Description
6 Canaux de mesures
0.3µ à 25µm
Débit : 28,3 l/mn Conforme à la norme 21CFR part11. rapport conforme à : ISO 14644-1, GMP, FS209E
Le compteur APEX Z50 est un compteur portable équipé de :,
écran tactile couleur
imprimante intégrée
Une batterie rechargeables. 4H d'autonomies
Une mémoire de 3000 mesures
Un logiciel de transfert de données sur PC
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Le 28/01/2024
Quelle est la nécessité du prélèvelement d'air actif ET passif sous ISO 5?
Réponse :
Le prélèvement d'air actif et passif sous une enceinte ISO 5 est essentiel pour assurer un environnement contrôlé et garantir la qualité des processus et des produits dans les salles blanches, notamment dans les industries pharmaceutiques, biotechnologiques et de fabrication de dispositifs médicaux. La norme ISO 5 correspond à la classification de la salle blanche et définit le nombre maximum de particules autorisées par mètre cube d'air.
Le prélèvement d'air actif implique l'utilisation d'instruments qui aspirent activement un volume d'air spécifié à travers un ou plusieurs filtres ou substrats de capture pour collecter et compter les particules en suspension. Ce prélèvement actif permet de quantifier avec précision le nombre de particules présentes dans l'air à un moment donné, ce qui est critique pour le maintien des standards de la salle blanche ISO 5.
Les appareils comme les compteurs de particules actifs, tels que les modèles APEX Z50 ou Solair 3100, sont souvent utilisés pour ces mesures. Ils offrent un débit élevé de prélèvement d'air (par exemple, 28,3 litres par minute pour le Solair 3100) et une capacité de discrimination des particules par taille, ce qui est essentiel pour le suivi de la qualité de l'air en temps réel et la conformité aux normes ISO.
Le prélèvement d'air passif, en revanche, ne nécessite pas d'appareils mécaniques pour collecter les particules. Il repose sur la sédimentation naturelle des particules sur des plaques de pétri ou d'autres substrats exposés à l'environnement de la salle blanche pendant une période déterminée. Les plaques de pétri sont ensuite incubées pour permettre la croissance de colonies microbiennes qui peuvent être comptées et identifiées. Ce type de prélèvement est utilisé pour évaluer la contamination microbiologique de l'air.
Les deux méthodes de prélèvement sont complémentaires. Le prélèvement actif permet un suivi continu de la qualité de l'air et la détection rapide des déviations par rapport aux seuils acceptables, tandis que le prélèvement passif offre une évaluation qualitative de la contamination microbiologique sur une plus longue période. La combinaison de ces deux méthodes fournit une image complète de la qualité de l'air dans une salle blanche ISO 5 et permet de prendre des mesures correctives en cas de non-conformité.
Dans les salles blanches ISO 5, où les conditions doivent être strictement contrôlées pour protéger les processus critiques et les produits sensibles, la mise en œuvre régulière de ces méthodes de prélèvement est nécessaire pour assurer une maîtrise continuelle de l'environnement et pour répondre aux exigences réglementaires et aux standards de qualité.
Le prélèvement d'air actif implique l'utilisation d'instruments qui aspirent activement un volume d'air spécifié à travers un ou plusieurs filtres ou substrats de capture pour collecter et compter les particules en suspension. Ce prélèvement actif permet de quantifier avec précision le nombre de particules présentes dans l'air à un moment donné, ce qui est critique pour le maintien des standards de la salle blanche ISO 5.
Les appareils comme les compteurs de particules actifs, tels que les modèles APEX Z50 ou Solair 3100, sont souvent utilisés pour ces mesures. Ils offrent un débit élevé de prélèvement d'air (par exemple, 28,3 litres par minute pour le Solair 3100) et une capacité de discrimination des particules par taille, ce qui est essentiel pour le suivi de la qualité de l'air en temps réel et la conformité aux normes ISO.
