La quantité d'énergie économisée varie selon le type de plastique, mais il est estimé que recycler une tonne de plastique peut économiser l'équivalent énergétique d'environ 5 774 kWh.
Pour la production de verre et plastique:
- La production de verre neuf nécessite de l'énergie pour extraire et transporter les matières premières, ainsi que pour les fondre à des températures élevées (jusqu'à 1500-1700°C).
- La production de plastique nécessite aussi l’extraction de pétrole ou de gaz naturel, le raffinage, la polymérisation et d'autres processus chimiques qui nécessitent une consommation d'énergie importante. La production de plastiques est l'un des principaux utilisateurs d'énergie dans l'industrie chimique.
En résumé, bien que les données exactes puissent varier, le recyclage du verre et du plastique est généralement moins coûteux en termes d'énergie que leur production à partir de matières premières vierges. Les économies d'énergie peuvent être amplifiées par l'utilisation de technologies et de processus de recyclage avancés.
Dans le contexte industriel, des équipements tels que les séparateurs vibrants à sec ou les tables densimétriques (Série ROBI et F-EKO, Table de tri MK - PS312W) peuvent être utilisés pour améliorer l'efficacité du tri et du recyclage des matières plastiques, tandis que les balances d'analyse et de précision (Gamme 321) peuvent être utilisées pour assurer la qualité des matériaux recyclés, y compris le verre. Ces technologies contribuent à réduire les coûts opérationnels et énergétiques globaux du recyclage.
Pour le verre:
- Le recyclage du verre est énergétiquement avantageux car il permet de réduire la consommation d'énergie nécessaire à la fusion du sable, du carbonate de sodium et du calcaire pour produire du verre neuf. Le recyclage d'une tonne de verre permet d’économiser environ 1,2 tonnes de matières premières et réduit la consommation d'énergie d'environ 2 à 3 %. Cela s'explique par le fait que le verre fondu nécessite une température moins élevée pour être transformé que les matières premières vierges.
Pour le plastique:
- Le recyclage du plastique économise de l'énergie par rapport à la production de plastique neuf, principalement parce que la fabrication de plastiques à partir de pétrole brut ou de gaz naturel est un processus énergivore. La quantité d'énergie économisée varie selon le type de plastique, mais il est estimé que recycler une tonne de plastique peut économiser l'équivalent énergétique d'environ 5 774 kWh.
Pour la production de verre et plastique:
- La production de verre neuf nécessite de l'énergie pour extraire et transporter les matières premières, ainsi que pour les fondre à des températures élevées (jusqu'à 1500-1700°C).
- La production de plastique nécessite aussi l’extraction de pétrole ou de gaz naturel, le raffinage, la polymérisation et d'autres processus chimiques qui nécessitent une consommation d'énergie importante. La production de plastiques est l'un des principaux utilisateurs d'énergie dans l'industrie chimique.
En résumé, bien que les données exactes puissent varier, le recyclage du verre et du plastique est généralement moins coûteux en termes d'énergie que leur production à partir de matières premières vierges. Les économies d'énergie peuvent être amplifiées par l'utilisation de technologies et de processus de recyclage avancés.
Dans le contexte industriel, des équipements tels que les séparateurs vibrants à sec ou les tables densimétriques (Série ROBI et F-EKO, Table de tri MK - PS312W) peuvent être utilisés pour améliorer l'efficacité du tri et du recyclage des matières plastiques, tandis que les balances d'analyse et de précision (Gamme 321) peuvent être utilisées pour assurer la qualité des matériaux recyclés, y compris le verre. Ces technologies contribuent à réduire les coûts opérationnels et énergétiques globaux du recyclage.
Marque
Vendu par :
GARONNE CONCASSAGE CRIBLAGE
0 806 802 202
Chalandise (pays) : FR,AD,BE,CH et 20 autres
Taux de réponse : 94%
Type de produit
Partager
Posez une question sur le produit
Poser une question
Questions (5)
Nouvelle réponse
- Le 05/07/2024
Comment procéder au recyclage d'une pièce composée d'ABS/PS surmoulée avec du TPE ?
