Produit
Préleveur réfrigéré monoflacon AS950
Préleveur fixe ou portable
Description
Le préleveur AS950 est destiné aux applications suivantes :
- Recherche de substances dangereuses dans l'eau (RSDE) conforme à la directive N°2014/101/UE,
- Contrôle des rejets industriels,
- Contrôle des rejets de station d'épuration, de déversoir d'orage et d'eaux pluviales,
- Surveillance de réseaux et rejets urbains,
- Stations d'alertes.
Le préleveur Hydreka est composé d’une enceinte réfrigérée, avec flacon PE ou verre, équipé d’une unité de prélèvement HACH SIGMA AS950. Un chariot de transport pliable avec roues gonflables est également disponible.
En poste fixe ou en portable, cet appareil est particulièrement adapté au contrôle et au suivi réglementaire (campagne RSDE ou autre) des rejets d’eaux urbaines et industrielles, au suivi des charges polluantes des déversoirs d’orages….etc
Caractéristiques générales
Caractéristique | Valeur |
---|---|
Alimentation de l'embase | Indépendante de l'alimentation de la tête AS950 |
Capot | Transparent |
Détecteur de liquide | Sans contact. |
Hauteur d'aspiration | 4,6 m |
Matériau du segment de pompage | Silicone |
Matériau du tuyau d'aspiration | Téflon |
Mode d'asservissement | Au temps ou au débit programmable |
Pompe | Péristaltique 4 galets sur ressorts |
Programmation | Directe par clavier et duplication par clé USB |
Répétabilité | ±5 % d'un volume d'échantillon de 200 ml |
Résistance | IP68 |
Température de l'enceinte | Réglable par l'utilisateur |
Transport du flacon | Sangle pour transport |
Transport du préleveur | Chariot de transport |
Type d'agitation | Passage aisé d'un agitateur pour homogénéiser l'échantillon (non fourni) |
Type d'alimentation | 12V groupe froid |
Type d'écran | Couleur |
Type d'enceinte | Flacon PE verre |
Type de flacon | Verre 16L avec grande ouverture |
Type de produit | Préleveur réfrigéré monoflacon AS950 |
Type de réfrigérant | Corps réfrigérant à 360°, réglable en température |
Vitesse d'aspiration | 0,9 m/s |
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Le 19/04/2024
Quel est le protocole à suivre pour la fréquence des prélèvements d'eau destinés aux analyses microbiologiques de type B2 dans l'industrie agroalimentaire ? Est-ce que cette fréquence dépend du volume d'eau consommé par l'entreprise ?
Réponse :
Le protocole de prélèvement d'eau destiné aux analyses microbiologiques dans l'industrie agroalimentaire, particulièrement pour des analyses de type B2, doit se conformer aux normes et réglementations locales et internationales, ainsi qu'aux bonnes pratiques de fabrication (BPF). Ces analyses visent à détecter la présence de micro-organismes pathogènes, comme les coliformes, les entérocoques, Escherichia coli, et autres bactéries pouvant affecter la qualité des produits et la santé des consommateurs.
La fréquence des prélèvements microbiologiques dépend généralement de plusieurs facteurs, notamment :
1. La réglementation en vigueur : Les autorités sanitaires et les organismes de régulation définissent les exigences minimales pour la surveillance microbiologique de l'eau dans l'industrie agroalimentaire.
2. Les recommandations des standards internationaux : Des normes comme l'ISO 22000 ou le HACCP (Hazard Analysis and Critical Control Points) peuvent fournir des lignes directrices sur la surveillance de la qualité de l'eau.
3. L'analyse des risques : Une évaluation des risques spécifiques à l'entreprise doit être réalisée pour déterminer les points critiques où la qualité de l'eau pourrait être compromise.
4. Le volume d'eau consommé : Bien que le volume d'eau utilisé puisse influer sur la fréquence des prélèvements, la décision doit surtout reposer sur les risques associés à l'utilisation de cette eau dans les processus de production.
5. Les résultats des analyses antérieures : Si des problèmes ont été détectés précédemment, il peut être nécessaire d'augmenter la fréquence des prélèvements jusqu'à ce que la qualité de l'eau soit stabilisée.
6. Les changements dans le processus de production : L'introduction de nouvelles lignes de production ou de nouveaux produits peut nécessiter une réévaluation de la fréquence de prélèvement.
Un exemple de protocole pourrait être le suivant :
- Prélèvement initial pour constituer une référence de la qualité de l'eau.
- Prélèvements réguliers à une fréquence définie par l'analyse des risques, pouvant varier de hebdomadaire à mensuelle.
- Prélèvements supplémentaires lors de changements dans le processus de production ou après maintenance du système d'eau.
- Prélèvements après tout événement pouvant affecter la qualité de l'eau (par exemple, des inondations ou des travaux sur le réseau d'eau).
Pour réaliser ces prélèvements, des équipements spécifiques sont nécessaires, tels que :
- Des préleveurs réfrigérés monoflacon ou multi-flacons, comme l'AS950 de Hydreka, pour conserver les échantillons à une température contrôlée jusqu'à leur analyse.
- Des kits de prélèvement stériles pour éviter toute contamination lors du prélèvement.
- Des pompes dédiées à l'échantillonnage, telles que la pompe MP1 de Grundfos, pour les prélèvements dans les piézomètres ou les puits de surveillance.
Il est crucial que le protocole soit établi en concertation avec un laboratoire accrédité capable de réaliser les analyses microbiologiques requises, et que l'ensemble du personnel impliqué dans les prélèvements soit correctement formé aux techniques aseptiques et aux procédures de prélèvement.
