Produit
EBI 300
Data logger température, humidité à sonde externe
Description
Les produits Ebro sont spécialisés dans le contrôle de la température.
De nombreuses applications recherche des produits spécifiques, les différents dataloggers, enregistreurs et sondes permettront de choisr et configurer le produit adapté aux besoins.
Questions sur le produit :
Nouvelle réponse
- Le 11/01/2024
Est-ce qu'une unité de conditionnement d'air est la même chose qu'un FRL?
Réponse :
Non, une unité de conditionnement d'air n'est pas la même chose qu'un FRL dans le contexte de la pneumatique et de l'automatisation industrielle.
Un FRL est l'acronyme de "Filtre, Régulateur et Lubrificateur". Il s'agit d'une combinaison de dispositifs pneumatiques qui sont utilisés ensemble pour préparer l'air comprimé à être utilisé dans des équipements pneumatiques. Le but d'un FRL est triple :
1. **Filtre** : Il élimine les particules solides comme la poussière, la rouille et d'autres contaminants de l'air comprimé, afin de protéger les équipements pneumatiques en aval de toute usure ou dommage prématuré. Des produits comme les cartouches filtrantes, mentionnées dans les descriptions des produits, seraient utilisés ici pour filtrer l'air.
2. **Régulateur** : Il maintient une pression d'air constante et appropriée pour les outils ou les systèmes pneumatiques en aval, malgré les fluctuations de la pression dans le réseau d'air comprimé.
3. **Lubrificateur** : Il ajoute une brume d'huile fine dans l'air comprimé pour lubrifier les outils et les composants pneumatiques, réduisant ainsi la friction et l'usure.
En revanche, une unité de conditionnement d'air fait généralement référence à un système utilisé pour contrôler et réguler la température, l'humidité et la qualité de l'air dans un espace donné. Les unités de conditionnement d'air comprennent des composants tels que des compresseurs, des évaporateurs, des condenseurs et des ventilateurs pour chauffer, refroidir, humidifier, déshumidifier et filtrer l'air ambiant.
Bien que les unités de conditionnement d'air puissent inclure des filtres pour purifier l'air, leur fonction et leur conception sont nettement différentes de celles d'un FRL pneumatique. Les produits liés aux audits d'installations de traitement de l'air, tels que l'armoire de traitement H2S ThioBox 2.0 ou les data loggers Ebro, sont des exemples de systèmes ou d'appareils utilisés pour surveiller ou améliorer la qualité de l'air, mais ils ne sont pas des FRL.
En résumé, un FRL est une unité spécialisée dans la préparation de l'air comprimé pour les applications pneumatiques, tandis qu'une unité de conditionnement d'air est un système global pour gérer les conditions environnementales dans des espaces habités ou des processus industriels.
Un FRL est l'acronyme de "Filtre, Régulateur et Lubrificateur". Il s'agit d'une combinaison de dispositifs pneumatiques qui sont utilisés ensemble pour préparer l'air comprimé à être utilisé dans des équipements pneumatiques. Le but d'un FRL est triple :
1. **Filtre** : Il élimine les particules solides comme la poussière, la rouille et d'autres contaminants de l'air comprimé, afin de protéger les équipements pneumatiques en aval de toute usure ou dommage prématuré. Des produits comme les cartouches filtrantes, mentionnées dans les descriptions des produits, seraient utilisés ici pour filtrer l'air.
2. **Régulateur** : Il maintient une pression d'air constante et appropriée pour les outils ou les systèmes pneumatiques en aval, malgré les fluctuations de la pression dans le réseau d'air comprimé.
3. **Lubrificateur** : Il ajoute une brume d'huile fine dans l'air comprimé pour lubrifier les outils et les composants pneumatiques, réduisant ainsi la friction et l'usure.
