Description
Le brûleur industriel ORTHOS fonctionne au gaz naturel ou liquéfié, avec un taux de modulation de 1 à 25 et une puissance de 7 à 22 MW. Il a un fonctionnement faible en NOx, avec ? 60mg/Nm³ 3% d’O2, conformément à la norme EN676. De plus, les performances environnementales de l'ORTHOS dépassent largement les exigences réglementaires en termes d'émissions NOx.
Caractéristiques générales
Caractéristique | Valeur |
---|---|
Emissions de NOx | ≤ 60 mg/Nm³ à 3% O₂ |
Puissance | 7 à 22 MW |
Taux de modulation | 1 à 25 |
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Il y a 1 semaine
Comment éviter l'augmentation des émissions de NOx lors de l'amélioration de l'efficacité énergétique d'une chaudière?
Réponse :
Pour optimiser l'efficacité énergétique d'une chaudière tout en limitant les émissions de NOx, il est crucial d'adopter des technologies avancées de combustion et de récupération de chaleur. L'intégration d'un brûleur à faible émission de NOx, tel que le brûleur ORTHOS, est essentielle. Ce dernier fonctionne avec un taux de modulation de 1 à 25 et respecte la norme EN676 avec des émissions ≤ 60 mg/Nm³ à 3% O₂. De plus, l'utilisation du système de préchauffage de l'air comburant R-Eco maximise le rendement global de la chaudière à 98% sans accroître les émissions de NOx. Ce système récupère la chaleur des fumées de combustion via une plaque d'échange en aluminium, optimisant ainsi l'efficacité énergétique. Enfin, l'adoption d'une chaudière à haute performance, comme la TwinPack, qui offre un rendement supérieur à 98% avec des émissions de NOx maîtrisées, est recommandée. Ces solutions conjuguent efficacité énergétique et respect des normes environnementales.
Nouvelle réponse
- Il y a 2 semaines
Quelles vérifications effectuer en cas de faible transfert thermique dans une installation à fluide thermique ?
Réponse :
Pour diagnostiquer un faible transfert thermique dans une installation à fluide thermique, commencez par vérifier l'état de la chaudière fluide thermique. Assurez-vous que la chaudière, telle que la TPC-LN, est correctement dimensionnée pour la puissance thermique requise (291 kW à 2383 kW). Examinez la propreté des bobines hélicoïdales pour éviter les dépôts qui peuvent réduire l'efficacité thermique.
Ensuite, inspectez le brûleur, par exemple un modèle ORTHOS, pour s'assurer qu'il fonctionne dans ses spécifications (modulation de 1 à 25, puissance de 7 à 22 MW) et qu'il n'y a pas de problème d'alimentation en combustible.
Vérifiez également les paramètres de pression et de température pour garantir qu'ils correspondent aux spécifications de la chaudière, comme le modèle EPC-H, avec une pression maximale de 8 bar et une température d'eau jusqu'à 106°C.
Enfin, contrôlez la circulation du fluide thermique pour détecter des blocages ou des inefficacités dans l'échangeur de chaleur, tel que le R-Eco, qui optimise le transfert thermique avec un rendement maximal de 98 %.
Ensuite, inspectez le brûleur, par exemple un modèle ORTHOS, pour s'assurer qu'il fonctionne dans ses spécifications (modulation de 1 à 25, puissance de 7 à 22 MW) et qu'il n'y a pas de problème d'alimentation en combustible.
Vérifiez également les paramètres de pression et de température pour garantir qu'ils correspondent aux spécifications de la chaudière, comme le modèle EPC-H, avec une pression maximale de 8 bar et une température d'eau jusqu'à 106°C.
Enfin, contrôlez la circulation du fluide thermique pour détecter des blocages ou des inefficacités dans l'échangeur de chaleur, tel que le R-Eco, qui optimise le transfert thermique avec un rendement maximal de 98 %.
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- Le 15/01/2024
Quel est le seuil de tolérance PPM sur chaudière atmosphérique ?