La fréquence des prélèvements microbiologiques dépend généralement de plusieurs facteurs, notamment :
1. La réglementation en vigueur : Les autorités sanitaires et les organismes de régulation définissent les exigences minimales pour la surveillance microbiologique de l'eau dans l'industrie agroalimentaire.
2. Les recommandations des standards internationaux : Des normes comme l'ISO 22000 ou le HACCP (Hazard Analysis and Critical Control Points) peuvent fournir des lignes directrices sur la surveillance de la qualité de l'eau.
3. L'analyse des risques : Une évaluation des risques spécifiques à l'entreprise doit être réalisée pour déterminer les points critiques où la qualité de l'eau pourrait être compromise.
4. Le volume d'eau consommé : Bien que le volume d'eau utilisé puisse influer sur la fréquence des prélèvements, la décision doit surtout reposer sur les risques associés à l'utilisation de cette eau dans les processus de production.
5. Les résultats des analyses antérieures : Si des problèmes ont été détectés précédemment, il peut être nécessaire d'augmenter la fréquence des prélèvements jusqu'à ce que la qualité de l'eau soit stabilisée.
6. Les changements dans le processus de production : L'introduction de nouvelles lignes de production ou de nouveaux produits peut nécessiter une réévaluation de la fréquence de prélèvement.
Un exemple de protocole pourrait être le suivant :
- Prélèvement initial pour constituer une référence de la qualité de l'eau.
- Prélèvements réguliers à une fréquence définie par l'analyse des risques, pouvant varier de hebdomadaire à mensuelle.
- Prélèvements supplémentaires lors de changements dans le processus de production ou après maintenance du système d'eau.
- Prélèvements après tout événement pouvant affecter la qualité de l'eau (par exemple, des inondations ou des travaux sur le réseau d'eau).
Pour réaliser ces prélèvements, des équipements spécifiques sont nécessaires, tels que :
- Des préleveurs réfrigérés monoflacon ou multi-flacons, comme l'AS950 de Hydreka, pour conserver les échantillons à une température contrôlée jusqu'à leur analyse.
- Des kits de prélèvement stériles pour éviter toute contamination lors du prélèvement.
- Des pompes dédiées à l'échantillonnage, telles que la pompe MP1 de Grundfos, pour les prélèvements dans les piézomètres ou les puits de surveillance.
Il est crucial que le protocole soit établi en concertation avec un laboratoire accrédité capable de réaliser les analyses microbiologiques requises, et que l'ensemble du personnel impliqué dans les prélèvements soit correctement formé aux techniques aseptiques et aux procédures de prélèvement.
Nouvelle réponse
- Le 19/01/2024
Ou se fournir en bouteille de prélèvement?
Réponse :
Les bouteilles de prélèvement sont des récipients spécifiques utilisés pour collecter et conserver des échantillons d'eau, de sol ou de substances chimiques dans des conditions optimales pour les analyses en laboratoire. Pour se procurer des bouteilles de prélèvement, il existe différentes options, notamment :
1. Fournisseurs spécialisés en équipement de laboratoire ou d'analyse environnementale : Ces entreprises proposent une gamme de bouteilles de prélèvement adaptées aux diverses applications et normes réglementaires. Elles peuvent offrir des bouteilles en plastique (polyéthylène, polypropylène, etc.), en verre, ou en téflon, souvent disponibles avec des caractéristiques spécifiques comme des revêtements résistants aux produits chimiques, des bouchons étanches, ou des revêtements stériles pour les analyses microbiologiques.
2. Fabricants d'instruments d'analyse environnementale : Des entreprises qui fabriquent ou distribuent des équipements pour le prélèvement et l'analyse des échantillons environnementaux peuvent également proposer des bouteilles de prélèvement. Ces bouteilles peuvent être conçues pour être compatibles avec des préleveurs automatiques ou d'autres dispositifs spécifiques, tels que le préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le préleveur automatique d’eau MULTI-LIMNOS.
3. Distributeurs de produits scientifiques et industriels : Les distributeurs généralistes de fournitures industrielles et scientifiques offrent souvent des bouteilles de prélèvement dans leur catalogue, avec la possibilité d'acheter en ligne ou en magasin.
4. Boutiques en ligne spécialisées : Il existe des plateformes en ligne dédiées à la vente de fournitures de laboratoire et d'équipements d'analyse environnementale, où vous pouvez commander des bouteilles de prélèvement et les recevoir directement dans vos installations.
5. Fabricants de bouteilles : Certains fabricants se spécialisent dans la production de récipients pour des applications spécifiques et peuvent offrir la possibilité de personnaliser les bouteilles en fonction des besoins du client.
Lors de l'achat de bouteilles de prélèvement, il est important de considérer les critères suivants en fonction de l'application :
- Le volume de la bouteille (par exemple, de quelques millilitres à plusieurs litres)
- Le matériau de fabrication (compatibilité chimique, résistance à la lumière UV, etc.)
- La présence ou non d'un revêtement ou d'un traitement stérile
- Le type de fermeture (bouchon à vis, bouchon à sertir, etc.)
- Les certifications ou conformités aux normes (ISO, EPA, etc.)
- La nécessité d'une réfrigération pour la conservation des échantillons
Enfin, si vous travaillez dans un domaine très spécifique ou si vous avez des besoins particuliers, il peut être judicieux de contacter directement un fabricant ou un fournisseur pour obtenir des conseils personnalisés et des recommandations sur le type de bouteille de prélèvement le plus adapté à vos exigences.
1. Fournisseurs spécialisés en équipement de laboratoire ou d'analyse environnementale : Ces entreprises proposent une gamme de bouteilles de prélèvement adaptées aux diverses applications et normes réglementaires. Elles peuvent offrir des bouteilles en plastique (polyéthylène, polypropylène, etc.), en verre, ou en téflon, souvent disponibles avec des caractéristiques spécifiques comme des revêtements résistants aux produits chimiques, des bouchons étanches, ou des revêtements stériles pour les analyses microbiologiques.