Le prélèvement d'air passif, en revanche, ne nécessite pas d'appareils mécaniques pour collecter les particules. Il repose sur la sédimentation naturelle des particules sur des plaques de pétri ou d'autres substrats exposés à l'environnement de la salle blanche pendant une période déterminée. Les plaques de pétri sont ensuite incubées pour permettre la croissance de colonies microbiennes qui peuvent être comptées et identifiées. Ce type de prélèvement est utilisé pour évaluer la contamination microbiologique de l'air.
Les deux méthodes de prélèvement sont complémentaires. Le prélèvement actif permet un suivi continu de la qualité de l'air et la détection rapide des déviations par rapport aux seuils acceptables, tandis que le prélèvement passif offre une évaluation qualitative de la contamination microbiologique sur une plus longue période. La combinaison de ces deux méthodes fournit une image complète de la qualité de l'air dans une salle blanche ISO 5 et permet de prendre des mesures correctives en cas de non-conformité.
Dans les salles blanches ISO 5, où les conditions doivent être strictement contrôlées pour protéger les processus critiques et les produits sensibles, la mise en œuvre régulière de ces méthodes de prélèvement est nécessaire pour assurer une maîtrise continuelle de l'environnement et pour répondre aux exigences réglementaires et aux standards de qualité.
Nouvelle réponse
- Le 27/11/2023
Est-ce qu'un prélèvement d'air dans une voiture est considéré comme un prélèvement statique ou prélèvement sur opérateur?
Réponse :
Un prélèvement d'air effectué à l'intérieur d'une voiture est généralement considéré comme un prélèvement statique plutôt qu'un prélèvement sur opérateur. L'objectif d'un prélèvement statique est de mesurer la concentration de contaminants dans un espace donné, comme l'habitacle d'un véhicule, sans que cela soit directement lié aux activités d'une personne spécifique. Il s'agit d'évaluer la qualité de l'air ambiant à un moment donné et dans un lieu précis.
En revanche, un prélèvement sur opérateur est spécifiquement conçu pour mesurer l'exposition personnelle aux contaminants dans l'environnement de travail, en suivant les mouvements et les activités de l'opérateur pendant son travail. Cela implique généralement l'utilisation d'une pompe de prélèvement portée à la ceinture et d'un dispositif de prélèvement placé dans la zone de respiration de l'opérateur, comme le col de la chemise ou le casque.
Pour réaliser un prélèvement d'air dans une voiture, des instruments comme le APEX Z50 ou le Solair 3100 pourraient être utilisés pour mesurer les niveaux de particules en suspension. Ces compteurs de particules sont conçus pour être portables et peuvent être placés à un endroit fixe dans le véhicule pour recueillir des données sur la qualité de l'air ambiant.
S'il est nécessaire de mesurer des composés spécifiques comme des composés organiques volatils (COV) ou d'autres gaz, des préleveurs d'air spécifiques pourraient être nécessaires. Par exemple, la pompe VAPex est appropriée pour l'échantillonnage de vapeurs et de gaz à faible débit et pourrait être utilisée pour recueillir des échantillons d'air dans une voiture, en tenant compte des spécifications techniques et des capacités de détection de l'instrument en fonction des contaminants d'intérêt.
En revanche, un prélèvement sur opérateur est spécifiquement conçu pour mesurer l'exposition personnelle aux contaminants dans l'environnement de travail, en suivant les mouvements et les activités de l'opérateur pendant son travail. Cela implique généralement l'utilisation d'une pompe de prélèvement portée à la ceinture et d'un dispositif de prélèvement placé dans la zone de respiration de l'opérateur, comme le col de la chemise ou le casque.
Pour réaliser un prélèvement d'air dans une voiture, des instruments comme le APEX Z50 ou le Solair 3100 pourraient être utilisés pour mesurer les niveaux de particules en suspension. Ces compteurs de particules sont conçus pour être portables et peuvent être placés à un endroit fixe dans le véhicule pour recueillir des données sur la qualité de l'air ambiant.
S'il est nécessaire de mesurer des composés spécifiques comme des composés organiques volatils (COV) ou d'autres gaz, des préleveurs d'air spécifiques pourraient être nécessaires. Par exemple, la pompe VAPex est appropriée pour l'échantillonnage de vapeurs et de gaz à faible débit et pourrait être utilisée pour recueillir des échantillons d'air dans une voiture, en tenant compte des spécifications techniques et des capacités de détection de l'instrument en fonction des contaminants d'intérêt.
