FILTRATION DES POUSSIÈRES SUR MACHINES DE TRANSFORMATION CARTON
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Description
Le JETLINE® V est un dépoussiéreur à manches verticales en
feutre aiguilleté, enfilées sur des supports rigides traités anticorrosion
et à décolmatage automatique par air comprimé.
Sa conception et sa performance lui permettent de traiter la
plupart des problèmes d’assainissement et de dépoussiérage
pour des poussières de tout type.
Son automatisme et son entretien ne nécessitent pratiquement
pas de main d’oeuvre.
D’une grande efficacité, il capte les poussières les plus fines et
peut neutraliser certains gaz (HCl, SOx, HF …) par injection
d’agent neutralisant en amont du dépoussiéreur.
Existe en version ATEX.
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Le 30/05/2024
Quels sont les différents types de systèmes de dépoussiérage utilisés dans le traitement du phosphate?
Réponse :
Le traitement du phosphate, comme d'autres industries extractives et de transformation, génère une quantité significative de poussières. La gestion de ces poussières est cruciale non seulement pour la protection de l'environnement et la conformité réglementaire, mais aussi pour la santé et la sécurité des travailleurs. Plusieurs systèmes de dépoussiérage sont utilisés dans le traitement du phosphate pour contrôler et réduire les émissions de poussière. Voici quelques-uns des systèmes les plus courants :
1. Collecteurs de poussière à manches filtrantes (Filtres à manches):
Ces systèmes utilisent des manches filtrantes en tissu ou en feutre pour capturer les poussières fines. L'air contaminé est aspiré à travers les manches, et les particules sont piégées sur la surface externe des manches. Un mécanisme de secouage ou de pulsion d'air comprimé est fréquemment utilisé pour le décolmatage des manches et permettre ainsi la régénération du milieu filtrant. Les systèmes Jetline V et Filtre à manches JET SET sont des exemples de dépoussiéreurs à manches pouvant être utilisés dans le traitement des phosphates.
2. Cyclones et Multicyclones:
Ces dispositifs séparent les particules de poussière de l'air en utilisant la force centrifuge. L'air chargé de poussière entre dans un cyclone où il est mis en rotation. Les particules de poussière, plus lourdes que l'air, sont poussées contre la paroi du cyclone et tombent dans un réceptacle de collecte. Les STC - STR Cyclofiltres à embases coniques pourraient être mentionnés comme exemple.
3. Épurateurs par voie humide (Laveurs de gaz):
Ces équipements utilisent un liquide, généralement de l'eau, pour laver les poussières de l'air. Les particules sont capturées par les gouttes d'eau et sont ensuite collectées dans un bassin de décantation. Les Séparateurs venturi à voie humide VDN et le Dépoussiéreur compact Hydron Plus sont des exemples de systèmes pouvant être mis en œuvre dans des situations où les poussières sont humides ou collantes.
4. Filtres à cartouches:
Semblables aux filtres à manches, ces systèmes utilisent des cartouches filtrantes avec des médias filtrants en fibres synthétiques ou cellulose. Ils sont généralement utilisés pour des poussières très fines et offrent une grande surface de filtration dans un espace restreint. Les Dépoussiéreurs à cartouches VARIO Eco P et la Cartouche filtrante F212 sont des exemples de filtres à cartouches pouvant être utilisés pour le traitement du phosphate.
5. Electrofiltres (Précipitateurs électrostatiques):
Ces appareils utilisent la force électrostatique pour capturer les particules de poussière. Les particules passent à travers un champ électrique et sont chargées électriquement avant d'être collectées sur des électrodes opposées. Ces systèmes sont particulièrement efficaces pour capturer des particules très fines et sont largement utilisés dans l'industrie lourde, bien qu'ils soient généralement moins courants dans le traitement des phosphates.
6. Systèmes d'abattage des poussières:
En complément des systèmes de dépoussiérage, des canon brumisateurs comme le V12S ou le système H2 peuvent être utilisés pour réduire les poussières en suspension dans l'air, notamment lors de la manutention des matériaux en vrac ou en extérieur.