2. Fabricants d'instruments d'analyse environnementale : Des entreprises qui fabriquent ou distribuent des équipements pour le prélèvement et l'analyse des échantillons environnementaux peuvent également proposer des bouteilles de prélèvement. Ces bouteilles peuvent être conçues pour être compatibles avec des préleveurs automatiques ou d'autres dispositifs spécifiques, tels que le préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le préleveur automatique d’eau MULTI-LIMNOS.
3. Distributeurs de produits scientifiques et industriels : Les distributeurs généralistes de fournitures industrielles et scientifiques offrent souvent des bouteilles de prélèvement dans leur catalogue, avec la possibilité d'acheter en ligne ou en magasin.
4. Boutiques en ligne spécialisées : Il existe des plateformes en ligne dédiées à la vente de fournitures de laboratoire et d'équipements d'analyse environnementale, où vous pouvez commander des bouteilles de prélèvement et les recevoir directement dans vos installations.
5. Fabricants de bouteilles : Certains fabricants se spécialisent dans la production de récipients pour des applications spécifiques et peuvent offrir la possibilité de personnaliser les bouteilles en fonction des besoins du client.
Lors de l'achat de bouteilles de prélèvement, il est important de considérer les critères suivants en fonction de l'application :
- Le volume de la bouteille (par exemple, de quelques millilitres à plusieurs litres)
- Le matériau de fabrication (compatibilité chimique, résistance à la lumière UV, etc.)
- La présence ou non d'un revêtement ou d'un traitement stérile
- Le type de fermeture (bouchon à vis, bouchon à sertir, etc.)
- Les certifications ou conformités aux normes (ISO, EPA, etc.)
- La nécessité d'une réfrigération pour la conservation des échantillons
Enfin, si vous travaillez dans un domaine très spécifique ou si vous avez des besoins particuliers, il peut être judicieux de contacter directement un fabricant ou un fournisseur pour obtenir des conseils personnalisés et des recommandations sur le type de bouteille de prélèvement le plus adapté à vos exigences.
Nouvelle réponse
- Le 07/12/2023
Comment analyser et protéger l'eau d'un étang suite à un rejet d'eaux usées?
Réponse :
Pour analyser et protéger l'eau d'un étang suite à un rejet d'eaux usées, il est nécessaire de mettre en place un plan d'action comprenant plusieurs étapes clés : le suivi et l'évaluation de la qualité de l'eau, la détermination des sources de pollution, et l'application de mesures correctives pour traiter la pollution et prévenir de futurs incidents. Voici un détail des étapes techniques impliquées :
1. Évaluation initiale :
- Inspection visuelle de l'étang pour détecter les signes de pollution tels que la présence de mousse, de coloration anormale ou de mortalité de poissons.
- Collecte d'informations sur la source du rejet d'eaux usées et estimation de la quantité et de la composition des contaminants.
2. Prélèvement et analyse des échantillons d'eau :
- Utilisation d'un préleveur automatique, comme le Préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le Préleveur réfrigéré multi-flacons AS950, pour collecter des échantillons d'eau à différents endroits et profondeurs de l'étang.
- Analyse des échantillons pour des paramètres physico-chimiques et biologiques, y compris les nitrates, les phosphates, la demande biochimique en oxygène (DBO), la demande chimique en oxygène (DCO), les matières en suspension, les métaux lourds, etc. Des appareils comme le Smartchem 200 ou le Smartchem 600 peuvent être utilisés pour ces analyses en laboratoire.
- Mesure des paramètres in situ tels que le pH, l'oxygène dissous, la conductivité et la turbidité à l'aide de sondes multiparamètres portables comme le Manta+ ou l'Odeon Photopod.
3. Évaluation de l'impact écologique :
- Étude de l'impact sur la faune et la flore aquatiques, y compris les tests de toxicité sur les organismes aquatiques avec un appareil comme le TOXmini.
4. Traitement de la pollution :
- En fonction des contaminants identifiés, une stratégie de traitement peut inclure l'aération pour augmenter les niveaux d'oxygène, l'ajout de charbon actif pour absorber les polluants organiques, ou l'utilisation de floculants pour précipiter les métaux lourds.
- Pour les contaminants spécifiques comme les nitrates, des solutions comme la sonde NitraLed UV peuvent être utilisées pour la mesure en continu et le contrôle de la concentration en nitrates.
5. Mesures préventives et de suivi :
- Installation de systèmes de surveillance en continu comme le BACTcontrol pour surveiller l'activité microbiologique ou la sonde HAP pour la détection des hydrocarbures aromatiques polycycliques.
- Mise en place de barrières physiques ou de zones tampons pour prévenir de futurs rejets.
- Régulation des rejets industriels et sensibilisation des parties prenantes à la gestion durable des eaux usées.
6. Restauration écologique :
- Si nécessaire, mise en œuvre de techniques de restauration écologique, comme la réintroduction d'espèces indigènes ou l'aménagement de zones humides artificielles pour filtrer les eaux de ruissellement.
7. Réglementation et conformité :
- Assurer la conformité avec la législation locale et nationale en matière de rejets d'eaux usées et de qualité de l'eau.
- Réalisation d'audits réguliers et de rapports de conformité.
En utilisant les appareils et les techniques appropriés, il est possible de caractériser avec précision l'étendue de la pollution, d'appliquer des mesures correctives efficaces et de mettre en œuvre des stratégies de prévention pour protéger l'eau d'un étang contre les rejets d'eaux usées.
