Produit
Seametrics CT2X
Sonde numérique température, conductivité, salinité et pression - SEAMETRICS®
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Description
La sonde numérique Seametrics CT2X mesure en immersion dans un forage, un cours d'eau et autres milieux aquatiques, température, conductivité, salinité et pression/niveau. Seametrics CT2X est utilisable en enregistreur totalement autonome avec récupération périodique des données ou comme une sonde numérique à sortie SDI-12 et ModBus, en liaison avec une centrale d'acquisition, un automate ou contrôleur programmable, un ensemble de gestion technique centralisée
Type de produit
Ce produit a été créé et référencé pour le bon fonctionnement de la plateforme
Caractéristiques
Questions / Actualités
Questions
Nouvelle réponse
- Le 07/01/2024
Je souhaite organiser une journée nettoyage d'une rivière (enlever les déchets plastique et autre OFNI). Y'a t'il des autorisations à demander ?
Réponse :
La planification d'une journée de nettoyage d'une rivière nécessite souvent plusieurs autorisations et démarches administratives, surtout si l'activité a lieu sur un espace public ou dans un écosystème sensible. Voici les principales démarches à entreprendre :
1. Contactez l'autorité locale : Cela peut être la mairie, la préfecture ou l'agence de l'eau de votre région. Informez-les de votre projet et demandez s'il existe des procédures spécifiques ou des autorisations requises pour organiser l'événement. Certaines zones peuvent être protégées ou appartenir à des propriétaires privés, ce qui pourrait nécessiter des autorisations spéciales.
2. Obtenez une autorisation d'accès : Si la rivière traverse des terrains privés, vous devrez obtenir l'autorisation des propriétaires pour accéder à la rivière et effectuer le nettoyage.
3. Respectez la législation environnementale : Renseignez-vous sur la législation en vigueur concernant la protection de la faune et de la flore. Certaines zones peuvent être classées comme réserves naturelles ou habitats d'espèces protégées, ce qui pourrait restreindre ou interdire certaines activités de nettoyage.
4. Coordination avec les autorités environnementales : Contactez les agences ou associations environnementales locales, comme l'Agence Française pour la Biodiversité ou des associations telles que France Nature Environnement, qui pourront vous fournir des conseils et des informations sur les bonnes pratiques de nettoyage des cours d'eau.
5. Prévoyez la gestion des déchets : Coordonnez-vous avec les services municipaux de gestion des déchets pour assurer la collecte et le tri des déchets que vous allez retirer de la rivière. Certains déchets peuvent nécessiter une élimination spéciale.
6. Assurances : Vérifiez si vous avez besoin d'une assurance pour couvrir les bénévoles et l'organisation contre d'éventuels accidents ou dommages pendant l'activité de nettoyage.
7. Informez la communauté : Il est important de communiquer sur votre événement pour sensibiliser la population locale et potentiellement recruter des bénévoles.
Concernant les produits qui pourraient être utilisés lors d'une telle journée de nettoyage, voici quelques exemples :
- Gants de protection : pour protéger les mains des bénévoles.
- Sacs poubelle résistants : pour collecter les déchets.
- Pinces à déchets ou grabbers : pour ramasser les déchets sans se baisser ou atteindre des zones difficiles d'accès.
- Bottes en caoutchouc ou waders : pour permettre aux bénévoles de marcher dans l'eau peu profonde en toute sécurité.
- Filets ou tamis : pour retirer les petits déchets flottants ou en suspension.
- Conteneurs pour le tri sélectif : pour organiser les déchets recyclables dès la collecte.
Enfin, il peut être judicieux de disposer d'un moyen pour mesurer l'impact de l'activité sur la qualité de l'eau, comme une sonde numérique Seametrics CT2X mentionnée précédemment, qui permet de mesurer la température, la conductivité, la salinité et le niveau de l'eau avant et après le nettoyage.
Il est important de bien planifier votre journée de nettoyage en amont, en tenant compte de toutes les considérations réglementaires, environnementales et logistiques pour assurer le succès de l'événement et minimiser l'impact sur l'écosystème de la rivière.
1. Contactez l'autorité locale : Cela peut être la mairie, la préfecture ou l'agence de l'eau de votre région. Informez-les de votre projet et demandez s'il existe des procédures spécifiques ou des autorisations requises pour organiser l'événement. Certaines zones peuvent être protégées ou appartenir à des propriétaires privés, ce qui pourrait nécessiter des autorisations spéciales.
2. Obtenez une autorisation d'accès : Si la rivière traverse des terrains privés, vous devrez obtenir l'autorisation des propriétaires pour accéder à la rivière et effectuer le nettoyage.
