Produit
BIO-SULFURIX™
Laveur biologique du biogaz - GWE®
Demandez un devis pour le BIO-SULFURIX™ ou une solution équivalente
Demander un devis
Description
Le BIO-SULFURIX™ est un système de lavage biologique innovant et économique pour l'élimination du sulfure d'hydrogène dans le biogaz. Protégeant les chaudières et les moteurs contre la corrosion et les défaillances prématurées, cette solution durable ne nécessite ni produits chimiques ni remplacement coûteux du média. Grâce à sa construction en matériaux anti-corrosion, le BIO-SULFURIX™ offre une longue durée de vie et une performance optimale pour les entreprises soucieuses de l'environnement.
Type de produit
Ce produit a été créé et référencé pour le bon fonctionnement de la plateforme
Questions / Actualités
Questions
Nouvelle réponse
- Le 28/05/2024
Quels sont les besoins de formation pour les exploitants d'une unité de traitement et de valorisation du biogaz pour assurer une opérationnel efficace?
Réponse :
Les exploitants d'une unité de traitement et de valorisation du biogaz doivent posséder une compréhension approfondie des processus biologiques, chimiques et mécaniques impliqués dans la production, le traitement et l'utilisation du biogaz. Voici les principaux besoins de formation pour garantir une exploitation efficace et sécurisée de l'installation :
1. **Compréhension de la biométhanisation** : Formation sur les principes de la digestion anaérobie, les substrats utilisables, les paramètres opérationnels (température, pH, temps de rétention), et les facteurs affectant la production de biogaz.
2. **Opération des équipements** : Formation pratique sur l'utilisation et la maintenance des équipements spécifiques à l'unité de biogaz, tels que les agitateurs (comme ceux de LUMPP®), les pompes à cavités progressives (telles que PCM EcoMoineau™ M ou MX), les systèmes de désulfuration (comme SULFURIX™ ou BIO-SULFURIX™), les systèmes de séchage (GASODRIX™), et les analyseurs de gaz (comme le MCA 100 Bio ou l’ETG 6500).
3. **Sécurité et ATEX** : Formation sur les normes de sécurité, la prévention des risques d'explosion (zones ATEX), et la manipulation sécurisée des gaz inflammables et des produits chimiques.
4. **Surveillance et contrôle du processus** : Formation à l'utilisation des systèmes de contrôle et de mesure, y compris les analyseurs de gaz (tels que MCA 100 Bio P ou XTP601-EX1), et l'interprétation des données pour optimiser la production de biogaz et l'efficacité du système.
5. **Maintenance préventive et corrective** : Connaissance des procédures de maintenance régulière pour les équipements et les systèmes, y compris les surpresseurs et compresseurs (AERZEN), pour prévenir les défaillances et les arrêts non planifiés.
6. **Gestion des sous-produits** : Formation sur la manipulation et la valorisation des digestats, la réglementation environnementale, et les options de gestion des déchets solides.
7. **Valorisation du biogaz** : Connaissance des différentes technologies de valorisation du biogaz, telles que la production d'électricité via des groupes électrogènes, la purification en biométhane, ou l'utilisation comme combustible pour véhicules.
8. **Normes réglementaires et environnementales** : Compréhension des législations locales et internationales qui régissent la production et l'utilisation du biogaz, y compris les normes d'émission, les certificats d'énergie, et les subventions.
9. **Gestion opérationnelle et économique** : Formation sur la gestion d’une unité de biogaz, y compris la planification des opérations, le suivi des coûts, et la réalisation d'audits énergétiques.
10. **Formation continue et mise à jour des compétences** : Les exploitants doivent être formés sur les dernières technologies et meilleures pratiques à travers des séminaires, des webinaires, et des cours spécialisés pour rester à la pointe du secteur.
Des programmes de formation certifiés et des ateliers pratiques fournis par des fabricants d'équipements ou des associations professionnelles peuvent être très utiles pour assurer que les opérateurs disposent des compétences nécessaires pour gérer efficacement une unité de biogaz. Des visites de sites existants et des études de cas peuvent également compléter la formation théorique.
1. **Compréhension de la biométhanisation** : Formation sur les principes de la digestion anaérobie, les substrats utilisables, les paramètres opérationnels (température, pH, temps de rétention), et les facteurs affectant la production de biogaz.
2. **Opération des équipements** : Formation pratique sur l'utilisation et la maintenance des équipements spécifiques à l'unité de biogaz, tels que les agitateurs (comme ceux de LUMPP®), les pompes à cavités progressives (telles que PCM EcoMoineau™ M ou MX), les systèmes de désulfuration (comme SULFURIX™ ou BIO-SULFURIX™), les systèmes de séchage (GASODRIX™), et les analyseurs de gaz (comme le MCA 100 Bio ou l’ETG 6500).