En revanche, une unité de conditionnement d'air fait généralement référence à un système utilisé pour contrôler et réguler la température, l'humidité et la qualité de l'air dans un espace donné. Les unités de conditionnement d'air comprennent des composants tels que des compresseurs, des évaporateurs, des condenseurs et des ventilateurs pour chauffer, refroidir, humidifier, déshumidifier et filtrer l'air ambiant.
Bien que les unités de conditionnement d'air puissent inclure des filtres pour purifier l'air, leur fonction et leur conception sont nettement différentes de celles d'un FRL pneumatique. Les produits liés aux audits d'installations de traitement de l'air, tels que l'armoire de traitement H2S ThioBox 2.0 ou les data loggers Ebro, sont des exemples de systèmes ou d'appareils utilisés pour surveiller ou améliorer la qualité de l'air, mais ils ne sont pas des FRL.
En résumé, un FRL est une unité spécialisée dans la préparation de l'air comprimé pour les applications pneumatiques, tandis qu'une unité de conditionnement d'air est un système global pour gérer les conditions environnementales dans des espaces habités ou des processus industriels.
Nouvelle réponse
- Le 09/01/2024
Comment traiter de l'eau polluer par des spores de bactéries ana sulfito-reductrices NF EN 26461-2 resultats 28 ?
Réponse :
Le traitement de l'eau contaminée par des spores de bactéries anaérobies sulfito-réductrices, comme celles indiquées par la norme NF EN 26461-2 avec un résultat de 28, nécessite une approche multidimensionnelle qui comprend la détection, l'inactivation des spores et la prévention de la recolonisation. Ces bactéries sont souvent responsables de la production de sulfure d'hydrogène (H₂S), qui peut conduire à la corrosion et à des odeurs nauséabondes dans les systèmes d'eau. Voici un processus détaillé pour traiter ce type de contamination :
**1. Diagnostic :**
La première étape consiste à analyser l'eau pour confirmer la présence de bactéries sulfito-réductrices et déterminer l'étendue de la contamination. Cela peut être fait en utilisant des kits d'analyse spécifiques ou en envoyant des échantillons à un laboratoire spécialisé.
**2. Prétraitement physique :**
Avant de traiter biologiquement ou chimiquement l'eau, il est souvent nécessaire de procéder à un prétraitement physique pour éliminer les particules en suspension et réduire la turbidité. Cela peut être réalisé par des procédés tels que la filtration, la décantation ou la centrifugation.
**3. Inactivation des spores :**
Les spores bactériennes sont résistantes et peuvent survivre à des conditions défavorables. Pour les inactiver, plusieurs méthodes peuvent être utilisées :
- **Chloration :** L'ajout de chlore ou de composés chlorés peut inactiver les spores bactériennes. Toutefois, cette méthode peut ne pas être efficace contre toutes les spores et peut nécessiter de fortes doses de chlore.
- **Oxydation avancée :** Des procédés comme l'ozone, le peroxyde d'hydrogène ou l'application de rayonnement UV peuvent être efficaces contre les spores. Le système Canal Externe double, par exemple, utilise des lampes UV de puissances variables pour traiter les micropolluants par oxydation avancée, ce qui pourrait être une option pour inactiver ces spores.
- **Traitement thermique :** L'exposition à des températures élevées pendant une période prolongée peut détruire les spores bactériennes. Cependant, ce n'est pas toujours une option pratique pour les grands volumes d'eau.
**4. Traitement biologique :**
En plus des méthodes chimiques et physiques, il est possible d'utiliser des bactéries compétitives ou des prédateurs naturels pour supprimer les bactéries sulfito-réductrices. Cela implique l'introduction de micro-organismes non nuisibles qui peuvent outcompeter les bactéries indésirables.
**5. Filtration fine et désinfection :**
Une fois les spores inactivées, une filtration fine peut être utilisée pour éliminer les résidus. Si nécessaire, une désinfection finale peut être réalisée pour garantir que l'eau est sans danger pour l'usage prévu. Des systèmes comme le MicroFITT-ee, qui est une microstation éco-énergétique, peuvent fournir un traitement biologique supplémentaire ainsi qu'une nitrification/dénitrification améliorée.