Réponse :
Le recyclage d'une pièce composée d'ABS/PS (acrylonitrile butadiène styrène / polystyrène) surmoulée avec du TPE (élastomère thermoplastique) est un processus complexe qui nécessite plusieurs étapes pour séparer et traiter les différents matériaux. Voici une approche technique et précise pour ce type de recyclage:
### 1. Préparation et Tri
- **Collecte et Préparation:** La première étape consiste à collecter les pièces à recycler et à les préparer en éliminant les contaminants externes (par exemple, étiquettes, adhésifs).
- **Tri Initial:** Utiliser une table de tri comme la *Table de tri MK - PS312M* ou *MK - PS312W* qui sont équipées de séparateurs d’air pour éliminer les gros contaminants et trier les pièces par taille et poids.
### 2. Pré-broyage
- **Broyage Préliminaire:** Utiliser un broyeur, par exemple le *1K65* ou le *2R75*, pour réduire la taille des pièces en fragments plus petits. Le choix du broyeur dépend de la taille et de la dureté des matériaux.
- *1K65* est adapté pour le traitement de plastiques généraux, y compris les tuyaux et profilés, et peut gérer les pièces surmoulées.
- *2R75* est un broyeur à deux arbres hydraulique capable de traiter diverses matières plastiques, y compris les plastiques surmoulés.
### 3. Séparation des Matériaux
- **Séparation Densimétrique:** Après broyage, les fragments peuvent être séparés en fonction de leur densité à l'aide d'un séparateur vibrant à sec tel que ceux de la *Série ROBI*. Ces séparateurs sont capables de séparer des matériaux de poids spécifique différent, ce qui est idéal pour séparer l'ABS/PS du TPE.
- Les séparateurs de la *Série ROBI* sont conçus pour un fonctionnement continu et offrent une vaste gamme de réglages pour adapter la séparation aux matériaux spécifiques.
### 4. Raffinage et Purification
- **Raffinage Supplémentaire:** Pour obtenir une pureté élevée des matériaux séparés, utiliser un raffineur de la *Série TURBO*. Ces machines permettent une réduction dimensionnelle progressive et un raffinage sans l'aide d'éléments de broyage d'usure.
- Les raffineurs *TURBO* utilisent des tourbillons, des variations de pression et des vibrations liquides pour séparer les fines particules des matériaux broyés, ce qui est crucial pour les plastiques mélangés et surmoulés.
### 5. Recyclage et Réutilisation
- **Recyclage des Matériaux Séparés:** Les matériaux séparés peuvent ensuite être fondus et regranulés pour être réutilisés dans la fabrication de nouvelles pièces en plastique. L'ABS/PS et le TPE peuvent chacun être réintroduits dans des chaînes de production adaptées à leurs propriétés respectives.
### Résumé des Équipements Utilisés
- **Table de tri MK - PS312M/PS312W:** Pour le tri initial des matériaux.
- **Broyeur 1K65 ou 2R75:** Pour le pré-broyage des pièces en fragments.
- **Séparateur vibrant Série ROBI:** Pour la séparation densimétrique des matériaux.
- **Raffineur Série TURBO:** Pour le raffinage et la purification des matériaux séparés.
En suivant ces étapes et en utilisant les équipements appropriés, il est possible de recycler efficacement des pièces composées d'ABS/PS surmoulées avec du TPE, en séparant et en traitant chaque matériau de manière optimale pour leur réutilisation.
### 1. Préparation et Tri
- **Collecte et Préparation:** La première étape consiste à collecter les pièces à recycler et à les préparer en éliminant les contaminants externes (par exemple, étiquettes, adhésifs).
- **Tri Initial:** Utiliser une table de tri comme la *Table de tri MK - PS312M* ou *MK - PS312W* qui sont équipées de séparateurs d’air pour éliminer les gros contaminants et trier les pièces par taille et poids.