1. Évaluation initiale :
- Inspection visuelle de l'étang pour détecter les signes de pollution tels que la présence de mousse, de coloration anormale ou de mortalité de poissons.
- Collecte d'informations sur la source du rejet d'eaux usées et estimation de la quantité et de la composition des contaminants.
2. Prélèvement et analyse des échantillons d'eau :
- Utilisation d'un préleveur automatique, comme le Préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le Préleveur réfrigéré multi-flacons AS950, pour collecter des échantillons d'eau à différents endroits et profondeurs de l'étang.
- Analyse des échantillons pour des paramètres physico-chimiques et biologiques, y compris les nitrates, les phosphates, la demande biochimique en oxygène (DBO), la demande chimique en oxygène (DCO), les matières en suspension, les métaux lourds, etc. Des appareils comme le Smartchem 200 ou le Smartchem 600 peuvent être utilisés pour ces analyses en laboratoire.
- Mesure des paramètres in situ tels que le pH, l'oxygène dissous, la conductivité et la turbidité à l'aide de sondes multiparamètres portables comme le Manta+ ou l'Odeon Photopod.
3. Évaluation de l'impact écologique :
- Étude de l'impact sur la faune et la flore aquatiques, y compris les tests de toxicité sur les organismes aquatiques avec un appareil comme le TOXmini.
4. Traitement de la pollution :
- En fonction des contaminants identifiés, une stratégie de traitement peut inclure l'aération pour augmenter les niveaux d'oxygène, l'ajout de charbon actif pour absorber les polluants organiques, ou l'utilisation de floculants pour précipiter les métaux lourds.
- Pour les contaminants spécifiques comme les nitrates, des solutions comme la sonde NitraLed UV peuvent être utilisées pour la mesure en continu et le contrôle de la concentration en nitrates.
5. Mesures préventives et de suivi :
- Installation de systèmes de surveillance en continu comme le BACTcontrol pour surveiller l'activité microbiologique ou la sonde HAP pour la détection des hydrocarbures aromatiques polycycliques.
- Mise en place de barrières physiques ou de zones tampons pour prévenir de futurs rejets.
- Régulation des rejets industriels et sensibilisation des parties prenantes à la gestion durable des eaux usées.
6. Restauration écologique :
- Si nécessaire, mise en œuvre de techniques de restauration écologique, comme la réintroduction d'espèces indigènes ou l'aménagement de zones humides artificielles pour filtrer les eaux de ruissellement.
7. Réglementation et conformité :
- Assurer la conformité avec la législation locale et nationale en matière de rejets d'eaux usées et de qualité de l'eau.
- Réalisation d'audits réguliers et de rapports de conformité.
En utilisant les appareils et les techniques appropriés, il est possible de caractériser avec précision l'étendue de la pollution, d'appliquer des mesures correctives efficaces et de mettre en œuvre des stratégies de prévention pour protéger l'eau d'un étang contre les rejets d'eaux usées.
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Fabriqué par :
HYDREKA
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- Le 19/04/2024
Quel est le protocole à suivre pour la fréquence des prélèvements d'eau destinés aux analyses microbiologiques de type B2 dans l'industrie agroalimentaire ? Est-ce que cette fréquence dépend du volume d'eau consommé par l'entreprise ?
Réponse :
Le protocole de prélèvement d'eau destiné aux analyses microbiologiques dans l'industrie agroalimentaire, particulièrement pour des analyses de type B2, doit se conformer aux normes et réglementations locales et internationales, ainsi qu'aux bonnes pratiques de fabrication (BPF). Ces analyses visent à détecter la présence de micro-organismes pathogènes, comme les coliformes, les entérocoques, Escherichia coli, et autres bactéries pouvant affecter la qualité des produits et la santé des consommateurs.
La fréquence des prélèvements microbiologiques dépend généralement de plusieurs facteurs, notamment :
1. La réglementation en vigueur : Les autorités sanitaires et les organismes de régulation définissent les exigences minimales pour la surveillance microbiologique de l'eau dans l'industrie agroalimentaire.
2. Les recommandations des standards internationaux : Des normes comme l'ISO 22000 ou le HACCP (Hazard Analysis and Critical Control Points) peuvent fournir des lignes directrices sur la surveillance de la qualité de l'eau.
3. L'analyse des risques : Une évaluation des risques spécifiques à l'entreprise doit être réalisée pour déterminer les points critiques où la qualité de l'eau pourrait être compromise.
4. Le volume d'eau consommé : Bien que le volume d'eau utilisé puisse influer sur la fréquence des prélèvements, la décision doit surtout reposer sur les risques associés à l'utilisation de cette eau dans les processus de production.
5. Les résultats des analyses antérieures : Si des problèmes ont été détectés précédemment, il peut être nécessaire d'augmenter la fréquence des prélèvements jusqu'à ce que la qualité de l'eau soit stabilisée.
6. Les changements dans le processus de production : L'introduction de nouvelles lignes de production ou de nouveaux produits peut nécessiter une réévaluation de la fréquence de prélèvement.
Un exemple de protocole pourrait être le suivant :
- Prélèvement initial pour constituer une référence de la qualité de l'eau.
- Prélèvements réguliers à une fréquence définie par l'analyse des risques, pouvant varier de hebdomadaire à mensuelle.
- Prélèvements supplémentaires lors de changements dans le processus de production ou après maintenance du système d'eau.
- Prélèvements après tout événement pouvant affecter la qualité de l'eau (par exemple, des inondations ou des travaux sur le réseau d'eau).
Pour réaliser ces prélèvements, des équipements spécifiques sont nécessaires, tels que :
- Des préleveurs réfrigérés monoflacon ou multi-flacons, comme l'AS950 de Hydreka, pour conserver les échantillons à une température contrôlée jusqu'à leur analyse.