3. Respectez la législation environnementale : Renseignez-vous sur la législation en vigueur concernant la protection de la faune et de la flore. Certaines zones peuvent être classées comme réserves naturelles ou habitats d'espèces protégées, ce qui pourrait restreindre ou interdire certaines activités de nettoyage.
4. Coordination avec les autorités environnementales : Contactez les agences ou associations environnementales locales, comme l'Agence Française pour la Biodiversité ou des associations telles que France Nature Environnement, qui pourront vous fournir des conseils et des informations sur les bonnes pratiques de nettoyage des cours d'eau.
5. Prévoyez la gestion des déchets : Coordonnez-vous avec les services municipaux de gestion des déchets pour assurer la collecte et le tri des déchets que vous allez retirer de la rivière. Certains déchets peuvent nécessiter une élimination spéciale.
6. Assurances : Vérifiez si vous avez besoin d'une assurance pour couvrir les bénévoles et l'organisation contre d'éventuels accidents ou dommages pendant l'activité de nettoyage.
7. Informez la communauté : Il est important de communiquer sur votre événement pour sensibiliser la population locale et potentiellement recruter des bénévoles.
Concernant les produits qui pourraient être utilisés lors d'une telle journée de nettoyage, voici quelques exemples :
- Gants de protection : pour protéger les mains des bénévoles.
- Sacs poubelle résistants : pour collecter les déchets.
- Pinces à déchets ou grabbers : pour ramasser les déchets sans se baisser ou atteindre des zones difficiles d'accès.
- Bottes en caoutchouc ou waders : pour permettre aux bénévoles de marcher dans l'eau peu profonde en toute sécurité.
- Filets ou tamis : pour retirer les petits déchets flottants ou en suspension.
- Conteneurs pour le tri sélectif : pour organiser les déchets recyclables dès la collecte.
Enfin, il peut être judicieux de disposer d'un moyen pour mesurer l'impact de l'activité sur la qualité de l'eau, comme une sonde numérique Seametrics CT2X mentionnée précédemment, qui permet de mesurer la température, la conductivité, la salinité et le niveau de l'eau avant et après le nettoyage.
Il est important de bien planifier votre journée de nettoyage en amont, en tenant compte de toutes les considérations réglementaires, environnementales et logistiques pour assurer le succès de l'événement et minimiser l'impact sur l'écosystème de la rivière.
Nouvelle réponse
- Le 03/01/2024
Existe-t-il un kit complet pour forage de puits : CAD, filtres, UV, + consommation de l'eau?
Réponse :
Oui, il existe des kits complets pour le forage de puits qui incluent généralement le matériel nécessaire pour le captage d'eau, le traitement et la potabilisation pour la consommation humaine. Ces kits peuvent varier en fonction des besoins spécifiques et de la qualité de l'eau souterraine dans la zone de forage. Un kit complet pourrait inclure les éléments suivants :
1. **Système de forage** : Il s'agit de l'équipement de base pour forer le sol et atteindre la nappe phréatique. Cela peut inclure une foreuse, des tiges de forage, une tête de forage, et d'autres outils nécessaires.
2. **Pompe de puits** : Une fois le puits foré, une pompe est nécessaire pour remonter l'eau à la surface. La pompe doit être choisie en fonction de la profondeur du puits et du volume d'eau requis. Par exemple, la pompe immergée multicellulaire **Actun ZETOS-K12** de Wilo pourrait être une option pour cette application, avec sa haute efficacité et sa résistance aux conditions difficiles.
3. **Système de filtration** : Pour éliminer les particules solides et autres contaminants, un système de filtration est nécessaire. Cela peut inclure des filtres à sable ou à membrane, selon la qualité de l'eau. Le produit **Herli Rapid TWB** peut servir de nettoyant pour ces filtres, assurant leur efficacité sur le long terme.
4. **Traitement UV** : Pour désinfecter l'eau et éliminer les bactéries et virus, un système de traitement par ultraviolets est souvent inclus dans le kit. Il s'agit d'une méthode de traitement non chimique qui assure la potabilité de l'eau.
5. **Système de traitement chimique** : Dans certains cas, un traitement chimique peut être nécessaire pour ajuster le pH de l'eau, éliminer certains contaminants ou empêcher la croissance des algues.
6. **Réservoir de stockage** : Un réservoir pour stocker l'eau traitée avant sa consommation est également un élément clé du système.
7. **Contrôles et instrumentation** : Le kit peut également inclure des capteurs et des contrôleurs pour surveiller la qualité de l'eau et le fonctionnement du système. La **sonde numérique Seametrics CT2X** pourrait être utilisée pour mesurer la température, la conductivité, la salinité et la pression/niveau de l'eau.