### 2. Pré-broyage
- **Broyage Préliminaire:** Utiliser un broyeur, par exemple le *1K65* ou le *2R75*, pour réduire la taille des pièces en fragments plus petits. Le choix du broyeur dépend de la taille et de la dureté des matériaux.
- *1K65* est adapté pour le traitement de plastiques généraux, y compris les tuyaux et profilés, et peut gérer les pièces surmoulées.
- *2R75* est un broyeur à deux arbres hydraulique capable de traiter diverses matières plastiques, y compris les plastiques surmoulés.
### 3. Séparation des Matériaux
- **Séparation Densimétrique:** Après broyage, les fragments peuvent être séparés en fonction de leur densité à l'aide d'un séparateur vibrant à sec tel que ceux de la *Série ROBI*. Ces séparateurs sont capables de séparer des matériaux de poids spécifique différent, ce qui est idéal pour séparer l'ABS/PS du TPE.
- Les séparateurs de la *Série ROBI* sont conçus pour un fonctionnement continu et offrent une vaste gamme de réglages pour adapter la séparation aux matériaux spécifiques.
### 4. Raffinage et Purification
- **Raffinage Supplémentaire:** Pour obtenir une pureté élevée des matériaux séparés, utiliser un raffineur de la *Série TURBO*. Ces machines permettent une réduction dimensionnelle progressive et un raffinage sans l'aide d'éléments de broyage d'usure.
- Les raffineurs *TURBO* utilisent des tourbillons, des variations de pression et des vibrations liquides pour séparer les fines particules des matériaux broyés, ce qui est crucial pour les plastiques mélangés et surmoulés.
### 5. Recyclage et Réutilisation
- **Recyclage des Matériaux Séparés:** Les matériaux séparés peuvent ensuite être fondus et regranulés pour être réutilisés dans la fabrication de nouvelles pièces en plastique. L'ABS/PS et le TPE peuvent chacun être réintroduits dans des chaînes de production adaptées à leurs propriétés respectives.
### Résumé des Équipements Utilisés
- **Table de tri MK - PS312M/PS312W:** Pour le tri initial des matériaux.
- **Broyeur 1K65 ou 2R75:** Pour le pré-broyage des pièces en fragments.
- **Séparateur vibrant Série ROBI:** Pour la séparation densimétrique des matériaux.
- **Raffineur Série TURBO:** Pour le raffinage et la purification des matériaux séparés.
En suivant ces étapes et en utilisant les équipements appropriés, il est possible de recycler efficacement des pièces composées d'ABS/PS surmoulées avec du TPE, en séparant et en traitant chaque matériau de manière optimale pour leur réutilisation.
Nouvelle réponse
- Le 01/02/2024
Quelles sont les immobilisations nécessaires pour une entreprise de recyclage?
Réponse :
Pour une entreprise de recyclage, les immobilisations sont les ressources à long terme nécessaires pour mener à bien ses opérations. Ces actifs sont généralement classés en immobilisations corporelles, incorporelles et financières. Voici un aperçu des différentes immobilisations nécessaires pour une entreprise de recyclage :
1. Immobilisations corporelles :
a. Terrains et bâtiments : Un site de recyclage nécessitera un espace suffisant pour le traitement des déchets, le stockage, les bureaux administratifs et les infrastructures de soutien.
b. Matériel de traitement et de séparation : Il s'agit d'équipements spécialisés pour trier, nettoyer et préparer les matériaux recyclables pour la revente ou la réutilisation.
- Exemples : Trommels (comme le Trommel MK - TS620T), tables de tri (comme les Tables de tri MK - PS312M, PS312W, PS120T), séparateurs à courants de Foucault (comme le Séparateur à courants de Foucault MK - EC150T), broyeurs (tels que le Duratech 3010 F, le S3/3, les broyeurs 2 arbres 2R150 et 2R220-300, le pré-broyeur VB 750).
c. Véhicules et matériel de transport : Camions, pelles, chargeurs, et autres véhicules lourds pour le transport et la manutention des matériaux.
d. Matériel informatique et logiciels : Ordinateurs, systèmes de gestion de flotte, logiciels de gestion des déchets et de recyclage pour suivre le flux de matériaux et optimiser les opérations.
