Produit
KiWi Maps
Logiciel en ligne partage et traitement de donnés dépollution des sols - EVALDEPOL®
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Description
KiWi Maps est un logiciel en ligne innovant développé par EvalDépol. Il vous aide dans le traitement des données issues des diagnostics de sites et sols pollués. Avec ce logiciel, vous pourrez réaliser des visualisations en 3D des teneurs en polluants, logs de sondage, isopièzes et topographie. Vous pouvez également réaliser des bilans de masses et des calculs avancés.
Type de produit
Ce produit a été créé et référencé pour le bon fonctionnement de la plateforme
Questions / Actualités
Questions
Nouvelle réponse
- Le 25/04/2024
Comment calculer correctement la taille d'une unité de charbon actif pour le traitement des vapeurs polluées émanant du sol en considérant la teneur en eau de ces vapeurs ?
Réponse :
Le calcul de la taille d'une unité de charbon actif pour le traitement des vapeurs polluées émanant du sol est une tâche complexe qui dépend de plusieurs facteurs, notamment la concentration des polluants, le débit des vapeurs, la teneur en eau des vapeurs, les conditions de température et de pression, ainsi que les caractéristiques du charbon actif utilisé.
Voici les étapes générales et les considérations pour calculer la taille appropriée de l'unité de charbon actif :
1. **Identification des polluants et de leur concentration** : Déterminer les types de polluants présents dans les vapeurs et mesurer leurs concentrations. Cela peut être réalisé en utilisant un détecteur multigaz tel que le G999, qui peut analyser les gaz du sol et identifier les concentrations des différents composés.
2. **Mesure du débit des vapeurs** : Calculer ou mesurer le débit volumétrique des vapeurs qui doivent être traitées. Ceci est essentiel pour déterminer la quantité de charbon actif nécessaire.
3. **Analyse de la teneur en eau** : La présence d'eau dans les vapeurs peut réduire considérablement l'efficacité du charbon actif car l'eau peut occuper les sites actifs du charbon, empêchant ainsi l'adsorption des polluants organiques. Il est important de mesurer la teneur en eau des vapeurs, souvent exprimée en pourcentage ou en grammes par mètre cube (g/m³).
4. **Sélection du charbon actif** : Choisir le type de charbon actif adapté, en tenant compte de sa capacité d'adsorption, de sa surface spécifique, de sa porosité et de sa résistance à l'humidité. Les fabricants fournissent généralement des données sur la capacité d'adsorption du charbon actif pour différents composés à des teneurs en humidité spécifiques.
5. **Calcul de la capacité d'adsorption** : Utiliser les données du fabricant pour estimer la quantité de charbon actif nécessaire pour adsorber les polluants sur une période donnée. La capacité d'adsorption est souvent exprimée en milligrammes de polluant par gramme de charbon actif (mg/g).
6. **Correction pour l'humidité** : Appliquer un facteur de correction pour tenir compte de la réduction de la capacité d'adsorption due à la teneur en eau des vapeurs. Les fabricants peuvent fournir des courbes de correction ou des facteurs spécifiques pour ajuster la capacité en fonction de l'humidité.
7. **Calcul du volume de charbon actif nécessaire** : En utilisant la capacité corrigée d'adsorption et le débit des vapeurs, calculer le volume total de charbon actif requis. Ceci peut être effectué en utilisant la formule suivante :
\[ V_{charbon} = \frac{Q \times C \times t}{A_{corrigée}} \]
où \( V_{charbon} \) est le volume de charbon actif requis (en litres ou mètres cubes), \( Q \) est le débit des vapeurs (en mètres cubes par heure), \( C \) est la concentration des polluants (en mg/m³), \( t \) est le temps de fonctionnement (en heures), et \( A_{corrigée} \) est la capacité d'adsorption corrigée pour l'humidité (en mg/g).
8. **Dimensionnement du système de charbon actif** : En se basant sur le volume de charbon actif nécessaire, dimensionner l'unité de traitement pour qu'elle contienne la quantité appropriée de charbon actif et pour qu'elle puisse traiter le débit de vapeurs souhaité. Prendre également en compte la nécessité de remplacer ou de régénérer le charbon actif après saturation.