Pour choisir le système de dépoussiérage adéquat pour le traitement du phosphate, il est essentiel de considérer différents paramètres comme la nature des poussières, la taille des particules, le taux d'humidité, la température des gaz, ainsi que les réglementations environnementales en vigueur. Une combinaison de ces systèmes peut également être envisagée pour une efficacité maximale.
1. Collecteurs de poussière à manches filtrantes (Filtres à manches):
Ces systèmes utilisent des manches filtrantes en tissu ou en feutre pour capturer les poussières fines. L'air contaminé est aspiré à travers les manches, et les particules sont piégées sur la surface externe des manches. Un mécanisme de secouage ou de pulsion d'air comprimé est fréquemment utilisé pour le décolmatage des manches et permettre ainsi la régénération du milieu filtrant. Les systèmes Jetline V et Filtre à manches JET SET sont des exemples de dépoussiéreurs à manches pouvant être utilisés dans le traitement des phosphates.
2. Cyclones et Multicyclones:
Ces dispositifs séparent les particules de poussière de l'air en utilisant la force centrifuge. L'air chargé de poussière entre dans un cyclone où il est mis en rotation. Les particules de poussière, plus lourdes que l'air, sont poussées contre la paroi du cyclone et tombent dans un réceptacle de collecte. Les STC - STR Cyclofiltres à embases coniques pourraient être mentionnés comme exemple.
3. Épurateurs par voie humide (Laveurs de gaz):
Ces équipements utilisent un liquide, généralement de l'eau, pour laver les poussières de l'air. Les particules sont capturées par les gouttes d'eau et sont ensuite collectées dans un bassin de décantation. Les Séparateurs venturi à voie humide VDN et le Dépoussiéreur compact Hydron Plus sont des exemples de systèmes pouvant être mis en œuvre dans des situations où les poussières sont humides ou collantes.
4. Filtres à cartouches:
Semblables aux filtres à manches, ces systèmes utilisent des cartouches filtrantes avec des médias filtrants en fibres synthétiques ou cellulose. Ils sont généralement utilisés pour des poussières très fines et offrent une grande surface de filtration dans un espace restreint. Les Dépoussiéreurs à cartouches VARIO Eco P et la Cartouche filtrante F212 sont des exemples de filtres à cartouches pouvant être utilisés pour le traitement du phosphate.
5. Electrofiltres (Précipitateurs électrostatiques):
Ces appareils utilisent la force électrostatique pour capturer les particules de poussière. Les particules passent à travers un champ électrique et sont chargées électriquement avant d'être collectées sur des électrodes opposées. Ces systèmes sont particulièrement efficaces pour capturer des particules très fines et sont largement utilisés dans l'industrie lourde, bien qu'ils soient généralement moins courants dans le traitement des phosphates.
6. Systèmes d'abattage des poussières:
En complément des systèmes de dépoussiérage, des canon brumisateurs comme le V12S ou le système H2 peuvent être utilisés pour réduire les poussières en suspension dans l'air, notamment lors de la manutention des matériaux en vrac ou en extérieur.
Pour choisir le système de dépoussiérage adéquat pour le traitement du phosphate, il est essentiel de considérer différents paramètres comme la nature des poussières, la taille des particules, le taux d'humidité, la température des gaz, ainsi que les réglementations environnementales en vigueur. Une combinaison de ces systèmes peut également être envisagée pour une efficacité maximale.
Nouvelle réponse
- Le 27/11/2023
Quel est le coût d'une installation de dépoussiérage par unité de mètre cube récupéré ?
Réponse :
Le coût d'une installation de dépoussiérage industriel par unité de mètre cube d'air récupéré est difficile à déterminer de manière précise sans connaître les détails spécifiques de l'application envisagée. En effet, le coût peut varier considérablement en fonction de plusieurs facteurs, notamment :
1. Le type de dépoussiéreur (dépoussiéreur à manches, à cartouches, cyclonique, à voie humide, etc.).
2. La quantité et la nature des poussières à traiter (minérales, métalliques, organiques, toxiques, inflammables, etc.).
3. Les débits d'air à traiter, qui déterminent la taille et la puissance de l'installation.
4. Le niveau de filtration requis, qui peut nécessiter des médias filtrants standards ou spécifiques (HEPA, filtres à charbon actif pour les COV, etc.).
