Produit
BRAG 2 CM - bac de rétention en acier - 1000 L
Bac de rétention et caillebotis
Description
DIFOPE fournisseur de bacs de rétention, propose le Bac de retention BRAG 2 CM, muni d'un caillebotis acier pour le stockage de 2 cubitainers ou 2 cuves IBC - rétention 1000 litres
- Capacité de rétention : 1000 litres
- Dim : 2680 x 1270 x 400 mm - dont 100 mm hauteur pied
- Poids : 198 kg
- Fabrication Française
DIFOPE propose de nombreuses références de bacs de rétention. En savoir plus sur : www.difope.fr
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Le 07/01/2024
Je dois installer un bac de rétention sous un raccordement d'un robinet de remplissage fioul. Quel type de bac utiliser?
Réponse :
Pour l'installation d'un bac de rétention sous un raccordement de robinet de remplissage de fioul, il est important de choisir un bac adapté à la nature du liquide stocké et aux réglementations en vigueur concernant le stockage de produits inflammables et polluants.
Voici les critères techniques à prendre en compte pour choisir le bon bac de rétention :
1. Matériau de construction : Le bac doit être fabriqué dans un matériau résistant aux hydrocarbures, comme le polyéthylène (PE) pour sa résistance chimique ou l'acier galvanisé pour sa robustesse. Les bacs en acier doivent être traités pour résister à la corrosion, surtout si utilisés en extérieur.
2. Capacité de rétention : Le volume du bac de rétention doit être au moins égal à la capacité du plus grand contenant ou à 110% du volume du plus grand fût (selon les réglementations locales). Cela permet de contenir les déversements accidentels lors du remplissage.
3. Accessibilité et manipulation : Le bac doit permettre un accès facile pour la connexion et la déconnexion du robinet de remplissage, et éventuellement permettre le déplacement si nécessaire.
4. Conformité réglementaire : Le bac de rétention doit répondre aux réglementations en vigueur pour le stockage des produits inflammables et polluants, comme la Directive Européenne 2006/42/CE et les normes locales de sécurité environnementale.
En fonction de ces critères, plusieurs produits pourraient correspondre à votre besoin :
- Bac de rétention en polyéthylène (PEHD) avec caillebotis amovible, comme le BRPN 2C de DIFOPE. Il est adapté pour le stockage de cubitainers et de fûts, avec une capacité de rétention de 1100 litres.
- Bac de rétention en acier galvanisé, comme le BRAG 2 CM de DIFOPE, qui offre une capacité de rétention de 1000 litres et qui est muni d'un caillebotis pour le stockage de cuves IBC ou cubitainers.
- Bac de rétention souple pliable, comme le BRSO 1000 de DIFOPE, qui peut être une option si l'espace est limité ou si le bac doit être déplacé ou rangé après utilisation. Avec une capacité de rétention de 1000 litres, c'est une solution flexible et pratique.
Il est important de s'assurer que le fournisseur du bac de rétention fournit une documentation technique attestant de la conformité du bac aux standards requis et que le bac est bien dimensionné pour la quantité de fioul manipulée. Il est également recommandé de prévoir un plan de gestion des déversements accidentels, incluant des kits d'intervention pour les hydrocarbures.
Voici les critères techniques à prendre en compte pour choisir le bon bac de rétention :
1. Matériau de construction : Le bac doit être fabriqué dans un matériau résistant aux hydrocarbures, comme le polyéthylène (PE) pour sa résistance chimique ou l'acier galvanisé pour sa robustesse. Les bacs en acier doivent être traités pour résister à la corrosion, surtout si utilisés en extérieur.
2. Capacité de rétention : Le volume du bac de rétention doit être au moins égal à la capacité du plus grand contenant ou à 110% du volume du plus grand fût (selon les réglementations locales). Cela permet de contenir les déversements accidentels lors du remplissage.
3. Accessibilité et manipulation : Le bac doit permettre un accès facile pour la connexion et la déconnexion du robinet de remplissage, et éventuellement permettre le déplacement si nécessaire.