Il est conseillé de consulter les données techniques fournies par les fabricants de charbon actif et d'utiliser des logiciels de modélisation spécialisés, tels que TerraIndex ou KiWi Maps, qui peuvent faciliter le calcul et la visualisation des données relatives à la pollution et au traitement. Il est également recommandé de faire appel à des professionnels spécialisés dans le traitement des sols pollués pour obtenir une évaluation précise et un dimensionnement approprié de l'unité de traitement.
Voici les étapes générales et les considérations pour calculer la taille appropriée de l'unité de charbon actif :
1. **Identification des polluants et de leur concentration** : Déterminer les types de polluants présents dans les vapeurs et mesurer leurs concentrations. Cela peut être réalisé en utilisant un détecteur multigaz tel que le G999, qui peut analyser les gaz du sol et identifier les concentrations des différents composés.
2. **Mesure du débit des vapeurs** : Calculer ou mesurer le débit volumétrique des vapeurs qui doivent être traitées. Ceci est essentiel pour déterminer la quantité de charbon actif nécessaire.
3. **Analyse de la teneur en eau** : La présence d'eau dans les vapeurs peut réduire considérablement l'efficacité du charbon actif car l'eau peut occuper les sites actifs du charbon, empêchant ainsi l'adsorption des polluants organiques. Il est important de mesurer la teneur en eau des vapeurs, souvent exprimée en pourcentage ou en grammes par mètre cube (g/m³).
4. **Sélection du charbon actif** : Choisir le type de charbon actif adapté, en tenant compte de sa capacité d'adsorption, de sa surface spécifique, de sa porosité et de sa résistance à l'humidité. Les fabricants fournissent généralement des données sur la capacité d'adsorption du charbon actif pour différents composés à des teneurs en humidité spécifiques.
5. **Calcul de la capacité d'adsorption** : Utiliser les données du fabricant pour estimer la quantité de charbon actif nécessaire pour adsorber les polluants sur une période donnée. La capacité d'adsorption est souvent exprimée en milligrammes de polluant par gramme de charbon actif (mg/g).
6. **Correction pour l'humidité** : Appliquer un facteur de correction pour tenir compte de la réduction de la capacité d'adsorption due à la teneur en eau des vapeurs. Les fabricants peuvent fournir des courbes de correction ou des facteurs spécifiques pour ajuster la capacité en fonction de l'humidité.
7. **Calcul du volume de charbon actif nécessaire** : En utilisant la capacité corrigée d'adsorption et le débit des vapeurs, calculer le volume total de charbon actif requis. Ceci peut être effectué en utilisant la formule suivante :
\[ V_{charbon} = \frac{Q \times C \times t}{A_{corrigée}} \]
où \( V_{charbon} \) est le volume de charbon actif requis (en litres ou mètres cubes), \( Q \) est le débit des vapeurs (en mètres cubes par heure), \( C \) est la concentration des polluants (en mg/m³), \( t \) est le temps de fonctionnement (en heures), et \( A_{corrigée} \) est la capacité d'adsorption corrigée pour l'humidité (en mg/g).
8. **Dimensionnement du système de charbon actif** : En se basant sur le volume de charbon actif nécessaire, dimensionner l'unité de traitement pour qu'elle contienne la quantité appropriée de charbon actif et pour qu'elle puisse traiter le débit de vapeurs souhaité. Prendre également en compte la nécessité de remplacer ou de régénérer le charbon actif après saturation.
Il est conseillé de consulter les données techniques fournies par les fabricants de charbon actif et d'utiliser des logiciels de modélisation spécialisés, tels que TerraIndex ou KiWi Maps, qui peuvent faciliter le calcul et la visualisation des données relatives à la pollution et au traitement. Il est également recommandé de faire appel à des professionnels spécialisés dans le traitement des sols pollués pour obtenir une évaluation précise et un dimensionnement approprié de l'unité de traitement.
Nouvelle réponse
- Le 02/01/2024
Quelles sont les obligations pour la vente d'une station service qui s'arrête ?