**6. Surveillance et prévention :**
Après le traitement, il est essentiel de mettre en place un programme de surveillance pour s'assurer que l'eau reste exempte de contamination. Cela peut inclure des analyses périodiques et l'utilisation de data loggers comme l'EBI 300 pour surveiller les conditions de température et d'humidité qui pourraient favoriser la croissance bactérienne. La prévention peut également impliquer l'ajustement du pH, le contrôle de la température, et l'entretien régulier des systèmes de distribution d'eau pour éviter la recolonisation.
En résumé, le traitement efficace de l'eau polluée par des spores de bactéries anaérobies sulfito-réductrices nécessite une combinaison de techniques physiques, chimiques et biologiques, ainsi qu'une surveillance continue pour s'assurer que l'eau reste propre et sûre pour l'utilisation prévue.
**1. Diagnostic :**
La première étape consiste à analyser l'eau pour confirmer la présence de bactéries sulfito-réductrices et déterminer l'étendue de la contamination. Cela peut être fait en utilisant des kits d'analyse spécifiques ou en envoyant des échantillons à un laboratoire spécialisé.
**2. Prétraitement physique :**
Avant de traiter biologiquement ou chimiquement l'eau, il est souvent nécessaire de procéder à un prétraitement physique pour éliminer les particules en suspension et réduire la turbidité. Cela peut être réalisé par des procédés tels que la filtration, la décantation ou la centrifugation.
**3. Inactivation des spores :**
Les spores bactériennes sont résistantes et peuvent survivre à des conditions défavorables. Pour les inactiver, plusieurs méthodes peuvent être utilisées :
- **Chloration :** L'ajout de chlore ou de composés chlorés peut inactiver les spores bactériennes. Toutefois, cette méthode peut ne pas être efficace contre toutes les spores et peut nécessiter de fortes doses de chlore.
- **Oxydation avancée :** Des procédés comme l'ozone, le peroxyde d'hydrogène ou l'application de rayonnement UV peuvent être efficaces contre les spores. Le système Canal Externe double, par exemple, utilise des lampes UV de puissances variables pour traiter les micropolluants par oxydation avancée, ce qui pourrait être une option pour inactiver ces spores.
- **Traitement thermique :** L'exposition à des températures élevées pendant une période prolongée peut détruire les spores bactériennes. Cependant, ce n'est pas toujours une option pratique pour les grands volumes d'eau.
**4. Traitement biologique :**
En plus des méthodes chimiques et physiques, il est possible d'utiliser des bactéries compétitives ou des prédateurs naturels pour supprimer les bactéries sulfito-réductrices. Cela implique l'introduction de micro-organismes non nuisibles qui peuvent outcompeter les bactéries indésirables.
**5. Filtration fine et désinfection :**
Une fois les spores inactivées, une filtration fine peut être utilisée pour éliminer les résidus. Si nécessaire, une désinfection finale peut être réalisée pour garantir que l'eau est sans danger pour l'usage prévu. Des systèmes comme le MicroFITT-ee, qui est une microstation éco-énergétique, peuvent fournir un traitement biologique supplémentaire ainsi qu'une nitrification/dénitrification améliorée.
**6. Surveillance et prévention :**
Après le traitement, il est essentiel de mettre en place un programme de surveillance pour s'assurer que l'eau reste exempte de contamination. Cela peut inclure des analyses périodiques et l'utilisation de data loggers comme l'EBI 300 pour surveiller les conditions de température et d'humidité qui pourraient favoriser la croissance bactérienne. La prévention peut également impliquer l'ajustement du pH, le contrôle de la température, et l'entretien régulier des systèmes de distribution d'eau pour éviter la recolonisation.
