Produit
BION AC ACTIVE MAX
Média filtrant - BIOCONSERVACION®
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Description
BION® AC ACTIVE MAX est un charbon actif vierge d'anthracite ne comprenant pas d'imprégnation avec une capacité d'absorption de 50% CTC, il est activé thermiquement afin d'obtenir une grande surface d'action lui conférant une meilleure efficacité d'absorption.
BION® AC ACTIVE MAX est conçu pour éliminer les hydrocarbures, le toluène, les terpènes et autres COV. Ses atouts majeurs sont son faible taux en poudre, sa grande surface d'action et sa très bonne capacité d'élimination des gaz.
Dans les systèmes à lits multiples, il agit comme un filtre de raffinage afin d'éliminer les COV à haut poids moléculaire.
Type de produit
Ce produit a été créé et référencé pour le bon fonctionnement de la plateforme
Questions / Actualités
Questions
Nouvelle réponse
- Le 17/04/2024
Quel est le rôle des micro-organismes dans l'oxydation biologique des Composés Organiques Volatils?
Réponse :
L'oxydation biologique des Composés Organiques Volatils (COV) est un processus de dégradation des polluants organiques par l'action de micro-organismes spécifiques, souvent des bactéries, mais parfois aussi des champignons. Ce processus est communément utilisé dans le traitement de l'air chargé en COV pour réduire les émissions de substances polluantes dans l'atmosphère. Voici une explication technique du rôle des micro-organismes dans ce processus :
1. Adsorption des COV: Les COV présents dans l'air sont d'abord adsorbés à la surface d'un support solide, généralement un matériau poreux comme la laine de roche, le plastique structuré ou le charbon actif, dans un biofiltre ou un bioréacteur. Cette étape facilite l'accès des micro-organismes aux polluants.
2. Métabolisme microbien: Les micro-organismes présents dans le biofiltre utilisent les COV comme source de carbone et d'énergie pour leur croissance et leur reproduction. Ils produisent des enzymes spécifiques qui catalysent la transformation des COV en métabolites intermédiaires.
3. Oxydation des COV: Les COV sont progressivement oxydés par ces enzymes dans des réactions biochimiques successives. Le processus se déroule généralement en plusieurs étapes, où les COV sont transformés en alcools, aldéhydes ou acides, puis en composés plus simples comme le CO2 et l'eau, qui sont des produits finaux non toxiques.
4. Régénération du support: Les micro-organismes peuvent également dégrader les produits intermédiaires accumulés sur le support, ce qui permet de régénérer le matériau et de maintenir l'efficacité du biofiltre.
5. Facteurs environnementaux: Le succès de l'oxydation biologique dépend de facteurs tels que la température, le pH, l'humidité et la disponibilité de nutriments. Les conditions environnementales doivent être optimisées pour favoriser l'activité et la croissance des micro-organismes.
Produits liés au traitement de l'air chargé en COV qui utilisent l'oxydation biologique :
- Biofiltres: Ces systèmes contiennent des matériaux support où les micro-organismes se développent. L'air contaminé par les COV passe à travers le biofiltre, où il est purifié biologiquement.
- Bioréacteurs: Ces dispositifs sont des versions plus contrôlées des biofiltres. Ils peuvent être conçus sous la forme de réacteurs à lit fixe, à lit fluidisé ou à membrane, où les conditions de croissance des micro-organismes sont étroitement régulées.
- Médias filtrants spécialisés: Certains médias filtrants sont conçus pour améliorer l'efficacité des processus biologiques, comme le charbon actif imprégné qui peut servir de site d'adsorption et de croissance pour les micro-organismes.
La sélection des micro-organismes et la conception du système de traitement doivent être adaptées au type et à la concentration des COV à traiter, ainsi qu'aux conditions opérationnelles spécifiques de l'installation.
1. Adsorption des COV: Les COV présents dans l'air sont d'abord adsorbés à la surface d'un support solide, généralement un matériau poreux comme la laine de roche, le plastique structuré ou le charbon actif, dans un biofiltre ou un bioréacteur. Cette étape facilite l'accès des micro-organismes aux polluants.
2. Métabolisme microbien: Les micro-organismes présents dans le biofiltre utilisent les COV comme source de carbone et d'énergie pour leur croissance et leur reproduction. Ils produisent des enzymes spécifiques qui catalysent la transformation des COV en métabolites intermédiaires.