- Des kits de prélèvement stériles pour éviter toute contamination lors du prélèvement.
- Des pompes dédiées à l'échantillonnage, telles que la pompe MP1 de Grundfos, pour les prélèvements dans les piézomètres ou les puits de surveillance.
Il est crucial que le protocole soit établi en concertation avec un laboratoire accrédité capable de réaliser les analyses microbiologiques requises, et que l'ensemble du personnel impliqué dans les prélèvements soit correctement formé aux techniques aseptiques et aux procédures de prélèvement.
La fréquence des prélèvements microbiologiques dépend généralement de plusieurs facteurs, notamment :
1. La réglementation en vigueur : Les autorités sanitaires et les organismes de régulation définissent les exigences minimales pour la surveillance microbiologique de l'eau dans l'industrie agroalimentaire.
2. Les recommandations des standards internationaux : Des normes comme l'ISO 22000 ou le HACCP (Hazard Analysis and Critical Control Points) peuvent fournir des lignes directrices sur la surveillance de la qualité de l'eau.
3. L'analyse des risques : Une évaluation des risques spécifiques à l'entreprise doit être réalisée pour déterminer les points critiques où la qualité de l'eau pourrait être compromise.
4. Le volume d'eau consommé : Bien que le volume d'eau utilisé puisse influer sur la fréquence des prélèvements, la décision doit surtout reposer sur les risques associés à l'utilisation de cette eau dans les processus de production.
5. Les résultats des analyses antérieures : Si des problèmes ont été détectés précédemment, il peut être nécessaire d'augmenter la fréquence des prélèvements jusqu'à ce que la qualité de l'eau soit stabilisée.
6. Les changements dans le processus de production : L'introduction de nouvelles lignes de production ou de nouveaux produits peut nécessiter une réévaluation de la fréquence de prélèvement.
Un exemple de protocole pourrait être le suivant :
- Prélèvement initial pour constituer une référence de la qualité de l'eau.
- Prélèvements réguliers à une fréquence définie par l'analyse des risques, pouvant varier de hebdomadaire à mensuelle.
- Prélèvements supplémentaires lors de changements dans le processus de production ou après maintenance du système d'eau.
- Prélèvements après tout événement pouvant affecter la qualité de l'eau (par exemple, des inondations ou des travaux sur le réseau d'eau).
Pour réaliser ces prélèvements, des équipements spécifiques sont nécessaires, tels que :
- Des préleveurs réfrigérés monoflacon ou multi-flacons, comme l'AS950 de Hydreka, pour conserver les échantillons à une température contrôlée jusqu'à leur analyse.
- Des kits de prélèvement stériles pour éviter toute contamination lors du prélèvement.
- Des pompes dédiées à l'échantillonnage, telles que la pompe MP1 de Grundfos, pour les prélèvements dans les piézomètres ou les puits de surveillance.
Il est crucial que le protocole soit établi en concertation avec un laboratoire accrédité capable de réaliser les analyses microbiologiques requises, et que l'ensemble du personnel impliqué dans les prélèvements soit correctement formé aux techniques aseptiques et aux procédures de prélèvement.
Nouvelle réponse
- Le 19/01/2024
Ou se fournir en bouteille de prélèvement?
Réponse :
Les bouteilles de prélèvement sont des récipients spécifiques utilisés pour collecter et conserver des échantillons d'eau, de sol ou de substances chimiques dans des conditions optimales pour les analyses en laboratoire. Pour se procurer des bouteilles de prélèvement, il existe différentes options, notamment :
1. Fournisseurs spécialisés en équipement de laboratoire ou d'analyse environnementale : Ces entreprises proposent une gamme de bouteilles de prélèvement adaptées aux diverses applications et normes réglementaires. Elles peuvent offrir des bouteilles en plastique (polyéthylène, polypropylène, etc.), en verre, ou en téflon, souvent disponibles avec des caractéristiques spécifiques comme des revêtements résistants aux produits chimiques, des bouchons étanches, ou des revêtements stériles pour les analyses microbiologiques.
2. Fabricants d'instruments d'analyse environnementale : Des entreprises qui fabriquent ou distribuent des équipements pour le prélèvement et l'analyse des échantillons environnementaux peuvent également proposer des bouteilles de prélèvement. Ces bouteilles peuvent être conçues pour être compatibles avec des préleveurs automatiques ou d'autres dispositifs spécifiques, tels que le préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le préleveur automatique d’eau MULTI-LIMNOS.
3. Distributeurs de produits scientifiques et industriels : Les distributeurs généralistes de fournitures industrielles et scientifiques offrent souvent des bouteilles de prélèvement dans leur catalogue, avec la possibilité d'acheter en ligne ou en magasin.
4. Boutiques en ligne spécialisées : Il existe des plateformes en ligne dédiées à la vente de fournitures de laboratoire et d'équipements d'analyse environnementale, où vous pouvez commander des bouteilles de prélèvement et les recevoir directement dans vos installations.
5. Fabricants de bouteilles : Certains fabricants se spécialisent dans la production de récipients pour des applications spécifiques et peuvent offrir la possibilité de personnaliser les bouteilles en fonction des besoins du client.
Lors de l'achat de bouteilles de prélèvement, il est important de considérer les critères suivants en fonction de l'application :
- Le volume de la bouteille (par exemple, de quelques millilitres à plusieurs litres)
- Le matériau de fabrication (compatibilité chimique, résistance à la lumière UV, etc.)
- La présence ou non d'un revêtement ou d'un traitement stérile
- Le type de fermeture (bouchon à vis, bouchon à sertir, etc.)