3. **Sécurité et ATEX** : Formation sur les normes de sécurité, la prévention des risques d'explosion (zones ATEX), et la manipulation sécurisée des gaz inflammables et des produits chimiques.
4. **Surveillance et contrôle du processus** : Formation à l'utilisation des systèmes de contrôle et de mesure, y compris les analyseurs de gaz (tels que MCA 100 Bio P ou XTP601-EX1), et l'interprétation des données pour optimiser la production de biogaz et l'efficacité du système.
5. **Maintenance préventive et corrective** : Connaissance des procédures de maintenance régulière pour les équipements et les systèmes, y compris les surpresseurs et compresseurs (AERZEN), pour prévenir les défaillances et les arrêts non planifiés.
6. **Gestion des sous-produits** : Formation sur la manipulation et la valorisation des digestats, la réglementation environnementale, et les options de gestion des déchets solides.
7. **Valorisation du biogaz** : Connaissance des différentes technologies de valorisation du biogaz, telles que la production d'électricité via des groupes électrogènes, la purification en biométhane, ou l'utilisation comme combustible pour véhicules.
8. **Normes réglementaires et environnementales** : Compréhension des législations locales et internationales qui régissent la production et l'utilisation du biogaz, y compris les normes d'émission, les certificats d'énergie, et les subventions.
9. **Gestion opérationnelle et économique** : Formation sur la gestion d’une unité de biogaz, y compris la planification des opérations, le suivi des coûts, et la réalisation d'audits énergétiques.
10. **Formation continue et mise à jour des compétences** : Les exploitants doivent être formés sur les dernières technologies et meilleures pratiques à travers des séminaires, des webinaires, et des cours spécialisés pour rester à la pointe du secteur.
Des programmes de formation certifiés et des ateliers pratiques fournis par des fabricants d'équipements ou des associations professionnelles peuvent être très utiles pour assurer que les opérateurs disposent des compétences nécessaires pour gérer efficacement une unité de biogaz. Des visites de sites existants et des études de cas peuvent également compléter la formation théorique.
Nouvelle réponse
- Le 01/02/2024
Pour stabiliser une réaction chimique, mon client emploi de l'H2S. A la fin du process, il pousse hors du réacteur l'H2S avec de l'azote. Je recherche un systeme qui permettrait de séparer l'H2S et l'azote et ensuite qui reconditionnerait l'H
Réponse :
Pour séparer le sulfure d'hydrogène (H2S) de l'azote (N2) après une réaction chimique, il existe plusieurs méthodes de séparation gaz-gaz, chacune avec ses avantages et inconvénients. Voici deux approches techniques qui peuvent être utilisées pour un tel processus :
1. Absorption chimique ou physique : Cette méthode implique de faire passer le mélange de gaz à travers une solution absorbante qui réagit sélectivement avec l'H2S ou le dissout préférentiellement par rapport à l'azote. Dans le cas de l'absorption chimique, des solutions à base d'amines comme la monoéthanolamine (MEA) ou la diéthanolamine (DEA) peuvent être utilisées pour réagir avec l'H2S et le retirer du flux de gaz. L'absorption physique peut être réalisée avec des solvants comme le méthanol ou le diméthyléther de polyéthylène glycol (Selexol™) qui dissolvent sélectivement l'H2S. Après absorption, l'H2S peut être desorbé par augmentation de température ou réduction de pression et ensuite reconditionné.
2. Adsorption sur charbon actif ou zéolite : Cette méthode utilise des matériaux poreux comme les tamis moléculaires (zéolites) ou le charbon actif pour adsorber sélectivement l'H2S. Les zéolites peuvent être choisies pour leur sélectivité envers l'H2S sur la base de la taille de leur pore et de leur affinité chimique. Après adsorption, l'H2S peut être desorbé par un changement de pression (swing de pression) ou par purge thermique (augmentation de température) et récupéré.
Pour le reconditionnement de l'H2S, il faut prendre en compte les spécifications de pureté requises pour sa réutilisation. Le gaz reconditionné peut nécessiter une épuration supplémentaire pour éliminer toute trace de solvant ou d'autres impuretés. Des équipements comme des colonnes de distillation ou des unités de purification par membrane peuvent être ajoutés au processus de reconditionnement.