3. Oxydation des COV: Les COV sont progressivement oxydés par ces enzymes dans des réactions biochimiques successives. Le processus se déroule généralement en plusieurs étapes, où les COV sont transformés en alcools, aldéhydes ou acides, puis en composés plus simples comme le CO2 et l'eau, qui sont des produits finaux non toxiques.
4. Régénération du support: Les micro-organismes peuvent également dégrader les produits intermédiaires accumulés sur le support, ce qui permet de régénérer le matériau et de maintenir l'efficacité du biofiltre.
5. Facteurs environnementaux: Le succès de l'oxydation biologique dépend de facteurs tels que la température, le pH, l'humidité et la disponibilité de nutriments. Les conditions environnementales doivent être optimisées pour favoriser l'activité et la croissance des micro-organismes.
Produits liés au traitement de l'air chargé en COV qui utilisent l'oxydation biologique :
- Biofiltres: Ces systèmes contiennent des matériaux support où les micro-organismes se développent. L'air contaminé par les COV passe à travers le biofiltre, où il est purifié biologiquement.
- Bioréacteurs: Ces dispositifs sont des versions plus contrôlées des biofiltres. Ils peuvent être conçus sous la forme de réacteurs à lit fixe, à lit fluidisé ou à membrane, où les conditions de croissance des micro-organismes sont étroitement régulées.
- Médias filtrants spécialisés: Certains médias filtrants sont conçus pour améliorer l'efficacité des processus biologiques, comme le charbon actif imprégné qui peut servir de site d'adsorption et de croissance pour les micro-organismes.
La sélection des micro-organismes et la conception du système de traitement doivent être adaptées au type et à la concentration des COV à traiter, ainsi qu'aux conditions opérationnelles spécifiques de l'installation.
Nouvelle réponse
- Le 10/04/2024
Comment l'adsorption utilise-t-elle des matériaux poreux pour la récupération efficace des COV?
Réponse :
L'adsorption est un processus de séparation physique où des molécules de gaz ou de liquide (adsorbat) adhèrent à la surface d'un matériau solide poreux (adsorbant). Pour la récupération des composés organiques volatils (COV), ce processus utilise des matériaux poreux tels que le charbon actif, les zéolithes, ou d'autres substrats spécialisés pour capturer efficacement les COV présents dans un flux gazeux.
La performance de l'adsorption dépend de plusieurs facteurs clés, tels que:
1. La surface spécifique du matériau: Les matériaux poreux comme le charbon actif ont une très grande surface interne par unité de masse. Cette grande surface permet une adsorption maximale des COV. Des produits tels que BION AC, BION AC ACTIVE, ou BION AC CTC 50 sont des exemples de charbon actif avec différentes capacités d'absorption (CTC) qui offrent une surface d'action étendue pour l'élimination des COV.
2. La porosité: Les matériaux adsorbants possèdent des pores de tailles variées qui peuvent attraper et retenir les molécules de COV. La distribution des tailles de pores doit être adaptée aux molécules cibles pour une efficacité optimale.
3. Les affinités chimiques: Certains matériaux adsorbants peuvent être imprégnés avec des substances chimiques pour améliorer l'adsorption de certains COV spécifiques. Par exemple, les médias filtrants imprégnés tels que ceux de la série BION (BION AC MAX, BION AC ACTIVE MAX) peuvent offrir une adsorption sélective pour des COV spécifiques grâce à leur traitement spécialisé.
4. Les conditions opérationnelles: La température, la pression, et l'humidité du flux gazeux peuvent influencer la capacité d'adsorption des COV. Une gestion appropriée de ces conditions est cruciale pour maximiser l'efficacité de l'adsorption.
5. La régénération: Après saturation, les matériaux adsorbants peuvent souvent être régénérés par des méthodes thermiques ou par des variations de pression (comme dans les processus de Swing Adsorption sous Pression ou Pressure Swing Adsorption - PSA), permettant leur réutilisation. La régénération est un aspect important de l'économie du processus d'adsorption.
En pratique, les dispositifs tels que les adsorbeurs à lit fixe, à lit mobile ou les colonnes d'adsorption sont chargés avec des matériaux adsorbants et sont utilisés pour traiter des flux d'air chargés en COV. Le flux d'air passe à travers le lit d'adsorbant où les COV sont capturés à la surface des matériaux. Les dispositifs comme les Drum Scrubber peuvent être utilisés pour éliminer un large éventail de composés odorants et de COV en utilisant des médias filtrants adaptés.
