Produit
Kit carottier de sol motorisé
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Description
ÉCHANTILLONNAGE POUR ÉTUDES DE SOL ET DIAGNOSTICS SSP
Utilisés dans le cadre de diagnostics SSP, d’études géologiques, archéologiques ou encore sédimentaires, les équipements de carottage à percussion SDEC France permettent d’effectuer un échantillonnage non remanié dans la plupart des types de sols. Nos carottiers de sol motorisés sont mobiles et peuvent surmonter les difficultés qui ne peuvent être résolues avec un équipement manuel.
Le kit comprend :
- Un perforateur électrique MAKITA HM1812 qui offre l’énergie d’impact la plus conséquente (72,8 Joules). Il est doté d’une technologie d’absorption des vibrations (AVT).
- Un extracteur hydraulique électrique
- Groupe électrogène
- Des gouges, rallonges et manchons
- Accessoires
- Des caisses de transport en aluminium
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Type de produit
Ce produit a été créé et référencé pour le bon fonctionnement de la plateforme
Questions / Actualités
Questions
Nouvelle réponse
- Le 13/01/2024
Pour les dépollutions des sols, Les travaux sous tente deviennent-ils systématiques ?
Réponse :
Les travaux de dépollution des sols sous tente ne sont pas systématiquement requis, mais ils peuvent être préconisés dans certaines circonstances spécifiques afin de contrôler et de minimiser les risques de dispersion des polluants dans l'environnement. Le choix de mettre en œuvre des travaux sous tente dépend de plusieurs facteurs liés à la nature du site, à la typologie des polluants présents et aux objectifs de réhabilitation.
Voici quelques situations où l'utilisation de tentes ou de confinements temporaires peut être indiquée :
1. **Polluants volatils et/ou toxiques :** Lorsque les sols sont contaminés par des composés organiques volatils (COV) ou d'autres substances toxiques susceptibles de s'évaporer ou de s'échapper lors de leur manipulation, l'utilisation d'une tente avec un système de contrôle des émissions peut s'avérer nécessaire pour protéger la santé des travailleurs et prévenir l'exposition de la population environnante.
2. **Conditions climatiques :** Dans les régions où les conditions météorologiques peuvent interférer avec les travaux de dépollution (pluie, vent, neige), l'utilisation d'une tente permet de créer un environnement de travail contrôlé et de poursuivre les opérations sans interruption.
3. **Proximité de zones sensibles :** Si le site de dépollution est proche de zones résidentielles, d'écoles, de zones naturelles protégées ou d'autres environnements sensibles, le travail sous tente peut être utilisé pour limiter la dispersion des polluants et réduire les nuisances (odeurs, bruit, poussière).
4. **Contrôle de l'humidité et de la température :** Certaines techniques de traitement des sols, comme la bioremédiation, peuvent requérir des conditions spécifiques d'humidité et de température pour être efficaces. Les tentes peuvent être équipées pour maintenir ces conditions optimales.
En ce qui concerne les produits et équipements liés à la dépollution sous tente, on peut citer :
- **Systèmes de ventilation et de traitement de l'air :** Des équipements comme des extracteurs et des purificateurs d'air peuvent être nécessaires pour contrôler les émissions de polluants et maintenir une qualité d'air acceptable à l'intérieur de la tente.
- **Kit carottier de sol motorisé :** Pour prélever des échantillons de sols contaminés en vue d'analyses précises, un kit carottier motorisé permet de réaliser des carottages avec un minimum de perturbation du sol et peut s'avérer utile sous une tente de confinement.
Il est important de noter que chaque projet de dépollution est unique, et une évaluation des risques spécifique au site doit être effectuée pour déterminer si les travaux doivent être réalisés sous tente. L'approche choisie doit être conforme aux réglementations locales et aux meilleures pratiques en matière de gestion environnementale et de santé et sécurité au travail.