2. Immobilisations incorporelles :
a. Logiciels spécialisés : Solutions informatiques pour la gestion des opérations, la comptabilité et la traçabilité des matériaux.
b. Brevets et licences : Droits d'utilisation de technologies spécifiques ou de procédés brevetés dans le cadre du processus de recyclage.
c. Marques et goodwill : La valeur associée à la réputation et à la marque de l'entreprise sur le marché.
3. Immobilisations financières :
a. Participations et investissements : Investissements dans des sociétés affiliées ou des joint-ventures spécialisées dans des segments spécifiques du recyclage.
b. Cautionnements et dépôts : Garanties financières requises pour les contrats publics ou pour respecter les réglementations environnementales.
En plus de ces immobilisations, une entreprise de recyclage devra également envisager des coûts initiaux et continus pour la maintenance et le remplacement de l'équipement, la formation du personnel, les certifications environnementales et de sécurité, ainsi que les coûts d'assurance liés à l'exploitation d'une telle entreprise.
Il est à noter que l'investissement dans des équipements de pointe peut significativement augmenter l'efficacité des opérations de recyclage et réduire les coûts à long terme, en dépit d'un investissement initial plus élevé. Par exemple, l'utilisation de séparateurs aérauliques comme le Séparateur aéraulique Zig-Zag (ZZS) ou le Séparateur aéraulique de parties Lourdes (QSS) peut améliorer la pureté des fractions de matériaux et ainsi augmenter leur valeur sur le marché des matières premières secondaires.
1. Immobilisations corporelles :
a. Terrains et bâtiments : Un site de recyclage nécessitera un espace suffisant pour le traitement des déchets, le stockage, les bureaux administratifs et les infrastructures de soutien.
b. Matériel de traitement et de séparation : Il s'agit d'équipements spécialisés pour trier, nettoyer et préparer les matériaux recyclables pour la revente ou la réutilisation.
- Exemples : Trommels (comme le Trommel MK - TS620T), tables de tri (comme les Tables de tri MK - PS312M, PS312W, PS120T), séparateurs à courants de Foucault (comme le Séparateur à courants de Foucault MK - EC150T), broyeurs (tels que le Duratech 3010 F, le S3/3, les broyeurs 2 arbres 2R150 et 2R220-300, le pré-broyeur VB 750).
c. Véhicules et matériel de transport : Camions, pelles, chargeurs, et autres véhicules lourds pour le transport et la manutention des matériaux.
d. Matériel informatique et logiciels : Ordinateurs, systèmes de gestion de flotte, logiciels de gestion des déchets et de recyclage pour suivre le flux de matériaux et optimiser les opérations.
2. Immobilisations incorporelles :
a. Logiciels spécialisés : Solutions informatiques pour la gestion des opérations, la comptabilité et la traçabilité des matériaux.
b. Brevets et licences : Droits d'utilisation de technologies spécifiques ou de procédés brevetés dans le cadre du processus de recyclage.
c. Marques et goodwill : La valeur associée à la réputation et à la marque de l'entreprise sur le marché.
3. Immobilisations financières :
a. Participations et investissements : Investissements dans des sociétés affiliées ou des joint-ventures spécialisées dans des segments spécifiques du recyclage.
b. Cautionnements et dépôts : Garanties financières requises pour les contrats publics ou pour respecter les réglementations environnementales.
En plus de ces immobilisations, une entreprise de recyclage devra également envisager des coûts initiaux et continus pour la maintenance et le remplacement de l'équipement, la formation du personnel, les certifications environnementales et de sécurité, ainsi que les coûts d'assurance liés à l'exploitation d'une telle entreprise.
Il est à noter que l'investissement dans des équipements de pointe peut significativement augmenter l'efficacité des opérations de recyclage et réduire les coûts à long terme, en dépit d'un investissement initial plus élevé. Par exemple, l'utilisation de séparateurs aérauliques comme le Séparateur aéraulique Zig-Zag (ZZS) ou le Séparateur aéraulique de parties Lourdes (QSS) peut améliorer la pureté des fractions de matériaux et ainsi augmenter leur valeur sur le marché des matières premières secondaires.
