AM 3000
Préleveur d'air pour diagnostic fibres d'amiante et particules - SDEC®
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Initialement développée pour sa clientèle nucléaire, la pompe AM 3000 répond également à de multiples applications en environnement.
La grande fiabilité de l'AM 3000 constitue une caractéristique et un atout majeur de l'appareil : le débitmètre massique dont est dotée la pompe compense en température et en pression, ce qui permet un débit de prélèvement régulé tout au long de vos opérations de mesure.
Répondant aux normes en vigueur (NF X43-050 et XP X43-269), l'AM 3000 a été conçue pour s'adapter aux contraintes et aux exigences de terrain : elle est robuste, compacte et résistante aux chocs.
Étanche (Indice de Protection 65) et très facile à décontaminer, elle dispose également d'un dispositif antivol (par cadenas), vous garantissant un prélèvement sécurisé.
La pompe AM 3000 offre un certain nombre de fonctionnalités très pratiques et utiles :
- Batterie intégrée pour une autonomie de plus de 45 heures en prélèvement
- Exportation des données via une sortie USB
- Télécommande infrarouge pour un pilotage simple et intuitif à distance.
En se basant sur les retours de terrain, le bureau d’études de SDEC France a veillé à optimiser l’ergonomie, à faire évoluer la gestion des données et à répondre aux différentes problématiques des utilisateurs.
Je recherche un organisme agréé pour effectuer un contrôle d'empoussièrement surfacique du sol suite à des travaux de déplombage. Des recommandations?
Voici les étapes générales à suivre pour sélectionner un organisme agréé :
1. **Recherche d'organismes accrédités** : Commencez par une recherche en ligne ou consultez directement la liste des laboratoires et organismes accrédités sur le site du COFRAC ou de l'équivalent dans votre pays.
2. **Vérification des compétences** : Assurez-vous que l'organisme choisi possède l'accréditation pour réaliser des mesures d'empoussièrement surfacique, par exemple selon la norme NF X46-020 qui définit les critères de mesure de la contamination des surfaces par des poussières.
3. **Demande de devis et de références** : Contactez plusieurs organismes pour obtenir des devis et demandez des références ou des exemples de rapports d'inspection pour des situations similaires à la vôtre.
4. **Contrôle de l'équipement utilisé** : L'organisme devrait utiliser des équipements de mesure et de prélèvement précis et calibrés, tels que des prélèvements par essuyage (wipe test) ou des aspirateurs équipés de filtres à haute efficacité (HEPA) pour collecter les poussières de plomb. Des produits comme le **AM 3000** ou le **BRAVO BASIC** pourraient être utilisés pour le prélèvement d'air ambiant et la détection de particules fines, y compris celles issues du plomb.
5. **Planification de l'intervention** : Une fois l'organisme sélectionné, planifiez l'intervention en détail, en incluant les zones à contrôler, les méthodologies de prélèvement et les normes de qualité à respecter.
6. **Réception et analyse du rapport** : Après l'intervention, l'organisme devrait fournir un rapport détaillé incluant les méthodes de prélèvement, les résultats analytiques et les recommandations pour la gestion des risques liés à la contamination.
Il est important de rappeler que le choix de l'organisme doit se baser non seulement sur le prix mais aussi sur la qualité des services proposés et leur conformité aux réglementations en vigueur. La sécurité des personnes exposées et l'environnement doit rester la priorité lors du choix de votre prestataire.
Pour des recommandations spécifiques à votre région ou pays, il serait préférable de consulter les autorités de santé publique locales ou les associations professionnelles qui pourraient vous orienter vers des organismes réputés spécialisés dans le contrôle de l'empoussièrement de plomb après des travaux de déplombage.
En quoi consiste un système collecteur ? Et pourquoi l'utiliser pour un contrôle de l'air ambiant ?
Le système collecteur fonctionne en aspirant un volume déterminé d'air à travers un ou plusieurs types de médias de collecte, tels que des filtres, des plaques de culture, ou des solutions de piégeage, qui retiennent les substances d'intérêt. Après le prélèvement, ces médias sont analysés en laboratoire pour identifier et quantifier les composants capturés.
L'utilisation d'un système collecteur pour le contrôle de l'air ambiant présente plusieurs avantages :
1. Surveillance de la qualité de l'air : Il permet de surveiller et d'évaluer la qualité de l'air dans différents environnements, tels que les zones de travail industrielles, les espaces publics, les environnements intérieurs, et les zones sensibles comme les hôpitaux ou les laboratoires.