5. Les normes et réglementations locales en matière d'émissions de poussières.
6. Les exigences en termes de récupération et de recyclage des matériaux.
7. Les options supplémentaires comme la protection ATEX, l'insonorisation, le contrôle automatique, etc.
8. Les coûts d'installation, de maintenance et d'exploitation (électricité, consommation d'air comprimé, remplacement des filtres, etc.).
Pour donner un exemple technique, considérons un dépoussiéreur à manches de la gamme JETLINE® V de NEU-JKF. Ces dépoussiéreurs sont conçus pour une haute performance de filtration avec un décolmatage automatique par air comprimé. Le coût d'un tel système pourrait inclure :
- L'achat des manches filtrantes et du système de décolmatage.
- Le coût d'installation, qui peut comprendre la tuyauterie, l'électricité et le génie civil.
- Les coûts opérationnels, incluant l'électricité pour les ventilateurs et les systèmes de contrôle, ainsi que l'air comprimé pour le décolmatage des manches.
- Les coûts de maintenance, comme le remplacement régulier des manches filtrantes.
Si l'on prend en compte une installation de taille moyenne, les coûts d'investissement pourraient varier de quelques milliers à plusieurs dizaines de milliers d'euros, alors que les coûts opérationnels et de maintenance pourraient se compter en centaines ou milliers d'euros par an. Cela donnerait un coût par mètre cube récupéré qui dépendra de la durée de fonctionnement de l'installation et des volumes d'air traités.
Il est donc essentiel de réaliser une étude détaillée des besoins spécifiques de l'application et de consulter un fournisseur spécialisé pour obtenir une estimation précise. Des entreprises comme NEU-JKF, Keller Lufttechnik ou Donaldson peuvent fournir des devis personnalisés après avoir évalué les exigences particulières d'un projet.
1. Le type de dépoussiéreur (dépoussiéreur à manches, à cartouches, cyclonique, à voie humide, etc.).
2. La quantité et la nature des poussières à traiter (minérales, métalliques, organiques, toxiques, inflammables, etc.).
3. Les débits d'air à traiter, qui déterminent la taille et la puissance de l'installation.
4. Le niveau de filtration requis, qui peut nécessiter des médias filtrants standards ou spécifiques (HEPA, filtres à charbon actif pour les COV, etc.).
5. Les normes et réglementations locales en matière d'émissions de poussières.
6. Les exigences en termes de récupération et de recyclage des matériaux.
7. Les options supplémentaires comme la protection ATEX, l'insonorisation, le contrôle automatique, etc.
8. Les coûts d'installation, de maintenance et d'exploitation (électricité, consommation d'air comprimé, remplacement des filtres, etc.).
Pour donner un exemple technique, considérons un dépoussiéreur à manches de la gamme JETLINE® V de NEU-JKF. Ces dépoussiéreurs sont conçus pour une haute performance de filtration avec un décolmatage automatique par air comprimé. Le coût d'un tel système pourrait inclure :
- L'achat des manches filtrantes et du système de décolmatage.
- Le coût d'installation, qui peut comprendre la tuyauterie, l'électricité et le génie civil.
- Les coûts opérationnels, incluant l'électricité pour les ventilateurs et les systèmes de contrôle, ainsi que l'air comprimé pour le décolmatage des manches.
- Les coûts de maintenance, comme le remplacement régulier des manches filtrantes.
Si l'on prend en compte une installation de taille moyenne, les coûts d'investissement pourraient varier de quelques milliers à plusieurs dizaines de milliers d'euros, alors que les coûts opérationnels et de maintenance pourraient se compter en centaines ou milliers d'euros par an. Cela donnerait un coût par mètre cube récupéré qui dépendra de la durée de fonctionnement de l'installation et des volumes d'air traités.