En résumé, le traitement efficace de l'eau polluée par des spores de bactéries anaérobies sulfito-réductrices nécessite une combinaison de techniques physiques, chimiques et biologiques, ainsi qu'une surveillance continue pour s'assurer que l'eau reste propre et sûre pour l'utilisation prévue.
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- Le 11/01/2024
Est-ce qu'une unité de conditionnement d'air est la même chose qu'un FRL?
Réponse :
Non, une unité de conditionnement d'air n'est pas la même chose qu'un FRL dans le contexte de la pneumatique et de l'automatisation industrielle.
Un FRL est l'acronyme de "Filtre, Régulateur et Lubrificateur". Il s'agit d'une combinaison de dispositifs pneumatiques qui sont utilisés ensemble pour préparer l'air comprimé à être utilisé dans des équipements pneumatiques. Le but d'un FRL est triple :
1. **Filtre** : Il élimine les particules solides comme la poussière, la rouille et d'autres contaminants de l'air comprimé, afin de protéger les équipements pneumatiques en aval de toute usure ou dommage prématuré. Des produits comme les cartouches filtrantes, mentionnées dans les descriptions des produits, seraient utilisés ici pour filtrer l'air.
2. **Régulateur** : Il maintient une pression d'air constante et appropriée pour les outils ou les systèmes pneumatiques en aval, malgré les fluctuations de la pression dans le réseau d'air comprimé.
3. **Lubrificateur** : Il ajoute une brume d'huile fine dans l'air comprimé pour lubrifier les outils et les composants pneumatiques, réduisant ainsi la friction et l'usure.
En revanche, une unité de conditionnement d'air fait généralement référence à un système utilisé pour contrôler et réguler la température, l'humidité et la qualité de l'air dans un espace donné. Les unités de conditionnement d'air comprennent des composants tels que des compresseurs, des évaporateurs, des condenseurs et des ventilateurs pour chauffer, refroidir, humidifier, déshumidifier et filtrer l'air ambiant.
Bien que les unités de conditionnement d'air puissent inclure des filtres pour purifier l'air, leur fonction et leur conception sont nettement différentes de celles d'un FRL pneumatique. Les produits liés aux audits d'installations de traitement de l'air, tels que l'armoire de traitement H2S ThioBox 2.0 ou les data loggers Ebro, sont des exemples de systèmes ou d'appareils utilisés pour surveiller ou améliorer la qualité de l'air, mais ils ne sont pas des FRL.
En résumé, un FRL est une unité spécialisée dans la préparation de l'air comprimé pour les applications pneumatiques, tandis qu'une unité de conditionnement d'air est un système global pour gérer les conditions environnementales dans des espaces habités ou des processus industriels.
Un FRL est l'acronyme de "Filtre, Régulateur et Lubrificateur". Il s'agit d'une combinaison de dispositifs pneumatiques qui sont utilisés ensemble pour préparer l'air comprimé à être utilisé dans des équipements pneumatiques. Le but d'un FRL est triple :
1. **Filtre** : Il élimine les particules solides comme la poussière, la rouille et d'autres contaminants de l'air comprimé, afin de protéger les équipements pneumatiques en aval de toute usure ou dommage prématuré. Des produits comme les cartouches filtrantes, mentionnées dans les descriptions des produits, seraient utilisés ici pour filtrer l'air.
2. **Régulateur** : Il maintient une pression d'air constante et appropriée pour les outils ou les systèmes pneumatiques en aval, malgré les fluctuations de la pression dans le réseau d'air comprimé.
3. **Lubrificateur** : Il ajoute une brume d'huile fine dans l'air comprimé pour lubrifier les outils et les composants pneumatiques, réduisant ainsi la friction et l'usure.
En revanche, une unité de conditionnement d'air fait généralement référence à un système utilisé pour contrôler et réguler la température, l'humidité et la qualité de l'air dans un espace donné. Les unités de conditionnement d'air comprennent des composants tels que des compresseurs, des évaporateurs, des condenseurs et des ventilateurs pour chauffer, refroidir, humidifier, déshumidifier et filtrer l'air ambiant.