En résumé, l'adsorption utilise la capacité des matériaux poreux à capturer les COV sur leur surface interne, ce qui permet de purifier l'air ou de récupérer les COV pour leur traitement ultérieur ou leur réutilisation. Pour une récupération efficace, le choix du matériau adsorbant, la gestion des conditions opérationnelles et la possibilité de régénération du matériau sont des éléments déterminants.
La performance de l'adsorption dépend de plusieurs facteurs clés, tels que:
1. La surface spécifique du matériau: Les matériaux poreux comme le charbon actif ont une très grande surface interne par unité de masse. Cette grande surface permet une adsorption maximale des COV. Des produits tels que BION AC, BION AC ACTIVE, ou BION AC CTC 50 sont des exemples de charbon actif avec différentes capacités d'absorption (CTC) qui offrent une surface d'action étendue pour l'élimination des COV.
2. La porosité: Les matériaux adsorbants possèdent des pores de tailles variées qui peuvent attraper et retenir les molécules de COV. La distribution des tailles de pores doit être adaptée aux molécules cibles pour une efficacité optimale.
3. Les affinités chimiques: Certains matériaux adsorbants peuvent être imprégnés avec des substances chimiques pour améliorer l'adsorption de certains COV spécifiques. Par exemple, les médias filtrants imprégnés tels que ceux de la série BION (BION AC MAX, BION AC ACTIVE MAX) peuvent offrir une adsorption sélective pour des COV spécifiques grâce à leur traitement spécialisé.
4. Les conditions opérationnelles: La température, la pression, et l'humidité du flux gazeux peuvent influencer la capacité d'adsorption des COV. Une gestion appropriée de ces conditions est cruciale pour maximiser l'efficacité de l'adsorption.
5. La régénération: Après saturation, les matériaux adsorbants peuvent souvent être régénérés par des méthodes thermiques ou par des variations de pression (comme dans les processus de Swing Adsorption sous Pression ou Pressure Swing Adsorption - PSA), permettant leur réutilisation. La régénération est un aspect important de l'économie du processus d'adsorption.
En pratique, les dispositifs tels que les adsorbeurs à lit fixe, à lit mobile ou les colonnes d'adsorption sont chargés avec des matériaux adsorbants et sont utilisés pour traiter des flux d'air chargés en COV. Le flux d'air passe à travers le lit d'adsorbant où les COV sont capturés à la surface des matériaux. Les dispositifs comme les Drum Scrubber peuvent être utilisés pour éliminer un large éventail de composés odorants et de COV en utilisant des médias filtrants adaptés.
En résumé, l'adsorption utilise la capacité des matériaux poreux à capturer les COV sur leur surface interne, ce qui permet de purifier l'air ou de récupérer les COV pour leur traitement ultérieur ou leur réutilisation. Pour une récupération efficace, le choix du matériau adsorbant, la gestion des conditions opérationnelles et la possibilité de régénération du matériau sont des éléments déterminants.
Nouvelle réponse
- Le 28/02/2024
Quel est le processus de traitement des eaux de fond de cale?
Réponse :
Le traitement des eaux de fond de cale, qui sont des eaux accumulées dans la partie la plus basse des navires, implique plusieurs étapes pour séparer l'eau des hydrocarbures et autres contaminants avant de pouvoir être déchargée dans l'environnement marin ou traitée plus en détail à terre. Voici un aperçu technique du processus, en mentionnant également des produits qui pourraient être utilisés à chaque étape :
1. **Séparation grossière** :
Les eaux de fond de cale contiennent souvent un mélange d'huile, d'eau et de solides. La première étape consiste à séparer les solides et les fluides plus lourds tels que les boues d'huile. Cela peut être réalisé par des décanteurs ou des séparateurs gravitaires. Des équipements comme les séparateurs d'hydrocarbures OILSTOP peuvent être utilisés ici pour empêcher les hydrocarbures de passer à l'étape suivante.
2. **Séparation fine** :
Ensuite, un séparateur d'eau de cale (OWS - Oily Water Separator) est utilisé pour retirer davantage d'huile de l'eau. Les OWS utilisent souvent une combinaison de techniques telles que la coalescence (force les gouttelettes d'huile à fusionner et à se séparer de l'eau) et la centrifugation (utilise la force centrifuge pour séparer les huiles de densité supérieure). Des produits comme le séparateur d'hydrocarbures OILSPY peuvent détecter la présence d'hydrocarbures et déclencher une alarme en cas de pollution accidentelle.