Voici quelques situations où l'utilisation de tentes ou de confinements temporaires peut être indiquée :
1. **Polluants volatils et/ou toxiques :** Lorsque les sols sont contaminés par des composés organiques volatils (COV) ou d'autres substances toxiques susceptibles de s'évaporer ou de s'échapper lors de leur manipulation, l'utilisation d'une tente avec un système de contrôle des émissions peut s'avérer nécessaire pour protéger la santé des travailleurs et prévenir l'exposition de la population environnante.
2. **Conditions climatiques :** Dans les régions où les conditions météorologiques peuvent interférer avec les travaux de dépollution (pluie, vent, neige), l'utilisation d'une tente permet de créer un environnement de travail contrôlé et de poursuivre les opérations sans interruption.
3. **Proximité de zones sensibles :** Si le site de dépollution est proche de zones résidentielles, d'écoles, de zones naturelles protégées ou d'autres environnements sensibles, le travail sous tente peut être utilisé pour limiter la dispersion des polluants et réduire les nuisances (odeurs, bruit, poussière).
4. **Contrôle de l'humidité et de la température :** Certaines techniques de traitement des sols, comme la bioremédiation, peuvent requérir des conditions spécifiques d'humidité et de température pour être efficaces. Les tentes peuvent être équipées pour maintenir ces conditions optimales.
En ce qui concerne les produits et équipements liés à la dépollution sous tente, on peut citer :
- **Systèmes de ventilation et de traitement de l'air :** Des équipements comme des extracteurs et des purificateurs d'air peuvent être nécessaires pour contrôler les émissions de polluants et maintenir une qualité d'air acceptable à l'intérieur de la tente.
- **Kit carottier de sol motorisé :** Pour prélever des échantillons de sols contaminés en vue d'analyses précises, un kit carottier motorisé permet de réaliser des carottages avec un minimum de perturbation du sol et peut s'avérer utile sous une tente de confinement.
Il est important de noter que chaque projet de dépollution est unique, et une évaluation des risques spécifique au site doit être effectuée pour déterminer si les travaux doivent être réalisés sous tente. L'approche choisie doit être conforme aux réglementations locales et aux meilleures pratiques en matière de gestion environnementale et de santé et sécurité au travail.
Nouvelle réponse
- Le 02/01/2024
Quelles sont les obligations pour la vente d'une station service qui s'arrête ?
Réponse :
Lors de la cessation d'activité d'une station-service, le propriétaire ou l'exploitant doit respecter plusieurs obligations légales et réglementaires, notamment en matière de dépollution des sols et de protection de l'environnement. Ces obligations peuvent varier selon les pays et les régions, mais elles suivent généralement des principes similaires. Voici les étapes clés que l'on retrouve généralement :
1. Diagnostic environnemental : Avant la vente, il est nécessaire de réaliser un diagnostic environnemental du site pour évaluer l'état de pollution des sols et des nappes phréatiques. Cela peut impliquer l'utilisation de kits carottiers de sol motorisés pour prélever des échantillons du sol et les analyser afin de déterminer la présence de contaminants liés aux hydrocarbures.
2. Rapport de diagnostic : Les résultats du diagnostic environnemental doivent être compilés dans un rapport qui sera remis aux autorités compétentes. Ce rapport peut inclure des cartographies des risques sanitaires des sols pollués, comme celles produites par le projet Cartorisk, et des analyses géostatistiques.
3. Plan de dépollution : Si le diagnostic révèle une pollution, un plan de dépollution doit être élaboré. Ce plan détaille les mesures à prendre pour assainir le site, telles que l'extraction et le traitement des sols contaminés, ou l'utilisation d'absorbants pour hydrocarbures pour éliminer les résidus d'hydrocarbures.
4. Mise en œuvre du plan de dépollution : Les opérations de dépollution doivent être réalisées conformément au plan établi. Cela peut nécessiter des technologies et des équipements spécifiques, comme des barrages absorbants pour hydrocarbures, dans le cas où des liquides polluants atteindraient des plans d'eau.
