L'E-SEQ-FRM de Met One Instruments, Inc. est un préleveur automatique de particules en suspension de référence désigné par l'US-EPA pour les méthodes d'échantillonnage des PM2,5, PM10 et PM10-2,5.
L'E-SEQ-FRM peut accueillir jusqu'à 16 échantillons de filtre de 47 mm de diamètre et peut être préprogrammé selon un calendrier d'échantillonnage flexible défini par l'utilisateur permettant plus de 2 semaines de fonctionnement quotidien sans surveillance.
L'E-SEQ-FRM est de conception modulaire et peut être facilement démonté et transporté d'un site à un autre. Sa conception compacte et son faible encombrement lui permettent d'être déplacé à l'intérieur et à l'extérieur d'emplacements avec une entrée/sortie difficile.
Ce préleveur de poussières séquentiel offre permet de programmer jusqu'à 16 prelevements d'échantillonnage indépendants. Le package modem/communication en option permet un accès à distance aux données stockées via l'interface RS232. Les données sont également récupérées rapidement et facilement avec une clé USB.
Points clés :
• Porte-filtre, capacité 16 filtres de diamètre 47 mm
• Régulateur de débit volumique de haute précision
• Compartiment filtres conditionné en température
• Séquence gérée par microprocesseur avec possibilité d’échantillonnage conditionnel
• Acquisition de données / évènements internes
• Interfaces Ethernet, USB, RS 232.
Quelle est la méthode de calcul du taux de poussière dans les émissions atmosphériques?
1. **Méthodes manuelles (gravimétriques) :**
- Les méthodes gravimétriques consistent à prélever un échantillon de gaz sur une période donnée à travers un filtre qui capture les particules, puis à peser ce filtre avant et après l'échantillonnage pour déterminer la masse de poussière capturée.
- Le taux de poussière est ensuite calculé en divisant la masse des particules capturées par le volume d'air (ou de gaz) qui a traversé le filtre, généralement exprimé en milligrammes par mètre cube (mg/m³).
2. **Méthodes en continu :**
- Les technologies de mesure en continu fournissent une surveillance et une analyse en temps réel des concentrations de poussières dans les émissions. Parmi les techniques utilisées, on trouve :
- **Scattering Light (diffusion de lumière)** : Des instruments comme le PCME DM 170 utilisent la diffusion de la lumière pour mesurer la concentration en poussière. La lumière est émise vers le flux de particules et la quantité de lumière diffusée est mesurée. La concentration de poussières est proportionnelle à l'intensité de la lumière diffusée.
- **Absorption de lumière (Photométrie) :** La mesure de l'atténuation d'un faisceau lumineux traversant l'émission permet d'estimer la concentration en particules. Cette méthode est souvent utilisée pour les émissions faibles à moyennes en poussières.
- **Mesure de l'opacité :** L'opacimètre mesure l'opacité des émissions, qui est liée à la concentration de particules. Cependant, cette méthode est moins précise pour de faibles concentrations.
- **Mesure par atténuation bêta :** L'APDA-371, par exemple, utilise l'atténuation des rayons bêta à travers un filtre sur lequel les particules sont collectées pour déterminer la concentration en masse des particules.
- **Mesure par ultrasons :** Certains capteurs, comme le SlideControl 2.0, peuvent utiliser des ondes ultrasonores pour mesurer le flux de matières en aéroglissière, ce qui peut être indirectement lié à la concentration de poussière.
3. **Calibration et assurance qualité :**
- Les instruments de mesure en continu doivent être étalonnés régulièrement avec des aérosols de référence ou des méthodes de mesure standard pour assurer la précision des mesures.
- Des systèmes tels que le PCME QAL 360 sont certifiés QAL1, indiquant qu'ils répondent aux critères de qualité les plus stricts pour la mesure des émissions de poussières.
4. **Normes et réglementations :**
- Les méthodes de calcul doivent être conformes aux normes en vigueur, telles que la norme EN 15267 pour l'Europe ou les méthodes de l'Environmental Protection Agency (EPA) pour les États-Unis.
