MEDOR Exd ATEX - Chromatographe en phase gazeuse
Analyse des composés soufrés, mercaptans, odeur en zone dangereuse
Zone dangereuse : ATEX or IECEx: Zone 1 and 2 group IIB + H2
THT / TBM / DMS / H2S / Bu-SH / Me-SH / Et-SH
- Applications :
Détection des impuretés dans le gaz naturel / GPL / propane / butane, gaz propulseur, contrôle du catalyseur process
- Description :
Le MEDOR Exd est un chromatographe en ligne, en phase gazeuse, dédié à l’analyse des composés soufrés (H2S, mercaptans et sulfures) présents dans différentes matrices.
Deux versions existent :
- - MEDOR Exd ppm (mesure à des niveaux ppm)
- - MEDOR Exd ppb (mesure à des niveaux ppb)
- Points clés :
- Carburants par chromatographe en phase gazeuse et détection électrochimique
- Système d'étalonnage automatique interne permettant la validation automatique des données
- Surveillance continue avec échantillonnage automatique en ligne
- Performances analytiques :
Spécifique et très sensible aux composés soufrés
Validation des résultats par injection standard automatique à chaque analyse
Stabilité à long terme grâce au détecteur de cellule humide installé dans le réservoir
- Faible maintenance
- Faible consommation de gaz, peut être réduite en option
- Plus de 10 ans de stockage de données
- Aucun cylindre d'étalonnage requis grâce au tube d'étalonnage interne
- Contrôle automatique avec dispositif de process
- Surveillance de la température et de la pression internes
- Système intelligent avec niveaux d’alarmes réglables et interactifs
- Ordinateur intégré avec logiciel VISTACHROM Chromatotec : visualisation et traitement des données
Normes : ASTM D7493-08, ISO 19739:2004, DIN 51855/7
Comment réaliser des prises de mesures olfactives pour évaluer les odeurs?
1. Échantillonnage :
- Utilisation de sacs d'échantillonnage spéciaux (par exemple Tedlar ou Nalophan) pour capturer les échantillons d'air au niveau de la source ou dans l'environnement.
- Les échantillons doivent être prélevés de manière à ce qu'ils soient représentatifs de la source d'odeur et qu'ils ne subissent pas de contamination ou d'altération.
2. Transport et conservation :
- Les échantillons doivent être transportés dans des conditions préservant leur intégrité, souvent à température contrôlée.
- L'analyse doit être réalisée dans les plus brefs délais après l'échantillonnage pour éviter toute dégradation des composés odorants.
3. Analyse sensorielle :
- Olfactométrie dynamique : Utilisation d'une olfactomètre (par exemple l'olfactomètre OlfactoLab de Chromatotec), qui dilue l'échantillon avec de l'air filtré et sans odeur pour le présenter à des panélistes entraînés qui évaluent l'intensité de l'odeur.
- Mesure de seuil olfactif : Détermination de la concentration à laquelle l'odeur devient perceptible par 50% des panélistes (Unité de Seuil Olfactif - USO).
4. Analyse instrumentale :
- Chromatographie en phase gazeuse : Appareils comme le TRS MEDOR ou le MEDOR Exd ATEX peuvent être utilisés pour analyser les composés spécifiques responsables des odeurs (H2S, mercaptans, etc.).
- Spectrométrie de masse : Couplage de la chromatographie en phase gazeuse avec un spectromètre de masse pour une identification plus précise des composés.
- Analyseur multigaz : Instruments comme le MIR 9000 ou le MIR FT peuvent mesurer simultanément plusieurs gaz responsables des odeurs.
5. Mesures en continu :
- Stations fixes ou mobiles équipées de capteurs électroniques (par exemple le système Cairnet) qui fournissent un suivi en temps réel des concentrations de composés odorants dans l'air ambiant.
6. Corrélation avec les données météorologiques :
- Utilisation d'outils de modélisation de la dispersion atmosphérique pour prédire la propagation des odeurs en fonction des conditions météo.
7. Interprétation et reporting :
- Analyse des données recueillies pour évaluer le niveau de nuisance olfactive, en utilisant des logiciels spécialisés qui peuvent intégrer des données sensorielles et instrumentales (par exemple le logiciel VISTACHROM de Chromatotec).
- Rédaction de rapports destinés aux autorités réglementaires ou à des fins de gestion de la qualité de l'air.
En fonction de l'objectif de la mesure et des ressources disponibles, on peut choisir une approche plus subjective impliquant des panélistes humains ou une approche plus objective et quantitative utilisant des instruments de mesure. Pour des résultats plus précis et reproductibles, les mesures olfactives sont souvent combinées avec des analyses instrumentales qui fournissent une caractérisation chimique des odeurs.
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1. Échantillonnage :
- Utilisation de sacs d'échantillonnage spéciaux (par exemple Tedlar ou Nalophan) pour capturer les échantillons d'air au niveau de la source ou dans l'environnement.
- Les échantillons doivent être prélevés de manière à ce qu'ils soient représentatifs de la source d'odeur et qu'ils ne subissent pas de contamination ou d'altération.
2. Transport et conservation :
- Les échantillons doivent être transportés dans des conditions préservant leur intégrité, souvent à température contrôlée.
- L'analyse doit être réalisée dans les plus brefs délais après l'échantillonnage pour éviter toute dégradation des composés odorants.
3. Analyse sensorielle :
- Olfactométrie dynamique : Utilisation d'une olfactomètre (par exemple l'olfactomètre OlfactoLab de Chromatotec), qui dilue l'échantillon avec de l'air filtré et sans odeur pour le présenter à des panélistes entraînés qui évaluent l'intensité de l'odeur.
- Mesure de seuil olfactif : Détermination de la concentration à laquelle l'odeur devient perceptible par 50% des panélistes (Unité de Seuil Olfactif - USO).
4. Analyse instrumentale :
- Chromatographie en phase gazeuse : Appareils comme le TRS MEDOR ou le MEDOR Exd ATEX peuvent être utilisés pour analyser les composés spécifiques responsables des odeurs (H2S, mercaptans, etc.).
- Spectrométrie de masse : Couplage de la chromatographie en phase gazeuse avec un spectromètre de masse pour une identification plus précise des composés.
- Analyseur multigaz : Instruments comme le MIR 9000 ou le MIR FT peuvent mesurer simultanément plusieurs gaz responsables des odeurs.
5. Mesures en continu :
- Stations fixes ou mobiles équipées de capteurs électroniques (par exemple le système Cairnet) qui fournissent un suivi en temps réel des concentrations de composés odorants dans l'air ambiant.
6. Corrélation avec les données météorologiques :
- Utilisation d'outils de modélisation de la dispersion atmosphérique pour prédire la propagation des odeurs en fonction des conditions météo.
7. Interprétation et reporting :
- Analyse des données recueillies pour évaluer le niveau de nuisance olfactive, en utilisant des logiciels spécialisés qui peuvent intégrer des données sensorielles et instrumentales (par exemple le logiciel VISTACHROM de Chromatotec).
- Rédaction de rapports destinés aux autorités réglementaires ou à des fins de gestion de la qualité de l'air.
En fonction de l'objectif de la mesure et des ressources disponibles, on peut choisir une approche plus subjective impliquant des panélistes humains ou une approche plus objective et quantitative utilisant des instruments de mesure. Pour des résultats plus précis et reproductibles, les mesures olfactives sont souvent combinées avec des analyses instrumentales qui fournissent une caractérisation chimique des odeurs.
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