Réponse :
Le seuil de tolérance en particules par million (PPM) pour une chaudière atmosphérique dépend de la substance spécifique que vous mesurez. Cependant, étant donné que la question est générale et ne spécifie pas la substance (par exemple NOx, CO, particules), je vais me concentrer sur les émissions de NOx (oxydes d'azote), car elles sont souvent réglementées dans les équipements de chauffage.
Les chaudières atmosphériques, qui fonctionnent sans ventilateur de combustion et tirent l'air ambiant pour la combustion du gaz, ont tendance à avoir des exigences de performance en matière d'émissions moins strictes que les chaudières à condensation ou celles équipées de brûleurs forcés. Toutefois, les normes varient considérablement selon la région géographique et les normes locales ou nationales en matière d'émissions.
En Europe, par exemple, l'Ecoconception (ErP - Energy-related Products Directive) définit les limites maximales d'émission de NOx pour les chaudières, qui sont souvent exprimées en mg/kWh plutôt qu'en PPM. Cependant, pour donner un ordre de grandeur, les chaudières à gaz modernes sont généralement conçues pour émettre moins de 70 mg/kWh, ce qui équivaut approximativement à 40 PPM de NOx lorsqu'elles sont mesurées dans les conditions de référence (0% d'O2).
Pour des applications spécifiques nécessitant des seuils de tolérance plus bas, des produits tels que les chaudières équipées de brûleurs à faible émission de NOx (comme le brûleur industriel ORTHOS mentionné précédemment) peuvent être utilisés pour réduire les émissions. Ces brûleurs sont conçus pour maintenir des niveaux de NOx en dessous de certaines limites, comme 60 mg/Nm³ à 3% d'O2, conformément à la norme EN676, ce qui est nettement inférieur à la limite générale mentionnée ci-dessus et pourrait se traduire par des émissions de NOx bien inférieures à 30 PPM en fonction des conditions de fonctionnement.
Il est important de noter que les seuils de tolérance en PPM pour les chaudières atmosphériques ou tout autre type de chaudière doivent être conformes aux réglementations locales. Les exploitants d'installations de chaudières devraient consulter les réglementations applicables dans leur juridiction pour s'assurer de la conformité. Des dispositifs de contrôle des émissions, tels que les systèmes de réduction catalytique sélective (SCR) ou de réduction des NOx non catalytique (SNCR), peuvent également être utilisés pour maintenir les émissions dans les limites acceptables.
Les chaudières atmosphériques, qui fonctionnent sans ventilateur de combustion et tirent l'air ambiant pour la combustion du gaz, ont tendance à avoir des exigences de performance en matière d'émissions moins strictes que les chaudières à condensation ou celles équipées de brûleurs forcés. Toutefois, les normes varient considérablement selon la région géographique et les normes locales ou nationales en matière d'émissions.
En Europe, par exemple, l'Ecoconception (ErP - Energy-related Products Directive) définit les limites maximales d'émission de NOx pour les chaudières, qui sont souvent exprimées en mg/kWh plutôt qu'en PPM. Cependant, pour donner un ordre de grandeur, les chaudières à gaz modernes sont généralement conçues pour émettre moins de 70 mg/kWh, ce qui équivaut approximativement à 40 PPM de NOx lorsqu'elles sont mesurées dans les conditions de référence (0% d'O2).
Pour des applications spécifiques nécessitant des seuils de tolérance plus bas, des produits tels que les chaudières équipées de brûleurs à faible émission de NOx (comme le brûleur industriel ORTHOS mentionné précédemment) peuvent être utilisés pour réduire les émissions. Ces brûleurs sont conçus pour maintenir des niveaux de NOx en dessous de certaines limites, comme 60 mg/Nm³ à 3% d'O2, conformément à la norme EN676, ce qui est nettement inférieur à la limite générale mentionnée ci-dessus et pourrait se traduire par des émissions de NOx bien inférieures à 30 PPM en fonction des conditions de fonctionnement.