Il est donc essentiel de réaliser une étude détaillée des besoins spécifiques de l'application et de consulter un fournisseur spécialisé pour obtenir une estimation précise. Des entreprises comme NEU-JKF, Keller Lufttechnik ou Donaldson peuvent fournir des devis personnalisés après avoir évalué les exigences particulières d'un projet.
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- Le 30/05/2024
Quels sont les différents types de systèmes de dépoussiérage utilisés dans le traitement du phosphate?
Réponse :
Le traitement du phosphate, comme d'autres industries extractives et de transformation, génère une quantité significative de poussières. La gestion de ces poussières est cruciale non seulement pour la protection de l'environnement et la conformité réglementaire, mais aussi pour la santé et la sécurité des travailleurs. Plusieurs systèmes de dépoussiérage sont utilisés dans le traitement du phosphate pour contrôler et réduire les émissions de poussière. Voici quelques-uns des systèmes les plus courants :
1. Collecteurs de poussière à manches filtrantes (Filtres à manches):
Ces systèmes utilisent des manches filtrantes en tissu ou en feutre pour capturer les poussières fines. L'air contaminé est aspiré à travers les manches, et les particules sont piégées sur la surface externe des manches. Un mécanisme de secouage ou de pulsion d'air comprimé est fréquemment utilisé pour le décolmatage des manches et permettre ainsi la régénération du milieu filtrant. Les systèmes Jetline V et Filtre à manches JET SET sont des exemples de dépoussiéreurs à manches pouvant être utilisés dans le traitement des phosphates.
2. Cyclones et Multicyclones:
Ces dispositifs séparent les particules de poussière de l'air en utilisant la force centrifuge. L'air chargé de poussière entre dans un cyclone où il est mis en rotation. Les particules de poussière, plus lourdes que l'air, sont poussées contre la paroi du cyclone et tombent dans un réceptacle de collecte. Les STC - STR Cyclofiltres à embases coniques pourraient être mentionnés comme exemple.
3. Épurateurs par voie humide (Laveurs de gaz):
Ces équipements utilisent un liquide, généralement de l'eau, pour laver les poussières de l'air. Les particules sont capturées par les gouttes d'eau et sont ensuite collectées dans un bassin de décantation. Les Séparateurs venturi à voie humide VDN et le Dépoussiéreur compact Hydron Plus sont des exemples de systèmes pouvant être mis en œuvre dans des situations où les poussières sont humides ou collantes.
4. Filtres à cartouches:
Semblables aux filtres à manches, ces systèmes utilisent des cartouches filtrantes avec des médias filtrants en fibres synthétiques ou cellulose. Ils sont généralement utilisés pour des poussières très fines et offrent une grande surface de filtration dans un espace restreint. Les Dépoussiéreurs à cartouches VARIO Eco P et la Cartouche filtrante F212 sont des exemples de filtres à cartouches pouvant être utilisés pour le traitement du phosphate.
5. Electrofiltres (Précipitateurs électrostatiques):
Ces appareils utilisent la force électrostatique pour capturer les particules de poussière. Les particules passent à travers un champ électrique et sont chargées électriquement avant d'être collectées sur des électrodes opposées. Ces systèmes sont particulièrement efficaces pour capturer des particules très fines et sont largement utilisés dans l'industrie lourde, bien qu'ils soient généralement moins courants dans le traitement des phosphates.
6. Systèmes d'abattage des poussières:
En complément des systèmes de dépoussiérage, des canon brumisateurs comme le V12S ou le système H2 peuvent être utilisés pour réduire les poussières en suspension dans l'air, notamment lors de la manutention des matériaux en vrac ou en extérieur.
Pour choisir le système de dépoussiérage adéquat pour le traitement du phosphate, il est essentiel de considérer différents paramètres comme la nature des poussières, la taille des particules, le taux d'humidité, la température des gaz, ainsi que les réglementations environnementales en vigueur. Une combinaison de ces systèmes peut également être envisagée pour une efficacité maximale.