- Des instruments comme le MET ONE E-SEQ-FRM sont conçus pour répondre aux critères des méthodes de référence désignées par les agences environnementales.
En résumé, pour calculer le taux de poussière dans les émissions atmosphériques, une combinaison de méthodes gravimétriques pour les mesures de référence et de technologies de surveillance en continu est souvent utilisée pour une évaluation précise et conforme aux normes réglementaires. Les données collectées par ces instruments sont essentielles pour assurer le respect des limites d'émissions, pour la protection de l'environnement et de la santé publique.
Quels sont les meilleurs moyens de mesurer le taux d'empoussiérage dans des locaux d'archives avant et après des travaux de rénovation?
1. **Choix de l'instrumentation** :
- **Granulomètres optiques** : Des appareils tels que l'**APDA-372** qui permettent de mesurer en continu la concentration, la taille et la masse des particules en suspension dans l'air. Ces appareils utilisent la technique de diffusion de la lumière pour détecter les particules de différentes tailles, telles que PM1, PM2.5, et PM10.
- **Capteurs de poussière électrodynamiques** : Des solutions comme l'**AirSafe PM** ou l'**AirSafe 2** peuvent surveiller les concentrations de poussière dans l'air ambiant avec une sensibilité élevée et déclencher des alarmes si des seuils prédéfinis sont dépassés.
- **Préleveurs séquentiels** : Pour des mesures ponctuelles et détaillées, des appareils comme le **MET ONE E-SEQ-FRM** permettent de collecter des échantillons de particules sur des filtres qui peuvent ensuite être analysés en laboratoire pour une caractérisation précise.
2. **Calibration et étalonnage** :
- Avant de commencer les mesures, il est essentiel de s'assurer que l'instrumentation est correctement calibrée et étalonnée selon les standards en vigueur, afin de garantir la validité des résultats.
3. **Planification de la mesure** :
- **Avant les travaux** : Effectuer des mesures de base pour établir un niveau de référence de la qualité de l'air et le taux d'empoussiérage initial dans différents endroits des locaux.
- **Pendant les travaux** : Mettre en place un suivi continu pour évaluer l'impact des travaux sur la qualité de l'air et prendre des mesures correctives si nécessaire.
- **Après les travaux** : Réaliser à nouveau des mesures pour évaluer l'efficacité des actions de nettoyage et de rénovation en termes de réduction du taux d'empoussiérage.
4. **Analyse des données** :
- Les données recueillies doivent être analysées en tenant compte des limites réglementaires ou des normes de qualité d'air intérieur spécifiques aux locaux d'archives.
- Des logiciels fournis avec les instruments de mesure peuvent aider à l'analyse et à la visualisation des données, et à l'identification de tendances ou de pics de pollution.
5. **Rapport et documentation** :
- Rédiger un rapport détaillé comprenant les données brutes et les analyses pour documenter les niveaux d'empoussiérage avant et après les travaux.
- Utiliser ces informations pour valider les méthodes de nettoyage et de rénovation, et pour mettre en place des pratiques de maintenance préventive si nécessaire.
**Produits potentiels** :
- **APDA-372** pour une analyse granulométrique continue.
- **AirSafe PM** ou **AirSafe 2** pour une surveillance in situ en temps réel.
- **MET ONE E-SEQ-FRM** pour des prélèvements séquentiels et une analyse post-mesure.
Il est recommandé de consulter des spécialistes en mesure de la qualité de l'air pour choisir l'appareillage le plus adapté aux besoins spécifiques des locaux d'archives et pour garantir une interprétation correcte des résultats obtenus.
Peut-on faire une analyse PM10 et PM2,5 en un seul prélèvement?
Un exemple de produit qui pourrait être utilisé pour de telles mesures est l’impacteur séquentiel ou l’échantillonneur de poussières séquentiel, comme le MET ONE E-SEQ-FRM mentionné précédemment. Cet appareil est capable d'échantillonner sélectivement des particules PM10 et PM2,5 grâce à l'utilisation de pré-séparateurs ou de têtes d'impaction spécifiques qui capturent les particules plus grandes (PM10) et permettent aux particules plus fines (PM2,5) de passer à travers pour être collectées sur un filtre séparé.