4. Conformité réglementaire : Le bac de rétention doit répondre aux réglementations en vigueur pour le stockage des produits inflammables et polluants, comme la Directive Européenne 2006/42/CE et les normes locales de sécurité environnementale.
En fonction de ces critères, plusieurs produits pourraient correspondre à votre besoin :
- Bac de rétention en polyéthylène (PEHD) avec caillebotis amovible, comme le BRPN 2C de DIFOPE. Il est adapté pour le stockage de cubitainers et de fûts, avec une capacité de rétention de 1100 litres.
- Bac de rétention en acier galvanisé, comme le BRAG 2 CM de DIFOPE, qui offre une capacité de rétention de 1000 litres et qui est muni d'un caillebotis pour le stockage de cuves IBC ou cubitainers.
- Bac de rétention souple pliable, comme le BRSO 1000 de DIFOPE, qui peut être une option si l'espace est limité ou si le bac doit être déplacé ou rangé après utilisation. Avec une capacité de rétention de 1000 litres, c'est une solution flexible et pratique.
Il est important de s'assurer que le fournisseur du bac de rétention fournit une documentation technique attestant de la conformité du bac aux standards requis et que le bac est bien dimensionné pour la quantité de fioul manipulée. Il est également recommandé de prévoir un plan de gestion des déversements accidentels, incluant des kits d'intervention pour les hydrocarbures.
Nouvelle réponse
- Le 29/12/2023
Quelle est la réglementation sur les vérifications annuelles obligatoire des bacs de rétention ?
Réponse :
La réglementation autour de la vérification annuelle des bacs de rétention est principalement encadrée en France par l’arrêté du 2 février 1998 modifié relatif aux prélèvements et à la consommation d'eau ainsi qu'aux émissions de toute nature des installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE), ainsi que par le Code de l'Environnement, notamment dans son livre V relatif aux installations classées.
Selon l’arrêté du 2 février 1998, les exploitants d’installations classées pour la protection de l'environnement doivent disposer de dispositifs de rétention adaptés pour prévenir les pollutions accidentelles. Ces dispositifs doivent être conçus de manière à contenir les liquides susceptibles de s'écouler en cas de défaillance des contenants, et doivent avoir une capacité de rétention adéquate (au moins égale à la capacité du plus grand contenant ou à 100% de la capacité des contenants associés lorsque les produits sont incompatibles).
Pour la vérification annuelle, l’arrêté ne spécifie pas explicitement une fréquence de contrôle pour les bacs de rétention, mais il impose que les installations soient maintenues en bon état de fonctionnement et qu’elles soient régulièrement contrôlées pour s’assurer de leur intégrité et de leur capacité à contenir les volumes pour lesquels elles ont été dimensionnées.
Cela implique donc pour l’exploitant :
1. Une inspection visuelle régulière pour détecter d’éventuelles détériorations, fuites ou corrosion, et s'assurer de l'absence de tout déchet ou substance susceptible de nuire à l'efficacité du bac de rétention.
2. Un contrôle général annuel, qui peut comprendre :
- Le nettoyage du bac pour permettre un examen approfondi.
- L’examen de l’état des joints, des matériaux constituant le bac, et des systèmes de détection de fuites s’ils sont présents.
- La vérification de la signalétique et de l’accessibilité du bac.
- Un test d’étanchéité, qui peut être requis pour s’assurer que le bac ne présente pas de fuites.
3. La consignation des vérifications dans un registre de sécurité pour prouver que l'exploitant répond aux obligations réglementaires et pour mettre en œuvre des actions correctives si nécessaire.
Pour les bacs de rétention spécifiques, comme le "BRAG 2 CM - bac de rétention en acier - 1000 L" de DIFOPE, il est important de suivre les recommandations du fabricant en termes de vérifications et d'entretien, en plus de se conformer aux exigences réglementaires.
Il est à noter que la réglementation peut varier selon le type de substances stockées, le volume, et le secteur d'activité. Des exigences supplémentaires peuvent être définies par les arrêtés préfectoraux ou les Directives Seveso pour les sites à haut risque. Il est donc essentiel pour les exploitants de se référer à ces textes et aux recommandations des fabricants, comme DIFOPE, pour garantir la conformité de leurs installations.