1. Collecteurs de poussière à manches filtrantes (Filtres à manches):
Ces systèmes utilisent des manches filtrantes en tissu ou en feutre pour capturer les poussières fines. L'air contaminé est aspiré à travers les manches, et les particules sont piégées sur la surface externe des manches. Un mécanisme de secouage ou de pulsion d'air comprimé est fréquemment utilisé pour le décolmatage des manches et permettre ainsi la régénération du milieu filtrant. Les systèmes Jetline V et Filtre à manches JET SET sont des exemples de dépoussiéreurs à manches pouvant être utilisés dans le traitement des phosphates.
2. Cyclones et Multicyclones:
Ces dispositifs séparent les particules de poussière de l'air en utilisant la force centrifuge. L'air chargé de poussière entre dans un cyclone où il est mis en rotation. Les particules de poussière, plus lourdes que l'air, sont poussées contre la paroi du cyclone et tombent dans un réceptacle de collecte. Les STC - STR Cyclofiltres à embases coniques pourraient être mentionnés comme exemple.
3. Épurateurs par voie humide (Laveurs de gaz):
Ces équipements utilisent un liquide, généralement de l'eau, pour laver les poussières de l'air. Les particules sont capturées par les gouttes d'eau et sont ensuite collectées dans un bassin de décantation. Les Séparateurs venturi à voie humide VDN et le Dépoussiéreur compact Hydron Plus sont des exemples de systèmes pouvant être mis en œuvre dans des situations où les poussières sont humides ou collantes.
4. Filtres à cartouches:
Semblables aux filtres à manches, ces systèmes utilisent des cartouches filtrantes avec des médias filtrants en fibres synthétiques ou cellulose. Ils sont généralement utilisés pour des poussières très fines et offrent une grande surface de filtration dans un espace restreint. Les Dépoussiéreurs à cartouches VARIO Eco P et la Cartouche filtrante F212 sont des exemples de filtres à cartouches pouvant être utilisés pour le traitement du phosphate.
5. Electrofiltres (Précipitateurs électrostatiques):
Ces appareils utilisent la force électrostatique pour capturer les particules de poussière. Les particules passent à travers un champ électrique et sont chargées électriquement avant d'être collectées sur des électrodes opposées. Ces systèmes sont particulièrement efficaces pour capturer des particules très fines et sont largement utilisés dans l'industrie lourde, bien qu'ils soient généralement moins courants dans le traitement des phosphates.
6. Systèmes d'abattage des poussières:
En complément des systèmes de dépoussiérage, des canon brumisateurs comme le V12S ou le système H2 peuvent être utilisés pour réduire les poussières en suspension dans l'air, notamment lors de la manutention des matériaux en vrac ou en extérieur.
Pour choisir le système de dépoussiérage adéquat pour le traitement du phosphate, il est essentiel de considérer différents paramètres comme la nature des poussières, la taille des particules, le taux d'humidité, la température des gaz, ainsi que les réglementations environnementales en vigueur. Une combinaison de ces systèmes peut également être envisagée pour une efficacité maximale.
Nouvelle réponse
- Le 27/11/2023
Quel est le coût d'une installation de dépoussiérage par unité de mètre cube récupéré ?
Réponse :
Le coût d'une installation de dépoussiérage industriel par unité de mètre cube d'air récupéré est difficile à déterminer de manière précise sans connaître les détails spécifiques de l'application envisagée. En effet, le coût peut varier considérablement en fonction de plusieurs facteurs, notamment :
1. Le type de dépoussiéreur (dépoussiéreur à manches, à cartouches, cyclonique, à voie humide, etc.).
2. La quantité et la nature des poussières à traiter (minérales, métalliques, organiques, toxiques, inflammables, etc.).
3. Les débits d'air à traiter, qui déterminent la taille et la puissance de l'installation.
4. Le niveau de filtration requis, qui peut nécessiter des médias filtrants standards ou spécifiques (HEPA, filtres à charbon actif pour les COV, etc.).