Un autre appareil potentiellement utilisable pour une telle mesure est le granulomètre optique APDA-372, qui permet la mesure continue et simultanée des valeurs PM1, PM2,5, PM10 et TSP (total suspended particles) dans l'air ambiant. Ce type d'appareil utilise la diffusion de la lumière pour estimer la concentration et la distribution granulométrique des particules en suspension dans l'air.
Des analyseurs de poussières en temps réel, comme le Kunak AIR Pro ou l'Aeroqual AQS 1, sont également capables de mesurer les concentrations de PM10 et PM2,5 en temps réel sans nécessiter un prélèvement physique pour l'analyse ultérieure en laboratoire. Ces appareils utilisent des techniques optiques ou d'autres méthodes de détection pour estimer la concentration des particules dans l'air.
Pour les mesures réglementaires et de conformité, il est important de s'assurer que les équipements utilisés sont certifiés et répondent aux normes de mesure appropriées, telles que celles établies par l'Agence de Protection de l'Environnement des États-Unis (EPA) ou les normes européennes équivalentes.
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Poser une questionQuelle est la méthode de calcul du taux de poussière dans les émissions atmosphériques?
1. **Méthodes manuelles (gravimétriques) :**
- Les méthodes gravimétriques consistent à prélever un échantillon de gaz sur une période donnée à travers un filtre qui capture les particules, puis à peser ce filtre avant et après l'échantillonnage pour déterminer la masse de poussière capturée.
- Le taux de poussière est ensuite calculé en divisant la masse des particules capturées par le volume d'air (ou de gaz) qui a traversé le filtre, généralement exprimé en milligrammes par mètre cube (mg/m³).
2. **Méthodes en continu :**
- Les technologies de mesure en continu fournissent une surveillance et une analyse en temps réel des concentrations de poussières dans les émissions. Parmi les techniques utilisées, on trouve :
- **Scattering Light (diffusion de lumière)** : Des instruments comme le PCME DM 170 utilisent la diffusion de la lumière pour mesurer la concentration en poussière. La lumière est émise vers le flux de particules et la quantité de lumière diffusée est mesurée. La concentration de poussières est proportionnelle à l'intensité de la lumière diffusée.
- **Absorption de lumière (Photométrie) :** La mesure de l'atténuation d'un faisceau lumineux traversant l'émission permet d'estimer la concentration en particules. Cette méthode est souvent utilisée pour les émissions faibles à moyennes en poussières.
- **Mesure de l'opacité :** L'opacimètre mesure l'opacité des émissions, qui est liée à la concentration de particules. Cependant, cette méthode est moins précise pour de faibles concentrations.
- **Mesure par atténuation bêta :** L'APDA-371, par exemple, utilise l'atténuation des rayons bêta à travers un filtre sur lequel les particules sont collectées pour déterminer la concentration en masse des particules.
- **Mesure par ultrasons :** Certains capteurs, comme le SlideControl 2.0, peuvent utiliser des ondes ultrasonores pour mesurer le flux de matières en aéroglissière, ce qui peut être indirectement lié à la concentration de poussière.
3. **Calibration et assurance qualité :**
- Les instruments de mesure en continu doivent être étalonnés régulièrement avec des aérosols de référence ou des méthodes de mesure standard pour assurer la précision des mesures.
- Des systèmes tels que le PCME QAL 360 sont certifiés QAL1, indiquant qu'ils répondent aux critères de qualité les plus stricts pour la mesure des émissions de poussières.
4. **Normes et réglementations :**
- Les méthodes de calcul doivent être conformes aux normes en vigueur, telles que la norme EN 15267 pour l'Europe ou les méthodes de l'Environmental Protection Agency (EPA) pour les États-Unis.
- Des instruments comme le MET ONE E-SEQ-FRM sont conçus pour répondre aux critères des méthodes de référence désignées par les agences environnementales.
En résumé, pour calculer le taux de poussière dans les émissions atmosphériques, une combinaison de méthodes gravimétriques pour les mesures de référence et de technologies de surveillance en continu est souvent utilisée pour une évaluation précise et conforme aux normes réglementaires. Les données collectées par ces instruments sont essentielles pour assurer le respect des limites d'émissions, pour la protection de l'environnement et de la santé publique.