Bien que les unités de conditionnement d'air puissent inclure des filtres pour purifier l'air, leur fonction et leur conception sont nettement différentes de celles d'un FRL pneumatique. Les produits liés aux audits d'installations de traitement de l'air, tels que l'armoire de traitement H2S ThioBox 2.0 ou les data loggers Ebro, sont des exemples de systèmes ou d'appareils utilisés pour surveiller ou améliorer la qualité de l'air, mais ils ne sont pas des FRL.
En résumé, un FRL est une unité spécialisée dans la préparation de l'air comprimé pour les applications pneumatiques, tandis qu'une unité de conditionnement d'air est un système global pour gérer les conditions environnementales dans des espaces habités ou des processus industriels.
Nouvelle réponse
- Le 09/01/2024
Comment traiter de l'eau polluer par des spores de bactéries ana sulfito-reductrices NF EN 26461-2 resultats 28 ?
Réponse :
Le traitement de l'eau contaminée par des spores de bactéries anaérobies sulfito-réductrices, comme celles indiquées par la norme NF EN 26461-2 avec un résultat de 28, nécessite une approche multidimensionnelle qui comprend la détection, l'inactivation des spores et la prévention de la recolonisation. Ces bactéries sont souvent responsables de la production de sulfure d'hydrogène (H₂S), qui peut conduire à la corrosion et à des odeurs nauséabondes dans les systèmes d'eau. Voici un processus détaillé pour traiter ce type de contamination :
**1. Diagnostic :**
La première étape consiste à analyser l'eau pour confirmer la présence de bactéries sulfito-réductrices et déterminer l'étendue de la contamination. Cela peut être fait en utilisant des kits d'analyse spécifiques ou en envoyant des échantillons à un laboratoire spécialisé.
**2. Prétraitement physique :**
Avant de traiter biologiquement ou chimiquement l'eau, il est souvent nécessaire de procéder à un prétraitement physique pour éliminer les particules en suspension et réduire la turbidité. Cela peut être réalisé par des procédés tels que la filtration, la décantation ou la centrifugation.
**3. Inactivation des spores :**
Les spores bactériennes sont résistantes et peuvent survivre à des conditions défavorables. Pour les inactiver, plusieurs méthodes peuvent être utilisées :
- **Chloration :** L'ajout de chlore ou de composés chlorés peut inactiver les spores bactériennes. Toutefois, cette méthode peut ne pas être efficace contre toutes les spores et peut nécessiter de fortes doses de chlore.
- **Oxydation avancée :** Des procédés comme l'ozone, le peroxyde d'hydrogène ou l'application de rayonnement UV peuvent être efficaces contre les spores. Le système Canal Externe double, par exemple, utilise des lampes UV de puissances variables pour traiter les micropolluants par oxydation avancée, ce qui pourrait être une option pour inactiver ces spores.
- **Traitement thermique :** L'exposition à des températures élevées pendant une période prolongée peut détruire les spores bactériennes. Cependant, ce n'est pas toujours une option pratique pour les grands volumes d'eau.
**4. Traitement biologique :**
En plus des méthodes chimiques et physiques, il est possible d'utiliser des bactéries compétitives ou des prédateurs naturels pour supprimer les bactéries sulfito-réductrices. Cela implique l'introduction de micro-organismes non nuisibles qui peuvent outcompeter les bactéries indésirables.
**5. Filtration fine et désinfection :**
Une fois les spores inactivées, une filtration fine peut être utilisée pour éliminer les résidus. Si nécessaire, une désinfection finale peut être réalisée pour garantir que l'eau est sans danger pour l'usage prévu. Des systèmes comme le MicroFITT-ee, qui est une microstation éco-énergétique, peuvent fournir un traitement biologique supplémentaire ainsi qu'une nitrification/dénitrification améliorée.