Réponse :
Lors de la cessation d'activité d'une station-service, le propriétaire ou l'exploitant doit respecter plusieurs obligations légales et réglementaires, notamment en matière de dépollution des sols et de protection de l'environnement. Ces obligations peuvent varier selon les pays et les régions, mais elles suivent généralement des principes similaires. Voici les étapes clés que l'on retrouve généralement :
1. Diagnostic environnemental : Avant la vente, il est nécessaire de réaliser un diagnostic environnemental du site pour évaluer l'état de pollution des sols et des nappes phréatiques. Cela peut impliquer l'utilisation de kits carottiers de sol motorisés pour prélever des échantillons du sol et les analyser afin de déterminer la présence de contaminants liés aux hydrocarbures.
2. Rapport de diagnostic : Les résultats du diagnostic environnemental doivent être compilés dans un rapport qui sera remis aux autorités compétentes. Ce rapport peut inclure des cartographies des risques sanitaires des sols pollués, comme celles produites par le projet Cartorisk, et des analyses géostatistiques.
3. Plan de dépollution : Si le diagnostic révèle une pollution, un plan de dépollution doit être élaboré. Ce plan détaille les mesures à prendre pour assainir le site, telles que l'extraction et le traitement des sols contaminés, ou l'utilisation d'absorbants pour hydrocarbures pour éliminer les résidus d'hydrocarbures.
4. Mise en œuvre du plan de dépollution : Les opérations de dépollution doivent être réalisées conformément au plan établi. Cela peut nécessiter des technologies et des équipements spécifiques, comme des barrages absorbants pour hydrocarbures, dans le cas où des liquides polluants atteindraient des plans d'eau.
5. Suivi et contrôle : Après les travaux de dépollution, un suivi environnemental doit être assuré pour vérifier l'efficacité des mesures prises. Des logiciels spécialisés tels que TerraIndex ou KiWi Maps peuvent être utilisés pour le suivi et la gestion des données de dépollution.
6. Certificat de dépollution : Une fois la dépollution terminée et validée par les autorités, un certificat de dépollution peut être délivré, attestant que le site ne présente plus de risque pour l'environnement ou la santé publique.
7. Informations à l'acheteur : Le vendeur doit informer l'acheteur de la situation environnementale du site, y compris de toute contamination résiduelle et des obligations de surveillance ou de gestion à long terme qui peuvent subsister.
Il est important de noter que la réglementation peut imposer au propriétaire ou à l'exploitant de constituer des garanties financières pour couvrir les coûts de la dépollution. De plus, les obligations peuvent varier en fonction de l'utilisation future envisagée pour le site.
Enfin, il est fortement recommandé de consulter un avocat spécialisé en droit de l'environnement ou un consultant environnemental pour une compréhension précise des obligations légales dans le contexte local et pour s'assurer que toutes les étapes sont correctement suivies lors de la cessation d'activité d'une station-service.
1. Diagnostic environnemental : Avant la vente, il est nécessaire de réaliser un diagnostic environnemental du site pour évaluer l'état de pollution des sols et des nappes phréatiques. Cela peut impliquer l'utilisation de kits carottiers de sol motorisés pour prélever des échantillons du sol et les analyser afin de déterminer la présence de contaminants liés aux hydrocarbures.
2. Rapport de diagnostic : Les résultats du diagnostic environnemental doivent être compilés dans un rapport qui sera remis aux autorités compétentes. Ce rapport peut inclure des cartographies des risques sanitaires des sols pollués, comme celles produites par le projet Cartorisk, et des analyses géostatistiques.
3. Plan de dépollution : Si le diagnostic révèle une pollution, un plan de dépollution doit être élaboré. Ce plan détaille les mesures à prendre pour assainir le site, telles que l'extraction et le traitement des sols contaminés, ou l'utilisation d'absorbants pour hydrocarbures pour éliminer les résidus d'hydrocarbures.
4. Mise en œuvre du plan de dépollution : Les opérations de dépollution doivent être réalisées conformément au plan établi. Cela peut nécessiter des technologies et des équipements spécifiques, comme des barrages absorbants pour hydrocarbures, dans le cas où des liquides polluants atteindraient des plans d'eau.