Il est important de noter que les seuils de tolérance en PPM pour les chaudières atmosphériques ou tout autre type de chaudière doivent être conformes aux réglementations locales. Les exploitants d'installations de chaudières devraient consulter les réglementations applicables dans leur juridiction pour s'assurer de la conformité. Des dispositifs de contrôle des émissions, tels que les systèmes de réduction catalytique sélective (SCR) ou de réduction des NOx non catalytique (SNCR), peuvent également être utilisés pour maintenir les émissions dans les limites acceptables.
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- Il y a 1 semaine
Comment éviter l'augmentation des émissions de NOx lors de l'amélioration de l'efficacité énergétique d'une chaudière?
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Pour optimiser l'efficacité énergétique d'une chaudière tout en limitant les émissions de NOx, il est crucial d'adopter des technologies avancées de combustion et de récupération de chaleur. L'intégration d'un brûleur à faible émission de NOx, tel que le brûleur ORTHOS, est essentielle. Ce dernier fonctionne avec un taux de modulation de 1 à 25 et respecte la norme EN676 avec des émissions ≤ 60 mg/Nm³ à 3% O₂. De plus, l'utilisation du système de préchauffage de l'air comburant R-Eco maximise le rendement global de la chaudière à 98% sans accroître les émissions de NOx. Ce système récupère la chaleur des fumées de combustion via une plaque d'échange en aluminium, optimisant ainsi l'efficacité énergétique. Enfin, l'adoption d'une chaudière à haute performance, comme la TwinPack, qui offre un rendement supérieur à 98% avec des émissions de NOx maîtrisées, est recommandée. Ces solutions conjuguent efficacité énergétique et respect des normes environnementales.
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- Il y a 2 semaines
Quelles vérifications effectuer en cas de faible transfert thermique dans une installation à fluide thermique ?
Réponse :
Pour diagnostiquer un faible transfert thermique dans une installation à fluide thermique, commencez par vérifier l'état de la chaudière fluide thermique. Assurez-vous que la chaudière, telle que la TPC-LN, est correctement dimensionnée pour la puissance thermique requise (291 kW à 2383 kW). Examinez la propreté des bobines hélicoïdales pour éviter les dépôts qui peuvent réduire l'efficacité thermique.
Ensuite, inspectez le brûleur, par exemple un modèle ORTHOS, pour s'assurer qu'il fonctionne dans ses spécifications (modulation de 1 à 25, puissance de 7 à 22 MW) et qu'il n'y a pas de problème d'alimentation en combustible.
Vérifiez également les paramètres de pression et de température pour garantir qu'ils correspondent aux spécifications de la chaudière, comme le modèle EPC-H, avec une pression maximale de 8 bar et une température d'eau jusqu'à 106°C.
Enfin, contrôlez la circulation du fluide thermique pour détecter des blocages ou des inefficacités dans l'échangeur de chaleur, tel que le R-Eco, qui optimise le transfert thermique avec un rendement maximal de 98 %.
Ensuite, inspectez le brûleur, par exemple un modèle ORTHOS, pour s'assurer qu'il fonctionne dans ses spécifications (modulation de 1 à 25, puissance de 7 à 22 MW) et qu'il n'y a pas de problème d'alimentation en combustible.
Vérifiez également les paramètres de pression et de température pour garantir qu'ils correspondent aux spécifications de la chaudière, comme le modèle EPC-H, avec une pression maximale de 8 bar et une température d'eau jusqu'à 106°C.
Enfin, contrôlez la circulation du fluide thermique pour détecter des blocages ou des inefficacités dans l'échangeur de chaleur, tel que le R-Eco, qui optimise le transfert thermique avec un rendement maximal de 98 %.
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- Le 15/01/2024
Quel est le seuil de tolérance PPM sur chaudière atmosphérique ?
Réponse :
Le seuil de tolérance en particules par million (PPM) pour une chaudière atmosphérique dépend de la substance spécifique que vous mesurez. Cependant, étant donné que la question est générale et ne spécifie pas la substance (par exemple NOx, CO, particules), je vais me concentrer sur les émissions de NOx (oxydes d'azote), car elles sont souvent réglementées dans les équipements de chauffage.