3. **Surveillance de la qualité de l'eau** :
Avant que l'eau ne puisse être rejetée, sa qualité doit être surveillée pour s'assurer qu'elle répond aux normes réglementaires concernant la teneur en hydrocarbures. Des analyseurs comme l'ULTRAMAT 23 ou des stations de mesure de la qualité de l'air comme le Kunak AIR Pro, bien qu'ils soient principalement utilisés pour l'air, peuvent offrir des technologies similaires adaptées pour surveiller les émissions dans l'eau.
4. **Traitement final** :
Pour une élimination complète des hydrocarbures et des contaminants restants, des traitements supplémentaires tels que l'adsorption par charbon actif, la filtration membranaire, ou l'oxydation avancée peuvent être nécessaires. Des produits comme les médias filtrants BION AC MAX ou BION AC ACTIVE MAX pourraient être employés pour éliminer les dernières traces d'hydrocarbures de l'eau.
5. **Surveillance et contrôle** :
Un détecteur d'hydrocarbures tel que le 4100-HCF peut surveiller la présence d'hydrocarbures à la sortie de l'eau traitée. Si des hydrocarbures sont détectés, le détecteur peut déclencher un système de fermeture ou d'alarme pour empêcher la décharge d'eau contaminée.
6. **Décharge ou recyclage** :
Une fois l'eau traitée et conforme aux normes réglementaires, elle peut être déchargée dans l'environnement marin ou transférée à des installations à terre pour un traitement plus approfondi ou un recyclage.
Il est important de noter que l'efficacité de chaque étape dépend de la conformité des équipements aux réglementations en vigueur, telles que la Convention internationale pour la prévention de la pollution par les navires (MARPOL) Annexe I, qui établit des limites strictes pour la teneur en hydrocarbures des eaux de cale pouvant être rejetées en mer.
1. **Séparation grossière** :
Les eaux de fond de cale contiennent souvent un mélange d'huile, d'eau et de solides. La première étape consiste à séparer les solides et les fluides plus lourds tels que les boues d'huile. Cela peut être réalisé par des décanteurs ou des séparateurs gravitaires. Des équipements comme les séparateurs d'hydrocarbures OILSTOP peuvent être utilisés ici pour empêcher les hydrocarbures de passer à l'étape suivante.
2. **Séparation fine** :
Ensuite, un séparateur d'eau de cale (OWS - Oily Water Separator) est utilisé pour retirer davantage d'huile de l'eau. Les OWS utilisent souvent une combinaison de techniques telles que la coalescence (force les gouttelettes d'huile à fusionner et à se séparer de l'eau) et la centrifugation (utilise la force centrifuge pour séparer les huiles de densité supérieure). Des produits comme le séparateur d'hydrocarbures OILSPY peuvent détecter la présence d'hydrocarbures et déclencher une alarme en cas de pollution accidentelle.
3. **Surveillance de la qualité de l'eau** :
Avant que l'eau ne puisse être rejetée, sa qualité doit être surveillée pour s'assurer qu'elle répond aux normes réglementaires concernant la teneur en hydrocarbures. Des analyseurs comme l'ULTRAMAT 23 ou des stations de mesure de la qualité de l'air comme le Kunak AIR Pro, bien qu'ils soient principalement utilisés pour l'air, peuvent offrir des technologies similaires adaptées pour surveiller les émissions dans l'eau.
4. **Traitement final** :
Pour une élimination complète des hydrocarbures et des contaminants restants, des traitements supplémentaires tels que l'adsorption par charbon actif, la filtration membranaire, ou l'oxydation avancée peuvent être nécessaires. Des produits comme les médias filtrants BION AC MAX ou BION AC ACTIVE MAX pourraient être employés pour éliminer les dernières traces d'hydrocarbures de l'eau.
5. **Surveillance et contrôle** :
Un détecteur d'hydrocarbures tel que le 4100-HCF peut surveiller la présence d'hydrocarbures à la sortie de l'eau traitée. Si des hydrocarbures sont détectés, le détecteur peut déclencher un système de fermeture ou d'alarme pour empêcher la décharge d'eau contaminée.
6. **Décharge ou recyclage** :
Une fois l'eau traitée et conforme aux normes réglementaires, elle peut être déchargée dans l'environnement marin ou transférée à des installations à terre pour un traitement plus approfondi ou un recyclage.
Il est important de noter que l'efficacité de chaque étape dépend de la conformité des équipements aux réglementations en vigueur, telles que la Convention internationale pour la prévention de la pollution par les navires (MARPOL) Annexe I, qui établit des limites strictes pour la teneur en hydrocarbures des eaux de cale pouvant être rejetées en mer.
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