5. Les normes et réglementations locales en matière d'émissions de poussières.
6. Les exigences en termes de récupération et de recyclage des matériaux.
7. Les options supplémentaires comme la protection ATEX, l'insonorisation, le contrôle automatique, etc.
8. Les coûts d'installation, de maintenance et d'exploitation (électricité, consommation d'air comprimé, remplacement des filtres, etc.).
Pour donner un exemple technique, considérons un dépoussiéreur à manches de la gamme JETLINE® V de NEU-JKF. Ces dépoussiéreurs sont conçus pour une haute performance de filtration avec un décolmatage automatique par air comprimé. Le coût d'un tel système pourrait inclure :
- L'achat des manches filtrantes et du système de décolmatage.
- Le coût d'installation, qui peut comprendre la tuyauterie, l'électricité et le génie civil.
- Les coûts opérationnels, incluant l'électricité pour les ventilateurs et les systèmes de contrôle, ainsi que l'air comprimé pour le décolmatage des manches.
- Les coûts de maintenance, comme le remplacement régulier des manches filtrantes.
Si l'on prend en compte une installation de taille moyenne, les coûts d'investissement pourraient varier de quelques milliers à plusieurs dizaines de milliers d'euros, alors que les coûts opérationnels et de maintenance pourraient se compter en centaines ou milliers d'euros par an. Cela donnerait un coût par mètre cube récupéré qui dépendra de la durée de fonctionnement de l'installation et des volumes d'air traités.
Il est donc essentiel de réaliser une étude détaillée des besoins spécifiques de l'application et de consulter un fournisseur spécialisé pour obtenir une estimation précise. Des entreprises comme NEU-JKF, Keller Lufttechnik ou Donaldson peuvent fournir des devis personnalisés après avoir évalué les exigences particulières d'un projet.
1. Le type de dépoussiéreur (dépoussiéreur à manches, à cartouches, cyclonique, à voie humide, etc.).
2. La quantité et la nature des poussières à traiter (minérales, métalliques, organiques, toxiques, inflammables, etc.).
3. Les débits d'air à traiter, qui déterminent la taille et la puissance de l'installation.
4. Le niveau de filtration requis, qui peut nécessiter des médias filtrants standards ou spécifiques (HEPA, filtres à charbon actif pour les COV, etc.).
5. Les normes et réglementations locales en matière d'émissions de poussières.
6. Les exigences en termes de récupération et de recyclage des matériaux.
7. Les options supplémentaires comme la protection ATEX, l'insonorisation, le contrôle automatique, etc.
8. Les coûts d'installation, de maintenance et d'exploitation (électricité, consommation d'air comprimé, remplacement des filtres, etc.).
Pour donner un exemple technique, considérons un dépoussiéreur à manches de la gamme JETLINE® V de NEU-JKF. Ces dépoussiéreurs sont conçus pour une haute performance de filtration avec un décolmatage automatique par air comprimé. Le coût d'un tel système pourrait inclure :
- L'achat des manches filtrantes et du système de décolmatage.
- Le coût d'installation, qui peut comprendre la tuyauterie, l'électricité et le génie civil.
- Les coûts opérationnels, incluant l'électricité pour les ventilateurs et les systèmes de contrôle, ainsi que l'air comprimé pour le décolmatage des manches.
- Les coûts de maintenance, comme le remplacement régulier des manches filtrantes.
Si l'on prend en compte une installation de taille moyenne, les coûts d'investissement pourraient varier de quelques milliers à plusieurs dizaines de milliers d'euros, alors que les coûts opérationnels et de maintenance pourraient se compter en centaines ou milliers d'euros par an. Cela donnerait un coût par mètre cube récupéré qui dépendra de la durée de fonctionnement de l'installation et des volumes d'air traités.
Il est donc essentiel de réaliser une étude détaillée des besoins spécifiques de l'application et de consulter un fournisseur spécialisé pour obtenir une estimation précise. Des entreprises comme NEU-JKF, Keller Lufttechnik ou Donaldson peuvent fournir des devis personnalisés après avoir évalué les exigences particulières d'un projet.
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