2. Conformité réglementaire : Dans de nombreuses juridictions, il existe des normes et des réglementations strictes concernant les niveaux admissibles de certains polluants dans l'air. Le prélèvement d'air permet de vérifier le respect de ces normes.
3. Santé et sécurité : La détection de contaminants comme les composés organiques volatils (COV), les particules fines (PM2.5/PM10), les fibres d'amiante, ou les pathogènes aéroportés aide à protéger la santé et la sécurité des personnes en limitant leur exposition à des substances dangereuses.
4. Diagnostic environnemental : Ces systèmes peuvent aider à identifier la source de contamination ou de pollution et à évaluer l'efficacité des mesures de contrôle mises en place.
Pour illustrer, voici quelques exemples de produits et de systèmes collecteurs qui pourraient être utilisés pour le contrôle de l'air ambiant :
- ECOMBOX : Ce système de communication universel peut être connecté à divers instruments de mesure de la qualité de l'air pour une surveillance en temps réel et à distance.
- Active Count 100H : Il s'agit d'un biocollecteur conçu pour le prélèvement microbiologique dans l'air. Il capture des échantillons pour l'analyse de la concentration microbienne.
- Système de prélèvement isocinétique CleanAir Express : Utilisé pour capturer des échantillons de particules ou de gaz à partir de sources fixes en respectant un débit isocinétique pour une représentativité optimale de l'échantillon.
- AM 3000 : Ce préleveur d'air est adapté pour le diagnostic de fibres d'amiante et de particules, conformément aux normes de prélèvement en vigueur.
- Triklorame V2 : Spécialement conçu pour mesurer la concentration de trichloramine dans l'air, un gaz irritant souvent présent dans les piscines.
L'emploi de ces systèmes est crucial pour obtenir des données précises et fiables sur la qualité de l'air, permettant de prendre des décisions éclairées en matière de santé publique, de sécurité au travail et de gestion environnementale.
Comment fonctionne un prélèvement d'air en laboratoire pour 50,100 et 250 L?
1. **Sélection de l'appareil de prélèvement** :
On utilise souvent des pompes de prélèvement d'air telles que l'AM 3000 ou l'AM 3000N, qui sont des préleveurs d'air pour le diagnostic des fibres d'amiante et sont également adaptées pour des applications en milieu nucléaire. Ces pompes sont équipées de débitmètres massiques capables de compenser les variations de température et de pression, assurant ainsi un débit constant durant le prélèvement.
2. **Préparation du préleveur** :
Avant de commencer le prélèvement, il est nécessaire de calibrer le débit de la pompe pour obtenir le volume d'air souhaité. Pour des volumes de 50, 100 et 250 litres, la pompe est réglée pour aspirer l'air à un débit spécifique qui permettra d'atteindre le volume total dans le temps imparti.
3. **Placement du support de collecte** :
On place un filtre ou une cartouche de collecte dans le préleveur. Ce filtre peut être spécifique au type de contaminant que l'on cherche à analyser (particules, fibres d'amiante, composés organiques volatils, etc.).
4. **Réalisation du prélèvement** :
La pompe est activée et l'air ambiant est aspiré à travers le filtre. Le débit de la pompe est maintenu constant tout au long du prélèvement pour assurer une collecte représentative de l'air. Pour les volumes indiqués (50, 100, 250 litres), le prélèvement peut durer de quelques minutes à plusieurs heures, selon le débit sélectionné.
5. **Fin du prélèvement** :
Une fois le volume d'air requis prélevé, la pompe est arrêtée et le filtre est retiré. Le filtre est ensuite scellé et étiqueté pour l'analyse en laboratoire.
6. **Analyse en laboratoire** :
L'analyse en laboratoire dépend de la substance à analyser. Pour les fibres d'amiante, par exemple, on utilise souvent la microscopie électronique à transmission (MET) ou la microscopie optique à contraste de phase (MOCP).
Pour les prélèvements d'air nécessitant des volumes spécifiques comme ceux mentionnés, on peut également utiliser des échantillonneurs volumétriques qui pré-établissent le volume d'air à collecter avant le début de l'échantillonnage. Des appareils tels que le biocollecteur Active Count 100H, qui est conçu pour des prélèvements microbiologiques, peuvent aussi être adaptés pour des prélèvements d'air volumétriques, bien que leur capacité soit généralement plus élevée.
Il est crucial de suivre les normes et les procédures appropriées pour s'assurer que le prélèvement d'air est représentatif de l'environnement échantillonné et que les résultats de l'analyse seront fiables et précis.