Des produits tels que l'APNA-370 de la liste fournie peuvent être utilisés pour surveiller en continu la concentration de NO, NO2 et NOx (et NH3 en option), mais ils ne sont pas spécifiquement conçus pour séparer l'H2S de l'azote. Il serait pertinent de chercher des absorbeurs de gaz, des adsorbeurs ou des systèmes de traitement du biogaz comme le BIO-SULFURIX™ pour l'élimination biologique de l'H2S, bien que ces derniers soient généralement utilisés dans le traitement du biogaz plutôt que dans des processus chimiques industriels spécifiques.
En résumé, le choix du système dépendra de la capacité nécessaire, des exigences de pureté, des considérations économiques (comme le coût des consommables et la maintenance) et de l'intégration avec le reste du processus de production. Il serait judicieux de consulter des fournisseurs spécialisés dans le traitement des gaz industriels pour obtenir une solution sur mesure qui répond aux besoins spécifiques de votre client.
1. Absorption chimique ou physique : Cette méthode implique de faire passer le mélange de gaz à travers une solution absorbante qui réagit sélectivement avec l'H2S ou le dissout préférentiellement par rapport à l'azote. Dans le cas de l'absorption chimique, des solutions à base d'amines comme la monoéthanolamine (MEA) ou la diéthanolamine (DEA) peuvent être utilisées pour réagir avec l'H2S et le retirer du flux de gaz. L'absorption physique peut être réalisée avec des solvants comme le méthanol ou le diméthyléther de polyéthylène glycol (Selexol™) qui dissolvent sélectivement l'H2S. Après absorption, l'H2S peut être desorbé par augmentation de température ou réduction de pression et ensuite reconditionné.
2. Adsorption sur charbon actif ou zéolite : Cette méthode utilise des matériaux poreux comme les tamis moléculaires (zéolites) ou le charbon actif pour adsorber sélectivement l'H2S. Les zéolites peuvent être choisies pour leur sélectivité envers l'H2S sur la base de la taille de leur pore et de leur affinité chimique. Après adsorption, l'H2S peut être desorbé par un changement de pression (swing de pression) ou par purge thermique (augmentation de température) et récupéré.
Pour le reconditionnement de l'H2S, il faut prendre en compte les spécifications de pureté requises pour sa réutilisation. Le gaz reconditionné peut nécessiter une épuration supplémentaire pour éliminer toute trace de solvant ou d'autres impuretés. Des équipements comme des colonnes de distillation ou des unités de purification par membrane peuvent être ajoutés au processus de reconditionnement.
Des produits tels que l'APNA-370 de la liste fournie peuvent être utilisés pour surveiller en continu la concentration de NO, NO2 et NOx (et NH3 en option), mais ils ne sont pas spécifiquement conçus pour séparer l'H2S de l'azote. Il serait pertinent de chercher des absorbeurs de gaz, des adsorbeurs ou des systèmes de traitement du biogaz comme le BIO-SULFURIX™ pour l'élimination biologique de l'H2S, bien que ces derniers soient généralement utilisés dans le traitement du biogaz plutôt que dans des processus chimiques industriels spécifiques.
En résumé, le choix du système dépendra de la capacité nécessaire, des exigences de pureté, des considérations économiques (comme le coût des consommables et la maintenance) et de l'intégration avec le reste du processus de production. Il serait judicieux de consulter des fournisseurs spécialisés dans le traitement des gaz industriels pour obtenir une solution sur mesure qui répond aux besoins spécifiques de votre client.
Nouvelle réponse
- Le 29/12/2023
Quel est le rôle du Centre technique national du biogaz et de la méthanisation (CTBM) dans le développement de la filière de méthanisation ?
Réponse :
Le Centre technique national du biogaz et de la méthanisation (CTBM) joue un rôle crucial dans le développement et la promotion de la filière de méthanisation en France. Le CTBM agit comme un catalyseur pour l'amélioration des pratiques et l'innovation technologique, soutenant ainsi le secteur du biogaz à travers plusieurs axes d'intervention:
1. Recherche et développement (R&D) : Le CTBM contribue à la recherche appliquée et au développement de nouvelles technologies ou de l'amélioration des technologies existantes. Il peut, par exemple, participer à des projets de recherche sur l'optimisation des processus de digestion anaérobie ou sur le développement de nouveaux équipements comme les analyseurs de biogaz (par exemple le modèle ETG 6500 ou MCA 100 Bio de la liste de produits), qui sont essentiels pour le contrôle et l'optimisation des installations de méthanisation.
2. Support technique et expertise : Offrant une assistance technique aux acteurs de la filière, le CTBM peut aider à la conception, à l'exploitation et à l'optimisation des installations de méthanisation. Il peut également apporter son expertise en matière de réglementation, de normes de sécurité et d'impact environnemental.