**6. Surveillance et prévention :**
Après le traitement, il est essentiel de mettre en place un programme de surveillance pour s'assurer que l'eau reste exempte de contamination. Cela peut inclure des analyses périodiques et l'utilisation de data loggers comme l'EBI 300 pour surveiller les conditions de température et d'humidité qui pourraient favoriser la croissance bactérienne. La prévention peut également impliquer l'ajustement du pH, le contrôle de la température, et l'entretien régulier des systèmes de distribution d'eau pour éviter la recolonisation.
En résumé, le traitement efficace de l'eau polluée par des spores de bactéries anaérobies sulfito-réductrices nécessite une combinaison de techniques physiques, chimiques et biologiques, ainsi qu'une surveillance continue pour s'assurer que l'eau reste propre et sûre pour l'utilisation prévue.
**1. Diagnostic :**
La première étape consiste à analyser l'eau pour confirmer la présence de bactéries sulfito-réductrices et déterminer l'étendue de la contamination. Cela peut être fait en utilisant des kits d'analyse spécifiques ou en envoyant des échantillons à un laboratoire spécialisé.
**2. Prétraitement physique :**
Avant de traiter biologiquement ou chimiquement l'eau, il est souvent nécessaire de procéder à un prétraitement physique pour éliminer les particules en suspension et réduire la turbidité. Cela peut être réalisé par des procédés tels que la filtration, la décantation ou la centrifugation.
**3. Inactivation des spores :**
Les spores bactériennes sont résistantes et peuvent survivre à des conditions défavorables. Pour les inactiver, plusieurs méthodes peuvent être utilisées :
- **Chloration :** L'ajout de chlore ou de composés chlorés peut inactiver les spores bactériennes. Toutefois, cette méthode peut ne pas être efficace contre toutes les spores et peut nécessiter de fortes doses de chlore.
- **Oxydation avancée :** Des procédés comme l'ozone, le peroxyde d'hydrogène ou l'application de rayonnement UV peuvent être efficaces contre les spores. Le système Canal Externe double, par exemple, utilise des lampes UV de puissances variables pour traiter les micropolluants par oxydation avancée, ce qui pourrait être une option pour inactiver ces spores.
- **Traitement thermique :** L'exposition à des températures élevées pendant une période prolongée peut détruire les spores bactériennes. Cependant, ce n'est pas toujours une option pratique pour les grands volumes d'eau.
**4. Traitement biologique :**
En plus des méthodes chimiques et physiques, il est possible d'utiliser des bactéries compétitives ou des prédateurs naturels pour supprimer les bactéries sulfito-réductrices. Cela implique l'introduction de micro-organismes non nuisibles qui peuvent outcompeter les bactéries indésirables.
**5. Filtration fine et désinfection :**
Une fois les spores inactivées, une filtration fine peut être utilisée pour éliminer les résidus. Si nécessaire, une désinfection finale peut être réalisée pour garantir que l'eau est sans danger pour l'usage prévu. Des systèmes comme le MicroFITT-ee, qui est une microstation éco-énergétique, peuvent fournir un traitement biologique supplémentaire ainsi qu'une nitrification/dénitrification améliorée.
**6. Surveillance et prévention :**
Après le traitement, il est essentiel de mettre en place un programme de surveillance pour s'assurer que l'eau reste exempte de contamination. Cela peut inclure des analyses périodiques et l'utilisation de data loggers comme l'EBI 300 pour surveiller les conditions de température et d'humidité qui pourraient favoriser la croissance bactérienne. La prévention peut également impliquer l'ajustement du pH, le contrôle de la température, et l'entretien régulier des systèmes de distribution d'eau pour éviter la recolonisation.
En résumé, le traitement efficace de l'eau polluée par des spores de bactéries anaérobies sulfito-réductrices nécessite une combinaison de techniques physiques, chimiques et biologiques, ainsi qu'une surveillance continue pour s'assurer que l'eau reste propre et sûre pour l'utilisation prévue.
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