8. **Accessoires et raccords** : Des raccords tels que le **Raccord ZSM** peuvent faciliter la maintenance et l'installation des colonnes de refoulement.
Il est important de noter que chaque composant doit être sélectionné en fonction des caractéristiques spécifiques du puits et des exigences de qualité de l'eau. De plus, il est recommandé de consulter un spécialiste pour une évaluation approfondie des conditions locales et pour la conception d'un système adapté aux besoins spécifiques du site et aux normes de potabilité de l'eau.
1. **Système de forage** : Il s'agit de l'équipement de base pour forer le sol et atteindre la nappe phréatique. Cela peut inclure une foreuse, des tiges de forage, une tête de forage, et d'autres outils nécessaires.
2. **Pompe de puits** : Une fois le puits foré, une pompe est nécessaire pour remonter l'eau à la surface. La pompe doit être choisie en fonction de la profondeur du puits et du volume d'eau requis. Par exemple, la pompe immergée multicellulaire **Actun ZETOS-K12** de Wilo pourrait être une option pour cette application, avec sa haute efficacité et sa résistance aux conditions difficiles.
3. **Système de filtration** : Pour éliminer les particules solides et autres contaminants, un système de filtration est nécessaire. Cela peut inclure des filtres à sable ou à membrane, selon la qualité de l'eau. Le produit **Herli Rapid TWB** peut servir de nettoyant pour ces filtres, assurant leur efficacité sur le long terme.
4. **Traitement UV** : Pour désinfecter l'eau et éliminer les bactéries et virus, un système de traitement par ultraviolets est souvent inclus dans le kit. Il s'agit d'une méthode de traitement non chimique qui assure la potabilité de l'eau.
5. **Système de traitement chimique** : Dans certains cas, un traitement chimique peut être nécessaire pour ajuster le pH de l'eau, éliminer certains contaminants ou empêcher la croissance des algues.
6. **Réservoir de stockage** : Un réservoir pour stocker l'eau traitée avant sa consommation est également un élément clé du système.
7. **Contrôles et instrumentation** : Le kit peut également inclure des capteurs et des contrôleurs pour surveiller la qualité de l'eau et le fonctionnement du système. La **sonde numérique Seametrics CT2X** pourrait être utilisée pour mesurer la température, la conductivité, la salinité et la pression/niveau de l'eau.
8. **Accessoires et raccords** : Des raccords tels que le **Raccord ZSM** peuvent faciliter la maintenance et l'installation des colonnes de refoulement.
Il est important de noter que chaque composant doit être sélectionné en fonction des caractéristiques spécifiques du puits et des exigences de qualité de l'eau. De plus, il est recommandé de consulter un spécialiste pour une évaluation approfondie des conditions locales et pour la conception d'un système adapté aux besoins spécifiques du site et aux normes de potabilité de l'eau.
Nouvelle réponse
- Le 28/12/2023
Mon plan d'eau, alimenté par des sources, milieu naturel sans environnement agricole, construit depuis 15 ans, présente cette année une forte mortalité de poissons (gardons), une 50aine depuis janvier. Pas de traces de prédation. Que me conseillez-vous?
Réponse :
Face à une mortalité aiguë de poissons dans un plan d'eau, il est impératif d'adopter une approche méthodique pour identifier la cause sous-jacente et mettre en place des mesures correctives adaptées. Voici les étapes à suivre, ainsi que des suggestions de produits qui pourraient être utilisés dans ce contexte :
1. **Évaluation visuelle et recueil d'informations :**
- Observez les poissons morts et survivants pour d'éventuels signes de maladie (lésions, ulcères, comportement anormal).
- Recueillez des informations détaillées sur les événements récents qui ont pu affecter le plan d'eau (changements météorologiques, interventions humaines, variations du niveau de l'eau).
2. **Analyse de la qualité de l'eau :**
- Procédez à des mesures in situ de différents paramètres physico-chimiques de l'eau, qui peuvent influencer la santé des poissons. Utilisez des instruments tels que :
- **HOBO U20** : Enregistreur de niveau d'eau pour suivre les variations du niveau de l'eau et détecter d'éventuelles corrélations avec la mortalité piscicole.
- **HOBO MX2501** : Enregistreur de pH et de température pour surveiller les variations de pH, qui peuvent être toxiques pour les poissons à certains niveaux.
- **Seametrics CT2X** : Sonde numérique pour mesurer la conductivité, la salinité et la température de l'eau, qui peuvent affecter la capacité des poissons à maintenir l'équilibre osmotique et thermique.