5. Suivi et contrôle : Après les travaux de dépollution, un suivi environnemental doit être assuré pour vérifier l'efficacité des mesures prises. Des logiciels spécialisés tels que TerraIndex ou KiWi Maps peuvent être utilisés pour le suivi et la gestion des données de dépollution.
6. Certificat de dépollution : Une fois la dépollution terminée et validée par les autorités, un certificat de dépollution peut être délivré, attestant que le site ne présente plus de risque pour l'environnement ou la santé publique.
7. Informations à l'acheteur : Le vendeur doit informer l'acheteur de la situation environnementale du site, y compris de toute contamination résiduelle et des obligations de surveillance ou de gestion à long terme qui peuvent subsister.
Il est important de noter que la réglementation peut imposer au propriétaire ou à l'exploitant de constituer des garanties financières pour couvrir les coûts de la dépollution. De plus, les obligations peuvent varier en fonction de l'utilisation future envisagée pour le site.
Enfin, il est fortement recommandé de consulter un avocat spécialisé en droit de l'environnement ou un consultant environnemental pour une compréhension précise des obligations légales dans le contexte local et pour s'assurer que toutes les étapes sont correctement suivies lors de la cessation d'activité d'une station-service.
1. Diagnostic environnemental : Avant la vente, il est nécessaire de réaliser un diagnostic environnemental du site pour évaluer l'état de pollution des sols et des nappes phréatiques. Cela peut impliquer l'utilisation de kits carottiers de sol motorisés pour prélever des échantillons du sol et les analyser afin de déterminer la présence de contaminants liés aux hydrocarbures.
2. Rapport de diagnostic : Les résultats du diagnostic environnemental doivent être compilés dans un rapport qui sera remis aux autorités compétentes. Ce rapport peut inclure des cartographies des risques sanitaires des sols pollués, comme celles produites par le projet Cartorisk, et des analyses géostatistiques.
3. Plan de dépollution : Si le diagnostic révèle une pollution, un plan de dépollution doit être élaboré. Ce plan détaille les mesures à prendre pour assainir le site, telles que l'extraction et le traitement des sols contaminés, ou l'utilisation d'absorbants pour hydrocarbures pour éliminer les résidus d'hydrocarbures.
4. Mise en œuvre du plan de dépollution : Les opérations de dépollution doivent être réalisées conformément au plan établi. Cela peut nécessiter des technologies et des équipements spécifiques, comme des barrages absorbants pour hydrocarbures, dans le cas où des liquides polluants atteindraient des plans d'eau.
5. Suivi et contrôle : Après les travaux de dépollution, un suivi environnemental doit être assuré pour vérifier l'efficacité des mesures prises. Des logiciels spécialisés tels que TerraIndex ou KiWi Maps peuvent être utilisés pour le suivi et la gestion des données de dépollution.
6. Certificat de dépollution : Une fois la dépollution terminée et validée par les autorités, un certificat de dépollution peut être délivré, attestant que le site ne présente plus de risque pour l'environnement ou la santé publique.
7. Informations à l'acheteur : Le vendeur doit informer l'acheteur de la situation environnementale du site, y compris de toute contamination résiduelle et des obligations de surveillance ou de gestion à long terme qui peuvent subsister.
Il est important de noter que la réglementation peut imposer au propriétaire ou à l'exploitant de constituer des garanties financières pour couvrir les coûts de la dépollution. De plus, les obligations peuvent varier en fonction de l'utilisation future envisagée pour le site.
Enfin, il est fortement recommandé de consulter un avocat spécialisé en droit de l'environnement ou un consultant environnemental pour une compréhension précise des obligations légales dans le contexte local et pour s'assurer que toutes les étapes sont correctement suivies lors de la cessation d'activité d'une station-service.
Nouvelle réponse
- Le 30/11/2023
Quel est le cout moyen de dépollution d'une tonne de terre contaminé avec des hydrocarbures ?