- Les certifications ou conformités aux normes (ISO, EPA, etc.)
- La nécessité d'une réfrigération pour la conservation des échantillons
Enfin, si vous travaillez dans un domaine très spécifique ou si vous avez des besoins particuliers, il peut être judicieux de contacter directement un fabricant ou un fournisseur pour obtenir des conseils personnalisés et des recommandations sur le type de bouteille de prélèvement le plus adapté à vos exigences.
1. Fournisseurs spécialisés en équipement de laboratoire ou d'analyse environnementale : Ces entreprises proposent une gamme de bouteilles de prélèvement adaptées aux diverses applications et normes réglementaires. Elles peuvent offrir des bouteilles en plastique (polyéthylène, polypropylène, etc.), en verre, ou en téflon, souvent disponibles avec des caractéristiques spécifiques comme des revêtements résistants aux produits chimiques, des bouchons étanches, ou des revêtements stériles pour les analyses microbiologiques.
2. Fabricants d'instruments d'analyse environnementale : Des entreprises qui fabriquent ou distribuent des équipements pour le prélèvement et l'analyse des échantillons environnementaux peuvent également proposer des bouteilles de prélèvement. Ces bouteilles peuvent être conçues pour être compatibles avec des préleveurs automatiques ou d'autres dispositifs spécifiques, tels que le préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le préleveur automatique d’eau MULTI-LIMNOS.
3. Distributeurs de produits scientifiques et industriels : Les distributeurs généralistes de fournitures industrielles et scientifiques offrent souvent des bouteilles de prélèvement dans leur catalogue, avec la possibilité d'acheter en ligne ou en magasin.
4. Boutiques en ligne spécialisées : Il existe des plateformes en ligne dédiées à la vente de fournitures de laboratoire et d'équipements d'analyse environnementale, où vous pouvez commander des bouteilles de prélèvement et les recevoir directement dans vos installations.
5. Fabricants de bouteilles : Certains fabricants se spécialisent dans la production de récipients pour des applications spécifiques et peuvent offrir la possibilité de personnaliser les bouteilles en fonction des besoins du client.
Lors de l'achat de bouteilles de prélèvement, il est important de considérer les critères suivants en fonction de l'application :
- Le volume de la bouteille (par exemple, de quelques millilitres à plusieurs litres)
- Le matériau de fabrication (compatibilité chimique, résistance à la lumière UV, etc.)
- La présence ou non d'un revêtement ou d'un traitement stérile
- Le type de fermeture (bouchon à vis, bouchon à sertir, etc.)
- Les certifications ou conformités aux normes (ISO, EPA, etc.)
- La nécessité d'une réfrigération pour la conservation des échantillons
Enfin, si vous travaillez dans un domaine très spécifique ou si vous avez des besoins particuliers, il peut être judicieux de contacter directement un fabricant ou un fournisseur pour obtenir des conseils personnalisés et des recommandations sur le type de bouteille de prélèvement le plus adapté à vos exigences.
Nouvelle réponse
- Le 07/12/2023
Comment analyser et protéger l'eau d'un étang suite à un rejet d'eaux usées?
Réponse :
Pour analyser et protéger l'eau d'un étang suite à un rejet d'eaux usées, il est nécessaire de mettre en place un plan d'action comprenant plusieurs étapes clés : le suivi et l'évaluation de la qualité de l'eau, la détermination des sources de pollution, et l'application de mesures correctives pour traiter la pollution et prévenir de futurs incidents. Voici un détail des étapes techniques impliquées :
1. Évaluation initiale :
- Inspection visuelle de l'étang pour détecter les signes de pollution tels que la présence de mousse, de coloration anormale ou de mortalité de poissons.
- Collecte d'informations sur la source du rejet d'eaux usées et estimation de la quantité et de la composition des contaminants.
2. Prélèvement et analyse des échantillons d'eau :
- Utilisation d'un préleveur automatique, comme le Préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le Préleveur réfrigéré multi-flacons AS950, pour collecter des échantillons d'eau à différents endroits et profondeurs de l'étang.
- Analyse des échantillons pour des paramètres physico-chimiques et biologiques, y compris les nitrates, les phosphates, la demande biochimique en oxygène (DBO), la demande chimique en oxygène (DCO), les matières en suspension, les métaux lourds, etc. Des appareils comme le Smartchem 200 ou le Smartchem 600 peuvent être utilisés pour ces analyses en laboratoire.
- Mesure des paramètres in situ tels que le pH, l'oxygène dissous, la conductivité et la turbidité à l'aide de sondes multiparamètres portables comme le Manta+ ou l'Odeon Photopod.
3. Évaluation de l'impact écologique :
- Étude de l'impact sur la faune et la flore aquatiques, y compris les tests de toxicité sur les organismes aquatiques avec un appareil comme le TOXmini.
4. Traitement de la pollution :
- En fonction des contaminants identifiés, une stratégie de traitement peut inclure l'aération pour augmenter les niveaux d'oxygène, l'ajout de charbon actif pour absorber les polluants organiques, ou l'utilisation de floculants pour précipiter les métaux lourds.
- Pour les contaminants spécifiques comme les nitrates, des solutions comme la sonde NitraLed UV peuvent être utilisées pour la mesure en continu et le contrôle de la concentration en nitrates.
5. Mesures préventives et de suivi :
- Installation de systèmes de surveillance en continu comme le BACTcontrol pour surveiller l'activité microbiologique ou la sonde HAP pour la détection des hydrocarbures aromatiques polycycliques.
- Mise en place de barrières physiques ou de zones tampons pour prévenir de futurs rejets.
- Régulation des rejets industriels et sensibilisation des parties prenantes à la gestion durable des eaux usées.