3. **Contrôle de la présence de contaminants :**
- Effectuez des analyses en laboratoire pour détecter la présence de métaux lourds, de pesticides ou d'autres polluants organiques et inorganiques qui pourraient être toxiques pour les poissons.
4. **Examen biologique et vétérinaire :**
- Consultez un spécialiste en santé des poissons pour réaliser des autopsies des individus morts et des examens sur les poissons vivants, afin d'identifier la présence de pathogènes (bactéries, virus, parasites).
5. **Surveillance de l'oxygène dissous :**
- Mesurez les niveaux d'oxygène dissous, un paramètre critique pour la survie des poissons. Des instruments comme le **HOBO U26** (non mentionné dans la liste initiale, mais pertinent dans ce cas) peuvent être utilisés pour suivre ce paramètre.
6. **Gestion végétale et de l'eau :**
- Évaluez la couverture végétale et la stratification thermique de l'eau qui peuvent influer sur les niveaux d'oxygène et la qualité de l'eau. Un aérateur comme le **SUNGO** pourrait être utile pour améliorer l'oxygénation.
7. **Suivi à long terme :**
- Envisagez l'installation d'une station météorologique ou d'une station de surveillance de l'eau telle que la **série HOBO RX2100** pour un suivi à long terme et une gestion proactive de l'environnement aquatique.
Après avoir collecté ces données, vous pourrez déterminer si la mortalité est due à des facteurs environnementaux, des agents pathogènes, ou une combinaison des deux. En fonction des résultats, des mesures correctives pourront être mises en place, comme l'ajustement des pratiques de gestion de l'eau, le traitement contre les maladies, ou l'installation de systèmes d'aération. Il est également conseillé de prendre contact avec des organismes locaux de gestion de la faune aquatique ou des associations spécialisées pour obtenir une aide supplémentaire.
1. **Évaluation visuelle et recueil d'informations :**
- Observez les poissons morts et survivants pour d'éventuels signes de maladie (lésions, ulcères, comportement anormal).
- Recueillez des informations détaillées sur les événements récents qui ont pu affecter le plan d'eau (changements météorologiques, interventions humaines, variations du niveau de l'eau).
2. **Analyse de la qualité de l'eau :**
- Procédez à des mesures in situ de différents paramètres physico-chimiques de l'eau, qui peuvent influencer la santé des poissons. Utilisez des instruments tels que :
- **HOBO U20** : Enregistreur de niveau d'eau pour suivre les variations du niveau de l'eau et détecter d'éventuelles corrélations avec la mortalité piscicole.
- **HOBO MX2501** : Enregistreur de pH et de température pour surveiller les variations de pH, qui peuvent être toxiques pour les poissons à certains niveaux.
- **Seametrics CT2X** : Sonde numérique pour mesurer la conductivité, la salinité et la température de l'eau, qui peuvent affecter la capacité des poissons à maintenir l'équilibre osmotique et thermique.
3. **Contrôle de la présence de contaminants :**
- Effectuez des analyses en laboratoire pour détecter la présence de métaux lourds, de pesticides ou d'autres polluants organiques et inorganiques qui pourraient être toxiques pour les poissons.
4. **Examen biologique et vétérinaire :**
- Consultez un spécialiste en santé des poissons pour réaliser des autopsies des individus morts et des examens sur les poissons vivants, afin d'identifier la présence de pathogènes (bactéries, virus, parasites).
5. **Surveillance de l'oxygène dissous :**
- Mesurez les niveaux d'oxygène dissous, un paramètre critique pour la survie des poissons. Des instruments comme le **HOBO U26** (non mentionné dans la liste initiale, mais pertinent dans ce cas) peuvent être utilisés pour suivre ce paramètre.
6. **Gestion végétale et de l'eau :**
- Évaluez la couverture végétale et la stratification thermique de l'eau qui peuvent influer sur les niveaux d'oxygène et la qualité de l'eau. Un aérateur comme le **SUNGO** pourrait être utile pour améliorer l'oxygénation.
7. **Suivi à long terme :**
- Envisagez l'installation d'une station météorologique ou d'une station de surveillance de l'eau telle que la **série HOBO RX2100** pour un suivi à long terme et une gestion proactive de l'environnement aquatique.
Après avoir collecté ces données, vous pourrez déterminer si la mortalité est due à des facteurs environnementaux, des agents pathogènes, ou une combinaison des deux. En fonction des résultats, des mesures correctives pourront être mises en place, comme l'ajustement des pratiques de gestion de l'eau, le traitement contre les maladies, ou l'installation de systèmes d'aération. Il est également conseillé de prendre contact avec des organismes locaux de gestion de la faune aquatique ou des associations spécialisées pour obtenir une aide supplémentaire.
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