5. Suivi et contrôle : Après les travaux de dépollution, un suivi environnemental doit être assuré pour vérifier l'efficacité des mesures prises. Des logiciels spécialisés tels que TerraIndex ou KiWi Maps peuvent être utilisés pour le suivi et la gestion des données de dépollution.
6. Certificat de dépollution : Une fois la dépollution terminée et validée par les autorités, un certificat de dépollution peut être délivré, attestant que le site ne présente plus de risque pour l'environnement ou la santé publique.
7. Informations à l'acheteur : Le vendeur doit informer l'acheteur de la situation environnementale du site, y compris de toute contamination résiduelle et des obligations de surveillance ou de gestion à long terme qui peuvent subsister.
Il est important de noter que la réglementation peut imposer au propriétaire ou à l'exploitant de constituer des garanties financières pour couvrir les coûts de la dépollution. De plus, les obligations peuvent varier en fonction de l'utilisation future envisagée pour le site.
Enfin, il est fortement recommandé de consulter un avocat spécialisé en droit de l'environnement ou un consultant environnemental pour une compréhension précise des obligations légales dans le contexte local et pour s'assurer que toutes les étapes sont correctement suivies lors de la cessation d'activité d'une station-service.
Nouvelle réponse
- Le 01/01/2024
En tant que topographe, quelle est ma responsabilité dans une étude d'impact d'un projet?
Réponse :
En tant que topographe, votre responsabilité dans une étude d'impact d'un projet est cruciale et pluridimensionnelle. Votre rôle consiste à fournir des données géométriques précises et détaillées du terrain et des environs sur lesquels le projet sera implanté. Voici quelques-unes de vos responsabilités clés :
1. **Collecte et Analyse des Données Topographiques** : Vous devez effectuer des relevés topographiques pour déterminer la configuration actuelle du terrain en termes de relief, de niveaux, de caractéristiques naturelles et anthropiques présentes. Cela implique l'utilisation d'équipements de précision tels que des stations totales, des GPS, des drones pour la photogrammétrie, ou des systèmes LiDAR.
2. **Cartographie et Modélisation du Terrain** : À partir des données collectées, vous produirez des cartes topographiques et des modèles numériques de terrain (MNT) ou des modèles numériques de surface (MNS) qui serviront de base pour l’évaluation des impacts potentiels du projet. Ces cartes et modèles sont essentiels pour comprendre comment le terrain pourrait être affecté par la construction et pour planifier des mesures d'atténuation.
3. **Identification des Contraintes Géométriques** : Vous devrez identifier les contraintes géométriques qui pourraient influencer la conception du projet, comme les pentes abruptes, les zones inondables ou les zones d'érosion potentielles.
4. **Évaluation des Modifications du Terrain** : Vous serez chargé d'analyser comment le projet modifiera la topographie existante. Cela inclut l'évaluation des volumes de terrassement nécessaires, des modifications de drainage, et de l'impact sur les écoulements d'eau.
5. **Contribution aux Mesures d'Atténuation** : Votre expertise aidera à concevoir des mesures d'atténuation pour minimiser l'impact environnemental du projet. Cela peut impliquer la recommandation de modifications de conception pour préserver les caractéristiques topographiques importantes ou pour réduire les changements de niveau.
6. **Documentation Technique et Rapports** : Vous préparerez des rapports techniques détaillés qui décrivent les caractéristiques topographiques du site et les impacts potentiels du projet. Ces documents sont essentiels pour les évaluations réglementaires et pour les décisions de planification.
7. **Interdisciplinarité et Collaboration** : Vous travaillerez en étroite collaboration avec les autres membres de l'équipe d'étude d'impact, comme les écologistes, les ingénieurs civils, et les planificateurs pour assurer que votre travail topographique s'intègre bien dans l'évaluation globale de l'impact environnemental.
8. **Suivi Post-Construction** : Après la construction, vous pourrez être appelé à effectuer des relevés topographiques de suivi pour déterminer si l'impact sur le terrain correspond aux prédictions et si les mesures d'atténuation sont efficaces.
Produits Pertinents :
- **Stations Totales** : Pour les relevés de précision, des produits comme les stations totales électroniques permettent de mesurer les distances, les angles et les niveaux avec une grande précision.