Quels sont les meilleurs moyens de mesurer le taux d'empoussiérage dans des locaux d'archives avant et après des travaux de rénovation?
1. **Choix de l'instrumentation** :
- **Granulomètres optiques** : Des appareils tels que l'**APDA-372** qui permettent de mesurer en continu la concentration, la taille et la masse des particules en suspension dans l'air. Ces appareils utilisent la technique de diffusion de la lumière pour détecter les particules de différentes tailles, telles que PM1, PM2.5, et PM10.
- **Capteurs de poussière électrodynamiques** : Des solutions comme l'**AirSafe PM** ou l'**AirSafe 2** peuvent surveiller les concentrations de poussière dans l'air ambiant avec une sensibilité élevée et déclencher des alarmes si des seuils prédéfinis sont dépassés.
- **Préleveurs séquentiels** : Pour des mesures ponctuelles et détaillées, des appareils comme le **MET ONE E-SEQ-FRM** permettent de collecter des échantillons de particules sur des filtres qui peuvent ensuite être analysés en laboratoire pour une caractérisation précise.
2. **Calibration et étalonnage** :
- Avant de commencer les mesures, il est essentiel de s'assurer que l'instrumentation est correctement calibrée et étalonnée selon les standards en vigueur, afin de garantir la validité des résultats.
3. **Planification de la mesure** :
- **Avant les travaux** : Effectuer des mesures de base pour établir un niveau de référence de la qualité de l'air et le taux d'empoussiérage initial dans différents endroits des locaux.
- **Pendant les travaux** : Mettre en place un suivi continu pour évaluer l'impact des travaux sur la qualité de l'air et prendre des mesures correctives si nécessaire.
- **Après les travaux** : Réaliser à nouveau des mesures pour évaluer l'efficacité des actions de nettoyage et de rénovation en termes de réduction du taux d'empoussiérage.
4. **Analyse des données** :
- Les données recueillies doivent être analysées en tenant compte des limites réglementaires ou des normes de qualité d'air intérieur spécifiques aux locaux d'archives.
- Des logiciels fournis avec les instruments de mesure peuvent aider à l'analyse et à la visualisation des données, et à l'identification de tendances ou de pics de pollution.
5. **Rapport et documentation** :
- Rédiger un rapport détaillé comprenant les données brutes et les analyses pour documenter les niveaux d'empoussiérage avant et après les travaux.
- Utiliser ces informations pour valider les méthodes de nettoyage et de rénovation, et pour mettre en place des pratiques de maintenance préventive si nécessaire.
**Produits potentiels** :
- **APDA-372** pour une analyse granulométrique continue.
- **AirSafe PM** ou **AirSafe 2** pour une surveillance in situ en temps réel.
- **MET ONE E-SEQ-FRM** pour des prélèvements séquentiels et une analyse post-mesure.
Il est recommandé de consulter des spécialistes en mesure de la qualité de l'air pour choisir l'appareillage le plus adapté aux besoins spécifiques des locaux d'archives et pour garantir une interprétation correcte des résultats obtenus.
Peut-on faire une analyse PM10 et PM2,5 en un seul prélèvement?
Un exemple de produit qui pourrait être utilisé pour de telles mesures est l’impacteur séquentiel ou l’échantillonneur de poussières séquentiel, comme le MET ONE E-SEQ-FRM mentionné précédemment. Cet appareil est capable d'échantillonner sélectivement des particules PM10 et PM2,5 grâce à l'utilisation de pré-séparateurs ou de têtes d'impaction spécifiques qui capturent les particules plus grandes (PM10) et permettent aux particules plus fines (PM2,5) de passer à travers pour être collectées sur un filtre séparé.
Un autre appareil potentiellement utilisable pour une telle mesure est le granulomètre optique APDA-372, qui permet la mesure continue et simultanée des valeurs PM1, PM2,5, PM10 et TSP (total suspended particles) dans l'air ambiant. Ce type d'appareil utilise la diffusion de la lumière pour estimer la concentration et la distribution granulométrique des particules en suspension dans l'air.