6. Restauration écologique :
- Si nécessaire, mise en œuvre de techniques de restauration écologique, comme la réintroduction d'espèces indigènes ou l'aménagement de zones humides artificielles pour filtrer les eaux de ruissellement.
7. Réglementation et conformité :
- Assurer la conformité avec la législation locale et nationale en matière de rejets d'eaux usées et de qualité de l'eau.
- Réalisation d'audits réguliers et de rapports de conformité.
En utilisant les appareils et les techniques appropriés, il est possible de caractériser avec précision l'étendue de la pollution, d'appliquer des mesures correctives efficaces et de mettre en œuvre des stratégies de prévention pour protéger l'eau d'un étang contre les rejets d'eaux usées.
1. Évaluation initiale :
- Inspection visuelle de l'étang pour détecter les signes de pollution tels que la présence de mousse, de coloration anormale ou de mortalité de poissons.
- Collecte d'informations sur la source du rejet d'eaux usées et estimation de la quantité et de la composition des contaminants.
2. Prélèvement et analyse des échantillons d'eau :
- Utilisation d'un préleveur automatique, comme le Préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le Préleveur réfrigéré multi-flacons AS950, pour collecter des échantillons d'eau à différents endroits et profondeurs de l'étang.
- Analyse des échantillons pour des paramètres physico-chimiques et biologiques, y compris les nitrates, les phosphates, la demande biochimique en oxygène (DBO), la demande chimique en oxygène (DCO), les matières en suspension, les métaux lourds, etc. Des appareils comme le Smartchem 200 ou le Smartchem 600 peuvent être utilisés pour ces analyses en laboratoire.
- Mesure des paramètres in situ tels que le pH, l'oxygène dissous, la conductivité et la turbidité à l'aide de sondes multiparamètres portables comme le Manta+ ou l'Odeon Photopod.
3. Évaluation de l'impact écologique :
- Étude de l'impact sur la faune et la flore aquatiques, y compris les tests de toxicité sur les organismes aquatiques avec un appareil comme le TOXmini.
4. Traitement de la pollution :
- En fonction des contaminants identifiés, une stratégie de traitement peut inclure l'aération pour augmenter les niveaux d'oxygène, l'ajout de charbon actif pour absorber les polluants organiques, ou l'utilisation de floculants pour précipiter les métaux lourds.
- Pour les contaminants spécifiques comme les nitrates, des solutions comme la sonde NitraLed UV peuvent être utilisées pour la mesure en continu et le contrôle de la concentration en nitrates.
5. Mesures préventives et de suivi :
- Installation de systèmes de surveillance en continu comme le BACTcontrol pour surveiller l'activité microbiologique ou la sonde HAP pour la détection des hydrocarbures aromatiques polycycliques.
- Mise en place de barrières physiques ou de zones tampons pour prévenir de futurs rejets.
- Régulation des rejets industriels et sensibilisation des parties prenantes à la gestion durable des eaux usées.
6. Restauration écologique :
- Si nécessaire, mise en œuvre de techniques de restauration écologique, comme la réintroduction d'espèces indigènes ou l'aménagement de zones humides artificielles pour filtrer les eaux de ruissellement.
7. Réglementation et conformité :
- Assurer la conformité avec la législation locale et nationale en matière de rejets d'eaux usées et de qualité de l'eau.
- Réalisation d'audits réguliers et de rapports de conformité.
En utilisant les appareils et les techniques appropriés, il est possible de caractériser avec précision l'étendue de la pollution, d'appliquer des mesures correctives efficaces et de mettre en œuvre des stratégies de prévention pour protéger l'eau d'un étang contre les rejets d'eaux usées.
Nouvelle réponse
- Le 29/11/2023
Quels sont les paramètres essentiels à mesurer lors de l'analyse de la qualité de l'eau ?
Réponse :
L'analyse de la qualité de l'eau implique la mesure d'une variété de paramètres qui peuvent avoir un impact sur la santé humaine, l'écosystème aquatique et l'utilisation industrielle ou agricole de l'eau. Voici une liste des paramètres essentiels généralement mesurés lors de l'analyse de la qualité de l'eau, ainsi que des produits qui pourraient être utilisés pour ces mesures :
1. Paramètres physico-chimiques :
- Température : Important pour les processus biologiques, peut être mesurée avec un thermomètre ou une sonde multiparamètre.
- pH : Indique l'acidité ou l'alcalinité de l'eau et peut affecter les organismes vivants et les réactions chimiques. Des appareils tels que des pH-mètres ou des sondes multiparamètres sont utilisés pour sa mesure.
- Conductivité électrique : Mesure la capacité de l'eau à transmettre le courant électrique, principalement en raison de la présence d'ions solubles. Des conductimètres ou des sondes multiparamètres servent à cette mesure.
- Turbidité : Niveau de clarté de l'eau, influencé par la présence de particules en suspension. Des turbidimètres ou des sondes optiques peuvent être utilisés.
- Potentiel d'oxydo-réduction (ORP) : Mesure la capacité de l'eau à oxyder ou réduire les substances, peut être mesurée avec une sonde ORP.
2. Substances dissoutes et en suspension :
- Solides totaux dissous (TDS) : Quantité de minéraux, sels ou métaux dissous dans l'eau.
- Solides en suspension totaux (SST) : Particules suspendues dans l'eau qui peuvent inclure des matières organiques et inorganiques.
3. Gaz dissous :
- Oxygène dissous (OD) : Indicateur de la santé écologique de l'eau, essentiel pour la vie aquatique. L'OD peut être mesuré avec des oxymètres ou des sondes multiparamètres.