- **Systèmes GPS/GNSS** : Ces appareils permettent des relevés de positionnement géographique de haute précision et sont essentiels pour les relevés topographiques sur de grands terrains.
- **Logiciels de Cartographie et Modélisation** : Des outils logiciels tels que KiWi Maps peuvent être utilisés pour la visualisation en 3D des données topographiques et la création de modèles numériques de terrain.
- **Drones pour Photogrammétrie** : Les drones équipés de caméras haute résolution peuvent être utilisés pour cartographier rapidement de grandes zones et créer des modèles 3D à partir des photographies aériennes.
En somme, en tant que topographe, vous avez la responsabilité de fournir une base factuelle essentielle sur laquelle les impacts environnementaux, sociaux et économiques d'un projet peuvent être évalués et gérés.
1. **Collecte et Analyse des Données Topographiques** : Vous devez effectuer des relevés topographiques pour déterminer la configuration actuelle du terrain en termes de relief, de niveaux, de caractéristiques naturelles et anthropiques présentes. Cela implique l'utilisation d'équipements de précision tels que des stations totales, des GPS, des drones pour la photogrammétrie, ou des systèmes LiDAR.
2. **Cartographie et Modélisation du Terrain** : À partir des données collectées, vous produirez des cartes topographiques et des modèles numériques de terrain (MNT) ou des modèles numériques de surface (MNS) qui serviront de base pour l’évaluation des impacts potentiels du projet. Ces cartes et modèles sont essentiels pour comprendre comment le terrain pourrait être affecté par la construction et pour planifier des mesures d'atténuation.
3. **Identification des Contraintes Géométriques** : Vous devrez identifier les contraintes géométriques qui pourraient influencer la conception du projet, comme les pentes abruptes, les zones inondables ou les zones d'érosion potentielles.
4. **Évaluation des Modifications du Terrain** : Vous serez chargé d'analyser comment le projet modifiera la topographie existante. Cela inclut l'évaluation des volumes de terrassement nécessaires, des modifications de drainage, et de l'impact sur les écoulements d'eau.
5. **Contribution aux Mesures d'Atténuation** : Votre expertise aidera à concevoir des mesures d'atténuation pour minimiser l'impact environnemental du projet. Cela peut impliquer la recommandation de modifications de conception pour préserver les caractéristiques topographiques importantes ou pour réduire les changements de niveau.
6. **Documentation Technique et Rapports** : Vous préparerez des rapports techniques détaillés qui décrivent les caractéristiques topographiques du site et les impacts potentiels du projet. Ces documents sont essentiels pour les évaluations réglementaires et pour les décisions de planification.
7. **Interdisciplinarité et Collaboration** : Vous travaillerez en étroite collaboration avec les autres membres de l'équipe d'étude d'impact, comme les écologistes, les ingénieurs civils, et les planificateurs pour assurer que votre travail topographique s'intègre bien dans l'évaluation globale de l'impact environnemental.
8. **Suivi Post-Construction** : Après la construction, vous pourrez être appelé à effectuer des relevés topographiques de suivi pour déterminer si l'impact sur le terrain correspond aux prédictions et si les mesures d'atténuation sont efficaces.
Produits Pertinents :
- **Stations Totales** : Pour les relevés de précision, des produits comme les stations totales électroniques permettent de mesurer les distances, les angles et les niveaux avec une grande précision.
- **Systèmes GPS/GNSS** : Ces appareils permettent des relevés de positionnement géographique de haute précision et sont essentiels pour les relevés topographiques sur de grands terrains.
- **Logiciels de Cartographie et Modélisation** : Des outils logiciels tels que KiWi Maps peuvent être utilisés pour la visualisation en 3D des données topographiques et la création de modèles numériques de terrain.
- **Drones pour Photogrammétrie** : Les drones équipés de caméras haute résolution peuvent être utilisés pour cartographier rapidement de grandes zones et créer des modèles 3D à partir des photographies aériennes.
En somme, en tant que topographe, vous avez la responsabilité de fournir une base factuelle essentielle sur laquelle les impacts environnementaux, sociaux et économiques d'un projet peuvent être évalués et gérés.
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