Les chaudières atmosphériques, qui fonctionnent sans ventilateur de combustion et tirent l'air ambiant pour la combustion du gaz, ont tendance à avoir des exigences de performance en matière d'émissions moins strictes que les chaudières à condensation ou celles équipées de brûleurs forcés. Toutefois, les normes varient considérablement selon la région géographique et les normes locales ou nationales en matière d'émissions.
En Europe, par exemple, l'Ecoconception (ErP - Energy-related Products Directive) définit les limites maximales d'émission de NOx pour les chaudières, qui sont souvent exprimées en mg/kWh plutôt qu'en PPM. Cependant, pour donner un ordre de grandeur, les chaudières à gaz modernes sont généralement conçues pour émettre moins de 70 mg/kWh, ce qui équivaut approximativement à 40 PPM de NOx lorsqu'elles sont mesurées dans les conditions de référence (0% d'O2).
Pour des applications spécifiques nécessitant des seuils de tolérance plus bas, des produits tels que les chaudières équipées de brûleurs à faible émission de NOx (comme le brûleur industriel ORTHOS mentionné précédemment) peuvent être utilisés pour réduire les émissions. Ces brûleurs sont conçus pour maintenir des niveaux de NOx en dessous de certaines limites, comme 60 mg/Nm³ à 3% d'O2, conformément à la norme EN676, ce qui est nettement inférieur à la limite générale mentionnée ci-dessus et pourrait se traduire par des émissions de NOx bien inférieures à 30 PPM en fonction des conditions de fonctionnement.
Il est important de noter que les seuils de tolérance en PPM pour les chaudières atmosphériques ou tout autre type de chaudière doivent être conformes aux réglementations locales. Les exploitants d'installations de chaudières devraient consulter les réglementations applicables dans leur juridiction pour s'assurer de la conformité. Des dispositifs de contrôle des émissions, tels que les systèmes de réduction catalytique sélective (SCR) ou de réduction des NOx non catalytique (SNCR), peuvent également être utilisés pour maintenir les émissions dans les limites acceptables.
Les chaudières atmosphériques, qui fonctionnent sans ventilateur de combustion et tirent l'air ambiant pour la combustion du gaz, ont tendance à avoir des exigences de performance en matière d'émissions moins strictes que les chaudières à condensation ou celles équipées de brûleurs forcés. Toutefois, les normes varient considérablement selon la région géographique et les normes locales ou nationales en matière d'émissions.
En Europe, par exemple, l'Ecoconception (ErP - Energy-related Products Directive) définit les limites maximales d'émission de NOx pour les chaudières, qui sont souvent exprimées en mg/kWh plutôt qu'en PPM. Cependant, pour donner un ordre de grandeur, les chaudières à gaz modernes sont généralement conçues pour émettre moins de 70 mg/kWh, ce qui équivaut approximativement à 40 PPM de NOx lorsqu'elles sont mesurées dans les conditions de référence (0% d'O2).
Pour des applications spécifiques nécessitant des seuils de tolérance plus bas, des produits tels que les chaudières équipées de brûleurs à faible émission de NOx (comme le brûleur industriel ORTHOS mentionné précédemment) peuvent être utilisés pour réduire les émissions. Ces brûleurs sont conçus pour maintenir des niveaux de NOx en dessous de certaines limites, comme 60 mg/Nm³ à 3% d'O2, conformément à la norme EN676, ce qui est nettement inférieur à la limite générale mentionnée ci-dessus et pourrait se traduire par des émissions de NOx bien inférieures à 30 PPM en fonction des conditions de fonctionnement.
Il est important de noter que les seuils de tolérance en PPM pour les chaudières atmosphériques ou tout autre type de chaudière doivent être conformes aux réglementations locales. Les exploitants d'installations de chaudières devraient consulter les réglementations applicables dans leur juridiction pour s'assurer de la conformité. Des dispositifs de contrôle des émissions, tels que les systèmes de réduction catalytique sélective (SCR) ou de réduction des NOx non catalytique (SNCR), peuvent également être utilisés pour maintenir les émissions dans les limites acceptables.
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