- Dioxyde de carbone (CO2) : Influence le pH de l'eau et la disponibilité du carbonate pour les organismes formant des coquilles.
4. Nutriments :
- Azote (sous forme de nitrates, nitrites, ammoniac) : Nutriment essentiel qui peut conduire à l'eutrophisation si présent en excès.
- Phosphore (sous forme de phosphates) : Comme l'azote, peut causer l'eutrophisation.
5. Métaux lourds et éléments traces :
- Plomb, mercure, cadmium, arsenic, chrome, etc. : Toxiques même à faible concentration, leur mesure peut nécessiter des analyses spectrophotométriques ou par absorption atomique.
6. Composés organiques :
- Carbone organique total (COT) : Mesure de la quantité de carbone dans les composés organiques présents dans l'eau.
- Pesticides, herbicides, et autres contaminants organiques : Détectés par chromatographie en phase gazeuse ou liquide couplée à un spectromètre de masse (GC-MS ou LC-MS).
7. Paramètres microbiologiques :
- Coliformes totaux, E. coli, et autres indicateurs bactériens : Présence de contamination fécale et risque sanitaire potentiel.
- Pathogènes spécifiques : Virus, protozoaires, bactéries pathogènes nécessitent des méthodes de culture ou des tests PCR pour être détectés.
Pour effectuer ces analyses, des équipements tels que les préleveurs automatiques d’eau (par exemple, le préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le préleveur réfrigéré multi-flacons AS950 de Hydreka), des pompes à eau (comme la pompe immergée MP1 de Grundfos), des échantillonneurs intégrateurs (tel que l'échantillonneur d’eau intégrateur IWS III), et des filets planctons (comme le filet plancton Apstein) peuvent être utilisés pour collecter des échantillons en vue de leur analyse en laboratoire ou sur le terrain. Des appareils de mesure portable ou des stations de monitoring en continu (comme ceux de la gamme MACE) peuvent également être utilisés pour suivre certains de ces paramètres en temps réel.
En résumé, la mesure précise de ces paramètres requiert des équipements spécialisés et souvent des procédures analytiques avancées afin de garantir la fiabilité et l'exactitude des résultats.
1. Paramètres physico-chimiques :
- Température : Important pour les processus biologiques, peut être mesurée avec un thermomètre ou une sonde multiparamètre.
- pH : Indique l'acidité ou l'alcalinité de l'eau et peut affecter les organismes vivants et les réactions chimiques. Des appareils tels que des pH-mètres ou des sondes multiparamètres sont utilisés pour sa mesure.
- Conductivité électrique : Mesure la capacité de l'eau à transmettre le courant électrique, principalement en raison de la présence d'ions solubles. Des conductimètres ou des sondes multiparamètres servent à cette mesure.
- Turbidité : Niveau de clarté de l'eau, influencé par la présence de particules en suspension. Des turbidimètres ou des sondes optiques peuvent être utilisés.
- Potentiel d'oxydo-réduction (ORP) : Mesure la capacité de l'eau à oxyder ou réduire les substances, peut être mesurée avec une sonde ORP.
2. Substances dissoutes et en suspension :
- Solides totaux dissous (TDS) : Quantité de minéraux, sels ou métaux dissous dans l'eau.
- Solides en suspension totaux (SST) : Particules suspendues dans l'eau qui peuvent inclure des matières organiques et inorganiques.
3. Gaz dissous :
- Oxygène dissous (OD) : Indicateur de la santé écologique de l'eau, essentiel pour la vie aquatique. L'OD peut être mesuré avec des oxymètres ou des sondes multiparamètres.
- Dioxyde de carbone (CO2) : Influence le pH de l'eau et la disponibilité du carbonate pour les organismes formant des coquilles.
4. Nutriments :
- Azote (sous forme de nitrates, nitrites, ammoniac) : Nutriment essentiel qui peut conduire à l'eutrophisation si présent en excès.
- Phosphore (sous forme de phosphates) : Comme l'azote, peut causer l'eutrophisation.
5. Métaux lourds et éléments traces :
- Plomb, mercure, cadmium, arsenic, chrome, etc. : Toxiques même à faible concentration, leur mesure peut nécessiter des analyses spectrophotométriques ou par absorption atomique.
6. Composés organiques :
- Carbone organique total (COT) : Mesure de la quantité de carbone dans les composés organiques présents dans l'eau.
- Pesticides, herbicides, et autres contaminants organiques : Détectés par chromatographie en phase gazeuse ou liquide couplée à un spectromètre de masse (GC-MS ou LC-MS).
7. Paramètres microbiologiques :
- Coliformes totaux, E. coli, et autres indicateurs bactériens : Présence de contamination fécale et risque sanitaire potentiel.
- Pathogènes spécifiques : Virus, protozoaires, bactéries pathogènes nécessitent des méthodes de culture ou des tests PCR pour être détectés.
Pour effectuer ces analyses, des équipements tels que les préleveurs automatiques d’eau (par exemple, le préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le préleveur réfrigéré multi-flacons AS950 de Hydreka), des pompes à eau (comme la pompe immergée MP1 de Grundfos), des échantillonneurs intégrateurs (tel que l'échantillonneur d’eau intégrateur IWS III), et des filets planctons (comme le filet plancton Apstein) peuvent être utilisés pour collecter des échantillons en vue de leur analyse en laboratoire ou sur le terrain. Des appareils de mesure portable ou des stations de monitoring en continu (comme ceux de la gamme MACE) peuvent également être utilisés pour suivre certains de ces paramètres en temps réel.
En résumé, la mesure précise de ces paramètres requiert des équipements spécialisés et souvent des procédures analytiques avancées afin de garantir la fiabilité et l'exactitude des résultats.
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