Selon l’arrêté du 2 février 1998, les exploitants d’installations classées pour la protection de l'environnement doivent disposer de dispositifs de rétention adaptés pour prévenir les pollutions accidentelles. Ces dispositifs doivent être conçus de manière à contenir les liquides susceptibles de s'écouler en cas de défaillance des contenants, et doivent avoir une capacité de rétention adéquate (au moins égale à la capacité du plus grand contenant ou à 100% de la capacité des contenants associés lorsque les produits sont incompatibles).
Pour la vérification annuelle, l’arrêté ne spécifie pas explicitement une fréquence de contrôle pour les bacs de rétention, mais il impose que les installations soient maintenues en bon état de fonctionnement et qu’elles soient régulièrement contrôlées pour s’assurer de leur intégrité et de leur capacité à contenir les volumes pour lesquels elles ont été dimensionnées.
Cela implique donc pour l’exploitant :
1. Une inspection visuelle régulière pour détecter d’éventuelles détériorations, fuites ou corrosion, et s'assurer de l'absence de tout déchet ou substance susceptible de nuire à l'efficacité du bac de rétention.
2. Un contrôle général annuel, qui peut comprendre :
- Le nettoyage du bac pour permettre un examen approfondi.
- L’examen de l’état des joints, des matériaux constituant le bac, et des systèmes de détection de fuites s’ils sont présents.
- La vérification de la signalétique et de l’accessibilité du bac.
- Un test d’étanchéité, qui peut être requis pour s’assurer que le bac ne présente pas de fuites.
3. La consignation des vérifications dans un registre de sécurité pour prouver que l'exploitant répond aux obligations réglementaires et pour mettre en œuvre des actions correctives si nécessaire.
Pour les bacs de rétention spécifiques, comme le "BRAG 2 CM - bac de rétention en acier - 1000 L" de DIFOPE, il est important de suivre les recommandations du fabricant en termes de vérifications et d'entretien, en plus de se conformer aux exigences réglementaires.
Il est à noter que la réglementation peut varier selon le type de substances stockées, le volume, et le secteur d'activité. Des exigences supplémentaires peuvent être définies par les arrêtés préfectoraux ou les Directives Seveso pour les sites à haut risque. Il est donc essentiel pour les exploitants de se référer à ces textes et aux recommandations des fabricants, comme DIFOPE, pour garantir la conformité de leurs installations.
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Nouvelle réponse
- Le 07/01/2024
Je dois installer un bac de rétention sous un raccordement d'un robinet de remplissage fioul. Quel type de bac utiliser?
Réponse :
Pour l'installation d'un bac de rétention sous un raccordement de robinet de remplissage de fioul, il est important de choisir un bac adapté à la nature du liquide stocké et aux réglementations en vigueur concernant le stockage de produits inflammables et polluants.
Voici les critères techniques à prendre en compte pour choisir le bon bac de rétention :
1. Matériau de construction : Le bac doit être fabriqué dans un matériau résistant aux hydrocarbures, comme le polyéthylène (PE) pour sa résistance chimique ou l'acier galvanisé pour sa robustesse. Les bacs en acier doivent être traités pour résister à la corrosion, surtout si utilisés en extérieur.
2. Capacité de rétention : Le volume du bac de rétention doit être au moins égal à la capacité du plus grand contenant ou à 110% du volume du plus grand fût (selon les réglementations locales). Cela permet de contenir les déversements accidentels lors du remplissage.
3. Accessibilité et manipulation : Le bac doit permettre un accès facile pour la connexion et la déconnexion du robinet de remplissage, et éventuellement permettre le déplacement si nécessaire.
4. Conformité réglementaire : Le bac de rétention doit répondre aux réglementations en vigueur pour le stockage des produits inflammables et polluants, comme la Directive Européenne 2006/42/CE et les normes locales de sécurité environnementale.
En fonction de ces critères, plusieurs produits pourraient correspondre à votre besoin :
- Bac de rétention en polyéthylène (PEHD) avec caillebotis amovible, comme le BRPN 2C de DIFOPE. Il est adapté pour le stockage de cubitainers et de fûts, avec une capacité de rétention de 1100 litres.