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- Le 28/01/2024
Quelle est la nécessité du prélèvelement d'air actif ET passif sous ISO 5?
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Le prélèvement d'air actif et passif sous une enceinte ISO 5 est essentiel pour assurer un environnement contrôlé et garantir la qualité des processus et des produits dans les salles blanches, notamment dans les industries pharmaceutiques, biotechnologiques et de fabrication de dispositifs médicaux. La norme ISO 5 correspond à la classification de la salle blanche et définit le nombre maximum de particules autorisées par mètre cube d'air.
Le prélèvement d'air actif implique l'utilisation d'instruments qui aspirent activement un volume d'air spécifié à travers un ou plusieurs filtres ou substrats de capture pour collecter et compter les particules en suspension. Ce prélèvement actif permet de quantifier avec précision le nombre de particules présentes dans l'air à un moment donné, ce qui est critique pour le maintien des standards de la salle blanche ISO 5.
Les appareils comme les compteurs de particules actifs, tels que les modèles APEX Z50 ou Solair 3100, sont souvent utilisés pour ces mesures. Ils offrent un débit élevé de prélèvement d'air (par exemple, 28,3 litres par minute pour le Solair 3100) et une capacité de discrimination des particules par taille, ce qui est essentiel pour le suivi de la qualité de l'air en temps réel et la conformité aux normes ISO.
Le prélèvement d'air passif, en revanche, ne nécessite pas d'appareils mécaniques pour collecter les particules. Il repose sur la sédimentation naturelle des particules sur des plaques de pétri ou d'autres substrats exposés à l'environnement de la salle blanche pendant une période déterminée. Les plaques de pétri sont ensuite incubées pour permettre la croissance de colonies microbiennes qui peuvent être comptées et identifiées. Ce type de prélèvement est utilisé pour évaluer la contamination microbiologique de l'air.
Les deux méthodes de prélèvement sont complémentaires. Le prélèvement actif permet un suivi continu de la qualité de l'air et la détection rapide des déviations par rapport aux seuils acceptables, tandis que le prélèvement passif offre une évaluation qualitative de la contamination microbiologique sur une plus longue période. La combinaison de ces deux méthodes fournit une image complète de la qualité de l'air dans une salle blanche ISO 5 et permet de prendre des mesures correctives en cas de non-conformité.
Dans les salles blanches ISO 5, où les conditions doivent être strictement contrôlées pour protéger les processus critiques et les produits sensibles, la mise en œuvre régulière de ces méthodes de prélèvement est nécessaire pour assurer une maîtrise continuelle de l'environnement et pour répondre aux exigences réglementaires et aux standards de qualité.
Le prélèvement d'air actif implique l'utilisation d'instruments qui aspirent activement un volume d'air spécifié à travers un ou plusieurs filtres ou substrats de capture pour collecter et compter les particules en suspension. Ce prélèvement actif permet de quantifier avec précision le nombre de particules présentes dans l'air à un moment donné, ce qui est critique pour le maintien des standards de la salle blanche ISO 5.
Les appareils comme les compteurs de particules actifs, tels que les modèles APEX Z50 ou Solair 3100, sont souvent utilisés pour ces mesures. Ils offrent un débit élevé de prélèvement d'air (par exemple, 28,3 litres par minute pour le Solair 3100) et une capacité de discrimination des particules par taille, ce qui est essentiel pour le suivi de la qualité de l'air en temps réel et la conformité aux normes ISO.
Le prélèvement d'air passif, en revanche, ne nécessite pas d'appareils mécaniques pour collecter les particules. Il repose sur la sédimentation naturelle des particules sur des plaques de pétri ou d'autres substrats exposés à l'environnement de la salle blanche pendant une période déterminée. Les plaques de pétri sont ensuite incubées pour permettre la croissance de colonies microbiennes qui peuvent être comptées et identifiées. Ce type de prélèvement est utilisé pour évaluer la contamination microbiologique de l'air.