Des analyseurs de poussières en temps réel, comme le Kunak AIR Pro ou l'Aeroqual AQS 1, sont également capables de mesurer les concentrations de PM10 et PM2,5 en temps réel sans nécessiter un prélèvement physique pour l'analyse ultérieure en laboratoire. Ces appareils utilisent des techniques optiques ou d'autres méthodes de détection pour estimer la concentration des particules dans l'air.
Pour les mesures réglementaires et de conformité, il est important de s'assurer que les équipements utilisés sont certifiés et répondent aux normes de mesure appropriées, telles que celles établies par l'Agence de Protection de l'Environnement des États-Unis (EPA) ou les normes européennes équivalentes.
Quel instrument utiliser pour déterminer la quantité des poussières dans l'air ambiant?
1. **Granulomètre optique - APDA-372** : Cet instrument utilise la technique de mesure par diffusion de lumière optique pour déterminer la concentration en masse et la répartition granulométrique des particules en suspension dans l'air ambiant. Il est capable de mesurer des valeurs PM1, PM2.5, PM4, PM10, et TSP (Total Suspended Particles). Certifié selon les normes EN 14907 et EN 12341, l'APDA-372 est également certifié par le TÜV et homologué par le LCSQA pour la mesure réglementaire.
2. **Préleveur de poussières séquentiel - MET ONE E-SEQ-FRM** : Ce préleveur automatique est spécifiquement conçu pour l'échantillonnage des PM2.5, PM10, et PM10-2,5. Il est considéré comme un prélèvement de référence et est désigné par l'US-EPA pour ces méthodes d'échantillonnage. Il permet de recueillir des échantillons sur des filtres qui sont ensuite analysés en laboratoire pour déterminer la concentration massique des particules.
3. **Analyseur de particules aéroportées - APDA-371** : Utilisant le principe de l'atténuation du rayonnement bêta, cet appareil mesure et enregistre automatiquement les niveaux de concentration de particules. Il est particulièrement adapté pour des mesures continues et peut fournir des données en temps réel sur la concentration de particules en suspension dans l'air.
4. **Capteur de surveillance de l’exposition à la poussière - Airsafe PM** : Ce capteur permet une surveillance continue et précise de l’exposition aux poussières dans l'air ambiant intérieur. Il est conçu pour mesurer des particules inhalables, thoraciques, et alvéolaires conformément aux normes comme NF EN 481 et est idéal pour la surveillance de la qualité de l'air sur le lieu de travail.
5. **Station portable de surveillance des particules de poussière - Dust Detective** : Il s'agit d'une station portable qui peut être utilisée pour surveiller et enregistrer les niveaux de particules dans différents environnements. C'est une solution idéale pour des mesures sur le terrain ou dans différents lieux d'une installation.
L'instrument à choisir dépendra de plusieurs facteurs, notamment la plage de concentration des particules à mesurer, les types de particules à surveiller (PM1, PM2.5, PM10, etc.), la nécessité ou non d'une mesure en temps réel, les exigences réglementaires, et les conditions spécifiques du site de mesure. Il est important de consulter les spécifications techniques de chaque instrument et, si nécessaire, de demander conseil auprès d'experts ou de fournisseurs spécialisés pour s'assurer que l'instrument sélectionné répond à tous les besoins de mesure spécifiques.
Combien mesure une poussière blanche ?
Si l'on s'intéresse à la taille des particules de poussière, les poussières peuvent varier considérablement en taille, allant de quelques nanomètres (nm) à plusieurs micromètres (µm). Par exemple, la poussière domestique peut inclure des particules dont la taille varie de moins de 1 µm à plus de 100 µm, tandis que les poussières industrielles peuvent avoir des distributions de taille spécifiques selon le procédé.
Pour la concentration de poussières dans l'air, celle-ci est généralement mesurée en microgrammes par mètre cube (µg/m³) ou en milligrammes par mètre cube (mg/m³), selon la densité des particules en suspension.