Nouvelle réponse
- Le 13/01/2024
Quels sont les couts énergétiques respectifs du recyclage du verre, de la production de verre, du recyclage du plastique et de la production de plastique ?
Réponse :
L'évaluation des coûts énergétiques du recyclage du verre et du plastique par rapport à leur production respective est complexe et dépend de nombreux facteurs, notamment les technologies utilisées, l'efficacité des processus, la localisation géographique et les sources d'énergie utilisées. Cependant, il est généralement reconnu que le recyclage nécessite moins d'énergie que la production de nouveaux matériaux à partir de ressources vierges.
Pour le verre:
- Le recyclage du verre est énergétiquement avantageux car il permet de réduire la consommation d'énergie nécessaire à la fusion du sable, du carbonate de sodium et du calcaire pour produire du verre neuf. Le recyclage d'une tonne de verre permet d’économiser environ 1,2 tonnes de matières premières et réduit la consommation d'énergie d'environ 2 à 3 %. Cela s'explique par le fait que le verre fondu nécessite une température moins élevée pour être transformé que les matières premières vierges.
Pour le plastique:
- Le recyclage du plastique économise de l'énergie par rapport à la production de plastique neuf, principalement parce que la fabrication de plastiques à partir de pétrole brut ou de gaz naturel est un processus énergivore. La quantité d'énergie économisée varie selon le type de plastique, mais il est estimé que recycler une tonne de plastique peut économiser l'équivalent énergétique d'environ 5 774 kWh.
Pour la production de verre et plastique:
- La production de verre neuf nécessite de l'énergie pour extraire et transporter les matières premières, ainsi que pour les fondre à des températures élevées (jusqu'à 1500-1700°C).
- La production de plastique nécessite aussi l’extraction de pétrole ou de gaz naturel, le raffinage, la polymérisation et d'autres processus chimiques qui nécessitent une consommation d'énergie importante. La production de plastiques est l'un des principaux utilisateurs d'énergie dans l'industrie chimique.
En résumé, bien que les données exactes puissent varier, le recyclage du verre et du plastique est généralement moins coûteux en termes d'énergie que leur production à partir de matières premières vierges. Les économies d'énergie peuvent être amplifiées par l'utilisation de technologies et de processus de recyclage avancés.
Dans le contexte industriel, des équipements tels que les séparateurs vibrants à sec ou les tables densimétriques (Série ROBI et F-EKO, Table de tri MK - PS312W) peuvent être utilisés pour améliorer l'efficacité du tri et du recyclage des matières plastiques, tandis que les balances d'analyse et de précision (Gamme 321) peuvent être utilisées pour assurer la qualité des matériaux recyclés, y compris le verre. Ces technologies contribuent à réduire les coûts opérationnels et énergétiques globaux du recyclage.
Pour le verre:
- Le recyclage du verre est énergétiquement avantageux car il permet de réduire la consommation d'énergie nécessaire à la fusion du sable, du carbonate de sodium et du calcaire pour produire du verre neuf. Le recyclage d'une tonne de verre permet d’économiser environ 1,2 tonnes de matières premières et réduit la consommation d'énergie d'environ 2 à 3 %. Cela s'explique par le fait que le verre fondu nécessite une température moins élevée pour être transformé que les matières premières vierges.
Pour le plastique:
- Le recyclage du plastique économise de l'énergie par rapport à la production de plastique neuf, principalement parce que la fabrication de plastiques à partir de pétrole brut ou de gaz naturel est un processus énergivore. La quantité d'énergie économisée varie selon le type de plastique, mais il est estimé que recycler une tonne de plastique peut économiser l'équivalent énergétique d'environ 5 774 kWh.
Pour la production de verre et plastique:
- La production de verre neuf nécessite de l'énergie pour extraire et transporter les matières premières, ainsi que pour les fondre à des températures élevées (jusqu'à 1500-1700°C).