Les deux méthodes de prélèvement sont complémentaires. Le prélèvement actif permet un suivi continu de la qualité de l'air et la détection rapide des déviations par rapport aux seuils acceptables, tandis que le prélèvement passif offre une évaluation qualitative de la contamination microbiologique sur une plus longue période. La combinaison de ces deux méthodes fournit une image complète de la qualité de l'air dans une salle blanche ISO 5 et permet de prendre des mesures correctives en cas de non-conformité.
Dans les salles blanches ISO 5, où les conditions doivent être strictement contrôlées pour protéger les processus critiques et les produits sensibles, la mise en œuvre régulière de ces méthodes de prélèvement est nécessaire pour assurer une maîtrise continuelle de l'environnement et pour répondre aux exigences réglementaires et aux standards de qualité.
Nouvelle réponse
- Le 27/11/2023
Est-ce qu'un prélèvement d'air dans une voiture est considéré comme un prélèvement statique ou prélèvement sur opérateur?
Réponse :
Un prélèvement d'air effectué à l'intérieur d'une voiture est généralement considéré comme un prélèvement statique plutôt qu'un prélèvement sur opérateur. L'objectif d'un prélèvement statique est de mesurer la concentration de contaminants dans un espace donné, comme l'habitacle d'un véhicule, sans que cela soit directement lié aux activités d'une personne spécifique. Il s'agit d'évaluer la qualité de l'air ambiant à un moment donné et dans un lieu précis.
En revanche, un prélèvement sur opérateur est spécifiquement conçu pour mesurer l'exposition personnelle aux contaminants dans l'environnement de travail, en suivant les mouvements et les activités de l'opérateur pendant son travail. Cela implique généralement l'utilisation d'une pompe de prélèvement portée à la ceinture et d'un dispositif de prélèvement placé dans la zone de respiration de l'opérateur, comme le col de la chemise ou le casque.
Pour réaliser un prélèvement d'air dans une voiture, des instruments comme le APEX Z50 ou le Solair 3100 pourraient être utilisés pour mesurer les niveaux de particules en suspension. Ces compteurs de particules sont conçus pour être portables et peuvent être placés à un endroit fixe dans le véhicule pour recueillir des données sur la qualité de l'air ambiant.
S'il est nécessaire de mesurer des composés spécifiques comme des composés organiques volatils (COV) ou d'autres gaz, des préleveurs d'air spécifiques pourraient être nécessaires. Par exemple, la pompe VAPex est appropriée pour l'échantillonnage de vapeurs et de gaz à faible débit et pourrait être utilisée pour recueillir des échantillons d'air dans une voiture, en tenant compte des spécifications techniques et des capacités de détection de l'instrument en fonction des contaminants d'intérêt.
En revanche, un prélèvement sur opérateur est spécifiquement conçu pour mesurer l'exposition personnelle aux contaminants dans l'environnement de travail, en suivant les mouvements et les activités de l'opérateur pendant son travail. Cela implique généralement l'utilisation d'une pompe de prélèvement portée à la ceinture et d'un dispositif de prélèvement placé dans la zone de respiration de l'opérateur, comme le col de la chemise ou le casque.
Pour réaliser un prélèvement d'air dans une voiture, des instruments comme le APEX Z50 ou le Solair 3100 pourraient être utilisés pour mesurer les niveaux de particules en suspension. Ces compteurs de particules sont conçus pour être portables et peuvent être placés à un endroit fixe dans le véhicule pour recueillir des données sur la qualité de l'air ambiant.
S'il est nécessaire de mesurer des composés spécifiques comme des composés organiques volatils (COV) ou d'autres gaz, des préleveurs d'air spécifiques pourraient être nécessaires. Par exemple, la pompe VAPex est appropriée pour l'échantillonnage de vapeurs et de gaz à faible débit et pourrait être utilisée pour recueillir des échantillons d'air dans une voiture, en tenant compte des spécifications techniques et des capacités de détection de l'instrument en fonction des contaminants d'intérêt.
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