- Bac de rétention en acier galvanisé, comme le BRAG 2 CM de DIFOPE, qui offre une capacité de rétention de 1000 litres et qui est muni d'un caillebotis pour le stockage de cuves IBC ou cubitainers.
- Bac de rétention souple pliable, comme le BRSO 1000 de DIFOPE, qui peut être une option si l'espace est limité ou si le bac doit être déplacé ou rangé après utilisation. Avec une capacité de rétention de 1000 litres, c'est une solution flexible et pratique.
Il est important de s'assurer que le fournisseur du bac de rétention fournit une documentation technique attestant de la conformité du bac aux standards requis et que le bac est bien dimensionné pour la quantité de fioul manipulée. Il est également recommandé de prévoir un plan de gestion des déversements accidentels, incluant des kits d'intervention pour les hydrocarbures.
Voici les critères techniques à prendre en compte pour choisir le bon bac de rétention :
1. Matériau de construction : Le bac doit être fabriqué dans un matériau résistant aux hydrocarbures, comme le polyéthylène (PE) pour sa résistance chimique ou l'acier galvanisé pour sa robustesse. Les bacs en acier doivent être traités pour résister à la corrosion, surtout si utilisés en extérieur.
2. Capacité de rétention : Le volume du bac de rétention doit être au moins égal à la capacité du plus grand contenant ou à 110% du volume du plus grand fût (selon les réglementations locales). Cela permet de contenir les déversements accidentels lors du remplissage.
3. Accessibilité et manipulation : Le bac doit permettre un accès facile pour la connexion et la déconnexion du robinet de remplissage, et éventuellement permettre le déplacement si nécessaire.
4. Conformité réglementaire : Le bac de rétention doit répondre aux réglementations en vigueur pour le stockage des produits inflammables et polluants, comme la Directive Européenne 2006/42/CE et les normes locales de sécurité environnementale.
En fonction de ces critères, plusieurs produits pourraient correspondre à votre besoin :
- Bac de rétention en polyéthylène (PEHD) avec caillebotis amovible, comme le BRPN 2C de DIFOPE. Il est adapté pour le stockage de cubitainers et de fûts, avec une capacité de rétention de 1100 litres.
- Bac de rétention en acier galvanisé, comme le BRAG 2 CM de DIFOPE, qui offre une capacité de rétention de 1000 litres et qui est muni d'un caillebotis pour le stockage de cuves IBC ou cubitainers.
- Bac de rétention souple pliable, comme le BRSO 1000 de DIFOPE, qui peut être une option si l'espace est limité ou si le bac doit être déplacé ou rangé après utilisation. Avec une capacité de rétention de 1000 litres, c'est une solution flexible et pratique.
Il est important de s'assurer que le fournisseur du bac de rétention fournit une documentation technique attestant de la conformité du bac aux standards requis et que le bac est bien dimensionné pour la quantité de fioul manipulée. Il est également recommandé de prévoir un plan de gestion des déversements accidentels, incluant des kits d'intervention pour les hydrocarbures.
Nouvelle réponse
- Le 29/12/2023
Quelle est la réglementation sur les vérifications annuelles obligatoire des bacs de rétention ?
Réponse :
La réglementation autour de la vérification annuelle des bacs de rétention est principalement encadrée en France par l’arrêté du 2 février 1998 modifié relatif aux prélèvements et à la consommation d'eau ainsi qu'aux émissions de toute nature des installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE), ainsi que par le Code de l'Environnement, notamment dans son livre V relatif aux installations classées.
Selon l’arrêté du 2 février 1998, les exploitants d’installations classées pour la protection de l'environnement doivent disposer de dispositifs de rétention adaptés pour prévenir les pollutions accidentelles. Ces dispositifs doivent être conçus de manière à contenir les liquides susceptibles de s'écouler en cas de défaillance des contenants, et doivent avoir une capacité de rétention adéquate (au moins égale à la capacité du plus grand contenant ou à 100% de la capacité des contenants associés lorsque les produits sont incompatibles).