Réponse :
Le coût moyen de la dépollution d'une tonne de terre contaminée par des hydrocarbures peut varier considérablement en fonction de plusieurs facteurs, tels que:
1. Le type et la concentration des hydrocarbures présents.
2. La profondeur et l'étendue de la contamination.
3. Les caractéristiques du sol (par exemple, la granulométrie, la perméabilité, la présence de nappe phréatique).
4. La localisation du site et la facilité d'accès pour le matériel de traitement.
5. La réglementation environnementale applicable et les standards de décontamination à atteindre.
6. La méthode de dépollution choisie (extraction thermique, bioremédiation, désorption thermique, excavation et traitement hors site, stabilisation/solidification, etc.).
En général, les coûts peuvent aller de quelques dizaines d'euros à plusieurs centaines d'euros par tonne. Pour donner un ordre de grandeur, la dépollution par excavation et traitement hors site peut coûter entre 50 et 150 euros par tonne, tandis que des techniques in situ plus complexes comme la bioremédiation ou l'extraction par vapeur peuvent coûter entre 20 et 100 euros par tonne. Ces coûts sont fortement dépendants des conditions locales et des exigences spécifiques du projet.
Pour évaluer précisément le coût, il est souvent nécessaire de réaliser une étude de faisabilité qui comprendra des échantillonnages et des analyses de sol, pour lesquels des produits comme le "Kit carottier de sol motorisé" peuvent être utilisés pour obtenir des échantillons représentatifs du sol contaminé. La surveillance des gaz du sol peut être réalisée avec des équipements comme le détecteur multigaz "G999" afin d'évaluer la présence et la concentration des hydrocarbures volatils.
Une fois les données collectées, des logiciels spécialisés comme "KiWi Maps" ou "TerraIndex" peuvent être utilisés pour analyser les données, visualiser la distribution des polluants et aider à planifier la stratégie de dépollution la plus adaptée et la plus économique.
En conclusion, le coût de la dépollution d'une tonne de terre contaminée par des hydrocarbures est très variable et doit être évalué au cas par cas, en tenant compte des conditions spécifiques du site et des méthodes de dépollution choisies.
1. Le type et la concentration des hydrocarbures présents.
2. La profondeur et l'étendue de la contamination.
3. Les caractéristiques du sol (par exemple, la granulométrie, la perméabilité, la présence de nappe phréatique).
4. La localisation du site et la facilité d'accès pour le matériel de traitement.
5. La réglementation environnementale applicable et les standards de décontamination à atteindre.
6. La méthode de dépollution choisie (extraction thermique, bioremédiation, désorption thermique, excavation et traitement hors site, stabilisation/solidification, etc.).
En général, les coûts peuvent aller de quelques dizaines d'euros à plusieurs centaines d'euros par tonne. Pour donner un ordre de grandeur, la dépollution par excavation et traitement hors site peut coûter entre 50 et 150 euros par tonne, tandis que des techniques in situ plus complexes comme la bioremédiation ou l'extraction par vapeur peuvent coûter entre 20 et 100 euros par tonne. Ces coûts sont fortement dépendants des conditions locales et des exigences spécifiques du projet.
Pour évaluer précisément le coût, il est souvent nécessaire de réaliser une étude de faisabilité qui comprendra des échantillonnages et des analyses de sol, pour lesquels des produits comme le "Kit carottier de sol motorisé" peuvent être utilisés pour obtenir des échantillons représentatifs du sol contaminé. La surveillance des gaz du sol peut être réalisée avec des équipements comme le détecteur multigaz "G999" afin d'évaluer la présence et la concentration des hydrocarbures volatils.
Une fois les données collectées, des logiciels spécialisés comme "KiWi Maps" ou "TerraIndex" peuvent être utilisés pour analyser les données, visualiser la distribution des polluants et aider à planifier la stratégie de dépollution la plus adaptée et la plus économique.
En conclusion, le coût de la dépollution d'une tonne de terre contaminée par des hydrocarbures est très variable et doit être évalué au cas par cas, en tenant compte des conditions spécifiques du site et des méthodes de dépollution choisies.
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