3. Formation et transfert de connaissances : Le CTBM joue un rôle éducatif important en formant les opérateurs, techniciens, ingénieurs et autres professionnels du secteur. Les formations peuvent couvrir divers aspects de la méthanisation, de la gestion des substrats à l'entretien des équipements tels que les pompes (par exemple la pompe péristaltique PCM Delasco™ DX ou la pompe à cavités progressives PCM EcoMoineau™ M).
4. Promotion de la filière et communication : Le CTBM travaille à la sensibilisation et à la promotion des avantages de la méthanisation en tant que source d'énergie renouvelable et de valorisation des déchets. Il peut organiser des événements, publier des études de cas ou des rapports qui mettent en avant les succès et les défis du secteur.
5. Accompagnement des projets : Le CTBM peut accompagner les porteurs de projets dans les différentes phases de leur développement, de l'étude de faisabilité à la mise en service. Il peut également les aider à trouver des financements ou à s'intégrer dans des réseaux professionnels.
6. Innovation et veille technologique : Le CTBM assure une veille sur les technologies émergentes et les meilleures pratiques internationales. Cela peut inclure l'évaluation de nouveaux systèmes de traitement et de purification du biogaz (comme les technologies SULFURIX™ ou BIO-SULFURIX™ pour l'élimination des sulfures) ou des solutions de séchage du biogaz (comme le GASODRIX™).
7. Normalisation et qualité : Le CTBM peut participer à l'élaboration de normes techniques pour la filière et aider à assurer la qualité et la performance des installations et des produits dérivés de la méthanisation.
En résumé, le CTBM est un élément clé dans le développement de la méthanisation en France, en agissant comme un pont entre la recherche, l'industrie et les pouvoirs publics, et en fournissant l'expertise et les ressources nécessaires pour faire progresser cette source d'énergie durable et respectueuse de l'environnement.
1. Recherche et développement (R&D) : Le CTBM contribue à la recherche appliquée et au développement de nouvelles technologies ou de l'amélioration des technologies existantes. Il peut, par exemple, participer à des projets de recherche sur l'optimisation des processus de digestion anaérobie ou sur le développement de nouveaux équipements comme les analyseurs de biogaz (par exemple le modèle ETG 6500 ou MCA 100 Bio de la liste de produits), qui sont essentiels pour le contrôle et l'optimisation des installations de méthanisation.
2. Support technique et expertise : Offrant une assistance technique aux acteurs de la filière, le CTBM peut aider à la conception, à l'exploitation et à l'optimisation des installations de méthanisation. Il peut également apporter son expertise en matière de réglementation, de normes de sécurité et d'impact environnemental.
3. Formation et transfert de connaissances : Le CTBM joue un rôle éducatif important en formant les opérateurs, techniciens, ingénieurs et autres professionnels du secteur. Les formations peuvent couvrir divers aspects de la méthanisation, de la gestion des substrats à l'entretien des équipements tels que les pompes (par exemple la pompe péristaltique PCM Delasco™ DX ou la pompe à cavités progressives PCM EcoMoineau™ M).
4. Promotion de la filière et communication : Le CTBM travaille à la sensibilisation et à la promotion des avantages de la méthanisation en tant que source d'énergie renouvelable et de valorisation des déchets. Il peut organiser des événements, publier des études de cas ou des rapports qui mettent en avant les succès et les défis du secteur.
5. Accompagnement des projets : Le CTBM peut accompagner les porteurs de projets dans les différentes phases de leur développement, de l'étude de faisabilité à la mise en service. Il peut également les aider à trouver des financements ou à s'intégrer dans des réseaux professionnels.
6. Innovation et veille technologique : Le CTBM assure une veille sur les technologies émergentes et les meilleures pratiques internationales. Cela peut inclure l'évaluation de nouveaux systèmes de traitement et de purification du biogaz (comme les technologies SULFURIX™ ou BIO-SULFURIX™ pour l'élimination des sulfures) ou des solutions de séchage du biogaz (comme le GASODRIX™).
7. Normalisation et qualité : Le CTBM peut participer à l'élaboration de normes techniques pour la filière et aider à assurer la qualité et la performance des installations et des produits dérivés de la méthanisation.
En résumé, le CTBM est un élément clé dans le développement de la méthanisation en France, en agissant comme un pont entre la recherche, l'industrie et les pouvoirs publics, et en fournissant l'expertise et les ressources nécessaires pour faire progresser cette source d'énergie durable et respectueuse de l'environnement.
Autres produits du même type
Retrouvez d'autres produits pouvant vous intéresser