- La production de plastique nécessite aussi l’extraction de pétrole ou de gaz naturel, le raffinage, la polymérisation et d'autres processus chimiques qui nécessitent une consommation d'énergie importante. La production de plastiques est l'un des principaux utilisateurs d'énergie dans l'industrie chimique.
En résumé, bien que les données exactes puissent varier, le recyclage du verre et du plastique est généralement moins coûteux en termes d'énergie que leur production à partir de matières premières vierges. Les économies d'énergie peuvent être amplifiées par l'utilisation de technologies et de processus de recyclage avancés.
Dans le contexte industriel, des équipements tels que les séparateurs vibrants à sec ou les tables densimétriques (Série ROBI et F-EKO, Table de tri MK - PS312W) peuvent être utilisés pour améliorer l'efficacité du tri et du recyclage des matières plastiques, tandis que les balances d'analyse et de précision (Gamme 321) peuvent être utilisées pour assurer la qualité des matériaux recyclés, y compris le verre. Ces technologies contribuent à réduire les coûts opérationnels et énergétiques globaux du recyclage.
Nouvelle réponse
- Le 12/01/2024
Je cherche un moyen qui me permettra de fermer hermétiquement les goulotte de tri présente dans la cabine, afin d'empêcher l'air conditionné de s'en échapper. Avez-vous une idée ou une recommandation?
Réponse :
Pour fermer hermétiquement les goulottes de tri présentes dans une cabine et empêcher l'air conditionné de s'échapper, il est essentiel d'utiliser des solutions qui offrent une bonne étanchéité tout en étant compatibles avec l'environnement opérationnel. Voici quelques options techniques et produits qui pourraient correspondre à cette exigence :
1. Clapets d'étanchéité motorisés ou manuels : Ces dispositifs sont conçus pour se fermer automatiquement ou manuellement et sceller les ouvertures des goulottes. Ils peuvent être intégrés dans le design de la cabine de tri ou ajoutés en tant qu'accessoire. Les clapets peuvent également être équipés de joints en caoutchouc ou de tout autre matériau d'étanchéité pour améliorer la fermeture hermétique.
2. Rideaux d'air : Bien qu'ils ne ferment pas physiquement les goulottes, les rideaux d'air créent une barrière invisible qui aide à maintenir l'air conditionné à l'intérieur de la cabine. Cela peut être une solution si le passage des matériaux à travers les goulottes doit être continu.
3. Systèmes de fermeture à guillotine : Ces mécanismes fonctionnent comme une guillotine, se déplaçant verticalement pour ouvrir ou fermer l'accès aux goulottes. Ils peuvent être actionnés manuellement ou automatiquement et sont efficaces pour sceller hermétiquement une ouverture.
4. Portes ou trappes isolées : Installer des portes ou des trappes isolées sur les goulottes qui peuvent être ouvertes pour le tri et fermées pour maintenir l'étanchéité de la cabine. Ces éléments peuvent être personnalisés pour s'adapter aux dimensions et aux spécifications des goulottes.
5. Joints gonflables : Les joints gonflables peuvent être installés autour des ouvertures des goulottes. Lorsqu'ils ne sont pas en service, ils peuvent être gonflés pour créer une barrière hermétique, puis dégonflés pour permettre le passage des matériaux.
6. Solutions sur mesure : Si les options standard ne sont pas viables, envisagez de travailler avec un fabricant spécialisé dans les équipements de tri pour concevoir une solution sur mesure adaptée à vos besoins spécifiques. Ils pourraient adapter ou créer un système de fermeture qui intègre parfaitement avec votre cabine de tri et les goulottes existantes.
Il est important de noter que tout système de fermeture doit être conçu pour résister aux conditions de travail, comme la poussière, l'humidité et la fréquence d'ouverture et de fermeture. De plus, la sécurité des opérateurs doit être prise en compte dans la conception de tout mécanisme de fermeture.