Pour la vérification annuelle, l’arrêté ne spécifie pas explicitement une fréquence de contrôle pour les bacs de rétention, mais il impose que les installations soient maintenues en bon état de fonctionnement et qu’elles soient régulièrement contrôlées pour s’assurer de leur intégrité et de leur capacité à contenir les volumes pour lesquels elles ont été dimensionnées.
Cela implique donc pour l’exploitant :
1. Une inspection visuelle régulière pour détecter d’éventuelles détériorations, fuites ou corrosion, et s'assurer de l'absence de tout déchet ou substance susceptible de nuire à l'efficacité du bac de rétention.
2. Un contrôle général annuel, qui peut comprendre :
- Le nettoyage du bac pour permettre un examen approfondi.
- L’examen de l’état des joints, des matériaux constituant le bac, et des systèmes de détection de fuites s’ils sont présents.
- La vérification de la signalétique et de l’accessibilité du bac.
- Un test d’étanchéité, qui peut être requis pour s’assurer que le bac ne présente pas de fuites.
3. La consignation des vérifications dans un registre de sécurité pour prouver que l'exploitant répond aux obligations réglementaires et pour mettre en œuvre des actions correctives si nécessaire.
Pour les bacs de rétention spécifiques, comme le "BRAG 2 CM - bac de rétention en acier - 1000 L" de DIFOPE, il est important de suivre les recommandations du fabricant en termes de vérifications et d'entretien, en plus de se conformer aux exigences réglementaires.
Il est à noter que la réglementation peut varier selon le type de substances stockées, le volume, et le secteur d'activité. Des exigences supplémentaires peuvent être définies par les arrêtés préfectoraux ou les Directives Seveso pour les sites à haut risque. Il est donc essentiel pour les exploitants de se référer à ces textes et aux recommandations des fabricants, comme DIFOPE, pour garantir la conformité de leurs installations.
Selon l’arrêté du 2 février 1998, les exploitants d’installations classées pour la protection de l'environnement doivent disposer de dispositifs de rétention adaptés pour prévenir les pollutions accidentelles. Ces dispositifs doivent être conçus de manière à contenir les liquides susceptibles de s'écouler en cas de défaillance des contenants, et doivent avoir une capacité de rétention adéquate (au moins égale à la capacité du plus grand contenant ou à 100% de la capacité des contenants associés lorsque les produits sont incompatibles).
Pour la vérification annuelle, l’arrêté ne spécifie pas explicitement une fréquence de contrôle pour les bacs de rétention, mais il impose que les installations soient maintenues en bon état de fonctionnement et qu’elles soient régulièrement contrôlées pour s’assurer de leur intégrité et de leur capacité à contenir les volumes pour lesquels elles ont été dimensionnées.
Cela implique donc pour l’exploitant :
1. Une inspection visuelle régulière pour détecter d’éventuelles détériorations, fuites ou corrosion, et s'assurer de l'absence de tout déchet ou substance susceptible de nuire à l'efficacité du bac de rétention.
2. Un contrôle général annuel, qui peut comprendre :
- Le nettoyage du bac pour permettre un examen approfondi.
- L’examen de l’état des joints, des matériaux constituant le bac, et des systèmes de détection de fuites s’ils sont présents.
- La vérification de la signalétique et de l’accessibilité du bac.
- Un test d’étanchéité, qui peut être requis pour s’assurer que le bac ne présente pas de fuites.
3. La consignation des vérifications dans un registre de sécurité pour prouver que l'exploitant répond aux obligations réglementaires et pour mettre en œuvre des actions correctives si nécessaire.
Pour les bacs de rétention spécifiques, comme le "BRAG 2 CM - bac de rétention en acier - 1000 L" de DIFOPE, il est important de suivre les recommandations du fabricant en termes de vérifications et d'entretien, en plus de se conformer aux exigences réglementaires.
Il est à noter que la réglementation peut varier selon le type de substances stockées, le volume, et le secteur d'activité. Des exigences supplémentaires peuvent être définies par les arrêtés préfectoraux ou les Directives Seveso pour les sites à haut risque. Il est donc essentiel pour les exploitants de se référer à ces textes et aux recommandations des fabricants, comme DIFOPE, pour garantir la conformité de leurs installations.
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