Concernant les produits qui pourraient être utilisés pour mesurer les caractéristiques d'une poussière blanche, voici quelques exemples pertinents :
- **Granulomètre optique - APDA-372** : Ce dispositif peut mesurer la concentration, la taille et la masse des particules de poussière en air ambiant. Il est basé sur la diffusion de la lumière et est capable de fournir des mesures pour différentes tailles de particules, comme PM1, PM2.5, PM10, etc.
- **ProSens** : Il s'agit d'un instrument conçu pour mesurer la concentration de poussières en continu, spécialement après les filtres pour surveiller leur performance.
- **PCME DM 170** : Cet analyseur de poussières utilise la technologie Light Scatter pour mesurer les concentrations de particules dans diverses applications industrielles.
- **AirSafe 2** et **Airsafe PM** : Ces capteurs de poussières électrodynamiques sont conçus pour surveiller les concentrations de poussières dans l'air ambiant, comme dans les zones de travail ou à proximité des installations de production.
- **MET ONE E-SEQ-FRM** : Il s'agit d'un préleveur de poussières séquentiel qui permet de collecter des échantillons de particules sur des filtres pour une analyse ultérieure de leur taille et de leur composition.
Pour mener une mesure précise, il est important de choisir l'équipement adapté à la nature de la poussière et à l'objectif de la mesure (taille des particules, concentration, etc.). En outre, il est essentiel de suivre les protocoles standardisés et d'utiliser des instruments étalonnés et certifiés pour obtenir des résultats fiables.
Comment télécharger le logiciel Dyslo pour traiter les données de poussière et de gaz ?
Pour télécharger un logiciel destiné à traiter les données de poussière et de gaz, il est généralement nécessaire de se référer à des produits spécifiques qui sont conçus pour cette tâche et qui sont souvent fournis par les fabricants d'instruments de mesure de la qualité de l'air et des émissions. Voici quelques étapes génériques que vous pouvez suivre, ainsi que des exemples de produits et de logiciels qui pourraient correspondre à votre besoin :
1. **Identifier le fabricant de l'équipement** : Pour obtenir le logiciel approprié, vous devez connaître le fabricant de l'équipement de mesure que vous utilisez. Par exemple, si vous utilisez un analyseur de particules tel que le FIDAS Mobile ou un capteur de surveillance de la qualité de l'air comme l'AQMesh, le logiciel serait fourni par le fabricant de ces dispositifs.
2. **Visiter le site web du fabricant** : Les fabricants tels que Palas (pour le FIDAS Mobile), Casella (pour le Guardian 2) ou AQMesh ont généralement une section de téléchargement sur leur site web où les clients peuvent accéder aux logiciels et aux mises à jour.
3. **Créer un compte utilisateur** : Certains fabricants exigent que vous créiez un compte utilisateur pour accéder à leurs logiciels. Vous devrez fournir des informations telles que votre nom, votre adresse e-mail, et parfois le numéro de série de votre équipement.
4. **Télécharger le logiciel** : Une fois que vous êtes connecté à votre compte, vous pouvez généralement naviguer vers la section de téléchargement pour trouver le logiciel requis. Il peut s'agir d'un outil de gestion de données, d'analyse ou de reporting, tel que le logiciel Met One E-SEQ-FRM pour les préleveurs de poussières séquentiels.
5. **Installer le logiciel** : Après avoir téléchargé le logiciel, vous pouvez l'installer sur votre ordinateur en suivant les instructions fournies. Assurez-vous de respecter les configurations système requises pour une installation réussie.
6. **Consulter le manuel d'utilisation** : De nombreux logiciels sont accompagnés de manuels d'utilisation ou de guides de démarrage rapide qui peuvent vous aider à comprendre comment utiliser le logiciel pour traiter et analyser vos données.
Si vous rencontrez des difficultés ou si le logiciel que vous recherchez n'est pas disponible en ligne, il est conseillé de contacter directement le service clientèle du fabricant pour obtenir de l'aide.
Notez que l'utilisation de logiciels pour le traitement des données de qualité de l'air est souvent soumise à des licences spécifiques et à des droits d'auteur. Il est important de respecter les termes et conditions d'utilisation fournis par le fabricant.
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