En ce qui concerne les produits spécifiques mentionnés dans votre question (Table de tri MK - PS312M, PS120T, PS312W), il serait judicieux de contacter le fabricant pour discuter des options de fermeture personnalisées ou des accessoires pouvant être ajoutés aux systèmes existants pour améliorer l'étanchéité des goulottes. Ils pourraient également fournir des informations sur l'intégration de solutions de fermeture compatibles avec les technologies de séparation d'air présentes dans ces tables de tri.
1. Clapets d'étanchéité motorisés ou manuels : Ces dispositifs sont conçus pour se fermer automatiquement ou manuellement et sceller les ouvertures des goulottes. Ils peuvent être intégrés dans le design de la cabine de tri ou ajoutés en tant qu'accessoire. Les clapets peuvent également être équipés de joints en caoutchouc ou de tout autre matériau d'étanchéité pour améliorer la fermeture hermétique.
2. Rideaux d'air : Bien qu'ils ne ferment pas physiquement les goulottes, les rideaux d'air créent une barrière invisible qui aide à maintenir l'air conditionné à l'intérieur de la cabine. Cela peut être une solution si le passage des matériaux à travers les goulottes doit être continu.
3. Systèmes de fermeture à guillotine : Ces mécanismes fonctionnent comme une guillotine, se déplaçant verticalement pour ouvrir ou fermer l'accès aux goulottes. Ils peuvent être actionnés manuellement ou automatiquement et sont efficaces pour sceller hermétiquement une ouverture.
4. Portes ou trappes isolées : Installer des portes ou des trappes isolées sur les goulottes qui peuvent être ouvertes pour le tri et fermées pour maintenir l'étanchéité de la cabine. Ces éléments peuvent être personnalisés pour s'adapter aux dimensions et aux spécifications des goulottes.
5. Joints gonflables : Les joints gonflables peuvent être installés autour des ouvertures des goulottes. Lorsqu'ils ne sont pas en service, ils peuvent être gonflés pour créer une barrière hermétique, puis dégonflés pour permettre le passage des matériaux.
6. Solutions sur mesure : Si les options standard ne sont pas viables, envisagez de travailler avec un fabricant spécialisé dans les équipements de tri pour concevoir une solution sur mesure adaptée à vos besoins spécifiques. Ils pourraient adapter ou créer un système de fermeture qui intègre parfaitement avec votre cabine de tri et les goulottes existantes.
Il est important de noter que tout système de fermeture doit être conçu pour résister aux conditions de travail, comme la poussière, l'humidité et la fréquence d'ouverture et de fermeture. De plus, la sécurité des opérateurs doit être prise en compte dans la conception de tout mécanisme de fermeture.
En ce qui concerne les produits spécifiques mentionnés dans votre question (Table de tri MK - PS312M, PS120T, PS312W), il serait judicieux de contacter le fabricant pour discuter des options de fermeture personnalisées ou des accessoires pouvant être ajoutés aux systèmes existants pour améliorer l'étanchéité des goulottes. Ils pourraient également fournir des informations sur l'intégration de solutions de fermeture compatibles avec les technologies de séparation d'air présentes dans ces tables de tri.
Nouvelle réponse
- Le 27/12/2023
Dans le cadre du tri 7 flux, on parle d'attestations de valorisation alors que pour le tri des déchet le terme bordereau de suivi de déchet. Quelle différence entre les deux ?
Réponse :
Lorsqu'il s'agit de la gestion des déchets, il est important de distinguer entre les "attestations de valorisation" et les "bordereaux de suivi de déchets (BSD)", car ils servent à documenter des étapes différentes du processus de traitement des déchets.
1. Bordereau de suivi de déchets (BSD):
Le bordereau de suivi de déchets est un document réglementaire obligatoire en France, qui accompagne les déchets dangereux ou certains déchets non dangereux lors de leur transport depuis le producteur jusqu'à leur installation de traitement. Il sert à tracer l'ensemble du parcours du déchet, depuis son origine jusqu'à son traitement final. Le BSD contient des informations détaillées sur le type et la quantité de déchets, le producteur, le transporteur, et l'installation de traitement. Il doit être rempli par le producteur des déchets, signé par tous les intervenants et archivé pendant une durée minimale, souvent de trois ans après la fin de traitement des déchets.
2. Attestation de valorisation:
L'attestation de valorisation est un document qui certifie que les déchets ont été effectivement recyclés ou valorisés d'une manière ou d'une autre (par exemple, transformation en une nouvelle matière, utilisation comme source d'énergie, etc.). Elle est délivrée par l'installation de traitement des déchets pour attester de la valorisation effective des déchets réceptionnés. Ce document est souvent demandé par les entreprises pour justifier de leur performance en matière de développement durable et pour répondre aux exigences de la responsabilité élargie des producteurs (REP) ou de la réglementation spécifique à certains flux de déchets.
La principale différence entre ces deux documents réside dans leur fonction et le moment où ils sont générés dans le processus de gestion des déchets. Le BSD accompagne les déchets et assure leur traçabilité tout au long de leur collecte et traitement, tandis que l'attestation de valorisation est émise après le traitement pour confirmer que les déchets ont été valorisés.
Dans le contexte d'un tri 7 flux, où les déchets sont triés en sept catégories distinctes pour optimiser leur valorisation, les attestations de valorisation jouent un rôle crucial pour démontrer que chaque catégorie de déchets a été correctement traitée et valorisée, selon les objectifs de recyclage et de récupération des matériaux.
Des produits tels que des solutions de triage et de classement de déchets spécifiques, tels que les gammes TERAMOV ou les tables de tri MK, peuvent aider à séparer efficacement les déchets en différents flux en vue de leur valorisation et ainsi contribuer à obtenir des attestations de valorisation pertinentes pour chaque catégorie de déchets traités.
1. Bordereau de suivi de déchets (BSD):
Le bordereau de suivi de déchets est un document réglementaire obligatoire en France, qui accompagne les déchets dangereux ou certains déchets non dangereux lors de leur transport depuis le producteur jusqu'à leur installation de traitement. Il sert à tracer l'ensemble du parcours du déchet, depuis son origine jusqu'à son traitement final. Le BSD contient des informations détaillées sur le type et la quantité de déchets, le producteur, le transporteur, et l'installation de traitement. Il doit être rempli par le producteur des déchets, signé par tous les intervenants et archivé pendant une durée minimale, souvent de trois ans après la fin de traitement des déchets.
2. Attestation de valorisation:
L'attestation de valorisation est un document qui certifie que les déchets ont été effectivement recyclés ou valorisés d'une manière ou d'une autre (par exemple, transformation en une nouvelle matière, utilisation comme source d'énergie, etc.). Elle est délivrée par l'installation de traitement des déchets pour attester de la valorisation effective des déchets réceptionnés. Ce document est souvent demandé par les entreprises pour justifier de leur performance en matière de développement durable et pour répondre aux exigences de la responsabilité élargie des producteurs (REP) ou de la réglementation spécifique à certains flux de déchets.
La principale différence entre ces deux documents réside dans leur fonction et le moment où ils sont générés dans le processus de gestion des déchets. Le BSD accompagne les déchets et assure leur traçabilité tout au long de leur collecte et traitement, tandis que l'attestation de valorisation est émise après le traitement pour confirmer que les déchets ont été valorisés.
Dans le contexte d'un tri 7 flux, où les déchets sont triés en sept catégories distinctes pour optimiser leur valorisation, les attestations de valorisation jouent un rôle crucial pour démontrer que chaque catégorie de déchets a été correctement traitée et valorisée, selon les objectifs de recyclage et de récupération des matériaux.
Des produits tels que des solutions de triage et de classement de déchets spécifiques, tels que les gammes TERAMOV ou les tables de tri MK, peuvent aider à séparer efficacement les déchets en différents flux en vue de leur valorisation et ainsi contribuer à obtenir des attestations de valorisation pertinentes pour chaque catégorie de déchets traités.
Pas encore de tutoriel sur ce produit